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Quand on tire le diable par la queue

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Nous avons laissé nos deux couples lorsque le brave pasteur a voulu aussi déguster la bite de Jean, afin de connaître aussi un coté des plaisirs interdits.La journée étant bien avancée, après le repas, les deux couples se séparent et Jean et Rita regagnent leurs petites maisons et ils se revoient régulièrement le dimanche après l’office pour un repas en commun et un peu d’exercice matrimonial partagé. Martine a eu une bonne nouvelle, elle attend un enfant, folle de joie, elle l’annonce à son mari qui est aussi enchanté, mais veut interrompre tout jeux sexuel. Martine lors de son contrôle, pose la question au médecin, si il y a contre indication dans les rapports sexuels. Celui-ci lui répond :
– Au contraire, c’est même recommandé par la faculté, à défaut de par l’église, mais vous verrez qu’à partir d’un certain moment, certaines positions deviennent plus possibles, comme par exemple celle du missionnaire car la pression du ventre du mari sur le votre est douloureuse.– Alors, jusqu’à quand je peux profiter de mon mari– Vous le verrez bien vous-même, mais lors du dernier mois, les pénétrations deviennent de plus en plus difficiles, pour ne pas dire indésirables.– Vous me rassurez et après ?– C’est à peu près symétrique, mais sans absolu et variable pour chaque couple. N’oubliez pas que vous serez trois et que le nouveau venu est le plus exigeant, pour renforcer votre couple, car c’est aussi un moment difficile pour l’homme, portez lui beaucoup d’affections et si vous n’avez pas tout de suite de désirs, d’autant plus qu’il ne se sente pas mis sur le coté.
– L’ennui, c’est que l’on ne sera pas 3, mais 4 !– Comment cela ? Je n’ai pas détecté de jumeaux.– C’est pas cela, je sais que vous êtes tenu par le secret professionnel, mais d’entente avec mon mari, j’ai pris un amant pour avoir un enfant.– Ouille, votre mari a les idées larges et généreuses.– Oui, mais en compensation, il a pris comme amante la mère de mon amant et tout le monde y trouve son compte.– Je vois, mais je n’ai pas d’expériences dans ce type de relations, je ne peux guère vous aider. Mais, il se trouve que je connais aussi un couple qui a le même problème que vous. Il n’arrive pas à avoir d’enfant. Le mari trop pris par le travail, néglige un peu sa femme et de toutes façons ayant eu les oreillons, il a un sperme stérile, mais madame est aussi très déprimée d’arriver bientôt à l’âge stérile sans pouvoir avoir un bébé et monsieur triste d’être sans héritier. Comme votre amant a l’air très fertile, si c’est lui le père, me permettez vous d’en parler à ce couple ?– Pourquoi pas, mais sans les détails et nos noms avec mon mari.– Peut-être que pour le convaincre, je devrai sans nommer précisément citer votre couple.– OK, de toutes façons, c’est absolument sans preuve.
En rentrant à la maison, Martine informe son mari de la visite gynécologique en lui disant qu’on ne va rien changer à nos habitudes, l’évolution ne venant qu’à la fin de la grossesse.
– Oui, mais j’aimerai bien diminuer les séances avec Jean et sa mère maintenant.– Tu es sûr de pouvoir assumer mon appétit qui selon le praticien va augmenter.– Non maman ! C’est pas vrai, déjà qu’avant je n’arrivait pas à suivre. Bon, on ne change rien.
– Par contre, il m’a dit qu’il y avait un couple qui était dans la même situation qu’on était avant, tu ne vois pas de qui il s’agit.– Tu sais trésor, les confessions dans la religion réformée ne sont pas individuelles, mais toutes ensemble et sans les détails croustillants. C’est bien dommage je reconnais, on aurait des bons sujets de discussions le soir au coin du feu. En passant, cela me rappelle un jolie histoire de petit Toto :
« Mon père, j’ai à confesser un pêcher de chair, J’ai péché avec une femme mariée.— Qui s’est ? demande le confesseur— Je ne peux pas vous le dire, ce serait délation.— Ne serait-ce pas la charcutière, d’après mes connaissances, ce ne serait pas étonnant— Non mon père— La femme de l’instituteur ?— Non mon père, elle est bien de trop sérieuse— Tititi, c’est pas ce que j’ai remarqué à confesse.— Mais non, je vous dis !— Alors, la jolie mercière, elle est bien seule maintenant que son mari est sous les drapeaux, mais je ne suis pas sûr vu qu’elle ne vient jamais à confesse.– Non, c’est pas cela, mais merci pour les bonnes adresses. »

– Elle est pas mal celle là ! Je pense que tu devrais creuser cette voie.– Tu deviens très coquine depuis un un certain temps.
Pendant ce temps là, le médecin a appelé Jean à son cabinet, parce qu’il a bien deviné de qui il s’agit, et il lui rapporte la discussion qu’il a eu avec Martine.
