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Quand la réalité dépasse la fiction.

Chapitre 8

Trash
– Grimpe sur ton bureau et mets-toi à quatre pattes ! Sur les coudes ! Ecarte tes jambes, maintenant ! Tu as entendu ?
– Oui, ma Sœur, mais j’ai trop peur que vous me trayez !
Dix claques bien espacées et mes fesses virèrent au rouge. Je simulai immédiatement la surprise de me retrouver si bien entourée, façon « La belle au bois dormant ». La surprise prit un tour inattendu quand un doigt inquisiteur me chatouilla la rosette.
– Nooon ! Par pitié, ne me faites plus ça !
– Tais-toi, paillasson !
Gling Gling ! Cela sentait le test ultime à plein nez. Je me précipitai sur Maxi qui ne me vit pas venir. Je le pris par surprise et le bichonnai dix secondes, juste ce qu’il faut pour qu’il soit présentable. Je n’avais pas prévu de me prendre aussi rapidement au jeu. À force d’être manipulé, Maxi était devenu d’une susceptibilité invraisemblable. C’est clair : le moindre frôlement mettrait maintenant en péril le déni d’orgasme qui m’était imposé. Le Docteur, interloqué, manifesta son admiration sans retenue.
– Continue à roucouler ! Tu es magnifique dans le rôle de l’allumeuse allumée. Commandant ! Je ne sais ce qu’il faut le plus admirer de la vitalité et de la vigueur de ce clitoris juvénile ou de la capacité de cette jeunotte à se remettre aussi promptement sur orbite.
– La majorité des femmes exècre que l’on touche cet endroit après un certain temps. Chez notre Bambi, c’est tout le contraire qui se produit. Elle se mue en bacchante quand son clitoris est irrité, comme si elle cherchait à nous inciter à la lapider. Surprenante réaction, en effet ; mais riche d’enseignements. Puisque la gamine est appelée à être disponible en permanence, je verrais d’un bon œil, Docteur, que l’on use et abuse de ta potion magique sur les organes sexuels juvéniles de miss « belles cuisses ».
– Oh non ! Ne faites pas ça à Maxi ! C’est déjà mille fois trop fort quand il est irrité. Je ne peux plus le toucher. Je vais me vider de toute ma sève si vous continuez à énerver mon Titi.
Personne ne m’écoutait.
– Je vois que Sœur Yvette a fait déposer sept flacons numérotés de trois à dix dans cette boîte à chaussures à ton intention. Remets-toi sur tes coudes et lis ceci à haute voix.
Sur un carton était calligraphié un texte manuscrit sonnant comme une posologie :« Pour t’aider à résister au Malin. Une application deux fois par jour à dose croissante durant sept jours. Masser légèrement en récitant un Ave et deux Pater. Éviter tout contact avec les yeux ! »
– Attention ! Ne confonds jamais cette huile sainte avec de l’huile à salade. Tu mets deux gouttes dans une marmite de soupe, tu bois une cuiller à café et toutes tes dents tombent.
– Commandant ! Mieux vaut abandonner cette idée. Son Titi ne la laissera plus jamais en paix. Elle sera trempée, mais opérationnelle tout le temps.
– Vous voyez ! Il le dit aussi. C’est moche d’allumer les petites filles…
– C’est surtout trop facile, ajouta Sœur Rachel. Tant pis, n’en parlons plus ! Je pensais demander à Sœur Élise de prendre en charge cette lourde tâche, connaissant la tendresse que tu éprouves pour elle. Je suis certaine qu’elle aurait adoré te bichonner comme son bébé en te talquant quatre fois par jour.
– Quatre fois ? C’est excessif, ma Sœur. Deux applications sont largement suffisantes pour transformer le bébé en obsédée sexuelle.
– Vous m’aviez dit que je me devais d’exiger toujours le maximum de mon sexe quoiqu’il m’en coûte. Inconsciemment, je crois que j’attendais ce jour où je serais vouée au martyre. Autant choisir Sœur Élise pour planter le premier clou de la croix. Hiiii ! Ne plus toucher Maxi ! Hiiii ! S’il vous plaît, Mr le Docteur ! Hiiii !
