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Quand vient la canicule !

Chapitre 1

Travesti / Trans
Inspiré par des faits partiellement réels, je me présente, Alexandre, en couple avec Corinne depuis une quinzaine d’années. Couple plutôt discret et très classique, nous sommes assez aisées, une sexualité classique et cadencée. Seule exception, une folie achetée à un sex-shop, un double gode ceinture, ma femme m’ayant sodomisé une fois avec pour essayer à ma demande, la ceinture n’étant pas bien réglée, elle n’avait pas apprécié le gode qui la remplissait. Le gode ayant disparu au fond d’une armoire depuis ce jour-là et nous n’en avons jamais reparlé.
Arrive l’été dernier, quelques jours de forte chaleur, notre région n’était pas considérée en canicule, mais nous ne devions pas en être loin.
Perso, je me traînais en short et débardeur, Corinne, elle déambulait en petite robe légère qui virevoltait à chaque petit courant d’air, je la regardais, je la trouvais super sexy. Elle a repéré que je la regardais plus qu’à l’habitude, aussi elle m’a posé la question. Je ne sais toujours pas pourquoi ma réponse ne fut pas simplement de lui dire que je la trouvais sexy, au lieu de cela, je lui annonce que je suis jaloux des femmes qui ont la possibilité de porter des tenues aussi légères.
— Qu’est-ce qui t’empêche de mettre une robe ! Me dit-elle.— Je ne voudrais pas te choquer !— Viens avec moi.
On arrive dans notre chambre, elle plonge dans son armoire qui déborde de fringues.
Ah voilà ! Me dit-elle
Elle me tend une robe débardeur assez vague.
Enfile !
J’enlève short et débardeur et m’exécute. Drôle de sensation, bon, je suis plutôt serrée, visiblement vague, mais quelques tailles de plus seraient les bienvenues. C’est tellement moulant que l’on voit franchement mon boxer à travers.
— Ah oui le boxer en dessous ça ne va pas, dit-elle.
Je me change et nous partons déjeuner. Le midi, Corinne m’annonce qu’elle va faire les soldes l’après-midi et souhaite que je l’accompagne. Ce n’est pas ma tasse de thé, mais bon, je vais y aller quand même.
Nous arrivons dans un magasin d’usine qui regroupe plusieurs marques. Nous partons chacun dans nos rayons respectifs, de mon côté, pas vraiment de besoin, Corinne me rejoint avec plein de vêtements dans les bras et me demande de la suivre aux cabines afin que je vois.
On prend la cabine handicapée, comme cela, on pourra rentrer tous les deux dedans, annonce-t-elle. Dans mon esprit mal tourné, je pense de suite qu’elle veut se montrer en tenue sexy.
Déshabille-toi et enfile cela. Elle me tend une robe saharienne kaki. Bon, je vois que je n’ai pas le choix. Dépêche-toi, tu as tout cela à essayer, je ronchonne, mais au fond de moi, cela m’excite un peu, cela se voit sous mon boxer.J’ai donc essayé la robe saharienne kaki, la taille est parfaite si ce n’est qu’évidemment, je manque un peu de poitrine. Une robe chemise grise fait aussi l’affaire. Vient ensuite une robe à bretelle noire, je la trouve jolie, mais mon manque de poitrine fait que les bretelles tombent sur les cotés, il faut coincer les bretelles au soutien-gorge, me dit Corinne.
Pour info, je n’ai vraiment pas l’utilité de soutif, lui dis-je.
La promo, c’est 1 acheté, 1 gratuit, Corinne décide donc de me prendre les deux premières robes. On ressort de la cabine, j’ai vraiment attrapé chaud lors des essais, aussi, je décide de sortir directement du magasin pendant que Corinne paye.
Elle me rejoint à la voiture, elle sort du sac un lot de trois culottes tanga : " ce sera plus discret sous tes robes"
Je vais pour monter dans la voiture quand elle me dit que l’on doit aller dans le magasin d’à côté : "et maintenant des chaussures"
— J’ai ce qu’il me faut, je crois.— Pas pour aller avec une robe, on va prendre quelque chose d’assez mixte, des espadrilles.
Arrivé dans le bâtiment, je suis rassuré de voir des espadrilles, coté homme, Corinne me suit, "elles sont moches, allons au rayon femme" me dit-elle. Effectivement, les modèles changent, des petites coutures plus fines, bicolores, une semelle avec un motif plus travaillé. Corinne me tend des espadrilles rose pâle avec des coutures beiges.
Trop femme !
Ça ira bien avec tes deux robes, allez, essaye.
Je suis un peu gêné de les enfiler devant toutes les femmes qui passent dans le rayon. Certaines sourient, Corinne, volontairement, s’exclame " j’adore" ce qui fait se retourner pas mal de têtes. Elle est vraiment bizarre aujourd’hui, elle valide mon ou plutôt son choix.
— Et je sais à ton petit sourire en coin qu’elles te plaisent, ces chaussures.
Ma fierté m’interdit de lui dire qu’elle avait raison.
Enfin, on rentre à la maison. A peine arrivé, je pars me changer, Corinne m’en ayant fait la demande lors du trajet retour. Je prends donc la robe KAKI, je coupe les étiquettes, attrape le lot de culottes, il n’y a pas le choix, les trois sont roses. J’enfile robe, culotte et espadrille et descends rejoindre Corinne dans la cuisine.
— Superbe et quel raffinement d’assortir ses chaussures à la culotte.

