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Quand tu profites d'une occasion de réaliser un vieux fantasme.

Chapitre 1

A deux c'est bien

Avec plusieurs hommes
Ce fantasme a été à l’origine inspiré et écrit pour une femme qui, bien qu’en couple et à la vie sexuelle débridée, prend beaucoup de plaisir à connaître les situations (et les positions) dans lesquelles les autres aimeraient la voir. C’est la première fois où j’ai certainement mis en scène quelque chose qu’elle n’a encore jamais fait. Pour savoir jusqu’où il faut aller pour ça, je vous laisse découvrir cette petite histoire dont je posterais la deuxième partie si la première est publiée.
C’est l’été. La journée a été très chaude, en tout cas du point de vue température... pour l’instant.La soirée a été tranquille. Vous recevez un ami pour quelques jours, mais traverser plus de la moitié de la France plus le délicieux repas et les quelques verres descendus pour célébrer son arrivée ont fini de l’achever. Rien de grave, son séjour ne fait que commencer de toute façon.
Vous êtes tous les deux sur le canapé en train de mater un de ces films de série Z qui vous font bien marrer le plus souvent. Aujourd’hui, tu n’accroches pas au film. L’histoire n’est pas géniale et c’est vraiment à défaut, sur un coup de tête que vous l’avez mis faute d’avoir envie d’aller vous coucher vous aussi. Avec ce genre de film, c’est tout ou rien. Soit c’est tellement grotesque que ça en devient marrant, soit ça vous laisse indifférent.
Il est à moitié assis-allongé avec les pieds posés sur la table basse, et toi allongée sur le côté sur le canapé, te servant d’une de ses cuisses comme oreiller. Une de tes mains caresse nonchalamment sa jambe, alors que ton esprit divague et que tu fais à peine attention à l’écran.
Vous n’avez rien fait de sexuel aujourd’hui, et c’est bien rare. Est-ce pour ça que ton esprit commence à penser à ce qui se trouve à quelques centimètres de ta tête sous cette mince couche de tissu ?Comme la plupart des mecs, il garde les jambes légèrement entre-ouvertes quand il est assis, et ta main s’égare de plus en plus sur l’intérieur de sa cuisse que le dessus de sa jambe. Quand ta main se glisse à l’intérieur de la jambe de son short et vient effleurer ses couilles du bout des doigts, il se rend compte que ce n’est pas sur le film que se centre ton attention. Ta main de plus en plus aventureuse ressort du bas de son short et remonte le long de son ventre ferme et légèrement poilu que tu caresses de haut en bas. Chaque fois que ta main arrive en bas, à la bordure de son short, elle fait descendre l’élastique. Le bout de sa queue finit par dépasser du short et sa vue t’appelle.
Tu embrasses ce petit bout de queue et joues à lui donner des petits coups de langue pour le faire durcir. Ça doit fonctionner puisque soit sa queue grossit soit c’est le short qui rétrécit. Quand sa queue a bien gonflé, qu’elle est si dure que quand tu donnes un coup de langue, elle tressaute en soulevant le short, et que son short est clairement trop petit pour la contenir. Tu la libères. La chaleur entre tes cuisses gagne en intensité quand tu te retrouves avec cette barre de chair dure et lisse sous les yeux. Ça commence à devenir moite là en bas. Quitte à avoir la queue à l’air, il se soulève un petit coup pour se débarrasser de son short et se mettre à l’aise. Si votre pote se réveille et descend, c’est un sacré spectacle qu’il va avoir sous les yeux, mais au moins tu peux librement faire glisser ta main sur sa queue... Et puis ça ne serait pas la première fois pour vous et cette idée n’est pas pour te déplaire.
Ta main monte et descend sur sa queue lisse et ses couilles glabres rasées il y a peu, c’est plus une caresse qu’une branlette, pour le moment. Ta main s’arrête sur ses couilles et la base de sa queue, et se resserre alors que tu la redresses à la verticale pour l’admirer dans toute sa splendeur.
Dans cette position avec ce chibre dressé vers le ciel, elle a l’air aussi grande que ton visage et tu dois lever les yeux pour en mater le gland d’où tu vois perler une goutte de précum. Tu es de plus en plus excitée. Ta bouche salive à l’idée de goûter cette bite que tu connais pourtant si bien. Même toi tu ne sais pas vraiment ce que tu as ce soir. Le désir te prend aux tripes.