– Cela t’intéresse-t-il de rendre service à un autre couple qui ne peut pas avoir d’enfant ?– Ça dépend de qui il s’agit.– Tu travailles bien à la Watch & Cie SA, siège principal comme chef de production ?– Oui,– Alors c’est ton patron, tu connais sa femme ?– Oui, une belle dame, mais bien sévère, qui a tendance à regarder les autres de très haut.– Si j’arrange le coup, tu peux assurer ?– J’aimerai pas perdre ma place, j’ai eu une super promotion et j’aimerai bien mettre un petit pécule de coté pour pouvoir améliorer notre ordinaire avec ma mère.– Je suis indécis de mettre le mari au courant, je vais d’abord essayer de le proposer à Madame, sans dire de nom, mais en spécifiant que cela a bien réussi à un autre couple qui était dans le même problème.– Restera le problème où ?– Bon on va y aller tranquillement et peut-être essayer d’encourager le mari d’accepter, peut-être que tu devras le faire sans que vous vous voyez, complètement dans le noir. De manière à ne pas être reconnue et reconnu. L’entretien devra être muet.– Dans ce cas, je suppose que ce serait dans votre cabinet.– Oui, moi je suis trop vieux pour avoir un bon sperme, sinon, j’aurai bien proposé mes services, même si c’est pas très déontologique. Mais un tiers, c’est tout à fait acceptable.
[L’insémination artificiel n’était qu’au stade de recherche à ce moment là et pas répandue dans les moeurs, la voie naturelle étant toujours préférée. ]
– Ok, je vous laisse organiser et tenez moi au courant.
Deux jours plus tard, à nouveau, il est convoqué pour le lendemain chez le médecin, il prétend un trouble intestinal.
– Vas, lui dit son patron, j’espère que ce n’est pas grave, J’ai mon épouse qui y va aussi un peu avant !?– Ah ! Lui répond Jean bon à tout à l’heure.
Arrivé chez le médecin, il est informé que Madame est d’accord sous les conditions qui ont été dites et elle l’attend dans une chambre complètement noire avec anti-chambre pour se déshabiller et ensuite, il doit rentrer tout droit dans la chambre faire trois pas et là, il y aura un lit et la femme qui l’attend.
– Cela ne va pas être très romantique. Qu’est-ce que je peux lui faire à part lui planter mon bâton dans le con.– Commence à lui caresser les seins, elle ne doit aussi pas parler, donc elle aura de la peine à se défendre.– Ok, on y va.
Jean se déshabille, plie ses vêtements et une fois le médecin sorti, Jean pénètre dans la chambre et suit les indications, effectivement, il touche un corps de femme allongé, passe ses mains sur toute la surface en s’arrêtant spécialement sur la poitrine, pas très grosse, avec les seins gonflés déjà d’excitation de par la situation. Les bouts complètement érigés. Il les prend dans la bouche sans réaction négative de celle qui allait se faire bourrer, simultanément, il sent une main se dirigeant vers son thorax et des ongles qui le griffent légèrement puis, la main part en direction de son bas ventre, créant un frissondans ses entrailles. La main saisi sa queue et il entend :
– Humm bel outil dit-elle en découvrant le prépuce.– Je croyais que l’on ne devait pas parler.– C’est pas grave, mais je reconnais ta voie, je suis très heureuse que ce soit toi, j’ai bien hésité avant d’accepter.
À son tour, Jean s’intéresse à ce qui se passe plus bas et approche sa tête de l’entre-jambe de la belle.
– Oh ! Mais que me fais-tu là ? C’est horriblement sale et cochon !– Ton mari ne te l’a jamais fait ?– Non, pour lui, plus c’est vite liquidé, mieux c’est, deux à trois coups de queue à sec, il balance le lisier et c’est fini.– Pourquoi néglige-t-il tant de bonnes choses; ton bouton, quand on le sent sous la langue, on a vraiment pas envie de le laisser et j’aimerai l’avoir toujours dans ma bouche, sans parler que maintenant, ton con m’a l’air délicieux. Je vais aussi y mettre ma langue pour bien te goûter.– J’aimerai aussi te goûter, c’est un fantasme que j’ai toujours eu.– Plus tard, je vais d’abord remplir mon contrat et tu auras le dessert après, c’est comme cela qu’il faut procéder.– Si tu veux, mais viens maintenant, j’ai envie que tu m’enfiles ta belle queue dans mon con.– Pour commencer, je préférerai que tu viennes sur moi, c’est mieux, seulement au moment où je vais lâcher ma semence, je viendrai sur toi pour faciliter le voyage des mes gamètes.– Si tu veux dit-elle en lui grimpant dessus, puis en accrochant la queue, elle se l’enfile dans le con.
Elle commence une longue série de va et vient et elle s’en donne à coeur joie, ne regrettant pas le petit coup de canif dans le contrat de mariage.