L’après-midi se passe tranquillement quand Corinne ouvre le journal en grand sur la table de la salle à manger et se penche pour le lire. Je vois ses belles fesses dessinées sous sa robe, cela donne envie.
— Viens voir.

Je vais à côté d’elle et me penche aussi, de suite sa main passe dans mon dos, caresse ma robe et descend jusqu’à mes fesses.
— Je me ferai bien un petit cul là maintenant.— Qu’est-ce qui te prend aujourd’hui ?
Elle descend sa main sous ma robe et remonte celle-ci, je me retrouve donc en culotte, accoudée sur la table. Elle soulève sa robe et que vois-je, elle a mis le gode ceinture.
— Je croyais que tu l’avais oublié.— Non non, cela fait quelque temps que je cherchais l’occasion de le ressortir, j’ai regardé sur Internet comment mieux le mettre pour mieux en profiter, là il est bien attaché, je l’ai depuis notre retour et il m’a fait beaucoup de bien lors de mes activités.
Je vais pour me relever, elle me retient en appuyant de ses deux mains sur le bas de mon dos puis baisse ma culotte qui me tombe aux chevilles, mon sexe est dur, Corinne le voit et vient me chatouiller les bourses.
Sa main gauche me caresse les fesses, cela m’excite vraiment, j’essaye de contrôler ma respiration afin que Corinne ne le ressente pas. Sa main droite part en exploration, après m’avoir une nouvelle fois caressé les couilles, son index remonte le long de ma raie, il ne fait que passer puis disparaît, il revient d’un coup sec directement dans mon anus, ce fut sévère même si elle avait humidifié son doigt. Son petit membre visite tout mon intérieur, un vrai état des lieux, il ressort sans doute pour appeler ses voisins, car c’est à deux puis à trois qu’ils viennent désormais. Mon anus est bien dilaté, Corinne l’a vu et elle me rentre son gode d’un seul coup, je ne peux m’empêcher de pousser un cri, après elle enchaîne des petits allers-retours en prenant soin de désaxer son gode afin qu’il vienne effleurer ma prostate. Je prends vraiment mon pied, je ne peux retenir tout un ensemble de petits cris, j’éjacule, c’est la première fois que mon sexe part seul sans aucune action de sa part.
Pour Corinne visiblement, elle n’y a pas trouvé son compte, je l’interroge, elle me le confirme, pas assez de rythme pour elle. Je suis toujours ventre à plat sur la table de la salle à manger, le gode de Corinne enfourné dans mon cul. Je lui propose de prendre vraiment son pied en n’écoutant qu’elle, mon anus étant dilaté, cela ne devrait pas me faire mal. A peine ayant fini ma phrase que le gode fait un va-et-vient violent, des coups qui se répètent sans cesse, elle bouge son bassin afin que le gode qu’elle a en elle lui donne un maximum de sensation. Pendant 20 minutes, mon cul fut littéralement labouré pour ne pas dire explosé. Enfin, elle s’arrête, je ne la croyais pas aussi résistante, une vraie coureuse de fond.
Quand elle se retire, je ressens presque qu’un manque, je vais aux toilettes, je reviens, elle est partie prendre une douche, je vois que notre double gode est posé dans le lavabo, je n’avais pas souvenir qu’il était aussi gros.
De retour dans le séjour, Corinne me rejoint et me met une claque sur les fesses, ce qui me fait réagir, j’ai crois que j’ai les fesses qui sont restées sensibles suite à nos ébats, lui dis-je. Me voyant marcher, elle me dit, eh bien, ma chérie tu roules du cul maintenant.
Je sors dans le jardin pour arroser les légumes, j’entends qu’elle parle, elle est sans doute au téléphone avec sa sœur, je continue de vaquer à mes occupations.
Tout à coup, j’entends "Waouh, superbe l’Alexandre, ou plutôt Alexandra, devons nous dire". Corinne est là avec nos deux voisins. Je rougis, enfin, rouge, le mot est faible. Cela les fait rire, Corinne les a prévenus que j’avais une tenue adaptée aux grosses chaleurs.
— Christian et Pascale sont venus nous inviter à l’apéro demain.

