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Quand tu profites d'une occasion de réaliser un vieux fantasme.

Chapitre 2

A trois ça ouvre des perspéctives intéressantes

Avec plusieurs hommes
Tu ne dis rien. De toute façon c’est difficile de faire des phrases quand on a une queue qui nous pilonne la chatte à vigoureux coups de bassin. Tu bascules en arrière. Ton dos contre les pectoraux de ton mec, la sueur de l’effort et du plaisir coule entre tes seins. La bouche contre l’oreille de ton mec, tu lui murmures que vous n’êtes plus seuls et tu lui demandes s’il est d’accord pour que votre pote se joigne à la fête.Ce ne sera pas votre première partie à trois, la seule règle pour ce plaisir occasionnel étant que vous soyez, évidemment, tous les deux d’accord. Toujours empalé sur sa queue, tu te redresses un peu et regardant plus franchement en direction de l’escalier, invite votre pote à vous rejoindre en lui faisant signe de l’index et disant.
— Tu ne crois pas que tu vas t’en sortir juste en matant ?
Vous n’avez jamais rien fait de sexuel tous les trois. Vous ne considérez pas tous vos amis comme d’éventuels participants, mais puisque vous êtes tous les trois, là, excités comme des dingues et que l’occasion se présente. Vous vous connaissez tous suffisamment bien pour savoir que personne dans cette pièce ne peut être considéré comme prude même s’il a moins d’expérience que vous.
Ses sourcils se haussent de surprise. Ne réussissant sans doute pas à déglutir pour prononcer un mot, il pointe son index sur sa poitrine l’air de dire « qui ? Moi ? », comme s’il y avait quelqu’un d’autre dans la maison.
On pourrait croire que n’importe qui n’attendrait que cette invitation pour sauter sur l’occasion. Pourtant il semble hésiter un instant avant de finir de descendre l’escalier et s’approcher de vous. Pendant ce temps-là, vos deux corps, toujours reliés par cette queue toujours en toi, bougent doucement. Ce serait dommage que quelqu’un ramollisse maintenant et que l’excitation retombe alors qu’elle s’apprête à grimper encore d’un cran.
Il est debout en face de vous deux, ses mains tentent vaguement de cacher la monstrueuse érection que votre spectacle a fait naître chez lui. Cet apparent accès de timidité, t’excite et l’excitation aidant, tu t’adaptes rapidement à la situation et prends les choses en main. Une main de chaque côté du caleçon, un vigoureux coup vers le bas et sa tige est libérée. Montant et descendant langoureusement toujours sur la queue de ton mec, tu observes cette nouvelle bite que tu n’avais jamais vue, et que tu ne pensais jamais voir en fait.
Elle est plus pâle et un peu moins épaisse que celle qui fouille ta chatte au même moment, mais elle est un peu plus longue aussi, et son gland rosé a l’air bien appétissant à cet instant. Ce n’est plus le moment de jouer les timides. Ta main dominante se referme autour et commence à la branler. Tu souris de satisfaction en voyant son visage se crisper, et son dos s’arc-boutre de plaisir alors que tu l’as à peine touché.
C’est bien, non seulement tu vas avoir le droit à un supplément de plaisir, mais en plus vous n’avez, maintenant, vraiment plus besoin de faire attention aux bruits que vous faites. La main de ton mec appuie sur ton dos pour t’encourager à te pencher en avant.
— Vas-y chérie, goûte-la.
Obéissante, parce que ça t’arrange bien. Ta bouche se penche vers cette nouvelle queue, tu la goûtes du bout de la langue, puis du bout des lèvres avant de la prendre en bouche et commencer à la sucer pour de bon.
Sucer en même temps que tu te fais prendre la chatte, voilà un plaisir imprévu ce soir. Imprévu, mais tellement bon. Si bon que lorsque ton mec met un petit coup d’accélération, tu ne peux t’empêcher d’arrêter de sucer pour crier ton plaisir. Votre pote les mains le long du corps se contente d’apprécier la petite gâterie et le spectacle. Seuls son visage et son corps montrent le plaisir qu’il prend. Tu l’encourages à être un peu moins passif en prenant une de ses mains pour la poser sur ta tête, ne serait-ce que pour te tenir les cheveux au moins.

