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Quand le mari dort, la famille dance.

Chapitre 2

Contient: Sodomie et Gang-Bang

Divers
(j’ai rajouté un chapitre dédié au gang-bang, le trio homme/homme/femme et la zoophilie arriveront plus tard !)

Les jours suivirent, et nos coucheries aussi. Je venais passer mes journées libres chez Emilie, nous parlions de tout et de rien, et quelques minutes avant que Marc rentre du bureau, nous commencions à baiser comme des bêtes. Je me rappelle du meilleur après-midi que nous avions passé tout les deux. J’étais arrivé un peu après le déjeuner, deux heures avant que Marc ne rentre. Emilie portait une robe fleurie du plus bel effet, qui la sexualisait à peine, faisant ressortir sa beauté naturelle. Nous nous remémorions les meilleurs moments de notre jeunesse : Les canulars téléphoniques à nos amis, nos bagarres, nos fêtes, puis vint le sujet de notre première fois : On riait à propos de mes difficultés à la pénétrer, de sa peur de saigner, on riait en se rappelant nos corps d’adolescents pubères.
Emilie plaça ma main entre ses cuisses et dit :
« Marc ne va pas tarder à rentrer, faut qu’on s’y mette… »
Elle ne portait pas de culotte, comme à son habitude. Elle passa sa main derrière ma tête, et l’approcha de son entre-jambe : sa petite chatte déjà humide était surmontée d’une charmante touffe de poil brun, qui lui donnait un charme adorable. J’approchais alors les lèvres de sa minette, pour toucher du bout de la langue son clitoris. Le goût était exquis, et au son de ses gémissements, ça lui plaisait. Je commençais également a masser ses seins avec mes mains, ses tétons érectés par l’excitation entre mes doigts. Entre deux cris de plaisir, Emilie m’invita à passer « par derrière ». Je m’exécutai alors en insérant mon majeur dans son petit anus rosé : ses muscles me contractait le doigt, elle ne s’était jamais faite sodomiser ; ce serait sa première fois.
Une fois mon doigt arrivé au plus profond, je le sortis pour laisser place à une petite feuille de rose : ma langue lapa son intérieur, au goût étonnamment doux ; elle s’était nettoyée entièrement, spécialement pour moi. Tout en léchant son cul, j’insérais derechef mes doigts dans sa chatte, qui dégoulinait sur mes lèvres. Emilie cria « Prend moi ! », et, soumis à ma sœur, je ne pus qu’accepter. Elle se déshabilla entièrement, et je fis de même. Elle se plaça à genoux sur le canapé, écartant ses fesses charnues. Je pris mon sexe à une main, plaçant l’autre sur l’épaule d’Emilie. Mon gland passa rapidement la frontière anale, mais le reste fut plus dur à faire rentrer. Emilie se mordait les lèvres rien qu’avec le bout de mes 17 centimètres. Je mis ma deuxième main sur son sein, et commençai à forcer mon chemin dans son fondement. Je finis par rentrer entièrement, pour combler l’espace vide de son rectum. Le chemin était si serré, je crus éjaculer sur le moment. À chaque aller-retour, je sentais le cul d’Emilie se desserrer, et je l’entendais crier de bonheur.
Ses poils me chatouillaient les bourses à chaque fois qu’elle claquait contre son vagin.
Alors que j’éclatais le cul de ma sœur dans le salon, Marc entra d’un coup, en criant :
« Chérie, je suis rentré ! »
« V-viens vite ! Ah oui… Viens ! » Répondit Emilie entre deux mugissements.
Marc pénétra dans le salon, et ne sembla pas plus choqué que ça de me voir, les mains accrochées aux seins de sa femme, ma verge en plein dans son anus. Le cocu fit mine de faire sa vie : il posa sa serviette contre le canapé voisin, jeta sa veste sur le porte-manteau, et alla se chercher un verre d’eau. Puis, il s’installa en face de nous, et nous regarda. J’étais trop occupé à embrasser ma sœur pour regarder ce qu’il faisait, mais j’imaginais une bosse grossir dans son caleçon, et l’envie de plus en plus grande de reprendre le dessus. Cette sodomie durait trop longtemps, je ne pouvais plus me retenir : je déversais ma semence brûlante dans le cul si serré d’Emilie, qui éjacula elle aussi sur le canapé, laissant une grande tâche grise de cyprine sur le tissu. Je m’extirpais de l’étreinte musculaire, un filet de sperme me reliant à l’anus défloré de ma sœur. Nous étions transpirants, mais si heureux. Emilie se leva difficilement, et se dirigea vers son mari, une coulée de foutre derrière elle et entre ses jambes, pour l’embrasser à pleine bouche.