A peine nous ont-ils quitté que Corinne me dit : "je savais que cela te plaisait."
— Quoi ?— De te promener en robe, j’étais convaincu que tu irais te changer quand nous avons démarré l’apéro et je vois que passé l’effet de surprise, tu étais très à l’aise en robe, d’ailleurs, ils l’ont remarqué.
Corinne reçoit un SMS de Pascale : "Merci pour cette soirée improvisée, à demain, ps : si Alexandr (a)e souhaite venir en robe, il n’y a pas de soucis, mais dis-lui de se raser les jambes, ce sera plus joli".
Je demande à Corinne ce qu’a écrit Pascale, réponse : juste un remerciement pour la soirée.
Nous partons nous coucher, Corinne me caresse les fesses, elles vont bien, mais juste le fait de glisser un doigt le long de ma raie me fait encore réagir.
Chouette, nous profitons d’une grosse mat., rien de prévu dans la journée, sinon l’apéro le soir. Corinne s’active quand même pour aller faire des courses.
— On les a fait hier !— Oui, mais j’ai oublié des choses hier.

Je ne comprenais pas l’urgence, mais la voilà déjà partie. Je pars à la douche puis je vais pour m’habiller quand un doute ou plutôt une envie me vient. Mes bermuda et tee-shirt m’attendent sur le lit, mais pourtant, je ne sais pourquoi, c’est l’une de mes nouvelles culottes roses que j’enfile ainsi que la robe chemise grise. Les espadrilles roses aux pieds, je vais bricoler, j’ai deux ou trois choses à réparer.
Corinne est déjà de retour. Me voyant dans ma robe chemise, elle me félicite de mon choix du jour.
— J’ai mieux pour ce soir.— Quoi ?— Je suis allée t’acheter une tenue pour ce soir, tu sais la robe à bretelles.— 1, elle ne m’allait pas. Deux, je ne vais pas aller chez les voisins en robe.
Elle me tend son téléphone pour voir le SMS que Pascale lui a envoyé la veille.
— Allez, fais-moi ce plaisir stp.
Elle déballe ses achats, la robe noire à bretelles, une culotte noire en dentelle, un soutien-gorge noir aussi en dentelle puis sort de leur boîte, des mocassins à petits talons plats. Il reste des choses dans son sac qu’elle ne sort pas.
— Je ne vais quand même pas mettre un soutien-gorge et tout cela et aller chez les voisins dans cette tenue.— Allez, pour me faire plaisir, avant, on fera une GODE-PARTY si tu veux pour te détendre.
Elle fouille à nouveau dans son sac et me tend un tube.
— Tiens, Pascale a raison, les poils, ce n’est pas cela, allez, va enlever tout cela.
J’attrape ce qui est une crème épilatoire, bon, je me suis toujours demandé les sensations que ça faisait de ne plus avoir de poils. Corinne insiste pour que j’enlève tout, jambes, bras aisselles, sexe. J’arrête donc mon bricolage et retourne à la salle de bain. Ce fut rapide, c’est cool le ressenti de l’eau sur la peau lisse. Je me rhabille et rejoins Corinne, celle-ci sourit et m’embrasse en passant sa main sous ma robe pour me caresser mes cuisses désormais toutes douces.
— J’adore.