– Hum c’est bon comme cela, je vois que tu es beaucoup plus endurant que mon mari, continue, moi je sens que j’ai pris sérieusement l’ascenseur et que je m’approche sérieusement du septième ciel, alors que je n’avais jusqu’à maintenant guère dépassé le rez de chaussé.– Moi aussi je sens que cela vient, on va changer de position et tu vas te mettre dessous.– Voila, c’est fait, mais c’est moins bon, avant, je te dominais et je pouvais faire ce qui me plaisait, maintenant je te suis soumise et encaisse tes coups de rein. Malgré tout, même si l’ascenseur a un peu ralenti, je me sens arriver, continue à bien bourrer. Je parts.– Moi aussi répond-il en lui envoyant tout le sperme qu’il avait capitalisé en bourse.– Ouille ouille ouille ! Déclame-t-elle, avec ce que tu m’as mis, je vais avoir des triplés.– Non, je ne crois pas, répond-t-il en se mettant à genoux vers son visage et en lui présentant son chibre encore englué de sa semence et de sa cyprine. Là tu peux tout goûter, le dessert est complet, un mélange de nos jus, comment aimes-tu ?– Je crois que je préférerai séparés. C’est un peu trop corsé.– Ce sera pour la prochaine fois si prochaine fois il y a.– J’aimerai bien, mais mon mari n’est pas au courant, je n’oserai pas lui avouer que j’essaye d’avoir un enfant par substitution, mais tu m’as ouvert l’esprit au plaisir de bien baiser. On va profiter quand mon mari s’absente pour ses affaires pour renouveler l’injection lui dit-elle en lui tendant ses lèvres pour un baiser langoureux. Tiens, tu peux aussi goûter dans ma bouche ce que j’ai pris sur ta queue. ... Dimanche après le culte, tu pourrais venir me trouver, mon mari traîne toujours dans le restaurant avec ses amis pour jouer aux cartes et presque toujours il prend son repas du soir et ne rentre que tard.– C’est pas possible, le dimanche, je suis toute la journée au service du pasteur et de sa femme.– De sa femme ?– Oui, surtout, tu n’es pas la seule à avoir des désirs de maternité qui ne peuvent se réaliser. Mais là, je l’ai fait avec l’approbation du pasteur qui est toujours présent.– Ouah ! Ça c’est un scoop. Tu baises sa femme devant lui !– Bien il faut bien, à part Jésus, en principe, pour être enceinte, il n’y a pas d’autres moyens et encore l’ange, c’était peut-être les fils de Joseph de son précédent mariage. C’est ce que j’ai lu dans certaines lecture apocryphes que j’ai lues chez lui. Mais il n’a pas à se plaindre, pendant ce temps là, il se donne du bon temps avec ma mère qui a réussi à ressusciter sa queue, il ne bandait plus.– Oh ! Le pauvre, cela me plaît, Je vais un peu creuser la chose, voir ce que l’on peut faire. Peut-être on pourrait inviter le pasteur, sa femme, ta mère et mon mari pour faire plus amble connaissance, sous le couvert évidement de la paroisse.
Toc. Toc fait la porte.
– Vous avez bientôt fini de discuter là-dedans, cela devait être anonyme ! Vous avez fini ?– Oui, il faut encore nous rhabiller, mais si il était possible de se rafraîchir.– C’est bon, du moment que vous vous êtes reconnus, je vais mettre la lumière attention, la voila.Un lustre s’illumine éclairant les deux amants et là, ils peuvent s’admirer. C’est là que Jean s’aperçoit que la blonde épouse de son patron est en fait une magnifique rousse pur crin.– Quand je te vois, je comprends mieux pourquoi j’ai trouvé ton minou avec un si bon goût, je n’avais jamais dégusté une moule rousse, je vais le recommander au Gault et Millau– Tais-toi idiot, minaude-t-elle en lui caressant amoureusement la bitte, je compte bien t’inviter à te rassasier à nouveau prochainement.
Les deux quittent le cabinet du docteur, Jean avec une ordonnance de placebo pour justifier l’absence au travail. Le lendemain, le patron convoque Jean dans son bureau :
– Voila, j’ai besoin d’une personne de confiance, je vais partir à Tokyo pour une affaire importante, mais je ne veux pas prendre ma femme avec moi, mais plutôt ma secrétaire, elle est plus avenante pour obtenir un contrat.... J’aimerai que tu lui tiennes compagnie quand je ne suis pas là, d’une part pour ne pas lui donner des idées d’aller ruiner ma réputation par des cornes qui m’empêcheraient de rentrer dans l’usine.– C’est une mission délicate que vous me demandez là !– Pas tellement que cela, je sais que vous vous êtes rencontrez chez le médecin.– Alors dans ce cas là, j’accepte, mais il est possible qu’elle m’oblige à à nouveau lui obéir.– J’y compte bien, depuis hier, j’ai l’impression qu’elle est dans un nuage de bonheur et c’est très agréable, cela me laisse l’esprit libre pour les affaires et le reste. J’espère aussi que tu réussiras à me pondre un héritier comme tu l’as fait au pasteur. Tu vois je sais tout, enfin presque tout. Il faudra qu’on voie cela plus en détail à mon retour.
C’est ainsi que Richard vient s’installer dans la maison de son patron, soit disant pour garder la maison, mais en fait pour niker la belle à couilles rabattues. Sa mère n’est vraiment pas contente, depuis ce mercredi, Richard la néglige en courant après la belle femme de son patron. Elle va s’en ouvrir au pasteur.
– Richard, je suis malheureuse, Jean a quitté la maison depuis 3 jours et je me retrouve toute seule et très triste sans affection.– Mais non Rita, ne soit pas triste, Jean a reçu une mission de son patron et il ne peut s’y soustraire. Mais si tu te sens trop seule, viens donc pendant ce temps là habiter chez nous, tu nous tiendras compagnie et plus si entente, j’aime bien quand je m’imagine que tu es ma mère.– Je me souviens que cela t’excitait terriblement.– Et aussi Martine, maintenant que Jean est en service, elle s’ennuie et j’ai vu que vous vous complétez très bien.– Oui, je vais faire comme tu le dis.– Je vais dire à Martine que, pour la bonne réputation, elle prépare la chambre d’ami.– Je m’en vais lui aider.– Oui, c’est très bien. À ce soir, il faut que je parte faire la tournée de mes ouilles.
