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Quand papa n'est pas là, maman s'amuse

Chapitre 1

Inceste
C’était au mois d’avril. La fin de l’année scolaire approchait. Je venais de basculer dans le monde des adultes et j’étais élève en terminale dans le lycée d’une petite ville située à une vingtaine de kilomètres de la maison familiale.
Ce jour là, le prof de maths était absent et il se trouvait que j’étais exempté de gymnastique pour deux semaines à la suite d’un choc violent avec un camarade lors d’un match de foot. Je n’avais donc pas cours de l’après-midi et je décidai de rentrer chez moi sans attendre le car scolaire qui ne partirait pas avant 17:00.
Après avoir déjeuné à la cantine du lycée, je m’étais rendu à pied à la sortie de la ville pour faire du stop. Moins de dix minutes plus tard, un camion s’était arrêté et comme son trajet passait par mon village, le routier me proposa de m’emmener jusqu’à la place principale pour me déposer.
Une vingtaine de minutes plus tard, je marchais tranquillement vers la maison profitant gaiement de cette belle journée printanière. En arrivant, je vis que la voiture de ma mère était stationnée devant le garage. Maman enseignait le français au collège du bourg voisin et je savais qu’elle n’avait pas cours le jeudi après midi.
Je décidai alors de lui faire une surprise en rentrant sans faire de bruit. Mais comme la porte d’entrée était verrouillée, je dus faire le tour du jardin pour tenter ma chance en passant par la cuisine. La baie qui desservait la terrasse était entrouverte et je pus me glisser dans la pièce sans faire de bruit.
Alors que j’avançais silencieusement en me dirigeant vers le couloir, j’entendis des sons en provenance des chambres. Je n’eus aucun mal à reconnaître la voix de ma mère qui poussait de petits cris entrecoupés de gémissements sans équivoque.
Comme mon père était en déplacement pour quelques jours, je supposai que maman profitait de sa solitude pour se donner du plaisir . Mais bien vite une voix virile et inconnue me fit reconsidérer mon jugement:— Tu l’aimes ma grosse queue pas vrai? s’exclama le gars. Ma mère confirma d’un grognement étouffé. Le type reprit d’un ton conquérant:— Ça te change de la petite bite de ton cocu. — Tu le sais bien que ton engin est vraiment énorme et qu’il me fait un bien fou essayait d’articuler maman entre deux gémissements lascifs.— Vas-y plus fort ! C’est bon de se faire défoncer par un vrai mâle... gueulait-elle pour stimuler son amant.
Complètement abasourdi, je m’approchai le plus possible de la porte entrouverte de la chambre pour découvrir un colosse velu et basané agenouillé entre les cuisses de ma mère qui se trouvait à quatre pattes sur le lit. Le braquemart monstrueux du mec coulissait à toute vitesse dans la chatte béante de Nicole (c’est le prénom de maman) qui ne tarda pas à jouir sous mes yeux.
Je vis alors le type s’enfoncer jusqu’à la garde et cesser de bouger en agrippant fermement les belles fesses de ma mère. Puis il poussa un râle de bûcheron et je compris qu’il éjaculait au fond de son minou. Le spectacle de ma mère se faisant déglinguer en bas et talons aiguilles m’avait filé une trique d’enfer et je courus me planquer au sous-sol pour m’astiquer le manche.
Je ne mis pas longtemps à lâcher la purée. Et après avoir repris mon souffle, je décidai de remonter discrètement dans le coin chambres.
Par la porte entrebâillée, je découvris Nicole la bouche déformée par l’énorme braquemart de son amant qu’elle suçait avec délectation tout en tenant la base du manche dans sa main. Il était si épais qu’elle ne pouvait en faire le tour avec les doigts. Le gars appréciait la caresse experte en traitant ma mère de bonne suceuse et en lui promettant de lui bourrer le cul dès qu’il aurait vidé ses couilles dans sa bouche. Ce qui ne tarda guère. Nicole faillit s’étouffer lorsque le type déchargea tout en lui maintenant fortement la tête pour qu’elle ne perde pas une goutte de l’énorme dose de foutre qu’il était en train de déverser.— Mon dieu! ta bite est toujours aussi raide et dure s’écria Nicole après avoir tout avalé.— Eh oui ma belle salope répondit le gars, je n’ai pas l’intention de repartir sans t’avoir élargi le fion.