À un moment, tu t’arrêtes. Tu en prends plein de tous les côtés et c’est incroyablement bon, mais tes jambes sont à deux doigts de te lâcher pour de bon. En le tenant par la queue, tu diriges votre pote, sur le côté, vers le canapé, pour qu’il s’asseye. Tu te mets à genoux entre ses cuisses. Du moins, tu partais pour te mettre à genoux, mais ton mec te manipule pour te faire te mettre à quatre pattes. Tu te dis qu’il a l’intention de continuer à s’occuper de ta chatte, mais tu sens sa bouche sur ton petit trou et sa langue qui vient jouer avec ton anus. Ça chatouille et te donne de nouveaux frissons de plaisir. Tu as du mal à te concentrer sur tous les fronts différents alors tu branles maladroitement votre pote pendant que tu profites un peu de sa langue qui fouille ton petit trou qui se contracte et se décontracte sous ses coups de langue. Il ne serait pas en train de te préparer pour une petite sodomie quand même. Toi qui trouves que c’est un miracle que personne n’ait encore explosé de jouissance. Et bien si, quand tu ne sens plus sa bouche et que quelques secondes plus tard, c’est la boule gluante de son gland que tu sens frotter contre ton anus, il semblerait que ce soit bien ce dont Monsieur a envie.
Tu tournes la tête vers lui, il t’interroge du regard, tu lui réponds d’un sourire. Son gland se presse contre la corolle de ton petit trou et appuie doucement dessus. Tu sens la pression sur ton anus augmenter et se relâcher au rythme de ses appuis. Tu essayes de te concentrer sur la queue de votre pote. Rien de ce qui arrive maintenant n’était ne serait-ce que fantasmé, mais maintenant que vous y êtes, autant montrer tous tes talents, question de fierté. Tu le reprends en bouche et t’appliques à le sucer comme tu sais si bien le faire. Ta bouche s’arrête autour de sa bite et tu gémis quand le gland de ton mec te pénètre enfin. Maintenant qu’il est dedans, le plus dur est passé. D’un mouvement lent, mais continu, il pousse sa queue en toi et tu la sens se faire une place bien au chaud dans ton cul. Il te connaît, une fois que ses couilles viennent toucher ta chatte, il s’arrête un moment pour laisser à ton cul le temps de s’habituer à cet invité, bien connu, mais pas moins imposant pour autant.
Ça tire sur ton cul. Ta chatte peut enfin souffler un moment, mais n’en reste pas moins excitée pour autant. Tu as du mal à te concentrer sur ta pipe et donner le meilleur de ta performance avec cette queue qui après avoir bien ramoné ta chatte semble décidée à faire un sort à ton petit trou, maintenant plus si petit que ça.
Aaah, c’est impossible de se concentrer sous ses assauts. Une fois de plus, au bord de la jouissance, tu interromps ta pipe de compét’. Tu glisses une main sous toi jusqu’à tes cuisses et branles vivement ton clitoris alors que tu sens que les coups de pines que tu prends dans le cul sont en train de te faire jouir. Toi qui as toujours adoré jouir avec une bite dans le cul.
Ton orgasme a tellement attendu, et puis cette bite qui te lime le cul et ta main qui s’agite sur ton clito. Ce n’est pas au rideau que tu grimpes, mais sur le toit. Ta jouissance est d’une intensité monstrueuse et d’une telle violence. Le big bang, c’était un pétard mouillé comparé à ce qui te prend à l’instant où tu jouis. Tes yeux, ta bouche, tes joues sont contractés sous l’effort, tout le reste de ton corps semble à la fois tétanisé et pris des spasmes de plaisir. Ton bas-ventre se contracte encore et encore alors qu’un voile blanc submerge ton cerveau. Même la bite que tu tiens dans une main disparaît un instant et celle dans ton cul n’existe plus que par sa capacité à empêcher ton anus de se contracter autant qu’il le devrait. Tu ne sens quasiment pas la main de ton mec te caresser les fesses et le bas du dos. Tu cries : « aaah, aaaah, putain, aaaah, aaah, aaah, putain »
Il se passe bien deux, trois minutes avant que tu reprennes ton souffle, épuisée, comblée, des étoiles plein les yeux alors que ton cerveau est submergé sous les hormones du plaisir. Il n’y aurait que toi, tu pourrais t’arrêter là et dormir huit heures d’affilée pour récupérer, mais tu as toujours deux mecs tendus et excités comme s’ils avaient passé un mois en solitaire dans la forêt. Ton cœur a beau sembler battre dans ta chatte, la même fierté qui te donnait envie de montrer tous tes talents de suceuse un peu plus tôt encourage et ta main à reprendre ta branlette et ton corps à faire des petits va-et-vient sur cette queue toujours casée au fond de ton cul pour lui montrer qu’elle peut reprendre.
Tu es en nage comme si tu venais de faire un sprint, des mèches de cheveux collent sur ton front alors que tu reprends la queue de votre pote en bouche, décidément il est inépuisable, et que les allers-retours reprennent gentiment dans ton cul.