Tellement de choses jouent à cet instant. Le plaisir visuel évidemment, comment rester insensible devant cette grosse bite avec ses veines et son gland violacé. Tactile, c’est toujours impressionnant ce petit miracle de la nature à la fois si doux et si dur sous tes doigts, et un plaisir mémoriel, tu la connais cette queue. Les souvenirs, dont certains sont suffisamment hot pour tremper ton entrejambe sans même avoir à te toucher, sont innombrables depuis toutes ces années où vous êtes ensemble et ne vous privez de rien sexuellement. Tu sais comment elle peut te faire crier et jouir comme une folle quand celui à qui elle appartient est motivé. Ton bas-ventre se contracte de plaisir à ces souvenirs.
Tu la rabaisses vers son ventre et goûtes son précum de la pointe de ta langue. Mmmh.Tu pourrais te contenter de la prendre, ta bouche et la pomper un bon coup, mais tu joues avec, tu l’aimes cette queue. Tu l’embrasses passionnément, presses tes lèvres autour, fais rouler ta langue dessus le long de sa hampe et sur son gland. Tu frottes son gland sur tes lèvres, en suçotes le bout sans jamais la prendre vraiment dans ta bouche. Tu pourrais avoir l’air de jouer avec maladroitement, mais les vrais savent que c’est largement aussi bon qu’une gorge profonde de sentir une femme jouer passionnément avec une bite.
Pendant que tu embrasses sa queue comme si elle était l’amour de ta vie, il profite que tu sois allongée quasiment sur le ventre pour tendre une main jusqu’à tes fesses qu’il presse. Un frisson de plaisir suit le contact de sa main quand elle passe sur ton dos, et ça ne fait que commencer.
Un doigt se glisse sous la ficelle de ton string qu’il fait passer sur le côté, caresse ton petit trou, s’enfonce encore plus profondément entre tes cuisses jusqu’à atteindre ce qui à cet instant est devenu ton petit paradis tropical brûlant et humide.
Tu sens son majeur passer sur les lèvres humides de ta chatte. Lui aussi, il sait te caresser sensuellement, et les sensations, bien que parmi les plus douces sont tout aussi agréables que quand il te défonce à grands coups de boutoir.
Ton bassin s’agite quand son doigt passe sur ton clito et fait des cercles dessus, d’une pression juste comme il faut, et tes cuisses sont involontairement tentées de se refermer sur sa main. Quand son doigt s’infiltre en toi, entre les lèvres de ton sexe, tu prends vraiment sa queue en bouche pour retenir un gémissement et, cédant à l’excitation, la tètes pour de bon, appréciant son gland glissant sur ta langue et entre tes lèvres.
Son doigt bien aidé par ta mouille s’agite de plus en plus en plus en toi et tu gémis même avec un bon morceau de sa queue dans la bouche. Décidément, ton corps a l’air bien plus sensible que d’habitude ce soir.
Ce n’est rien comparé au petit cri que tu pousses quand sa main sort d’entre tes cuisses et vient claquer une fesse puis l’autre, une fois, deux fois. Tes fesses commencent à prendre la même teinte que tes joues rougies d’excitation.
Si vous continuez comme ça, vous allez réveiller votre pote, mais c’est bien la dernière de vos préoccupations à cet instant. C’est différent de sucer sur le côté. Tu as un peu la même vu qu’il aurait s’il avait la tête à quelques millimètres de sa bite. Lui ne voit que tes cheveux et toi tu ne la vois pas d’en dessous. Tu tournes la tête pour que justement il puisse profiter de la vue de sa queue entre tes lèvres, qui déforme un peu ta joue quand elle se presse contre l’intérieur, avant que guidé par ta main, tu ne viennes tapoter son gland sur ta petite langue gourmande et mouillée.
Toi aussi, tu veux que l’on s’occupe de ton petit abricot. Quelle idée tu as de te mettre debout sur le canapé pour que ton sexe trempé se retrouve à la haute de son visage. Ce n’est pourtant pas la position plus pratique et naturelle.
Te voilà debout sur le canapé qui heureusement est assez ferme pour un être un minimum stable. Le visage baissé, une main dans ses cheveux pour guider sa tête, l’autre entre tes cuisses ouvrant ta chatte pour donner un meilleur accès a ton clito, sa langue avide vient très vite trouver ce petit bouton où tu as tant envie de la sentir.