Sœur Rachel se frottait les mains en remerciant tous les saints d’avoir capturé un poisson aussi frétillant dans ses filets.
– Le problème, c’est que tu n’as pas le choix. Qu’es-tu prête à concéder pour te faire pouponner par Sœur Élise deux fois par jour ? C’est peu, Docteur, deux fois par jour, n’est-ce pas ? Il n’y a quand même aucun risque pour sa santé, non ?
– Je vous ai déjà répondu. Il n’y a certainement aucun risque pour sa santé physique ; mais si vous augmentez le nombre de prises, sa santé mentale risque d’en prendre un sacré coup. Sœur Élise risque fort de se retrouver avec un bébé infernal sur les bras.
La dirlo s’empara du flacon numéro trois et fit semblant de se huiler les doigts. Quelques gouttes tombèrent au creux de mes reins. Elle me fora l’anus avec son index et s’amusa à me dilater le sphincter.
– Alors ? Est-ce si terrible ?
– En tout cas, cela ne brûle pas très fort.
– Je suis admirative du pouvoir de ma clochette. La petite femelle vient de prendre trois doigts, sans sourciller. Elle contracte ses fessiers comme une jeune biche prise dans un piège à loup mais s’ouvre gentiment quand elle oublie ses préjugés. Je sens, ma belle, que nous allons te concocter un cours accéléré et très poussé d’émancipation. Je suis très fière de toi. Je vais te faire une fleur, si tu veux. Un soin complet toutes les heures, douze heures par jour, et je te dispense des Ave et des Pater, histoire que tu ne deviennes pas accro aux prières.
– Super ! Vingt-quatre heures par jour si vous voulez, et je vous promets de ne pas devenir un vilain bébé.
– Tope-là ! Et tu déménageras dès demain matin dans la chambre double où nous pourrons installer la cabine solaire et un grand lit.
Le docteur s’arrachait les sourcils.
– Pas top, ma Sœur, la chaleur, les U.V. et l’huile !
– Pas top non plus d’imposer une garde de vingt-quatre heures à Sœur Élise. Poursuivez votre examen, Docteur ! Je commence à bien cerner la personnalité de cette petite truie.
Le toubib enfila ses gants et s’attaqua à mon minou béant. Son doigt glissait sur toutes les parois de mon vagin, m’obligeant à un effort surhumain pour retenir mon plaisir.
– Incroyable ! Et vous voudriez me faire croire qu’elle n’est stimulée que depuis quelques heures ? Voyez vous-même sa boîte à mouille ! Les deux tiers de ce jeune vagin sont recouvert de tissu érectile, ce que les ignares appellent le point G. Celle-ci connaîtra les plus grands plaisirs vaginaux. Voyez comme elle réagit déjà à la pulpe d’un doigt ! Je vous parie que vous pourrez facilement la faire jouir non stop jusqu’à la limite de ses forces sans même toucher son clitoris. Ses glandes de Skene sont énormes. Leur consistance d’éponges sous tension me permet d’affirmer qu’elles sont gorgées de liquide. Si cette beauté n’est pas une femme fontaine, je veux bien rendre mon diplôme. Je peux vous annoncer, sans prendre de risques, que vous avez mis la main sur une perle rare, mon Père.
Le chanoine était euphorique.
– Vous allez vous régaler, mes Sœurs. À votre place, je l’obligerais à bander vingt-quatre heures sur vingt-quatre, en alternant les supplices et les orgasmes. Maso comme je la pressens, elle en voudra toujours plus. C’est une première main qui a tout à apprendre et ne demande qu’à se laisser façonner. Merci à vous toutes d’avoir déniché ce gibier de première qualité qui fera merveille dans nos soirées particulières dès que vous l’aurez dressée. Sœur Rachel, par contre, je ne vous félicite pas de nous avoir caché si longtemps cette merveille. Que de temps perdu !
– Mon Père… Un peu de retenue !
