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Quand on tire le diable par la queue

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Personnages :Jean, chef de production chez Watch & CoRita, la mère de JeanRichard, pasteurMartine, épouse de Richard, enceinte en fin de 8ème moisGeorgie, patron de Watch & CoJasmine, épouse de Gorgie, enceinte en fin de 5ème moisMaryse, nièce de GorgieEt deux nouveaux personnages :Eric, trappeur canadien, père de MartineSasaya, sang-mêlé canadienne, compagne de Eric.

On retrouve nos héros de la première partie dans une partie d’échangistes chez Georgie, lors d’un jeu pour faire connaissance.Le premier tirage est pour le moins surprenant.* Richard se retrouve en brouteur de motte de Maryse qui fut tout d’abord un peu effrayée quand elle a vu qui elleavait tiré comme partenaire, mais, Richard était passé maître est escalope à moustaches et ripolineur de clito.* Jean s’est vu attribuer le cul de Jasmine à préparer à la sodo.* Rita s’est fait brouter la moule par Georgie qui finit en râlant d’avoir des poils entre les dents et demande le filsdentaire.– Il faudra qu’elle essarte un peu son buisson, il y en a trop.– Je pense que ce pourrait être un gage suivant si la forêt est trop importante, mais selon la tradition, c’est auxreligieux que fut dévolue la coutume de l’essartage. Donc Frère Richard, je te prêterai les outils nécessaires.– C’est dommage, j’aimai bien sa luxurieuse forêt.– Tu n’es pas obligé de tout couper, mais juste un peu rafraîchir le maillot autour des grandes lèvres.
* Martine se retrouva en Pierre le Noir pour ce tour et se retrouva dans le rôle de presse citron à la mi-temps, cequi ne la gênait pas trop, vu son état.Le tirage suivant fût un peu triché vu que Richard et Rita avaient déjà une activité.Jean qui distribuait les rôles, oriente un peu le jeu en fonction de ses connaissances des envies qu’il connaît de chacun* Gorgie se retrouve en rapport normal avec Maryse, Jean sait que son patron bave depuis longtemps sur sa nièce.* Richard se retrouve en lèche cul avec Jasmine.* et les trois restants s’adonnent au triangle des Bermudes Jean la tête entre les cuisses de sa mère, sa mère lapant la chatte gonflée de Martine et Martine suçant la pine de Jean.
Georgie :
– Cela fait déjà un moment que je voulais te connaître de manière bibliquement, sentir ton jeune corps est vraimentune cure de jouvence pour moi.– Ouaf ! Tonton, tu n’es pas si mal dans ton genre, Tu n’as pas envie qu’on se mette en 69, j’aimerai bien goûter tonjonc. Répond Maryse.
Richard à Rita :
– Viens te mettre sur l’alèse, on ne va pas mouiller partout. Je te passe un peu de crème à raser avant d’élaguer.– Je pense que tu devrais d’abord élaguer aux ciseaux, ce sera plus facile après– Tu as raison, mais avant, je vais encore te lécher un peu avant que ce soit savonné.– Fais, c’est pas prévu, mais on dira que c’est la préparation à l’essartage.– Ta moule a toujours bon goût, je n’oublie pas que j’ai retrouvé l’amour du sexe grâce à elle.– Là, commence, sinon on va se trouver en retard.– Écarte bien tes jambons que je m’y retrouve.
À l’opposé, le trio ayant la bouche très occupée n’a pas un grand dialogue, mais on peut deviner que chacun apprécie lessoins que lui apporte l’autre. Quelques orgasmes plus tard, le round est déclaré terminé et si il y a quelqu’un qui se trouveen manque d’orgasmes, il n’avait pas besoin d’emprunter l’école buissonnière à la place du chemin du plaisir.
– Je dois vous annoncer que la semaine prochaine, Richard et moi, on ne va pas participer mercredi, mon père traverse l’Atlantique avec sa compagne et atterri à Genève Aéroport. Je vous proposerai de se retrouver en conseil synodal après le sermon. Déclare Martine.
– Chique de nouveaux partenaires.– J’espère que j’arriverai à l’affranchir de la situation sans le choquer.
Le dimanche, se passe sans trop d’excitation, Martine étant de plus en plus fatiguée, juste que Maryse passe la nuit chezRita pour la faire patienter.
Dans la cabane, au nord du canada :– Sasaya, je vais partir vers la Suisse, voir ma fille qui va accoucher, cela fait longtemps que je ne l’ai pas vue, tuveux venir avec moi ?– Eric, je pense que je ne pourrai pas vivre sans toi, bien sûr que je veux venir avec toi, est-ce qu’on prendra l’oiseaude fer.– Oui, on prendra l’avion. Je pense que je vais offrir à mon petit fils, la peau de notre ami le Grizzli qui a été tué par ces salopards de prospecteurs qui sont en train de tuer la nature dans les environs. On ira dire au revoir à Joseph et lui laisser nos chiens en pension pour un certain temps et après si on est pas revenu, il en fera ce qu’il veut.