Tu es tellement excitée. Très vite, ton bassin s’agite sous la torture de ses baisers et coups de langue sur ton intimité alors qu’il mange ta petite chatte comme s’il n’y avait pas goûté depuis trois semaines. Tu sens sa langue passer sur tes petites lèvres, venir frétiller sur ton clitoris gonflé. Sa langue pointait et pénétrait les premiers centimètres de ta chatte. Tes jambes fléchissent, alors qu’une main entre tes cuisses, il glisse deux doigts en toi à la verticale et commence à te doigter, comme il faut en même temps que ses lèvres suçotent ton clitoris gonflé de désir. Seules tes mains agrippées à sa tête et l’une des siennes sur ton cul t’empêchent de chavirer.
Il te faut toute ta volonté pour repousser sa bouche si agile bien que tu saches que c’est pour jouir encore plus fort après, mais tes jambes commencent à te lâcher, et ça serait dommage d’en rester là. Tu redescends sur lui, sur les genoux, assise sur lui, tu sens sa grosse bosse toujours dure appuyée sur ta chatte trempée. Le fait que sa queue ne soit plus pendant quelques instants le centre d’attention n’a clairement pas suffi à faire redescendre la pression de toute évidence. En bougeant un peu le bassin, tu sens sa bite se caler et frotter entre les lèvres de ton sexe. Sa salive et ta mouille suffisent à la lubrifier. Très vite, tu te soulèves, la redresses d’une main et laisses le poids de ton corps t’empaler dessus.Les préliminaires ont bien fait le boulot. Tu la sens te remplir juste comme il faut. A la fois elle t’écartèle et c’est comme si sa place avait toujours été là et que tu te sentais enfin entière.
Tu resterais bien là avec tes jambes autour de lui, tes bras autour de son cou et sa queue brûlante en toi, mais Monsieur a d’autres idées.Ton corps brûlant collé contre le sien, ses mains fermement agrippées à tes fesses te tirent vers le haut puis te laissent redescendre sur sa queue qui commence à coulisser en toi. Tes tétons qui ont toujours l’air d’être durs, ont l’air de l’être autant que la pierre maintenant et exacerbent ta sensibilité alors qu’ils frottent contre son torse au rythme de ta chevauchée. C’est toi qui es sur lui et qui devrais donner le rythme, mais il t’agrippe si fermement en donnant l’impulsion qu’on dirait qu’il bouge ton bassin pour te pénétrer encore et encore. Il est si viril. C’est comme si tu étais sur un de ces manèges de petits chevaux qui montent et qui descendent sauf que là, il y aurait un gros gode de chair sur la selle.
Entre ses râles de plaisir et tes petits cris de jouissance au rythme où il s’enfonce en toi, vous n’êtes plus vraiment discrets. Et en même temps, est-ce que vous ne l’avez jamais vraiment été ? C’est tout juste si, sans vraiment y penser, tes lèvres se referment sur son épaule pour étouffer tes cris alors que tu presses sa tête contre le creux de ton cou. Dans le feu de l’action, on a tendance à oublier le reste du monde. Il n’y a plus que deux corps qui bougent à l’unisson, du frottement et cette délicieuse chaleur qui semble encore gagner en intensité dans ton bas-ventre.
Il te demande si tu te sens de te tourner pour qu’il puisse mater ton petit cul monté et descendre sur sa queue. Les muscles de tes cuisses sont encore tendus, pourtant tu te mets debout, te penches en avant et recules jusqu’à ce que sa queue qu’il maintenait en direction de ta fente te pénètre de nouveau.
C’est tout juste si tes mains se tiennent à ses cuisses. Ce qu’il y a de bien dans cette position, c’est que, alors ton cul s’avance et sa queue sort, il peut jouer du bassin à son tour pour te pénétrer. Il y a des moments où tu as juste à faire sortir un peu sa queue pour que son bassin s’agite et que sa bite te lime vigoureusement. Tu ne peux plus te retenir de crier sous ses coups de queue déchaînés entre tes cuisses.
A un moment, dans le feu de l’action, tu tournes la tête et tu as la surprise de voir votre pote dans l’escalier qui donne sur le salon. Muet comme une tombe, il vous mate alors qu’une de ses mains masse le paquet difficilement contenu dans son caleçon.
Si vous avez certainement une idée de ce qui va se passer ensuite, vous pourriez être surpris.
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