Coup de fil de Pascale qui demande si elle peut passer chercher le plat pour cuire une paella. Moins de cinq minutes après le OK de Corinne, Pascale débarque, je lui ouvre, car Corinne s’épile les sourcils dans la salle de bain.
— Elle te va bien aussi cette robe.— Ravie que cela te plaise, j’appelle Corinne, elle est dans la salle de bain.— Et puis, épilé, c’est mieux, c’est d’ailleurs ce qu’est en train de faire Christian.— Ah, je n’avais jamais remarqué que ton grand baraqué était épilé.— Rejoignez-moi.

Nous arrivons dans la salle de bain, elle est là en string et soutien-gorge minimaliste à travailler de la pince à épiler.
— Ça m’énerve, je n’arrive jamais à bien le faire.

Pascale propose de lui faire, car elle avait appris dans sa jeunesse, elle attrape la pince à épiler et c’est vrai qu’elle a le geste rapide, il faut peu de temps pour que Corinne se retrouve avec deux magnifiques sourcils fins, avec une belle courbe et surtout complètement symétriques.
— Je crois qu’Alexandre en a besoin aussi, n’est-ce pas Corinne ?— Oui, bien sûr !— Et mon avis les filles ?— J’épile bien aussi ceux de Christian.
Je me laisse faire et refaire, car les filles ne s’entendent pas sur la limite. Je ne suis pas rassuré quand Pascale annonce qu’avec mon visage fin, des sourcils assez fins ça fait mieux, Corinne trouve que cela fait un peu féminin, je me retourne vers le miroir et effectivement, c’est très travaillé, vraiment trop raffiné pour un homme.
— T’inquiète ou tu t’habitues ou tu relaisseras repousser tranquillement.— Tu te manges tes ongles, j’ai une technique si tu veux, ça marche sur Christian.— C’est quoi ?— La pose de faux ongles, j’en ai à la maison, si tu veux, ce soir, je t’en poserai.
Corinne acquiesce.
On redescend à la cuisine où Corinne passe le plat à Pascale.
— Merci, bon j’y vais, je vous laisse vous maquiller les filles et vous pouvez venir dès que vous êtes prêtes.— Les filles, les filles, on se calme.— Un peu de maquillage et les cheveux un peu ondulés, tu sais Alexandre, tu serais une belle femme, allez, essaye pour ce soir, cela reste entre nous.— Oh oui.

A peine la porte est-elle claquée que Corinne m’emmène dans la chambre afin que j’enfile ma tenue du soir.
En premier, la culotte en dentelle, bon, pas très élastique tout cela, j’arrive à tout rentrer dedans en rabattant mon pénis entre mes jambes.
Arrive le soutien-gorge, mais c’est compliqué à accrocher dans le dos, Corinne me vient en aide. Drôle de sensation d’avoir une espèce de harnais comme cela qui nous maintient. Bon même si Corinne a pris des bonnets A, le tissu flotte sur mes seins, Corinne annonce qu’elle a la solution et part fouiller dans le sac de courses. Elle me tend des amplificateurs de poitrine en silicone et gel, avant que je ne les attrape, elle décide de me les placer directement, me voilà donc avec des petits seins, suffisants pour remplir mon soutien-gorge. Bon, je ne lutte plus, ce soir, je serai une travestie. Je mets ma robe, effectivement, il faut coincer les bretelles. On devine la dentelle au niveau de mon décolleté, eh, je me trouve tout d’un coup très sexy. Je suis Corinne dans la salle de bain, m’assois et la laisse faire son œuvre, fond de teint, cils, mascara, etc. Je vois qu’elle prend plaisir à me maquiller.Elle attrape le sèche-cheveux, mouille et structure ma coiffure comme elle dit.
— Et voilà, qu’en penses-tu ? Dit-elle.