– Ma Sœur… Un peu de mémoire ! Vous nous avez livré une Jessica dans un état d’épuisement incroyable, rien qu’en la sous-alimentant et en la faisant jouir à peine une dizaine de fois par jour, je crois. Celle-ci est maso, docile et certainement multi-orgasmique. Le coffret que je vous ai préparé et que je vois sur cette table permettra à sœur Yvette de la garder en transe jour et nuit. Votre seul problème sera d’utiliser à bon escient sœur Élise pour l’épuiser physiquement tout en la gardant à l’écart de notre petite combine.
– J’ai ma petite idée à ce sujet et je n’ai pas oublié « l’affaire Jessica », Docteur. Même affaiblie, vous lui avez permis de s’enfuir. Autre problème : Bambi, contrairement à Jessica, n’est pas une orpheline. Dans quinze jours, la mère doit prendre sa fille et l’emmener deux ou trois semaines en vacances. Je crains très fort qu’à son retour, elle soit moins réceptive et que tout soit à recommencer. Ou pire, qu’elle fasse part à son entourage de ses expériences… Je ne veux plus prendre aucun risque ! Êtes-vous certain, Docteur, qu’elle ne gardera aucun souvenir de ce délicieux moment ?
– Aucun ! Elle ne se souviendra que des ordres que vous inculquerez quand elle sera sous hypnose. Ce qui est étonnant, c’est qu’elle réagisse aussi fort à mes attouchements sous semi-narcose. En principe, sa sensibilité, son état de conscience et son tonus musculaire devraient être plus amoindris.
D’accord pour le tonus musculaire ; mais pour la sensibilité, je me sentais au top. Tant que le programme me plaira, je continuerai à jouer. Ensuite, je feindrai de tomber de sommeil.
– Attention ! C’est une sportive de haut niveau, Docteur…
– Admettons. Je préfère quand même la maintenir sous hypnose pour la suite. Elle devrait encore tenir le coup un bon quart d’heure avant de s’effondrer. Je ne résiste pas au plaisir de manipuler ce clitoris saillant, si haut implanté, qui pulse comme un cœur. Profitez-en pour la programmer à votre guise, sœur Rachel !
Sœur Rachel reprit les commandes de son jouet sexuel.
– Tu prétends n’avoir jamais été masturbée et n’avoir jamais connu l’orgasme, n’est-ce pas ?
– Jamais, jamais ! C’est mal.
– Ecoute-moi bien ! Les spasmes de ta vulve et l’érection spastique de ce gros clitoris sont le signe que ton sexe est habité par Satan. Crois-moi, il ne faut laisser aucun répit au démon et le traquer jour et nuit en acceptant d’affronter la tentation ! Tu ne retrouveras la sérénité qu’au prix d’un investissement total et sans concession de ta chair. Ton esprit refusera toujours ce que ton corps demandera. Dans trois jours, le collège sera quasi vide et nous pourrons nous occuper de toi à temps plein. Alors – et alors seulement – le moment sera venu d’offrir ta jouissance au Seigneur.
Le Docteur, aux anges, eut tôt fait de prendre la mesure de mon plaisir. Sa dextérité et son savoir-faire auraient sans doute permis de me maintenir des heures dans ce fragile équilibre qui ferait faire les plus grosses bêtises aux femmes frustrées.
– Tu commences à être drôlement réceptive, ma poupée. Il faudra bientôt te lier les jambes car je ne compte pas te laisser partir si vite. Le vagin possède, sur sa paroi antérieure, quelques zones dont la stimulation tactile est intensément érogène.
– C’est inhumain ! Que puis-je faire de plus pour plaire au Seigneur très très viiiite ?
– Tout d’abord, tu ne prendras plus d’initiatives exhibitionnistes malsaines et tu ne te dénuderas qu’en présence et à la demande de tes guides spirituels. Ensuite, tu devras te montrer très obéissante et accepter sans mot dire les vexations et humiliations que tes préceptrices exigeront. Tu affirmeras ta volonté d’affronter la tentation en laissant tes guides spirituels te stimuler à l’envi. Plus tu solliciteras de stimulations sexuelles, plus tu grandiras et t’approcheras de Dieu… comme Sainte Philomène.