La nuit venue, évidement le lit de la chambre d’ami reste désespérément vide, par contre la chambre nuptiale a reçu une locataire supplémentaire.
– C’est super comme cela, dit Martine en se serrant contre Rita, Je me sens bien aussi dans tes bras.– Oui, j’aime aussi bien t’avoir dans mes bras, mais dis-moi, ta poitrine a gonflé, elle est grosse maintenant.– Je sais, mais c’est pas très agréable à toucher, par contre mon minou lui ne subit pas les avatars de la grossesse.– Tu veux que je m’en occupe ?– Je n’osai pas te le demander.
Rita, plongeant entre les cuisses de Martine, commence à lui prendre entre ses lèvres, le clitoris qui a aussi augmenté de volume d’après ses souvenirs, elle le caresse avec sa langue produisant un plaisir fin que Martine manifeste de plus en plus. Par moment, Rita plonge sa langue un peu plus bas, augmentant encore l’excitation, mais elle retourne au bonbon d’amour tout en lui introduisant deux doigts dans la chatte.Voyant ce spectacle, Richard, le pasteur, ne peut s’empêcher d’être super excité, voir sa mère de substitution brouter la minette de sa femme qui a l’air de prendre un pied monumental. Tendu comme un âne, il se dirige vers la chatte velue de Rita.
– Il faut que je t’enfile, j’ai trop envie.– Ma chatte est la pour cela mon trésor, tu ne peux savoir comme cela me fait du bien de sentir ton désir à mon égard. Je mouille un maximum.– J’aimerai aussi goûter ta chatte en même temps.– Quoi lui dit sa femme, à moi, tu ne l’as jamais fait !– Il faut bien un début à tous, Avec Rita, je vais me perfectionner pour mieux le faire avec toi.– Ah ! Vu sous cet angle, je suis bien d’accord et je reconnais bien là ton instinct incestueux non satisfait.– C’est vrai, je le confesse, quand ma mère était encore en vie, je me suis vraiment souvent branlé en pensant à elle.– Même quand on s’est connu ?– Non, toi tu m’as provisoirement guérit de ce penchant inacceptable pour la société, mais Rita l’a réveillé sans le savoir.– Tu veux avant ou après. Demande Rita qui a toujours sa bouche collée à la chatte de Martine.– C’est pas avant ou après, c’est avant et après répond Richard qui se met sur le dos entre les cuisses de Rita et de ce fait a directement le jus qui lui coule dans la bouche.– Bordel que c’est bon jure-t-il, comme j’aime ta forêt amazonienne, la luxuriance de ton astrakan, le goût de ton puits d’amour. C’est trop bon pour le pauvre pêcheur que je suis.– Parlant de pêcheur, Richard, tu ne me mettrais pas ta canne à pêche dans mon four à gaufres, je crois qu’il est juste à point.– Oui ma chérie de Rita répond-t-il en ressortant de dessous son entre-jambe, en se redressant, la bite au vent, il s’enfonce dans la vulve de Rita qui n’en demandait pas plus.
Elle se balance au gré des coups de butoir qu’elle reçoit avec plaisir et les répercute sur la chatte de Martine qui brusquement, voyant son époux empalant Rita par derrière, part dans un orgasme mérité. Elle sent ses cuisses de durcir, ses reins se soulever à la recherche de la langue qui la fouille si agréablement. Elle aimerait bien la queue de Jean maintenant pour avoir l’apothéose. Le salaud, je parie que maintenant, il se paie la Jasmine qui doit bien en profiter. Richard finit par sentir la sève monter le long du tronc et envoie son obole à Rita qui sentant ce jus qu’il l’honore part simultanément dans un orgasme de bon ton. C’est moins violent qu’avec Jean, mais tellement plus doux.Richard épuisé par l’effort s’allonge sur le dos quand Martine, malicieuse lui prend sa bite toute flétrie et lui pose un bisou sur le bout, le retrousse et l’avale d’un coup entièrement.
– Je vous goûte les deux ensembles, dit-elle, comment tu aimes mon amour.– C’est bien agréable, mais tu sais, cela m’étonnerait que je puisse à nouveau rebander.– C’est pas grave, mais je voulais quand même vous goûter simultanément, C’est chose faite.– C’est aussi bon quand deux femmes se donnent du plaisir, c’est plus délicat que quand c’est avec un homme déclare-t-elle.
