Nous venons d’arriver. La maison est très jolie , spacieuse et perdue au milieu des pins : pas un voisin à moins d’un kilomètre.Cette maison de famille, Thomas la tient de son père qui aimait se perdre dans les Cévennes.Nous sommes venus à deux couples : Thomas avec Alice et moi avec Claire. Au programme de la semaine : balades, lectures et repos.Nous avons fait quelques provisions au village, préparé un dîner tout simple mais copieusement arrosé, comme il se doit. Les produits sont bons, pas besoin d’en faire des tonnes.Le vin du repas entraîne l’allumage d’un petit pétard digestif que nous faisons tourner tranquillement. Les cigales font moins de boucan , le soleil s’est calmé , la fraîcheur commence à descendre sur la petite vallée.Je suis rapidement high et c’est très agréable. Nous refaisons le monde tranquillement, parlons de nos projets : tour du monde en train , voyage au Népal ... Rien de bien sérieux, mais c’est si doux d’imaginer des possibles.On a mis un peu de musique sur la vieille chaîne du salon et les filles se sont mises à danser. Thomas et moi les regardons en souriant bêtement. J’ai l’impression qu’il est aussi perché que moi.Pour nous faire rire, les filles entament un slow langoureux, façon "Mulholland Drive" : Claire la brune , Alice la blonde : le cliché.La musique continue de tourner. Je nage dans un joyeux brouillard. Thomas commence à avoir son "sourire 420" : les yeux qui brillent , et un rictus un peu niais. Je le trouve plutôt beau - mais vu mon état , je trouve le monde entier d’une beauté saisissante. Son sourire découvre ses dents et creuse sa fossette. C’est mon ami depuis toujours et je l’aime comme un frère. Je voudrais arrêter le temps. J’aime Claire, et je découvre Alice. La nature autour est belle. La vie est d’une douceur incroyable.Alors que je me suis perdu dans cette contemplation béate, les filles semblent s’être prises au jeu : le slow est devenu un show saphique surjoué et comique .Claire a remonté sa petite robe d’été et découvre ses cuisses qu’Alice fait mine d’enjamber. Elles exagèrent des frottements de pubis. C’est toujours drôle, mais vraiment chaud.Je regarde Thomas qui regarde les filles qui nous regardent en souriant.Sans nous lâcher des yeux, Alice prend le visage de Claire entre ses mains et l’embrasse à pleine bouche. Claire se laisse faire, ferme les yeux. Elle a arrêté de danser.Claire passe ses mains autour des hanches d’Alice et la colle à elle dans ce long baiser.Alice remonte encore plus la robe de Claire, laissant voir ses un joli string que je connais bien. Elle prend ses fesses à pleines mains.Claire commence à dégrafer la robe d’Alice , découvrant un joli soutien-gorge en dentelle fine. Simple. Un dessous d’été, sexy sans vulgarité.Les deux filles nous regardent. Il est encore temps de dire "c’était une blague! on vous a bien eus" ... Mais Thomas et moi restons là à les regarder, sans oser respirer.La soirée bascule.Claire finit d’ouvrir le haut de la robe d’Alice et commence à lui ôter son soutien-gorge.Alice est plutôt fine, avec une poitrine plutôt petite, mais très jolie - j’aime beaucoup. Elle contraste avec Claire qui est plus en rondeur, sportive.Claire embrasse Alice entre les deux seins. Alice regarde Thomas semblant lui demander «Est-ce que je continue? »La robe d’Alice est désormais au sol. Claire s’écarte un peu . Alice est exposée, devant nous, en culotte. Je vois pour la première fois son corps presque nu. Ses seins sont un peu enfantins, son corps un peu anguleux mais dégage une douceur très tendre.Elle fait glisser elle-même sa culotte sur le sol avec un mouvement maîtrisé et déterminé.Nous regardons tous son corps exposé à la faible lumière de la pièce. Elle regarde droit devant elle, son sexe blond offert à la lumière. On dirait une statue.Elle s’approche de Claire et empoigne ses fesses. Tout en l’embrassant, elle lui ôte sa robe par le haut, en prenant le temps de remonter le long de ses hanches, de ses épaules, de ses bras.