Quelques minutes passent. Ton mec se penche sur toi, sans que son bassin ne s’arrête vraiment, ramène tes cheveux sur le côté pour avoir une meilleure vue sur la pipe que tu es en train de faire. Dans cette position, il te pénètre quasiment à la verticale. Son autre main en profite pour attraper un sein et jouer un peu avec son mamelon dur et très sensible avec le pouce. Il finit par te demander si tu veux baiser cette autre queue.
Tu hésites un moment pendant que tu continues à sucer. C’est que tu as déjà pris bien plus cher ce soir que tu n’aurais osé l’espérer. Tu finis par lâcher la queue, regardes votre pote qui évidemment ne dit pas non, puis tourne la tête vers ton homme et la hoches le sourire aux lèvres pour lui signifier que tu n’as pas encore tout donné.
Il libère ton cul brûlant, palpitant. Tu t’appuies sur les genoux de votre pote pour te redresser. Oulalah, comme après toutes séances de sport improvisées, tu vas morfler demain. Un petit peu de salives sur la main, la main sur la chatte pour pallier à un petit assèchement parce que hein ta capacité à mouiller n’est pas inépuisable, moins que ton excitation en tout cas. Votre pote, comme ton homme plus tôt dans la soirée, est quasiment allongé, avec les fesses quasiment dans le vide, sur le canapé quand tu l’enjambes et, face à lui, fait doucement glisser sa queue entre les lèvres de son sexe.
Tu prends ton temps pour la faire glisser en toi. Tu as beau avoir encore envie, tu es quand même beaucoup moins affamée que plus tôt dans la soirée.Heureusement, la queue de votre pote étant un peu moins épaisse que celle de ton mec, elle t’écartèle moins, même si comme elle est plus longue, elle va plus loin en toi quand ses couilles touchent tes fesses.
Ton mec profite un peu de la vue en se branlant doucement, parce que son plaisir à lui aussi a déjà été bien entamé et l’éjac ne doit plus être si loin. Tu te cambres bien sur cette bite que tu sens en toi pour la première fois. C’est un peu moins fatigant de la faire glisser en toi à l’horizontale que de te soulever pour t’empaler dessus encore et encore. Tes cuisses fournissent moins d’efforts de cette façon.
Maintenant que ta chatte est à nouveau gentiment travaillée, tu es surprise de sentir à quel point tu es encore autant excitée après tout ça. Si votre nouveau, très intime, ami résistait plutôt bien à la succion de ta bouche et ta petite langue, il suffit de voir son visage pour comprendre que ton bassin qui bouge et le fait pénétrer dans ton délicieux fourreau le met à rude épreuve.
Il n’a encore rien vu quand ton homme en voyant ce spectacle a une nouvelle idée. L’occasion est trop belle.
— On est bien dans cette petite chatte hein ? demande-t-il. — Oh ouais, réussit à répondre votre pote. J’étais loin d’imaginer à quel point tu es un petit veinard.— Cela te dirait de vérifier si la dame peut nous accueillir tous les deux ? Ça fait un moment qu’elle a envie de s’en prendre deux en même temps. N’est-ce pas chérie ? Tu as envie ? — Aah, mmmh. D’accord, mais dépêchez-vous, réussis-tu as gémir. Vous allez me tuer les gars.
Ta chatte se contracte à l’idée de prendre deux bites pour la première fois. Malgré toi, un peu d’appréhension t’envahit même si l’idée t’excite à mort. Tu t’efforces d’inspirer et d’expirer doucement, de te détendre autant que possible parce qu’il va falloir au moins ça pour que cette nouvelle expérience intense ait une chance d’aboutir.
Tu te colles à votre pote et essaies de cambrer encore un peu plus le cul pour faciliter l’accès à cette deuxième bite. Votre pote sursaute un peu quand il sent une autre queue contre la sienne qui essaie de se frayer un chemin dans un espace qui a déjà l’air d’être trop petit pour sa queue à lui.
Un filet de salive vient rajouter un peu de lubrifiant. La bordure entre ton cul et ta chatte se retrouve monstrueusement étirée quand, sous la pression de cette deuxième queue, elle s’écarte suffisamment pour la laissée glisser.
Aaaaaaaah. Déjà certaines queues que tu as eu l’occasion d’essayer t’ouvraient énormément et te donnaient l’impression d’essayer de faire rentrer un truc bien trop gros dans un truc bien trop petit. Avec les doubles pénétrations, le contact de deux queues ou d’une queue et d’un gode t’écartelait, mais on restait toujours à un trou pour un élément et le frottement de chaque côté de la mince paroi séparant ton cul de ta chatte créait tellement de sensations que ça restait très agréable.
Tu pensais savoir ce que ça voulait dire d’être écartelé par une queue, mais ce n’était rien comparé a la pression, l’étirement de ton sexe alors que deux bites essaient de bouger en lui. Ta chatte est étirée à ce qui semble être son point de rupture même si les capacités de dilatation féminine sont impressionnantes. Ils vont t’ouvrir en deux ces cons. Ta première sodomie remonte à loin, mais tu as le vague sentiment que c’est la même sensation puissance dix.