– On pourrait lui dire de nous accompagner jusqu’à Saskatsheva.– Non, on descend en kayak, on arrivera pas à mettre plus que ce qu’on va prendre dans l’avion. Je vais prendre l’or que j’ai échangé l’hiver passé avec un chercheur d’or. C’est ce qu’il y a de plus condensé comme moyen.– Tu as déjà acheté les billets.– Oui, ils sont à disposition au bureau des affaires indiennes– Bon alors on part, je suis très impatiente à connaître ta famille. On dit que la Suède est un très beau pays.– Pas la Suède, mais la Suisse. Le pays des horlogers et des banquiers qu’on dit ici. On ira dans la partie qui s’occupe de l’horlogerie.Les voila embarqués dans leur Kayak après avoir confié leurs bien au vieux Joseph en lui demandant de bien prendre soinde leur cabane.Ils prennent ensuite l’avion des lignes intérieures jusqu’à Montréal, puis ensuite direct jusqu’à Genève. Sasaya passe toutle voyage en priant le grand Manitou pour arriver entière à bon port et scotchée au hublot en voyant par moment desnuages et la mer qui miroite en dessous.Les formalités en arrivant en Suisse sont sans problème pour Eric, mais évidement cela coince un peu à cause de Sasaya quin’a ni passe-port, ni visa. Mais là, Richard fait merveille. Dans la Rome protestante, il a les appuis nécessaires pour régler le problème et ne pas laisser Sasaya bloquée à l’aéroport. Il se porte garant. (maintenant, c’est plus possible, on la prendrait pour un suppôt d’Al-Qaïda canadien) Finalement après des formalités un peu longues, elle peut pénétrer dans le territoire de la Confédération Hermétique. (CH), en route vers le jura, pays de montagnes et de forêts qui lui rappellera un peu son Canada, les prospecteurs en moins.En arrivant, il se pose un premier petit problème pour le long terme, la chambre d’amis va bien pour le couple, mais àl’arrivée du bébé, ce sera un peu gênant, surtout la nuit quand on veut dormir. C’est là que Eric, bûcheron, trappeur, charpentier etc va se trouver dans on élément, il propose d’agrandir la maison de Jean, parce que là, il y a de l’espace, ce qui enchante Jean, ni une ni deux, il va après avoir reçu les autorisations nécessaires débarder des troncs dans la forêt, il emprunte à un charretier son cheval pour les amener à la scierie et il commence à agrandir du coté du nord la maison de Jean pour en faire pratiquement une seconde plus grande qui lui est collée. L’hiver peut venir, on sera prêt.
Mais qu’en est-il des parties fines ? Là, après la dernière, Richard les invite à leurs rencontres habituelles et ils sont bien surpris par la libéralité des moeurs, surtout quand Maryse qui en est aux derniers jours de vacances a envie de faireconnaissance plus intime avec les nouveaux venus.Une fois dévêtu, il n’y a pas de doute, Eric est trop équipé pour sa fille et Jasmine, il leurs déquillerait le guignol du tiroir,donc à part sa compagne qu’il met à disposition des autres, (il en a fait le tour de tout les cotés et un peu de nouveautél’attire vraiment.) il propose à Maryse d’essayer sa perforatrice de luxe .– Oui, lui dit-elle, mais pas trop fort au début, même avec Jean, je n’ai jamais été alésée par un tel alésoir. Il va y avoir du travail d’assimilation.– T’en fais pas, je ne suis pas un sauvage, je vais y aller doucement, mais avant, j’ai bien envie de déguster avec la bouche tous tes trésors en commençant par le haut, si tu n’as pas peur de ma moustache, dit-il en avançant une lippe avantageuse en direction de sa bouche. Ça chez nous on l’appelle un french kiss ou french tout court, mais je me souviens dans ma jeunesse, cela se disait une langue fourrée. On le dit toujours ?– Oui, mais il ne faut pas se bloquer au bouffage de museau, il y a d’autres endroits à visiter !– C’est vrai, montre voir ce qu’il y a de jolis en dessous, ces jolis petits seins, ils m’ont l’air bien appétissants, sans parler de ta moule, dont je sens monter les effluves jusqu’à moi. Je sens qu’on va bien s’amuser les deux.– Et moi Et moi dit Rita. Je vois que tu as un instrument qui m’intéresse.– Chacun son tour, il y en aura pour tout le monde qui désire.– Pour moi, Sasaya m’intrigue vraiment, je me souviens que gamin, j’étais fous des histoires d’indiens, alors, une vrai indienne, c’est mon rêve depuis longtemps. J’adore ses longs cheveux noirs qui lui tombent en dessous des fesses, sans parler de son corps musclé par une vie au grand air, corps que j’aimerai bien découvrir.– Il ne tient qu’à toi, je pense bien qu’elle sera d’accord de satisfaire tes fantasmes d’adolescents. N’est-ce pas Sasaya ? Répond Eric.– Oui, mon maître, tout ce que tu voudras et encore plus si entente.