Claire dégrafe elle-même son soutien-gorge, laissant s’épanouir ses seins lourds. Par pudeur peut-être, elle pose ses mains sur ses seins.Alice s’agenouille et fait glisser la culotte de Claire sur ses jambes.S’arrêtant aux genoux, elle prend un peu de recul pour observer la chatte de Claire.Claire est épilée et ne laisse qu’une légère touffe de poils au-dessus de sa fente. Alice regarde avec curiosité cette nouvelle invitée. Je pense que c’est la première fois qu’elle voit un autre sexe de femme d’aussi près. Elle semble intriguée et ravie.Se relevant doucement, elle écarte les mains de Claire pour dégager sa poitrine. Elle y pose d’abord ses mains puis prend ses seins à pleine main.Elle les caresse avec curiosité, les soupèse, appréhendant leur poids, goûtant leur texture.L’air dans la pièce semble aiguisé et sec. Nous n’osons pas avaler notre salive. Pas un mot ne sort de nos bouches. Nous sommes subjugués par la beauté de cet instant.Claire aide Alice à s’allonger sur le tapis et l’embrasse encore.Alice pousse des petits soupirs.Claire descend le long du corps d’Alice et vient poser ses baisers sur le duvet blond.Sans un bruit, effrayés de rompre le charme, Thomas et moi nous approchons.Je vois la langue de Claire monter et descendre le long des lèvres d’Alice. Avec ses mains elle les écarte et laisse entrevoir l’intimité rosée. Visiblement Alice n’est pas insensible car elle mouille abondamment.Claire pousse son visage dans la chatte d’Alice et commence à la dévorer doucement. Alice se cambre, ses hanches ondulent. Elle cherche Thomas du regard.Ce dernier se caresse en regardant sa copine prendre du plaisir. J’en fait de même de mon côté. Nous nous regardons et sortons nos sexes de nos pantalons.C’est la première fois que je vois le sexe de Thomas en erection. Nous nous étions déjà vu sous les douches au sport mais rien de plus. Je découvre le gland décalotté de mon ami, sur lequel son prépuce glisse à chaque mouvement.Les filles nous regardent, bandés face à elles. Nous savons les uns et les autres qu’il n’est pas ici question de les rejoindre, mais nous participons à leur plaisir par notre excitation. Nous nous déshabillons aussi et nous installons à un mètre des filles, tout en nous caressant.Le plaisir d’Alice semble monter très vite et, par une sorte de pudeur, elle semble s’arrêter au bord de l’orgasme.Elle regarde Claire et l’embrasse comme pour goûter ainsi sa propre chatte.Les rôles s’inverse et Alice commence à jouer entre les jambes de Claire.Je connais le sexe de Claire et je partage les sensations d’Alice lorsqu’elle commence a goûter la chatte de ma copine. Le goût de son sexe est légèrement acidulé et j’aime m’y abandonner. Alice comprend vite le chemin du plaisir de Claire et tout en prenant son clitoris à pleine bouche, elle insère un doigt, puis deux dans la fente offerte.Retournant sa main je sens qu’elle cherche cette zone un peu rugueuse si sensible pour Claire.Claire ferme les yeux et ne semble pas vouloir, elle, s’interrompre avant d’avoir joui.Enserrant la tête d’Alice de ses jambes, Claire monte vers le plaisir.Thomas et moi continuons de nous masturber. Cet interdit implicite de rejoindre les filles est délicieux. Nous ne sommes là que comme témoins de leurs plaisirs. Voyeurs.Je ne peux m’empêcher d’admirer nos quatre corps dans le grand miroir du salon, "vivants piliers" dirait le poète. Ce lieu est un temple éphémère. Les filles continuent leur jeu devant nous, désormais enlacées en soixante-neuf, tandis que Thomas et moi, à genoux devant elles, affichons nos sexes dressés, offrandes votives.Nous sommes très proches, si bien que , voulant réajuster notre position, nous pivotons du buste l’un et l’autre et , ce faisant, nos deux queues dressées se croisent. J’ai déjà entendu parler des "sword fights" , mais je n’ai jamais eu de tel jeu. La résistance de nos deux queues bandées l’un contre l’autre est tout à fait troublant. Cependant trop surpris, nous n’avons ni l’un ni l’autre