Maman émit un petit rire coquin puis elle se redressa et vint s’asseoir sur le pubis de son amant avant de saisir son pieu turgescent et de déposer le gland monstrueux sur son œillet. Le type lui enserra la taille avec ses énormes paluches et la souleva avec une facilité déconcertante pour l’aider à s’empaler sur son cep noueux. Nicole ne put s’empêcher de pousser des cris de douleur alors que le calibre hors norme écartelait ses boyaux.Mais rapidement, je vis qu’elle commençait à apprécier le cylindre qui lui ramonait le fion car elle se mit à gémir de plus en plus fort jusqu’à ce qu’un fabuleux orgasme la laisse pantelante et comblée.
De nouveau subjugué par la scène, je jutai dans mon pantalon précédant de peu l’amant de ma mère qui lui remplit le fondement de son jus abondant. Le couple reprit son souffle lentement et maman alla se blottir contre le mâle qui venait de lui procurer tant de plaisir. J’eus le temps de les voir échanger un long baiser passionné avant d’aller me cacher.
Quelques minutes plus tard, j’entendis ma mère s’exprimer.— Mes enfants ne vont pas tarder à arriver chéri, il va falloir que tu me laisses.— Ok ma belle... répondit le gars. N’oublie pas que demain soir, je t’invite à dîner au restaurant et qu’on finit la soirée chez moi.— Bien sûr chéri, j’ai hâte d’y être. Et pour te plaire je mettrai une belle tenue sexy.— J’y compte bien lâcha le basané d’un ton sec.. Et n’oublie pas! Insista t-il, tu te pointes chez moi sans slip ni soutien-gorge.— Évidemment Sélim chéri, je serai totalement disponible pour satisfaire mon si vigoureux étalon.
Je n’en revenais pas d’entendre le discours de ma mère et j’avais mal à la queue à force de bander. J’entendis le type partir quelques minutes plus tard avant que ma mère aille prendre une douche. Je décidai alors de quitter la maison et de revenir un peu plus tard comme si j’étais rentré avec le car scolaire.
À mon retour, ma sœur jumelle élève en BEP au lycée professionnel était déjà à la maison. Elle faisait ses devoirs dans sa chambre et maman était installée dans le salon où elle corrigeait les copies de ses élèves. Nicole portait un chemisier beige légèrement décolleté, une jupe rouge fendue qui découvrait ses genoux, de fins collants beige et des escarpins en cuir rouge à talons hauts.— Coucou maman m’écriai je avant d’aller lui faire bise. Tu es très jolie ce soir.— Bonsoir mon amour, me répondit elle juste après. Tu as l’air bien joyeux dis moi.— En effet, avouai je. Je suis tout émoustillé.— Vraiment ? s’étonna ma mère en me regardant avec étonnement. Qu’est ce qui t’émoustille à ce point ? — Cette belle journée évidemment et le spectacle offert par le printemps déclarai je innocemment.— Tu as raison, on a eu une très belle après midi convint elle avec un grand sourire.— C’est sûr! dis je d’un ton plein de mystère.
Nicole haussa les épaules et retourna à ses corrections. De mon côté, j’allai déposer mon sac dans ma chambre avant de descendre à la salle de jeux située au sous sol de la maison.
Je ne pouvais m’empêcher de repenser à ma mère se faisant fourrer par son amant monté comme un âne et je dus me branler une nouvelle fois pour me calmer et libérer mon esprit de ces visions envahissantes.