Pendant ce temps, Jean se trouve dans le lit marital de son patron, nu avec la femme de ce dernier, caressant avec délice cette belle toison aux couleurs de feu et pas seulement aux couleurs, mais au goût de feu tellement son goût est tonifiant. Discrètement, il longe les lèvres bien humides qui réclament une intrusion, mais le doigt inquisiteur continue sa descente vers l’enfer rouge en traçant des circonvolutions pour aboutir finalement à l’anus Déi, contrairement à l’Annus horribilis de la reine d’Angleterre. Après avoir tâter de tous cotés, enclenchant l’agnus dei de la belle. ( Adagio for Strings )
– Non pas là pour le moment, reviens un peu plus haut, on le gardera pour plus tard, quand devant cela n’ira plus.– Tes désirs sont des ordres répond Jean en présentant son dard devant le Tabernacle des plaisirs, rouge d’excitation amoureuse.– Viens, enfile moi profond, j’aimerai assurer que le petit est en route, tous les jours, nous allons en remettre une couche.– Viens sur moi, mais en me tournant le dos, j’aimerai te caresser depuis derrière, tu verras c’est particulièrement agréable.– Je veux bien, mais on finira comme toujours jusqu’à ce que tes gonades aient pris pension dans mes ovaires.– Tiens, tu vois, comme cela, je peux aussi titiller ta poitrine en même temps, comment tu aimes ?– C’est très bon, je découvre vraiment le sexe avec toi, c’est fou, je crois qu’après je ne pourrais plus m’en passer.– Oui, mais il y a Martine, je lui suis aussi très attaché.– On pourrait faire une partie triangulaire.– Tu as oublié encore ma mère avec qui j’ai beaucoup d’affection.– Quand même, c’est pas vrai, tu ne baises pas avec ta mère ?– Ce que je fais avec ma mère ne te concerne pas. Dit-il en sentant son excitation tomber tout d’un coup.– Non, n’arrête pas, je ne voulais pas te vexer, moi aussi, j’ai rêvé de mon père, mais je n’ai pas eu l’occasion de concrétiser avant le mariage et après ce n’était plus possible.– J’ai eu l’impression que tu me condamnais sans preuve.– Mais je me fous des preuves et du fait que ce soit un inceste, ce que je veux c’est ta queue qui me laboure si bien. L’inceste au contraire m’excite encore plus. Laisse moi te redonner des forces, dit-elle en embouchant sa bite, mais ce n’est pas facile de regonfler le saucisson quand il a pris une douche froide.– Laisse moi un peu souffler, dit Jean, on fait une petite pause, si on peut boire un verre,– Tu veux un whiskys demande Jasmine– Non, plutôt un pastis. J’aime pas trop le whiskys, j’ai l’impression de boire de l’eau de savon alcoolisée. Mais peut-être que pour toi c’est bon.
Elle amène deux verres avec des glaçons et une cruche d’eau.
– Attends lui dit-il, je vais améliorer ton whiskys et il trempe son sexe dans le verre où il y a les glaçons, ce qui rétrécit encore plus sa pine.– Non, pas ça, elle est vraiment hors service maintenant dit-elle.– T’inquiète, c’est comme le phoenix, elle va renaître de ses cendres– Je demande à voir !– Je pensais plutôt que tu aurais demander à sucer.– Oui, aussi, mais là cela va être dur.– J’espère bien que tu arriveras à me la refaire dur, sans râler dur dur.– Coquin, tu aimes les jeux de mots.– Pas que de mots, les jeux de cul aussi. Vas-y embouche ma bite, applique-toi que je puisse à nouveau honorer ton pertuis.– Voila, suffit de te la prendre sous le gland et tu ne peux résister. Viens bourre moi bien, la marmite n’a pas eu le temps de refroidir et il manque ton poireau pour un bon bout ji.– C’est quoi le ji :– C’est pas chinois pourtant ! C’est le nom de théâtre de Ji lébien ofond.– Ah ! Avec le batteur chtli bourrebin lacrousil– C’est ça. Continue, ne te repose pas, lime bien à fond, j’ai entendu que tu étais un as pour limer plat, c’est le moment de mettre en pratique.– Tu ne veux pas que je lime tes jolis mamelons ?– Tu peux, mais pas avec la grosse bâtarde [Lime très grossière pour le travail manuel du fer.], mais avec les moustaches, avec cela, elle seront plus vite fatiguées, que mes nénés rectifiés.– Question moustaches, je préfère l’escalope à moustaches, c’est l’escalope des grosses salopes, celles que je préfère, à consommer avec une sauce un peu piquante.– Salaud, avec tes déconnages, tu m’excites, je sens que mes ovaires réclament leurs bectées, vas-y envoie la sauce. Je grimpe aux rideaux.– Je te suis, avec ma tringle à rideaux bien engagée.– Oups, c’était bon cette baise, avec ce que tu m’as remis, si le poupon n’est pas accroché au wagon, j’y comprends plus rien.– Au fait il revient quand ton mari.– Après demain.– Cela t’embête si la nuit prochaine je vais dormir à la maison, Maman doit s’inquiéter et s’ennuyer.– Je ne crois pas, hier, en passant devant la cure, je l’ai vue qui était à l’intérieur avec Martine, ces deux salopes se bouffaient le museau. J’aurai pas cru cela de la femme du pasteur, qu’elle soit un citoyenne de Lesbos adoratrice de Saphos.– C’est quoi ces conneries.– Tu ne connais pas la mythologie grecque ?– Non, c’est pas au programme de l’école d’horlogerie.– Voila, si on a le temps, je compléterai ta culture générale entre deux bonnes baises. Je vais vraiment profiter au maximum de tes possibilités avec mon mari qui me néglige et préfère aller chez les Jap avec sa secrétaire.– Elle n’est pas mal non plus, Tu as vu ses grosses lèvres, elle donne vraiment envie de lui glisser entre elle sa bite et avec des lèvres de ce type, on dit qu’en bas, c’est idem, elle doit avoir un con délicieux.– Tu ne trouves pas le mien délicieux ? Tiens donc !– Mais oui, mais dans le fantasme des hommes, les petites lèvres bien gonflées sans excitation, c’est gratifiant et la majorité des lèvres des femmes ne sont pas gonflées de désir au départ, mais après excitation.– Je ne connaissais pas cette façon de voir masculine.– Tu le sais sans t’en rendre compte.– Comment cela.– Pourquoi tu te mets du rouge à lèvres ? C’est bien pour augmenter leurs volumes et faire ressortir le coté carmin voire rouge sang et implicitement donner une image de tes lèvres entre les jambes.– Intéressant comme théorie. Où as tu pris ces idées ?– Tu vois j’ai aussi ma culture, mais je suppose qu’on a pas les mêmes lectures.– Bon maintenant, qu’est-ce qu’on fait ?, tu veux rester pour dormir, tu aurais moins de chemin à faire demain.– Mais cela ne va pas jaser si je sorts de chez toi à sept heures du matin ?– Fais le discrètement ! Et contrôle si il n’y a personne.