A ce moment là, Eric voit sa bite faire l’objet d’une adoration véhémente de la part de Maryse.
– Maintenant que j’ai connu, ce que c’est qu’un séquoia, la petite bite de mon copain, elle me paraîtra bien triste, jen’étais déjà pas sûr après que j’aie baisé avec Jean, mais maintenant j’en suis sûr, elle ne saura me satisfaire.– Attends de l’avoir rangée dans ton garage, c’est là où tu sauras ce que c’est qu’un serpent de mer ou quand je tedéfoncerais la turbine à caca, tu auras l’impression d’avoir une bosse dans ton bas ventre.– Je crois que je ferais l’impasse de ce coté là. Le ramonage de ma moule devra bien me suffire, autrement, je risqued’être estropiée, ce qui ne m’arrangerait pas pour la reprise des cours, si je dois y aller avec une démarche decanard.– On va te laisser à ton rythme, je me souviens que quand je suis sur le dos et qu’on me monte, la cavalière peutmieux en profiter, mais avant viens faire reluire mes moustaches, j’ai bien envie de déguster ton abricot, cela mechangera des fruits sauvages de la savane.– C’est vrai que le goût de Sasaya est particulier et a vraiment le goût de fruits sauvages, confirme Jean, mettantl’ensemble des autres participants, dans l’envie de goûter aussi à ce dessert venu d’ailleurs.– Heureusement qu’Éric ne m’a pas touchée récemment, sinon, il y aurait un peu trop de jeu, chaque fois qu’il meprend, j’ai le con qui baille pendant un jour, mais là, il est juste à point pour toi. Par contre pour ce qui est desplaisirs de Sodome, j’ai pas trop envie, ce n’est pas dans notre culture.– On verra par la suite, je pense que si c’est bien préparer, tu vas en redemander, Cependant, je te déconseille decommencer avec Eric car là, tu risques bien de danser la danse des canards un moment.– Allez viens, j’ai envie de connaître un petit jeune blanc plein de force.– Tes désirs sont des ordres, surtout que ton bonbon est à point et que j’ai vraiment envie de tremper mon biscuitdans ta tasse de café.
Malgré la force de son désir, Jean ménage ses forces et se montre particulièrement endurant, si bien que c’est Sasayaqui part la première dans un orgasme, puis un deuxième.
– Je vois que tu aimes bien Homme blanc, plaisante Jean en continuant à la piocher avec ferveur.– Te moque pas de moi, je parle le français aussi bien que toi, ton accent suisse est à couper au couteau.– Pas autant que ton charmant accent canadien, j’adore.– Si tu n’arrives pas à libérer les esprits de la forêt qui colonise ton slip, je vais te faire rendre les armes avec malangue, elle est magique.– Non, c’est bon, mais cela arrive doucement, je profite au maximum de cet instant magique et merveilleux, jem’excuse si tu me trouves trop lent.– Non, j’adore aussi, mais je pensais que les autres aimeraient aussi en profiter et là, tu vas m’épuiser.– C’est vrai que je suis un peu égoïste, ce que je ne suis pas habituellement, toujours prêt à partager. Je vais continuer à te faire l’amour de manière classique, je vais à ce moment là, éjaculer rapidement.Quelques bons coups de rein plus tard, il déverse sa camelote dans la caverne d’Ali Baba.– Hé ! Lui dit-elle, je n’ai pas de protection, je n’ai pas trop envie de me faire engrosser, à moins que tu prennes tesresponsabilités.– Je ne serais pas contre, mais que dira Éric ?– Bah ! Tu sais, je pourrai toujours me mettre en ménage avec ta mère, je crois que je lui plais bien et c’estréciproque.– Bon, voila du travail pour moi se réjouis le bon Richard qui se voit déjà bénir ce double couples et enlever cettesuspicion de fornication de la part de la population envers Jean et sa mère.– Attends, c’est pas pour dimanche prochain, on va d’abord construire la maison et s’assurer que tous les intéresséssont intéressés, dit Éric en pensant que sa cabane au Canada est bien lointaine et que ses ressources ici ne sont pasillimitées. Quoiqu’en plus de bûcheron, charpentier, dans sa jeunesse, il a été fromager.... Il faudra encore que je trouve de quoi subsister. Je sais que j’ai de nombreuses cordes à mon arc et quand lesautochtones verront ce que je peux faire comme charpentier, je devrais pouvoir faire quelques chalets canadiensdans les environs.