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La quatrième

Chapitre 2

Un peu plus qu'amis

Hétéro
Et soudain, l’on toqua à la porte. Thomas se précipita pour ouvrir à Anaïs. Elle avait un large sourire aux lèvres.
— Alors ?— Alors oui, répondit Thomas dont le cœur battait à la chamade.— Oui pour quoi ? fit-elle d’une voix mielleuse alors qu’elle se glissait dans l’appartement et refermait la porte.— Eh bien pour... pour être sexfriend.— Oui ça d’accord, mais, dis ce que tu veux exactement là tout de suite, j’en meurs d’envie, renchérit-elle.— Comment ça ?— Roh, fais un effort. Dis-moi les yeux dans les yeux ce que tu veux.— OK. Anaïs, je veux te baiser.— Voilàà !
Anaïs était ravie. Elle sauta immédiatement au cou de Thomas et l’embrassa rapidement avant de lui prendre la main pour l’emmener vers le lit, avant de le pousser dessus. Il se laissa faire et se retrouva allongé sur le dos, Anaïs à califourchon sur lui. Elle se pencha sur son visage et réunit à nouveau leurs lèvres, plus longuement cette fois, plus passionnément et en y mettant la langue. Et elle embrassait divinement bien.
Rouge comme une pivoine et surexcité, le cœur de Thomas battait à un rythme effréné. Il n’avait jamais eu un rapport de manière aussi spontanée – déjà qu’il n’en avait pas eu beaucoup, des rapports. Ceux qu’il avait déjà vécu étaient lents, timides, tendres ; ce soir, c’était deux corps, deux animaux en manque de sexe. De plus, il sentait bien qu’il y avait un écart énorme d’expérience entre lui et elle. Elle était en confiance et savait sûrement tout faire mieux que lui, à commencer par embrasser. Alors il se laissait entièrement faire et s’abandonnait à son amie qui semblait avoir... très faim.
Anaïs commença rapidement à mettre ses mains sous le t-shirt de Thomas, à caresser furtivement son abdomen et ses pectoraux et, comme si elle s’estimait satisfaite de ce qu’elle y avait trouvé, elle voulut quelques secondes plus tard lui retirer le vêtement.
Thomas se rendit alors compte que tout cela allait, peut-être, un peu trop vite. Il repoussa doucement Anaïs pour stopper leur baiser et calmer ses mains baladeuses.
— Je... je préférerais qu’on y aille un peu plus calmement si ça te dérange pas, fit-il gêné.— Je comprends, répondit-elle avec un sourire. C’est vrai que je t’ai un peu sautée dessus comme une sauvage.— Je suis pas très expérimenté tu sais, et j’aime bien prendre mon temps...— Y a pas de soucis. Tu me fais signe quand t’es prêt.
Sur ce, elle replongea ses lèvres sur les siennes, mais cette fois ses mains se tinrent plus tranquilles, se limitant à le caresser plus calmement, et par-dessus les vêtements. Thomas se sentit déjà plus en confiance, et entoura le dos d’Anaïs de ses bras en baladant ses mains entre ses longs cheveux et le bas de son dos. Alors que sa main droite hésitait à franchir la ceinture d’Anaïs, cette dernière se courba en arrière en intensifiant son baiser, et Thomas le vit comme une invitation à aller plus loin. Ses doigts atteignirent alors les courbes si généreuses d’Anaïs, qu’il survola tendrement d’une main avant de les saisir délicatement avec les deux. Palpant, caressant, Thomas découvrait consciencieusement le corps de son amie et maintenant partenaire, les mouvements de bassins d’Anaïs venant approuver ces explorations. Elle n’était d’ailleurs pas en reste, venant tâter de temps en temps son entrejambe d’une main ferme.
Elle se redressa et, toujours une main sur le haut du jean de Thomas, dit malicieusement :
— J’aime bien ce que j’ai sous la main, ça vend du rêve...— J’apprécie aussi pas mal ce à quoi tu me laisses accès... répondit-il en malaxant carrément les fesses d’Anaïs.
Et soudain il se figea, se rappelant soudain que son amie était en couple, même si libre. « Tu as prévenu Hugo quand même qu’on allait... ?
— Mais oui choupinou, je viens tout juste de lui dire. Il est totalement d’accord, et même ça l’excite. De toute façon, il sait depuis un mois que je veux te baiser.— Alors c’est prémédité ? » nota Thomas en faisant semblant de s’indigner.
Anaïs eut un large sourire coquin avant de se plonger sur le torse de Thomas. Elle murmura :
— J’ai le droit maintenant ou pas ? — Vas-y, concéda Thomas en souriant.
Sans attendre davantage, elle se pressa de remonter le t-shirt de son partenaire puis de lui ôter totalement. Alors que Thomas avait les bras en l’air en enlevant son vêtement, il l’entendit avoir un petit sifflement d’admiration.
— Eh bah la salle ça paye ! — Ça compte pas on en sort à peine, je suis encore tout congestionné, répondit Thomas en jetant son t-shirt au pied du lit.— Ah, ça, je m’en fous, rétorqua Anaïs. Ce qui m’intéresse c’est ces abdos et ces pecs...
Elle se pencha et commençai à embrasser du bout des lèvres le torse de Thomas. À un rythme passionné, elle y apposa plusieurs dizaines de baisers. Thomas en profitait et passait une main dans les cheveux de sa partenaire, avant de glisser l’autre sous son chemisier pour caresser son dos de peau à peau.
Presque immédiatement, Anaïs se redressa et se tint face à lui.
— Enlève-moi ça, ordonna-t-elle en attrapant les mains de Thomas pour les poser sur ses seins. Ce dernier savoura l’instant. Ça faisait un an qu’il n’avait pas touché de seins – et ceux-ci étaient franchement généreux. Et quelle sensation exquise, qu’il avait presque oubliée.

Il se mit au travail, comme demandé. Il défit minutieusement le chemisier d’Anaïs, écartant ses deux pans au fur et à mesure qu’il déboutonnait. Chaque bout de peau nouvellement révélé avait droit à sa caresse, et il s’attarda tout particulièrement sur la poitrine. Un soutien-gorge le séparait encore de sa partie préférée du corps féminin, mais il en profitait déjà bien assez.
Impatiente et surexcitée, Anaïs le pressa de se dépêcher. Ce que Thomas refusa avec malice. Non, il allait prendre tout son temps. