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Quand la réalité dépasse la fiction.

Chapitre 4

Lesbienne
Sœur Rachel me soupesa les seins et les présenta à Sœur Yvette qui s’empressa de m’oindre les aréoles. Mes pointes devinrent dures comme des crayons. Un gémissement de satisfaction franchement impur m’échappa dès qu’elle me tritura les tétons. Je me mis à couler si abondamment que j’écartai spontanément les cuisses pour goutter sur le parquet.
– Ça recommence, ma Sœur. Le Diable reprend possession de mon sexe. Je vais tacher le plancher…
Mon vagin se contractait en rythme comme si un fil invisible le reliait à mes tétons. Elise voulut voir le phénomène humide de plus près. Commença alors un dialogue absurde composé de questions dont elle connaissait par avance toutes les réponses et d’énigmes dont je ne comprenais même pas la teneur, mais auxquelles je répondais par instinct.
– Sœur Yvette ! Dépose la Sainte Onction sur ce sexe impur et que le Seigneur lui pardonne ses péchés ! Nous allons passer des moments inoubliables ensemble.Ce sera un travail de longue haleine qui nous demandera une collaboration sans faille.
Quand sa main huileuse dessina mon sillon, une chaleur inouïe infiltra mon anus et mon vagin. Maxi, comme ébouillanté, se figea dans une érection marmoréenne.
– Ecarte bien tes jambes et laisse-moi t’imprégner de l’antidote sacré, petite fille très "juteuse" !
Cette huile épicée était si brûlante que Maxi ressembla rapidement à un tison rougi.
– Par pitié, ne le touchez plus… C’est insoutenable !– Il le faut, Bambi. Nous serons contraintes de te masser jusqu’à ce que le démon qui est dans ton titi disparaisse à jamais ! Dès que tu sentiras l’orgasme te gagner, il te suffira de nous dire « stop ! ». Sais-tu combien de temps il faut parfois attendre avant que le démon s’en aille ?– Cinq minute ?– Bien plus !– Raaah ! Oh non ! Plusieurs heures ? Ouiii ! Stop, stop ! C’est terriiiible comme ça… – Au moins. Plusieurs semaines parfois. Quand la petite fille possédée est une bonne mouilleuse et qu’elle a un gros titi, c’est même parfois plus long encore.– Ne dites pas ça ! Les amies de maman me disaient cela tous les jours quand je grimpais sur leur balcon. Un jour, elles ont utilisé une corde pour me lier les pattes arrière et les poignets. Je ne pouvais plus bouger. Elles en ont profité pour me titiller pendant deux heures. Je suis tombée dans un état second. Tout a commencé à vibrer en moi. Le Monsieur était présent ce jour-là. Il s’est rendu compte que j’avais atteint un stade énorme d’excitation. C’était horrible. Ils se sont concertés et ont décidé qu’ils ne me laisseraient pas partir si vite. Si maman n’avait pas klaxonné en se garant sur le parking, je serais morte car j’allais vraiment partir. Je ne suis plus jamais allée leur rendre visite après, mais il était trop tard : le Diable me possédait déjà.– Jésus, Marie, Joseph ! Je ne pensais pas que c’était si grave… Tu es trempée comme une soupe et je ne te parle pas du titi géant qui me provoque. Il est tellement mal élevé qu’il bouge comme un petit phallus sitôt que je le frôle.
Sœur Michèle me tenait sur le gril par l’épicentre de mes sens et s’en donnait à cœur joie. Elle avait pris la mesure parfaite de mon plaisir, bien aidée par sœur Yvette qui me faisait des pincettes partout avec ses doigts en me tournant autour comme un vautour.
– Il est très chatouilleux ton gros bouton…– Très, très, très, très, très, très… Troooop !– Tu sais que tu mouilles partout comme une sale gamine que tu es ?– Ouiiii ! Pardon…– Tu sais qu’il mériterait une punition très très très sévère pour ça ? – Oh ouiii… Punissez-le ! – Oui qui ? – Oui, vous… j’ai peur… je vais partir… Stop ! Stop !