Comme les fois précédentes, je repris mes vêtements en vitesse, m’essuyant le sexe dans une serviette qu’Emilie laissait toujours près de nos « zones de cul » comme elle disait, et je partais, victorieux.
Marc ne réagissait toujours pas, ce qui désespérait Emilie. Elle me suggéra une excellente idée : Je travaillais comme professeur d’anglais au lycée de la ville, et j’avais sympathisé avec de nombreux élèves, qui participaient au même club de basket-ball. Ils étaient tous majeurs, et célibataire. Quelques jours après la suggestion d’Emilie, dans les vestiaires du gymnase où nous jouions, je me retrouvais alors avec trois jeunes : Léo, le blond typique qui faisait fantasmer toute les lycéennes : coupe en brosse, barbe de trois jours, yeux bleus perçants et bien sculpté ;Ilia, un garçon très féminin et bisexuel : cheveux blonds et longs, une peau diaphane d’une douceur incroyable, un visage si féminin qu’on aurait dit celui d’une enfant et le service trois-pièce le plus énorme que j’ai pu voir ; Kévin, un noir svelte et incroyablement costaud, et, comme le veut la tradition, monté comme un noir. Je leur proposais alors de « démonter une go » le lendemain : ils étaient tous partants. Une adresse donnée plus tard, nous nous retrouvions alors tout les quatre devant la maison d’Emilie.
Chacun avait ramené ses préservatifs, et était au garde à vous. J’ouvris la porte sans même frapper, pour entendre Emilie chantonner dans la cuisine.
« Emi, je suis là ! J’ai ramené du monde ! »
Elle bondit hors de la cuisine, en chemisier blanc et en jean moulant. Les garçons rougirent et s’approchèrent pour lui faire la bise. Ils se présentèrent l’un et prirent place sur le canapé, là où j’avais sodomisé Emilie hier. Ma sœur nous apporta une tasse de thé à chacun, et vint prendre place entre Ilia et Léo, alors que Kévin et moi prirent place en face. Elle discuta avec les trois jeunes, en plaçant ses mains dans l’intérieur des cuisses des deux garçons à côté d’elle. Puis, plus la conversation avançait, plus elle rapprochait ses mains des bosses durcies bien visibles entre les jambes de Léo et Ilia. Le plus naturellement du monde, elle glissa défit, sans regarder, les pantalons des garçons, pour attraper comme un manche à balai les verges turgescentes. Ilia, comme précisé au paravent, avait un sexe d’une longueur incroyable, et des bourses énormes. Léo n’était pas en reste, plus modeste, mais plus épais. J’invitais Kévin à se déshabiller, alors que je me mettais torse-nu. Emilie masturbait avec vigueur les garçons, mais dû les lâcher pour s’agenouiller devant nous.
Kévin fut le premier à avoir le prépuce léché : Emilie massa mes bourses, branlait Léo alors qu’Ilia passa derrière elle, baissant le pantalon de ma sœur et enfonçant son sexe entre ses cuisses, juste en dessous de son vagin. Emilie cracha l’épée de chair de Kévin pour glisser, en même temps, la mienne et celle de Léo : Nous faisions fi des frottements de nos pénis, pour nous concentrer sur la langue de ma sœur qui nous léchait l’urètre. Elle empoigna avec vigueur la verge de Kévin pour la branler à deux mains, deux mains nécessaires vu la taille de l’engin. Ilia, sur le point de jouir, se retira des cuisses serrées d’Emilie pour lui insérer son majeur dans un anus toujours aussi rose, en vue d’une future pénétration : il rajouta rapidement deux autres doigts, vu la facilité d’accès ; la sodomie d’hier n’y était sans doute pas pour rien.
Nous étions sur le point de jouir, quand Emilie se retira : elle nous regarda avec un grand sourire, en demandant au préalable à Ilia d’arrêter de la doigter.