Soudain, dans son esprit malade germa une idée répugnante pour pimenter mes journées.
– Les examens sont terminés. Il ne nous reste plus que trois jours de cours. Les quelques jours qui nous restent pour terminer l’année scolaire sont traditionnellement consacrés au délassement. De ton comportement, durant les cours et tes entraînements, dépendra ton confort d’ici la fin de l’année. Je veux dire par là que toute forme d’exhibitionnisme sera durement sanctionnée. Pas question pour toi de te balader sans culotte par exemple, et encore moins de te laisser aller à la jouissance. Faute de quoi, tu aggraveras singulièrement les épreuves qui t’attendent. Il n’est pas question non plus que tu sollicites des attouchements de Sœur Élise. Je la crois d’ailleurs incapable de tirer à elle seule la quintessence de ce mignon petit sexe adolescent. Mimi et Domi, les trisseuses, dormiront avec toi. J’oubliais : tes deux compagnes posséderont chacune une clochette comme la mienne, un martinet et le mode d’emploi… pour le cas où elles souffriraient d’insomnie.
– Je serai le bébé de Mimi et Domi !!! Vous m’aviez promis…
– Tais-toi, fille du Diable. Tu te masturberas systématiquement devant chaque personne portant un martinet et une clochette qui le sollicitera.
– Vous allez me rendre chèvre, ma Mère.
– J’y compte bien… pour mieux te traire ensuite, mon enfant. Dès le quatrième jour, nous pourrons profiter pleinement du départ pour la Somalie de la plus grande partie de la congrégation et de l’absence du jardinier pour intensifier ton apprentissage et offrir ta jouissance au Seigneur. Tu veux bien ?
Je venais de passer sans temps mort de l’allégresse à l’angoisse la plus cruelle. À moins que…
– C’est impossible ! Je serai en vacances avec maman !!!
– N’oublie jamais que nous avons collecté un gros dossier sur toi ! Tu devras te conformer à MES règles désormais si tu ne veux pas que ta famille reçoive quelques images sélectionnées des dernières vingt-quatre heures avec mes commentaires. Tu expliqueras à ta mère pourquoi tu ne pars pas en vacances avec elle. Sœur Michèle te rendra ton ordinateur et ta connexion pour entrer en contact avec elle, vu qu’elle est allergique au téléphone. Invente-lui une belle histoire ! Prétexte un voyage avec les cousines Mimi et Domi, par exemple ! Cela te sera d’autant plus facile de la convaincre que vous partagerez la même chambre durant tout le mois de juillet. Tu en profiteras pour lui demander les deux mille euros de ta pension et quelques milliers d’euros pour ton voyage.
Sœur Rachel s’approcha de moi et me caressa le buste.
– Ses seins de velours sont non seulement superbes, mais en plus ils se raidissent au moindre effleurement. Ils feront merveille dans la salle des supplices quand elle sera écartelée et offerte aux tortionnaires. Qu’en pensez-vous, Docteur ?
J’étais trop excitée pour ne pas laisser paraître l’irrésistible attirance qu’exerçait sur moi cet endroit secret. Ma main se porta à mon pubis et découvrit Maxi au summum de son érection.
– Je pense que c’est exactement le genre de pis que recherchent nos amis. Mais le plus intéressant sera sans nul doute d’observer ce clitoris érigé, porté à ébullition par les huiles, et qui sera contraint de supporter les longues séances de tortures qu’ils affectionnent et dont ils ne se lasseront jamais.
Le chanoine venait de se réveiller. Il sortit une phrase alambiquée dont il avait le secret.
– Que mille fouets s’entrecroisent sur ses globes denses et son clitoris hérissé ! Que les supplices engendrent mille jouissances et que sa jouissance volée devienne torture !
Je me mis à trembler comme une feuille au vent, les mains compressant ma chatounette au bord de l’inondation.