Sœur Yvette me lâcha. Sœur Rachel me pinça un téton jusqu’au sang et l’orgasme reflua. J’étais à bout de souffle. Il était temps. Je venais d’échapper au pire, à la mort certaine.
– Tu aimes les pincettes, il me semble. Ce n’est pas un cri de douleur que je viens d’entendre. – Pardonnez-moi, mes Sœurs ! C’est mal ce que je fais, mais c’est plus fort que moi. La douleur me chavire bien que je sache qu’elle sera indispensable à mon salut.– Tu es très perspicace, Bambi. Tu as remarqué que le démon te laisse en paix dès que ton corps est en souffrance. Guérir le mal par le mal, comme tu dis…– Oh, Sœur Elise ! Ça recommence encore plus fooort quand vous me tapez sur les cuisses !– Tu ne pourras jamais échapper complètement aux exigences de ta chair, mais tu auras toujours l’obligation morale de les combattre sans répit si tu veux vivre dans la paix du Christ. Le veux-tu ?– Oui, mes Sœurs ! Je me sens tellement vile et coupable de m’être comportée comme une cochonne avec cet inconnu...– Les hommes ne recherchent jamais que leur propre plaisir. Si tu t’abandonnes entre nos mains, nous te conduirons d’extase en extase jusqu’à l’apaisement de tes sens dès que Satan t’aura délaissée. Les épreuves forgent la personnalité. Tu as tout à apprendre, Bambi. Tu n’es encore qu’une jeune pousse, à peine sortie de l’enfance. Si nous avons décidé de nous investir à ce point dans ton éducation, c’est que nous estimons que tu en vaux la peine. Tu devras, pour ce faire, subir de longues séances de stimulation sensorielle entrecoupées de supplices qui ne pourront se pratiquer que dans la plus grande confidentialité. – À l’abri des regards…– Certes, mais surtout dans un endroit suffisamment confiné pour que tes cris n’affectent pas le recueillement de nos Sœurs. Tu pousses déjà des grognements cochons alors que nous avons à peine commencé les tourments rédempteurs. Et arrête de dandiner de la croupe comme une putain ! Je comprends maintenant pourquoi l’envoyé du Diable t’a lié les pattes arrière. – Je ne crierai plus ; mais vous me faites des choses si fortes qu’il m’est impossible de rester en place.– Fadaises ! Le Christ n’a jamais baissé les bras quand il était sur la Croix.
Alors que j’étais parvenue au comble de la frénésie, Sœur Yvette continuait de plus belle à titiller Maxi. Les ongles de Sœur Michèle me labouraient la peau des seins tandis que Sœur Rachel me massait vigoureusement le sphincter anal. D’un commun accord, elles accélérèrent leurs mouvements sur mon corps grelottant devenu paroxysme. Ma chatte clapotait tellement je mouillais profusément. Je ne pus m’empêcher d’avouer mon désarroi en geignant à haute voix.
– L’obéissance est un mot que tu n’as pas encore intégré à ton vocabulaire. Tu mériterais d’être conduite sur le champ dans la salle des supplices pour être fouettée.
Tout mon être s’abandonnait déjà au plaisir imminent. La perspective de subir la torture des mains de ces quatre femmes galvanisa ma libido.
– Stop ! Stop ! Si vous me fouettez nue, attachez-moi, par pitié ! Cette idée m’excite trop… Je veux dire que je ne saurai plus me contrôler.– Il n’est pas dans l’esprit de la confession de cacher ses défaillances à la représentante de Dieu en comptant passivement sur son absolution pour se faire pardonner. Exprime-toi clairement ! Attendrais-tu autre chose du fouet qu’un simple châtiment ?
Leurs mains avaient quitté mon corps et je me sentais plus que nue face à elles. Sœur Elise paraissait la plus choquée par la révélation larvée de mon masochisme et je me sentais capable de tout pour la séduire.
– Non, évidemment non ! Mais comme le démon m’émoustille tellement, il vaudrait mieux m’attacher pour m’exorciser à fond…
Hypocritement, Sœur Rachel donna l’impression de comprendre la pulsion masochiste dévorante qui s’emparait de mon corps.
– Dostoïevski a écrit que rien n’est plus insupportable que la liberté. Serais-tu prête à l’abandonner pour recouvrer l’amour de Dieu ? En ce cas, il s’agirait sans nul doute d’une vocation.– Il reste moins de trois semaines de cours. Je n’avais pas envisagé la fin de l’année scolaire de cette façon. Maman m’emmène en vacances avec elle tout le mois de juillet.– Evidemment, ce n’est pas l’idéal pour entrer dans les ordres. Je vais te mettre en garde. L’exorcisme doit rester secret pour aboutir à ta délivrance. Sous aucun prétexte, tu ne parleras à ta mère ou à quiconque de ce qui vient de se passer. Je pressens que le passage par la salle des supplices sera inéluctable pour ton salut. Et arrête de te presser la chatte avec tes mains jointes ! Trois semaines ne seront peut-être pas suffisantes pour chasser le démon qui t’habite. Personne ne sait d’ailleurs s’ils ne sont pas plusieurs. Il serait plus sage d’attendre ton retour, début août, pour entamer la dédiabolisation de ton corps.
Déception immense ! Sœur Yvette flatta l’érection de Maxi, ravi que quelqu’un s’occupe de lui.
– Vous pouvez commencer tout de suite. Je suis prête…– Je ne crois pas, non. Le risque serait trop grand que ta maman te pose des questions sur les traces laissées par le fouet. Sans compter les mauvaises pensées que Satan ne manquera pas d’insinuer dans ton cerveau malade durant tes vacances que je soupçonne à nouveau vouées à l’exhibitionnisme.
J’étais à deux doigts de chanter le cantique de l’amour quand une phrase stupide mais révélatrice sortit de ma bouche.
– Vous ne pouvez pas me laisser comme ça. Je suis complètement partie. Vous avez manœuvré pour qu’en l’espace d’une journée je devienne votre chienne… – Tais-toi ! Tu fais fausse route, Bambi, si tu comptes sur nous pour accompagner tes premiers émois. Tu n’es qu’une sale petite garce, rongée par le vice et qui n’a même pas le courage d’avouer ses pulsions masochistes. Puisque tu as délibérément choisi de vivre en état de péché, je souhaite que Satan élise domicile dans ton sexe et célèbre jour et nuit la bacchante que je vois devant moi.– Et moi, je vois dans vos yeux que vous mourez d’envie de me punir autant que j’éprouve un besoin vital de souffrir dans ma chair pour calmer ma vitalité. Est-ce ma faute si ma conscience me pousse à rechercher la compagnie de dominas ? – Tout de suite les grandes phrases... La liberté de conscience peut causer d’infinis tourments ; c’est le Grand Inquisiteur qui le dit. Réfléchis bien à cette phrase avant de rentrer dans la peau d’une des Saintes Martyres sur lesquelles tu fantasmes ! Elle te va comme un gant. Un dernier conseil : je suis parfaitement au courant du genre de revues que lit ta copine Cindy. « La compagnie de Domina » Quelle injure pour des servantes du Seigneur ! Bientôt, tu vas nous proposer de devenir notre prisonnière enchaînée. Si je ne te renvoie pas, c’est uniquement par compassion pour ta maman et parce que l’année scolaire se termine bientôt.– Et pour le prestige du collège car vous savez très bien que, dans quelques jours, je serai championne provinciale d’escalade…
La fine baguette siffla trois fois et m’atteignit au ras du pubis. Maxi en fut quitte pour une frayeur et moi pour une ultime marque de bravade.
– Même pas mal !– Continue ainsi et tu connaîtras rapidement l’ère héroïque des châtiments corporels.
Les trois Sœurs quittèrent de concert la salle de gym, me laissant avec autant de frustration que d’incompréhension. Seule Sœur Elise reprit son rôle d’entraîneuse comme si rien ne s’était passé.
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