Je suis à la fois gêné, mais je me trouve pas mal en femme.
— Je n’aurai jamais cru que je pourrai faire illusion en fille.
J’enfile les mocassins qui me vont parfaitement. Je reste planté devant la glace, immobile, mon reflet me perturbe.
— Franchement, Alexandre, tu fais vraiment illusion, tu fais femme un peu androgyne plus que homme travesti, j’espère que cette soirée ne sera pas que l’unique occasion de te voir comme cela.— Ah bon, ça te plaît de voir ton mari en femme, tu m’étonnes de plus en plus ces heures-ci.— Bon, jeune femme, laisse-moi la salle de bain que je me prépare, va chercher le courrier, je ne l’ai pas pris en passant.
J’attrape les clefs et pars au bout de notre allée, sur un parking où est placé le bloc des boîtes aux lettres. Je suis à la fois gêné, mais aussi excité à l’idée de me promener ainsi. Je surveille les fenêtres des autres maisons, je vois un rideau se soulever, une petite vieille, Madeleine qui passe sa vie à surveiller les autres, bon là, je vois qu’elle fait une fixation sur moi, il n’y a pas de doute.
Pas de courrier, j’y suis allé pour rien.
Corinne m’attend dans la cuisine, elle s’est mise vraiment en beauté, super élégante et sexy.
— Du courrier.— Non rien, mais Madeleine m’a vu.— Bon, eh bien, comme cela, tout le quartier va savoir d’ici ce soir que tu te travestis donc t’as pas à te cacher.— Ah oui, trop drôle.
Corinne souhaite que l’on fasse un selfie ensemble et de suite l’envoie. Bip de son téléphone, un SMS de Pascale "trop belles les filles, venez quand vous voulez".
— T’es prête, je te cherche un sac à main.— Le féminin n’est peut-être pas obligatoire.— Dans cette tenue, si, Alexandra, il faut aller jusqu’au bout des choses, tiens.
Elle me tend un sac à main noir, je vide les affaires de ma veste et place le tout dans le sac à main. Corinne nous attrape à toutes les deux des petits chandails pour la fin de soirée précise-t-elle.
Sorties de la maison, Corinne n’arrête pas de m’observer, on traverse le parking, le rideau de Madeleine se soulève, Corinne lui fait un signe de la main, je fais de même, là "notre" Madeleine sera certaine que c’est bien moi qui suis métamorphosée.
On arrive chez Pascale qui nous attend devant la porte, elle nous fait la bise, elle aussi s’est habillée de façon très élégante. Christian nous rejoint, il nous fait aussi la bise, ce qui étonne nos femmes quand elles voient Christian poser sa main sur ma hanche pour m’embrasser. Il me dit qu’il me trouve mignonne comme cela, je croyais que c’était une blague moqueuse, mais il précise que non, qu’il le pense vraiment. Je l’observe, effectivement, je vois que ses chevilles, ses bras n’ont pas de poils et ses sourcils sont très calibrés, de suite je fixe ses mains, ses ongles sont presque trop parfaits et vernis (transparent). Pascale, voyant mon regard insistant sur les mains de son homme, me demande de la suivre.
Nous allons dans leur chambre, elle me fait asseoir devant sa coiffeuse et naturellement, je lui tends mes mains. Corinne nous rejoint.
— Je n’ai plus que des faux ongles fins et un peu longs, mais comme tu as les doigts fins, ce sera très bien.— On peut les couper.— C’est compliqué, je les pose, on verra après.
Pascale s’applique, je mange tellement mes ongles qu’il n’y a pas beaucoup de bases pour poser la colle. Tout est posé, effectivement, mes ongles dépassent mes doigts d’au moins cinq millimètres.
— Effectivement, pour un homme, cela fait assez long, mais là, avec cette tenue, cela fait très classe, choisis le coloris.
Corinne préconise le rose, Pascale un rouge très soutenu, moi je choisis le beige. Double couche de vernis, je me retrouve avec des mains magnifiques, très féminines, il est vrai, mais magnifique. Pascale me précise que Christian ne veut jamais de couleur sur ses ongles.
On se retrouve autour d’un café, Christian me félicite pour ma manucure. Il faut que je m’habitue, car quand je me gratte la figure, j’appuie trop fort et cela me marque. Christian doit faire un aller-retour à son bureau et me propose de venir avec lui, les femmes donnent leurs OK de principe, j’attrape mon sac à main et c’est avec l’épaisse main de Christian sur mon épaule que nous partons rejoindre sa voiture. Son geste me trouble un peu.