– Voilà un signe qui ne trompe pas ! La petite libidineuse n’attend qu’une seule chose : qu’un maximum de personnes s’occupe d’elle. Le pouvoir de l’hypnose te libère singulièrement de tes tabous, on dirait. J’aimerais que tu te dévoiles plus encore pour qu’il ne subsiste aucun doute sur ta turpitude masochiste.
– Oh, Monsieur ! Je sais que la souffrance va me faire chavirer plus que tout. J’ai trop peur de ne pas être à la hauteur de vos espérances et d’engendrer votre pitié par mes pleurs. C’est très violent ce que je ressens déjà quand je reçois quelques cinglées de martinet. Ne soyez pas cruel trop vite avec mon petit corps ! Je n’ai jamais été fouettée par plusieurs personnes. Pour mieux exorciser mes démons et m’aider à me battre à armes égales avec Satan, je vous supplie d’être sans clémence. Me faire jouir de force cent fois par jour ne sera jamais suffisant pour qu’il me quitte. Il reprendra tout de suite possession de mon corps.
– Tu viens de faire un grand pas vers la guérison de ton âme, Bambi.
– Pitié ! Arrachez-moi tout de suite le clitoris ! Hiii ! Il est beaucoup trop chatouilleux. Hiiii ! Docteur, non ! Hiii ! C’est pire que la torture…
– Non : ce n’est qu’un avant-goût des tourments qui t’attendent. Si la clochette sonne une deuxième fois, tu devras te masturber énergiquement, sans jouir, devant chacune de nous, spontanément. Lorsqu’après un certain temps qu’il reste à définir, la cloche sonnera pour la troisième fois, tu devras obligatoirement te faire jouir dans la minute.
– C’est horrible ! C’est la pire des choses que vous ne pourrez jamais exiger de moi. Et si je n’y arrive pas ?
– Rassure-toi ; tout est prévu : si tu jouis avant le troisième coup de cloche ou si tu ne parviens plus à te faire jouir, il ne nous restera comme seule solution, pour combattre le Diable, de t’écarteler dans le portique de la salle des supplices et de te fouetter recto-verso jusqu’à ce que tu retrouves le chemin de la sagesse et acceptes à nouveau d’offrir ta jouissance au Seigneur. Chaque matin, nous évaluerons tes progrès et nous définirons de combien le quota journalier d’orgasmes que tu auras à produire devra être augmenté. Tu porteras un collier sur lequel nous enfilerons une perle, symbolisant un orgasme, de sorte que nous pourrons aisément comptabiliser tes offrandes au Seigneur. Tu devras exiger le maximum de ton sexe. Ta pitance en dépendra.
À l’évocation de cette orgie programmée, le chanoine s’emballa.
– Excellent, ma Sœur ! Je commencerai par l’obliger à se vider les glandes vingt fois par jour.
– Vingt fois seulement ? Lorsqu’on aime, on ne compte pas, Monsieur le Chanoine !
Le Docteur me fessa dix fois pour rompre l’enchantement, sans aucune réaction de ma part. Peu à peu, je sentais ma conscience s’évaporer, ne percevant plus que par bribes la conversation.
– Oui, Commandant. Les choses évoluent dans le bon sens. Elle se montre très souple de caractère et avide de sensations fortes. Oui ! Elle est vraiment très jolie : un incroyable corps de déesse et un sex-appeal de folie. Je suis ravi d’apprendre que la vidéo fonctionne à merveille.
Faites quelque chose, je n’ai plus la force de parler ! Sœur Michèle est en passe de me massacrer les seins avec sa baguette !!!