C’est ainsi qu’une nouvelle nuit torride entre Jasmine et Jean se déroula pour leurs plus grands plaisirs, où Jean à force d’excitation faisait gonfler à mort les petites lèvres de sa rouquine, mais le lendemain à l’usine, Jean n’avait vraiment pas le teint frais, malgré le passage de la tête sous l’eau froide et la douche finlandaise.Mais avec son nouveau grade, en l’absence du patron, personne n’ose lui faire une quelconque remarque, même si la jeune apprentie le regardait fixement en écarquillant les yeux.
– Qu’est-ce qu’il y a Paulette, tu as vu un fantôme ? Fais moi plutôt un café !– Oui chef, mais il faudrait mieux enlever les 2 ou 3 cheveux blonds qui sont sur votre pardessus. On pourrait deviner à qui ils appartenaient.– Merci, on est jamais assez prudent. C’est clair que ce n’est pas les miens, ni les tiens.– Cela m’aurait bien plu si c’eut été les miens.– Tu es un peu jeune non ?– J’aurai bientôt 18 ans.– Bon on verra quand tu les auras, au fait c’est quand ton anniversaire ?– C’est dans 5 semaines lundi.– Je note.
À midi, il rentre à la maison et la trouve vide avec un petit mot de sa mère :
– Je suis à la cure. (pour ne pas dire à la bourre)

" Moi qui me réjouissais d’avoir un bon dîner, il va falloir que je fasse un tour à la cure" se dit Jean en se dirigeant vers la dite cure.
Toc Toc contre la porte.
– C’est qui demande un voix un peu anxieuse que Jean reconnaît pour être celle de Martine.– Ce n’est que moi qui m’invite pour dîner, Maman m’a écrit qu’elle est ici.– Je viens t’ouvrir. Mon mari n’est pas là à midi ni cet après midi, il va faire ses visites.
Les trois compères se retrouvent autour d’un bon repas et Martine fait des manières pour inciter Jean à la faire grimper aux rideaux.
– Je suis un peu en manque depuis que tu t’es installé chez Jasmine, je suis jalouse d’elle ! J’ai besoin d’un bon ramonage pour te faire pardonner.– A vos ordres ma chérie et toi maman, comment cela va.– -Tu sais, avec l’âge, les besoins sont moins impérieux et violents et on s’est donné un peu de plaisir ce matin avec Martine.– Je vois que vous avez fêtez Saphos sur l’île de Lesbos.– D’où tu sorts ce truc là, lui dit sa mère.– C’est ce que m’a appris cette coquine de Jasmine, je parfais ma culture générale.– J’en ai entendu parler, réplique Martine, Richard m’en a lu et traduit quelques passages pendant ses études. C’est très beau comme poèmes.– Bon je reprends le travail à environs 3 heures, si on ne veut pas rester sur de l’inachevé, il faudrait qu’on s’y mette. On le fait dans ta chambre de Martine ou dans celle d’ami.
– Viens dans notre chambre, la salle de bain y est attenante et je suppose que tu as envie de te rafraîchir avant de consommer.– Oui, j’ai bien transpiré pour venir, j’ai fait un vrai footing, mais si je ne le fais pas, tu vas pouvoir déguster la mouille de Jasmine.– Non vraiment, ce serait du réchauffé de réchauffé, cela ne doit pas être très gustatif.– Maman, tu ne veux pas un peu préparer Martine, j’ai malheureusement peu de temps pour faire les préliminaires.– Oui, avec plaisir mon chéri.