le temps de réagir.Toucher ainsi mon ami, presque mon frère, est tout étrangement apaisant. Est-ce l’effet du pétard mais je me sens en communion totale avec lui, ... avec elles.Tout à leur jeu, Alice et Claire se découvrent, se lèchent , se goûtent et se mangent. Leurs deux corps , magnifiques, entrent peu à peu en résonance, ondulent et dansent l’un pour l’autre . Les vagues de plaisir montent et descendent.Le corps de Claire, sous Alice, est pris de soubresauts, ses jambes s’ébattent, comme pour s’enfuir. Son pubis se tend vers la bouche d’Alice, cherche le contact, demande plus encore. Claire gémit, toute à sa jouissance. Toute la pièce semble à l’unisson de son plaisir.Pendant que son corps s’agite encore, Alice maintient ses hanches et utilise cet appui pour se redresser. Je suis ému par son corps, fin , tendu et souple. Je suis bouleversé par sa chatte, blonde qui ondule au-dessus de Claire. Celle-ci,, reprenant ses esprits, continue les mouvements de langues dans la vulve offerte... Je ne peux m’abstraire de la vue de ce sexe magnifique, à peine caché par ses poils clairs.Se soulevant un peu, elle empoigne son pubis et commence à se toucher devant nous. Claire en profite pour glisser sa bouche vers l’autre entrée d’Alice et commence à passer sa langue entre ses fesses. Lorsque celle-ci se fait plus insistante et commence à lécher la rondelle, je vois qu’Alice se cambre de surprise, mais reprend le jeu de ses mains sur son clitoris. Elle apprécie visiblement que Claire s’insinue doucement dans son intimité. Je sais moi-même qu’elle est très douée à ce jeu là.Puisqu’elle apprécie tant cette nouvelle caresse, Claire se dégage et, invitant sa sœur de plaisir à se mettre à quatre pattes, continue son exploration derrière elle.Subrepticement , elle pose un doigt sur le petit trou d’Alice et le glisse doucement à l’intérieur. Alice semble , là , tout à fait surprise, et je comprends à son regard que c’est la première fois qu’on entre ainsi en elle ! Son petit cul est vierge de toute caresse. Je trouve cette situation très excitante.Toute en continuant les va-et-vient dans le cul d’Alice, Claire, de son autre main, insère un doigt, puis deux, dans le sexe d’Alice.J’imagine les sensations de Claire qui doit sentir ses propres doigts à travers la paroi d’Alice Tendu comme des ânes , Thomas et moi n’osons presque plus nous masturber tant nous sommes subjugués par cette scène. Lorsque je le lâche , mon sexe palpite comme si j’allais jouir. Thomas, est parfaitement bandé, son gland totalement dégagé, violacé et gonflé. Je vois la mouille qui coule sur sa hampe et quelques gouttes qui perlent sur le sol.Le sexe et le cul d’Alice sont pris en étau entre les deux mains de Claire et son propre jeu sur son clito. Elle se dégage soudain et , prise de convulsion, à quatre pattes, ondule ses fesses au rythme des montées du plaisir.Ses gémissements sont devenus une plainte continue, qui semble partir de tout son corps. On dirait qu’elle chante.Nous restons tous les trois à regarder cette jouissance qui n’en finit pas, messe magnifique au milieu de la nuit.Lorsqu’elle retombe, épuisée, Claire la retourne doucement et pose sa tête sur ce ventre qui continue de palpiter.Je regarde Thomas, qui me regarde. Je comprends que nous aussi, nous allons jouir, pour clore cet acte.L’un et l’autre sur le genoux , nous tendons nos bustes en arrière et reprenons les va et vient sur nos pieux. Nous ne tardons pas à exploser. Moi d’abord, puis Thomas quand il voit que je jouis sur mon ventre. Son sperme gicle d’abord par saccades jusque sur son visage, puis englue ses mains et remplit son prépuce.Exténués, nous tombons presque à terre. Nous avons du sperme sur le corps, sur nos mains. Nous n’osons plus bouger.Comme pour nous rassurer, les filles viennent vers nous et nous enlacent tendrement. Alice contre Thomas, pose une main sur mon ventre. Claire dans mes bras, caresse la joue de Thomas.Nous nous endormons ainsi enlacés les uns les autres.