– Depuis que les premières images de la fillette ont été diffusées, ils sont drôlement échauffés, tu dis ? Patience ! Il me faudra encore quelques jours pour régler les derniers détails... Surtout, ne rien précipiter pour ne pas effrayer le gibier ! Encore une petite semaine et son calvaire prendra véritablement une tournure palpitante. Oui, elle est différente ; oui, maso aussi. Elle n’agit pas sous la contrainte, mais par pulsion. Tout dans son comportement démontre pourtant qu’elle aime être abusée. Ses exhibitions répétées n’ont d’ailleurs pas d’autre but que de trouver quelqu’un qui s’occupera d’elle et de ses appétits gargantuesques. Oui, pas à pas. Elle ne commence qu’à peine l’exploration de son corps. Elle se découvre de nouveaux appétits et ne sait pas comment les gérer. Oui, comme le paon fait la roue. Il faut la laisser venir en la laissant faire la roue sans marcher dans son jeu de séduction et bien doser souffrances et plaisirs. Je vais leur envoyer un montage des scènes les plus émoustillantes que nous avons filmées depuis les trois mois qu’elle est sous surveillance vidéo. Dès demain, je pourrai diffuser en haute définition. Ils verront qu’elle est encore plus belle que sur les photos. Elle est grande, mince et musclée, avec des yeux verts en amande, un joli visage ovale embelli par une cascade de longs cheveux blond clair. Bien sûr que non ! Je connais la règle mieux que personne. Le principe est de la faire souffrir par procuration, jour après jour ; pas de la baiser ! Elle remplira parfaitement ce rôle de petit tamagotchi qui leur permettra d’assouvir leurs pulsions sadiques par procuration. Cela fait un moment que nous l’observons. J’ai acquis la conviction qu’elle se retient de jouir pour offrir son plaisir à une personne bien précise, sa prof de gym. Une alliée à ne pas négliger, peut-être, pour la suite. Quand elle retrouvera son ancienne complice de débauche, de retour de Somalie, et prendra la direction de l’école, cela va chauffer pour tes belles fesses, Bambi. Sœur Ghislaine est une artiste dans son genre... Comme la Sainte dont elle porte le nom, c’est une spécialiste des convulsions. Ha ! Ha ! Ha !
??? Je compris, entre les lignes, que ce fameux Commandant avait contacté cette mystérieuse Sœur et l’avait inondée de photos volées de son futur souffre-douleur. Une main géante me comprima l’utérus et aggrava mon ruissellement quand le Docteur me tapota la chatte.
– Un rien l’affole sexuellement. C’est presque trop facile. Même semi-comateuse et sans « soutien pharmacologique » stimulant, je pourrais encore l’envoyer en l’air, tant l’esclavage sexuel rejoint les attentes de son subconscient.
Allez-y ! Tant pis si je dois trépasser sur le champ !
– Si vous voulez, mais je ne garantis rien… Elle ne réagit quasiment plus, même quand Sœur Michèle lui tape les seins avec sa baguette. Non, Commandant : pas de craintes à avoir pour sa poitrine. Sœur Rachel me la garantit très robuste, avec une peau souple et résistante comme le meilleur cuir.
Le Docteur me bascula sur le dos et se mit à me doigter tout en titillant Maxi, le seul à posséder encore assez de tonus pour réagir… du moins, je le croyais. Le rythme et la force de la stimulation allait croissant quand, dans un éclair de lucidité, je vis Sœur Rachel sortir une pince plate de sa poche.
– Bambi ! Es-tu toujours avec nous… ? Il semble que non !
Bien sûr que si, même si mes forces m’abandonnent et m’empêchent de le crier. De grâce, ouvrez vos yeux ! C’est abominable, ce que la sadique s’apprête à faire... La première pincette de mon téton coïncida avec la rupture du barrage. Une gerbe luxuriante trempa la moitié de l’assemblée. Le Docteur, malgré sa chemise détrempée, ne manifesta aucun scrupule à me masturber de plus en plus énergiquement. Mes orgasmes se succédaient à un rythme infernal, de plus en plus puissants, de plus en plus humides jusqu’à extinction.
– Six fois de suite, Commandant, sans aucune période réfractaire. J’avais vu juste : c’en est une. Non, elle n’a pas débusqué nos caméras. Il n’y a aucune chance qu’elle remarque quelque chose. Elle ne se souviendra de rien mais son cerveau gardera une trace, dans un coin de sa mémoire, du plaisir qu’elle vient de prendre malgré la douleur que vous avez infligée à ses tétons.