J’avais toujours trouvé ma mère sexy et attirante et je savais que mes copains qui l’avaient croisée fantasmaient beaucoup sur elle. Jusqu’à présent je ne l’avais jamais imaginée comme une femme sexuellement active mais le spectacle qu’elle m’avait involontairement offert cet après midi m’avait évidemment fait changer d’avis.
Curieusement, l’infidélité de ma mère me laissait de marbre et je n’éprouvais aucune compassion pour le cocu bien qu’il s’agisse de mon père. En revanche, j’étais toujours puceau et faisant fi de toute considération morale ou religieuse, j’étais en train de me demander si cette situation n’allait pas pouvoir évoluer grâce à Nicole.
Mon père étant absent plusieurs jours pour raisons professionnelles, nous dinâmes ce soir là tous les trois vers 19:30. Ensuite notre chère maman alla se coucher rapidement après nous avoir averti qu’elle participerait à une réunion le lendemain soir avec des collègues de son syndicat d’enseignants dans la grande ville distante d’une cinquantaine de kilomètres de notre village. — Je suis un peu fatiguée nous expliqua t’elle et comme demain la soirée risque de se prolonger, je préfère aller me coucher pour lire un peu avant de dormir.
Je regardai ma mère se diriger vers sa chambre et j’en profitai pour reluquer son cul et ses jolies jambes lorsqu’elle entama la montée des escaliers.
La journée suivante au lycée me sembla très longue. J’étais excité et fébrile en essayant de concocter un plan qui me permettrait de me taper Nicole.
Lorsque je rentrai à la maison le soir, maman finissait de se préparer. Elle était extrêmement bandante. Chemisier en satin beige outrageusement décolleté, Jupe crayon noire fendue très haut derrière, bas noirs à coutures, escarpins imitation python à talons aiguilles de 13 cm. Son Maquillage marqué était souligné par un rouge à lèvres vif assorti au vernis de ses ongles longs.— Tu es magnifique maman chérie lui dis-je après l’avoir examiné pour apercevoir la pointe hérissée de ses seins en poire libres de toute armature ainsi que les marques visibles des attaches de son porte jarretelles.
Je devinai alors qu’elle avait écouté son amant et qu’elle ne portait pas de slip non plus.— C’est très gentil mon amour me remercia maman en rosissant plus troublée qu’elle ne l’aurait voulu par mon inspection. Comme tu le sais, Je vous laisse vous débrouiller pour le repas. Pas de bêtises et ne vous couchez pas trop tard nous recommanda t’elle après nous avoir envoyé un baiser avec la main.— Pas de bêtises toi non plus fis je en l’embrassant sur la joue ce qui la fit toussoter.Nous vîmes ensuite notre mère enfiler sa courte veste marron en fourrure et descendre au garage pour prendre sa voiture. Je laissai ma sœur s’occuper du dîner et regardai par la fenêtre Nicole quitter la maison pour rejoindre son amant avant d’aller m’asseoir devant la TV.
— Viens à table me dit Caroline un peu plus tard lorsqu’elle eut fini de préparer le repas.Évidemment pendant que nous mangions la salade, elle me parla de notre mère.— Je trouve la tenue de maman de ce soir un peu limite m’avoua t’elle avec contrariété.— Ah bon, fis je avec innocence, Moi je trouve que ça lui va très bien. C’est dans sa nature de s’habiller de manière sexy et je trouve normal qu’elle se mette en valeur pour sortir.— Ce n’est pas si fréquent après tout ajoutai je.— Son décolleté est quand-même un peu trop voyant à mon goût rétorqua Caroline. — Si tu le dis fis-je d’un air détaché alors que la seule évocation du chemisier semi transparent de ma mère venait de me filer la trique. — Je me demande si tu n’es pas un peu jalouse de maman déclarai je hypocritement un peu plus tard.
Caroline se contenta de hausser les épaules avant de nous servir les pâtes.
Nous terminâmes le dîner par des discussions anodines avant d’aller regarder un film à la télévision...
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