Et, même si ça reste incroyablement intense, comme avec la sodomie, ton corps et sa capacité d’étirement et d’adaptation te surprennent. Tu ne pourrais pas jouir là. C’est trop intense et tu as déjà eu le droit à un monstrueux orgasme il n’y a pas peu, mais la douleur se mélange au plaisir et peu à peu la balance penche de plus en plus vers le plaisir.
Tu n’arrêtes pas de crier alors que ça bouge à des rythmes différents à l’intérieur de toi, et quand ces deux queues l’une sur l’autre glissent et se retrouvent à t’écarter sur les côtés, ça ne s’arrange pas. Les sensations sont incroyables et l’instant est trop intense pour que tu puisses définir précisément ce que tu ressens à cet instant.
Quand il vous signale qu’il ne va pas pouvoir tenir plus longtemps et ne va pas tarder à juter, votre pote met fin à ce supplice, délicieux supplice ? Peut-être avec un peu plus de temps et de préparation. Il va te falloir un moment pour digérer cette expérience. Ton mec admet que lui aussi n’est pas loin de sa limite. Il sort et tu fais sortir la queue de votre pote en te laissant basculer sur le côté et te retrouvant sur le dos sur le canapé.
Ton corps, pas loin d’être épuisé pour de bon, glisse sur le sol et tu te retrouves assise le cul par terre. Le carrelage devrait être froid, mais après cette expérience c’est presque une bénédiction pour ta chatte.
Te voilà là sur le sol, en nage et les deux orifices brûlants, avec un mec de chaque côté de toi en train de se branler d’une main vive pour finalement passer la ligne rouge et jouir à leur tour. Tu trouves tout juste l’énergie de sortir la langue et d’attendre qu’ils t’arrosent de leur foutre chaud et gluant. Tes yeux vont d’une queue à l’autre. Qui viendra en premier. C’est ton mec. C’est un peu normal vu que votre pote a rejoint la partie plus tard.
Ses abdos se dessinent plus précisément quand ils se contractent et qu’il râle de plaisir alors que son bassin se tend en avant et que sa queue crache un, deux, trois jets de sperme qui atterrissent sur ta joue, tes lèvres et le dernier dans ton cou. Normalement, le sperme est brûlant, mais tu as tellement chaud que tu as l’air d’être à la même température.
Puis quasiment tout de suite après, c’est votre pote qui te fait don de son offrande brûlante. Toi qui adores voir les hommes jouir, voilà une nouvelle image à intégrer dans tes souvenirs. Il vise un peu trop haut et son premier jet vient frapper ton front. Tu ne peux t’empêcher de glousser et de sourire. Les deux jets suivants viennent frapper ta joue et commencent à couler doucement. Un dernier petit jet pour la forme atteint tout juste ton épaule.
Tu es sur les rotules et tes deux chevaliers baiseurs aussi maintenant qu’ils ont fini de jouer avec leurs épées. Aucun de vous n’est certainement encore en mesure de comprendre ce qui vient juste de se passer. Vous êtes tous les trois biens trop shootés par la dopamine, les endorphines, l’ocytocine et compagnie qui vont vous faire planer sur un petit nuage encore un moment.
Toi tu ne bouges plus. Tu n’es même pas certaine que tu pourrais si tu voulais te relever à cet instant. Votre pote se laisse à nouveau tomber sur le canapé et ton mec se dirige vers la salle de bain histoire de ramener de quoi te faire un petit coup de propre après tous ces efforts et ses offrandes collantes.
Une fois propre, en tout cas bien plus que quelques minutes plus tôt. Les deux hommes ont renfilé leur short et caleçon. Toi tu restes toute nue. Ton esprit se révulse rien qu’a l’idée du contact de ton string sur ta chatte un peu douloureuse après tout ce qu’elle vient de prendre et de toute façon tu as déjà fait du bronzage intégral chez votre ami. Tu réussis à te traîner jusqu’à la salle de bain pour te débarrasser d’une monstrueuse envie d’uriner. Vous sortez une couverture du coffre sous le canapé que vous installez par terre et vous faites un petit gueuleton froid avec des trucs récupérés dans le frigo et des litres d’eau fraîche histoire de reprendre des forces et de vous reposer un peu. Ce petit casse-croûte se fait un peu dans le silence, mais ce n’est pas un silence gêné, plutôt le silence de trois personnes exténuées, encore sous le coup de l’expérience intense et particulière qu’ils viennent de partager et qui ne savent pas trop ce qu’ils pourraient en dire pour le moment.
Quelle soirée.
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