« Je veux vous garder encore un peu, alors prenez une pause ! »
Déçu, mais terriblement pressé, nous restions alors nus, en attendant que nos érections passent. Nous nous étions déjà vu nus sous la douche, mais ce cadre atypique donnait alors une impression étrange, loin d’être désagréable : une sensation de liberté totale. Au bout d’un petit quart d’heure, Emilie revint, entièrement nue, et nous invita à « la démonter », sans préservatif précisa-t-elle, car Marc arrivait dans une heure. Le défi d’une partouze d’une heure devait être relevé.
Notre première position fut simple : Emilie s’assit sur moi, moi sur le canapé, alors que Kévin pénétrait son arrière. Elle rugit alors que l’imposant membre brun écartait sa chaire. La brunette suça avec avidité le jonc de Léo, et inséra deux doigts dans l’anus d’Ilia, pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Le garçon émit un couinement si féminin que n’importe qui aurait pu s’y méprendre. Kévin et moi, tel un métronome érotique, échangions en rythme nos coups de bassins. Léo plaça ses mains sur la tête d’Emilie, pour avoir une meilleure prise alors que son sexe frappait ses amygdales. Entre deux crachats, Emilie demanda à changer de position : Cela faisait bien trente minutes que nous baisions. Léo s’allongea au sol, sur le dos, pour qu’Emilie viennent s’empaler sur son membre, tout en étant elle aussi sur le dos, pour que Kévin pénétrer sa minette, dont la fourrure était abondamment trempée. Je pris place sur elle, plaçant mon sexe entre sa poitrine modeste mais suffisante, alors qu’Ilia s’assit sur son visage, dos à moi.
Les garçons de derrière commencèrent le travail, et je fis de même, en serrant ses loches pour entourer ma queue aussi fort que possible. Emilie lapa le trou d’Ilia, qui possédait, pour un garçon, un cul incroyable. Avec ses mains, elle travaillait son sexe, l’empoignant avec une et titillant son urètre avec l’autre. Léo et Kévin donnaient tout ce qu’ils avaient, même lorsque la porte s’ouvrit. Les cris étouffés d’Emilie se firent de plus en plus entendre, et le silence pesant de Marc n’y changea rien. Comme les fois précédentes, il s’assit en face de nous, contemplant le spectacle de sa femme partouzée par quatre bonhommes. Sa femme, couverte de crachat, de sueur, léchant un anus, son frère se branlant entre ses seins, et deux golgoths qui lui ravageaient les fentes. Je ne comprenais toujours pas : il avait l’air de ne rien penser. Pas de bosse dans son pantalon, pas de larme sur ses joues, rien. Ce type était un mystère. J’étais sur le point d’éjaculer, lorsque j’apostrophais les garçons :
« Vous êtes chauds les gars ? »
« Quand tu veux ! » Répondirent-ils à l’unisson
Chacun se retira, et aida Emilie à se relever sur ses genoux. Nous approchions alors nos glands de sa tête, pour lâcher tous ensemble, une giclée de sperme brûlant sur son visage entier. Chacun avait son petit cri, surtout Ilia qui jouit alors comme une vraie fille. Emilie se noya sous le jus, ses joues, ses lèvres, ses cheveux et sa bouche dégoulinant de nectar blanc. Chacun tenta de lâcher jusqu’à la dernière goûte qu’il avait encore dans ses bourses. Certains tombèrent à la renverse, alors que je vins m’asseoir à côté de Marc, qui me tendit la main. Je n’en croyais plus mes yeux : il me disait bonjour, alors que sa femme était encore à genoux, léchant le foutre qui lui couvrait le crâne entier. Ce type était dingue.
Les garçons se rhabillèrent tous, et, une fois propre, Emilie vint les embrasser langoureusement pour les remercier. Ils me donnèrent chacun une poignée de main amicale, et firent de même avec Marc. Ces jeunes avait eu leur dose de sexe pour le siècle à venir. Marc, toujours passif, prit la place d’Emilie à la douche. Ma sœur, enroulée dans un peignoir rose, vint discuter avec moi :
« Vous m’avez cassé en deux les gars ! »
« De rien j’imagine ! » Dis-je en riant
« Marc est toujours aussi passif, je pige pas… Faut qu’on passe à la vitesse supérieure ! »
« J’ai plus d’idée là… Quoi que… »
« Vas-y dis-moi ! »
« Le 12 on va faire un tour près du Lac… Je sais… Oui je sais ! Le 12, viens avec nous, tu verras ce que j’ai en tête ! »
Cette folle me redonnait la trique, rien que de penser à ses idées tordues.
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