Il m’ouvre la portière de son gros 4x4, ma robe limite mes gestes, je me retrouve assise, la robe remontée à mi-cuisse.Le voilà au volant, il me mate les cuisses, je vois son regard fuyant. Il ne faut que quelques mètres pour qu’il m’avoue que je le trouble dans cette tenue, mais s’il n’a jamais eu aucune pulsion homosexuelle précise-t-il. Mon regard vient de tomber sur son entrejambe, visiblement, son bermuda a l’air un peu gonflé et au lieu d’être choqué, je sens que cela m’excite aussi, mon sexe voudrait prendre ses aises si ce n’est qu’il est bloqué par ma culotte en dentelle. Un silence s’installe et l’ambiance est lourde, on sent bien qu’il se passe quelque chose. Tout à compte, Christian rompt le silence.
— T’as déjà embrassé un garçon ?— Une fois, un peu bourré dans ma jeunesse sur un pari.— Et alors ?— Il avait une moustache aussi, ça faisait bizarre, sinon il embrassait bien.— J’aimerais essayer, tu serais d’accord, on garderait cela pour nous.
J’hésite, mais au fond de moi, j’en ai envie, c’est certain, cet homme m’attire. Il a compris dans mon regard et gare la voiture. Sa grosse main se pose sur ma cuisse et il vient poser ses lèvres sur les miennes. C’est à mon initiative que nos langues s’entremêlent. Il embrasse bien. C’est sans un mot qu’il redémarre la voiture, mais on ne bouge pas, il me regarde.
— Je t’ai enlevé ton rouge à lèvres.
Je fouille dans mon sac, Corinne a pensé à tout, aussi, j’attrape le tube pour me faire une retouche, une fois fini, je regarde Christian qui me confirme que je suis bien remaquillée. Nous reprenons notre chemin, arrivons dans la rue de son bureau, Christian me tend la main pour m’aider à descendre de son monstre, il me garde la main et c’est ainsi, nos doigts entrecroisés, que nous arrivons à son bureau. Je suis certain que son sexe est tendu comme pas possible, son bermuda en jean est complètement déformé, nous sommes bien conscient tous les deux qu’il faut qu’on aille plus loin, mais le gène nous bloque.
Dans son bureau, il fouille pour trouver le document qu’il cherchait, je suis face à la fenêtre pour contempler l’environnement. Tout à coup, plus un bruit, je sens un souffle dans mon cou, je ne bouge pas, ses deux grosses mains sont en train de soulever ma robe, je me retrouve en culotte, ses mains massent mes fesses, une des deux quitte mon cul pour aller déboutonner son bermuda, je l’entends tomber à ses pieds, le caleçon suit aussi, je ne vois rien, je devine tout au son et me laisse faire, il ne faut pas que je me voile la face, j’ai envie que cet athlète me prenne. Ses mains baissent ma culotte, un doigt humidifié vient pénétrer mon petit trou, à peine ressorti, je sens son membre venir pointer sa cible, il pousse très fort et après plusieurs tentatives, son sexe rentre et je pousse un cri. Il tape vite et fort, j’ai l’impression que c’est un animal qui me prend, son souffle est très fort, mes fesses claquent sur ses cuisses à chaque mouvement, mon sexe vient d’éjaculer sans même qu’il me le touche, je vois que j’ai repeint le mur et que ça glisse derrière le radiateur.
Christian continue son déchaînement, sacrée endurance ce sportif, je sens un liquide chaud envahir mes entrailles, sa respiration est saccadée, je le sens prêt à fuir, mais dès que ces couilles sont collées à mes cuisses, je contracte mon anus pour le bloquer au fond de moi, je retourne ma tête pour attraper un baiser, il a compris, il reste collé et nous prenons le temps de mélanger une nouvelle fois nos langues. Je relâche mon effort et le laisse sortir de moi, même à demi mou, son sexe me paraît encore très gros. Il part rejoindre les toilettes pour se nettoyer, me précise qu’il y a des toilettes pour femmes au bout du couloir, mon sexe est dégoulinant, j’enlève ma robe afin de ne pas la tacher. C’est donc en soutien-gorge, culotte et robe à la main que je pars faire une toilette.
Nous nous rejoignons ensuite, Christian me demande si j’ai apprécié, je lui réponds positivement, il se renseigne si je serai prêt à recommencer, je lui demande de prendre un temps de réflexion, mais pour ne pas le décevoir, je lui fais un bisou qu’il peut interpréter comme un oui à sa question, nous repartons.
De retour chez eux, nos femmes nous attendent tranquillement assises devant un verre d’apéro.
— Vous avez été longs les hommes, vous étiez restés collés.

Si elle savait.
— On a un tour d’apéro d’avance sur vous les gars, ajoute Corinne.

La soirée se déroula tout doucement, Christian assis à côté de moi, prenait aussi souvent que possible des risques en posant sa main sur ma cuisse, main que je n’arrivais pas à refuser.
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