– Tiens, c’est une idée, en commençant par toi avec Jean.– Oui, après la séance, je vais me mettre au travail. Je ne connais pas trop les autorisations nécessaires pour commencer.– Je m’en charge disent Richard et Gorgie simultanément.– C’est bon d’avoir des amis qui peuvent aider.– C’est pas tout à fait gratuit, répond Gorgie, j’ai aussi envie d’agrandir ma maison et lui faire une annexe avec Sauna et jacuzzi.– Ce sera super quand elle sera faite, je saurai où placer ma peau de grizzli, paradoxalement, c’était presque un ami et presque apprivoisé, des salauds de prospecteurs l’ont tiré, mais devant ma détermination de les tirer eux aussi, ils ont préféré déguerpir.– Tu nous raconteras cela plus tard, il serait temps, d’avoir une petite collation pour faire une échange de partenaires.– C’est une bonne idée, j’aimerai bien câliner Rita, elle m’inspire autant que Sasaya, qui, je crois, a le béguin pour Jean.– J’aimerai aussi goûter les fruits sauvages dit Martine,– Je pense que maintenant, ces fruits ne sont plus trop sauvages, mais enduits de crème pas chantilly. Le goût en seramodifié.– Cela ne fait rien, j’aime aussi ta crème et ce sera peut-être un dessert succulent et dans mon état, je ne peuxvraiment pas me permettre plus.– Envoyé c’est pesé déclare Jean, il faut que je te dise, Sasaya, que Martine, la fille de ton partenaire est peut-êtrela mère de mon enfant, on ne sait pas si c’est Richard ou moi qui soient le géniteur, on a mis presque en mêmetemps.– C’est pas vrai ? Vous y allez fort.– C’était le deal, Richard est diabétique et il réussit rarement à avoir une érection, mais quand il m’a vu copuler safemme avec sa bénédiction, du coup, cela a déclenché chez lui aussi une érection et il s’est dépêché de transformerl’essai en but, si bien qu’on ne sait si c’est son sperme ou le mien qui a eu la faveur des ovaires de Martine.– Ça c’est sympa,– Oui et il n’est pas le seul, Georgie a aussi un problème, lui ce n’est pas l’érection qui le gêne, mais tout jeune, il a eules oreillons et de ce fait il ne pouvait pas avoir de successeur. Du coup il a fait appel au taureau du syndicat, moi enoccurrence, pour fertiliser sa femme. Si cela prend chez toi, tu ne seras malheureusement que la troisième que jemets enceinte, disons la deuxième et demi vu qu’avec Martine, on ne sait pas.– Donc, si je couche avec Georgie, on a pas besoin de capotes ?– Non, c’est ça l’avantage, avec moi, en principe, il vaut mieux entrer couvert si on ne veut pas avoir une descendancecomplémentaire. Du reste Georgie m’a dit qu’il comptait sur moi pour faire un petit frère ou soeur à ce qui est enroute.– Je peux aussi aider clame Éric si jamais tu es fatigué.– Cela veut m’épouser et cela fait déjà des projets pour me planter des cornes .– Mais non, pas du tout, c’est pour rendre service, comme Jean.– Bon on va étudier cela.– Mais à part cela que pensez-vous si on introduisait ma secrétaire dans notre cercle de connaissances proposeGeorgie.– Je proposerai qu’il y ait un examen par une personne neutre, c’est à dire Éric, moi et toi Georgie la connaissons et notre avis ne sera pas objectif, mais Éric pourrait nous donner un avis tout à fait correct sur ses possibilités.– C’est une bonne idée, si je vois la rentrer au bureau avec une démarche de marin en pleine tempête, je crois quej’aurai compris ce qui s’est passé, ricane Goergie– Quand je vois les pognes d’Éric, je me pose la question si il ne devrait pas plus tard faire aussi masseur quandj’aurai monté ma sauna, jacuzzi et baisodrome déguisé en massageodrome.– C’est que je n’ai aucune connaissance dans ce domaine.– Oui, mais tu as les outils, avec tes paluches, tu vas sortir premier de ta promotion. Je vais me renseigner si on peuttrouver quelqu’un qui te donne les enseignements de base.– Oui, je suis ouvert à tout.
On se retrouve au prochain chapitre, quelques mois plus tard.

PS pour le correcteur, c’est bien la Confédération Hermétique et pas Helvétique qu’il faut prendre.
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