Apparaissant en peignoir dans la chambre, Jean demande :
– Je peux venir ?– Oui, mais laisse donc ta mère finir la préparation, je suis en train de venir une première fois.– Bon en attendant, je vais aussi la ramoner, pour ne pas perdre la forme, en lui glissant mon goupillon de ramonage avant que je te débistre la tienne.– Voila, ma cheminée est prête mon chéri. J’attends ton instrument.– Je t’en prie ma chérie, j’aimerai te ramoner par derrière, cela est aussi prêt pour le ramonage.– Non, j’ai pas passer le karcher, mais tu peux quand même y aller, le ramonage sera d’autant plus efficace.– Je vais quand même mettre ta cyprine et masser un peu l’oeillet pour préparer.– Fais, mais je suis un peu impatiente de connaître cette nouvelle facette de la sexualité. Je me souviens que Rita a vraiment apprécié.– Je mets tout de suite 2 doigts et un peu les écarter, puis je vais en mettre 3, avant de mettre mon goupillon.– Vas-y, je crois que je suis prête à te recevoir.– Maman, continue à lui sucer le clito. Cela passera mieux.– Oui mon fils et de temps en temps, tu vas recevoir un petit coup de langue sur tes roustons.– C’est parfait, je m’engage dit Jean en présentant son organe à l’entrée (ou plutôt la sortie) des intestins. Ça y est, la tête foreuse a passé l’entrée,cela ne fait pas trop mal ?– C’est un peu désagréable, mais supportable, continue le voyage dans mes intestins, mon colon attend ta visite.– Voila, je vais ressortir un peu pour prendre mon élan.– Vas-y encore plus profond, j’aime bien.... J’adore, encore, plus vite, donne toi à fonds.... tu sens quand je ressers les muscles de mon anneau culier.– Oui, c’est un massage super bon. Je suis en train de venir, je vais t’inonder ta colonie.– Continue, je viens aussi, c’est délicieux.– Bon, je ressorts, je vais sous la douche, car je pense que j’ai rencontré du monde là-bas au fonds qui s’est collé à mon goupillon.– Moi, je pense qu’avec ce que tu m’as envoyé, c’est comme si j’avais pris un lavement, je vais aller sur les WC.
Après avoir bien nettoyé son aléseur de cul, il se rhabille et retourne à l’usine pour contrôler si la production s’est bien faite pendant son absence. Ce soir, il faudra qu’il reste un peu plus longtemps, la pause a été longue à midi. Il repasse le soir avancé à la maison de son patron, pour profiter d’une dernière nuit avant son retour.
– Je ne t’espérais plus, se plaint Jasmine, tu en a mis du temps à rentrer.– Tu sais que ton homme rentre demain, il faudra que je lui présente des résultats favorables lui prouvant qu’il a bien fait de me faire confiance.– Je sais et c’est aussi le dernier moment pour remettre un couche et assurer le résultat. Demain, normalement j’ai mes règles.– J’espère pas, plutôt j’espère le contraire, ce qui voudrait dire que j’ai bien rempli la deuxième mission qu’il m’a confiée.– Alors continue. Mais tu m’as l’air un peu fatigué, qu’est-ce que tu as fait à midi ? Dit-elle sur un ton soupçonneux.– J’ai visité ma mère, mais elle était à la cure et du coup, après le repas, j’ai du ramoner la cheminée de Martine. Le feu ne tirait pas assez selon elle.– Ah ! Polisson, je crois qu’il faudra aussi que tu me la ramones, surtout si tes spermatozoïdes ont élu domicile dans mes ovaires.– Donne moi mon dessert, j’ai envie de te bouffer la chatte, je vois que tu en rêves un peu quoique tu dises, tu mouilles, rien qu’en imaginant ma langue se promenant sur ta forêt de feu.– Viens et bouffe moi tout, j’ai envie de sentir ta bouche et ta langue sur tout mon corps.– Moi aussi, j’aime vraiment ton odeur et le goût de ta peau, de ta cyprine tout !– Tu n’as pas encore goûté ma pisse, donc tu ne connais pas encore cette partie. Ce qui me fait penser que j’ai un peu envie de pisser, laisse moi, je ne vais pas m’essuyer et ainsi le plat sera complet.– Tu as une grande envie ?– Non, un petit peu.– Alors pisse moi dans la bouche.– C’est difficile de le faire à plat, il faut que je soies accroupie– Aïe, cela va être difficile, comment va-t-on faire ?– Je vais essayer de pisser debout dans la salle de bain, plus précisément dans la baignoire. Viens on essaye.– Là, je suis couché sur le dos dans la baignoire assieds toi sur ma bouche et lâche-toi.– Gloup gloup gloup, gloup gloup,J’avale au maximum cette douche dorée, mais la coquine ne m’a pas dit qu’elle gardait sa pisse depuis ce matin pour m’inonder. Je ne peux plus avaler, mais c’est vraiment pas mauvais, un peu salé, cela me rappelle qu’à midi, elle m’a dit d’avoir mangé des asperges, c’est vraiment ça. Voila, la source se tarit, je vais pouvoir lui remettre un petit coup de queue et après dodo, je suis vraiment un peu trop crevé avec toutes ces femelles qui m’essorent les couilles.