Colossal, prodigieux, monstrueux, le plaisir qui m’avait cueillie ! Et j’étais toujours vivante…Tenir bon…Tenir bon…
– Oui, bien sûr ! Je prévois qu’elle capitulera totalement assez rapidement si chacune se mobilise pour la faire mousser. Elle ne se contentera pas de collaborer ; elle adhèrera même au projet. Ce qui me fait dire cela ? Elle se fait livrer des revues SM, style roman photos, qu’elle commande sur le net avec la carte de crédit de sa mère. Simple fantasme d’adolescente, me diras-tu ? Sauf qu’elle passe des nuits entières devant son miroir à se rejouer un mix des tortures chrétiennes qui peuplent ses lectures et des séances de sadisme qu’elle vient de regarder dans ses revues. À ce stade, pouvons-nous encore parler d’innocents délires d’adolescente ? Elle ne cherche pour l’instant qu’une expérience, mais si nous l’accompagnons dans la bonne direction, le martyre de Sainte Philomène paraîtra comme une broutille à côté des supplices qu’elle endurera. Le bébé a besoin de faire sa sieste, je crois. Je lui fais une petite injection pour assurer nos arrières et vous la mettrez dans son nouveau berceau, mes Sœurs. Avez-vous un endroit où je puisse me changer ? Mon jeune mâle commencera à se poser des questions si je sens la femelle.
Le chanoine, content de son après-midi, avait l’humeur guillerette.
– Jeannot n’est pas au courant de votre activité complémentaire ?
– Jeannot lapin n’a pas que des capacités orgasmiques que je me plais à amplifier ; il a aussi de grandes oreilles. J’ai essayé d’être le plus discret possible mais hier, il m’a vu monter le film de Bambi. Il a toujours assez mal supporté ma bisexualité, et la sensualité de cette jeune fille l’a mis hors de lui. J’ai eu beau lui dire qu’il n’était pas question de relations sexuelles mais simplement de nous amuser avec elle... comme nous l’avons fait avec lui alors qu’il n’avait qu’à peine dix-huit ans. Hier soir, nous avions une réunion de concertation avec lui et les douze membres fondateurs. Vous vous souvenez certainement, Monsieur le chanoine, que nous exigions de lui qu’il éjacule douze fois chaque jour devant les douze apôtres qui constituaient notre groupe la première année. Mon beau-frère, qui est endocrinologue et expert en thérapie hormonale, lui préparait chaque jour un cocktail médicamenteux, disons… stimulant. Il a menacé de nous dénoncer aux autorités si mon beau-frère ne lui promettait pas de la transcender pour exiger d’elle des performances sexuelles en rapport avec l’hypersexualité de Bambi, que j’ai eu le grand tort de lui décrire. Sans m’en parler, il a contacté la grande majorité des membres de notre association pour leur proposer, avec succès, de soutirer jusqu’à la dernière goutte la jouissance de notre bébé.
Le chanoine avoua avoir signé la pétition avant même d’avoir vu Bambi.
– Pour le calmer, nous avons été contraints de lui promettre de la polymédiquer comme lui. Les Saintes Huiles et l’intramusculaire que je viens de lui administrer ne sont que les préludes d’un traitement plus lourd qui devrait…
– La faire bander nuit et jour… ? Je trouve cela enthousiasmant. Qu’en pensez-vous, mes Sœurs ?
– Que contrairement à Jeannot Lapin qui ne pensait qu’à faire des performances avec son sexe, Bambi est appelée à être violentée chaque jour. Je n’ai pas l’intention de transiger sur ses souffrances pour lui permettre de s’envoyer plus facilement en l’air.
Le Docteur avança une hypothèse audacieuse.
– Bambi a un gros physique, ma Sœur, un tempérament masochiste bien ancré et une faculté stupéfiante d’enchaîner les orgasmes. Je vous parie qu’entre vos mains, nos « collaborateurs » ne devront pas attendre longtemps le moment magique où la torture devient jouissance. Pauvre enfant…
Je n’ai même pas eu le temps de donner un bisou à mes gentils bourreaux. LE trou noir, brutal et irrépressible…
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