– Demain, ton mari rentre demain, il faudra que je déménage ma brosse à dents et mon pyjama.– Eh ! Oui, les vacances sont finies, je pense que tu as bien rempli ton contrat. J’ai eu envie de vomir cet après midi,– C’est pas un peu tôt ?– C’est peut-être les asperges avec la mayonnaise pas trop fraîche ?– J’ai rien remarqué quand je t’ai bue.– Cela a été peut-être été filtré.– Bon on y va, je suis un peu fatigué avec cette suite de baises effrénées, après le radada, j’aimerai bien dormir pour remettre une dernière fois demain matin avant d’aller travailler.– Si tu es comme cela fatigué, on peut dormir tout de suite. Je ne suis pas une ogresse, surtout si tu me promets que le réveil sera chaud.
Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil, Jasmine se réveille en premier à 5heures et demi, je vais faire deux cafés pour se mettre en forme. Revenant dans la chambre, elle voit que Jean est aussi réveillé et la regarde avec des yeux tout amoureux.
– Cela te fait plaisir ?– Oui, tu es un amour.– Plus que Martine ?– Différemment, avec Rita, vous êtes les trois femmes que j’aime le mieux.– Quand tu vas tomber sur une petite jeune, tu vas nous envoyer aux pives, se plaint-elle.– Non, je ne pourrais pas vous oublier, surtout que deux d’entre vous portent mes enfants et ma mère c’est tout simplement impensables, il faudra bien qu’elle accepte la situation et éventuellement partager.– Cela me réchauffe le coeur de penser que notre aventure n’est pas terminée avec l’insémination.– Ouvres tes cuisses que je puisse prendre le complément du café, je ne pourrai pas me passer longtemps de ta cyprine, c’est la meilleure que j’ai jamais dégusté. J’aime ton odeur et goût de rousse et je suis un peu triste que tu aies teint tes cheveux, j’aimerai te voir avec tes vrais cheveux, longs et soyeux. Cela doit être encore plus beau.– Je te promets que je vais les reteindre dans leur couleur naturelle et ne plus les teindre par la suite.– Merci, dit-il en promenant sa langue sur toute la longueur de l’entre-jambe du pistil au trou du cul. Comment cela te fait quand je te suce le troufion.– C’est horriblement cochon, mais tu ne me mettras pas ta queue dedans tant que je n’ai pas la preuve que je suis en cloque.– Il n’en était pas proposition, juste pour voir si tu aimes.– Oui, cela m’excite fortement, maintenant, viens, prends moi. Je restes sur le dos pour pouvoir récolter encore de ta semence bien profond. Tant pis si tu parts trop vite, je sais que si c’est moi qui suis dessus, cela dure plus longtemps, mais je veux vraiment ne perdre aucune possibilité.Quelques temps plus tard, après un tangage mutuel, les deux explosent dans un orgasme remarquable, vu qu’il est un peu le dernier pour un certain temps.Dans la journée, le patron convoque son chef de production dans son bureau, il a l’air vraiment content de son séjour.
– Bonjour Jean, comment s’est passée mon absence.– Du point de vue travail, je pense que la production s’est faite sans autre, votre absence n’a pas nui au rendement, je dirai presque au contraire, de manière surprenante.– Cela peut se comprendre, si les ouvriers sentent moins la pression patronale et avec ma femme, comment a-t-elle passé mon absence, elle n’estpas fâchée de mon absence sans l’avoir prise.– Non, je ne crois pas, surtout que j’ai fait un maximum pour assurer sa grossesse.– Très bien, c’est là qu’on voit un ami fidèle, mais pas un mot à qui que ce soit. J’ai pas envie d’avoir une réputation de cocu.– J’ai fait très attention pour être un maximum discret.– Merci.Le lendemain, rebelote, le patron convoque à nouveau Jean dans son bureau :– Jean ! Qu’avez vous fait avec ma femme ?– Rien de plus que ce que je vous ai dit, nous avons régulièrement fait l’amour, mais sans plus.– Je n’en crois rien, elle est complètement chamboulée, je l’avais quittée en femme douce et pas trop agitée, je retrouve une tigresse, j’ai passé la meilleure nuit de tout les temps.– J’en suis enchanté, moi aussi je commençais à être sur les rotules. Cela a déclenché sa libido de manière démesurée. Mais que puis-je faire pour vous aider ?– Viens de temps en temps à la maison pour lui faire plaisir. Je vais jouer au candauliste. Mieux vaut cela que de ne pas pouvoir suivre. A deux, on devrait bien arriver à la calmer.– Je veux bien, mais il y a Martine, ma mère et maintenant Jasmine, j’espère que je vais tenir.– Tu es jeune, cela devrait aller. Au pire, on pourrait optimaliser la chose en les mettant ensembles. Cela les rapprocherait.– Je ne sais ce qu’en penserait Richard, il est pasteur tout de même.– Si on ne fait pas de publicité, cela ne devrait pas poser de problème, on se réunit pour jouer théoriquement aux cartes, suffit de tirer les rideaux et de fermer la porte.– Pour moi, cela me va, reste à convaincre les autres.– Tu ne veux pas t’en charger ?– Je pourrai le suggérer, mais il faut que tu donnes un signe d’accord. Comme le dimanche, on se retrouve à la cure, il faudrait faire les parties de cartes le mercredi. J’espère que cela suffira.
Une semaine passe et les anglais n’ont toujours pas débarqué chez Jasmine, je vois que mes spermatozoïdes ont bien travaillé et ont bien colonisé ses ovaires. Cela va m’enlever une part d’obligations pour ne laisser que le plaisir.
à suivre
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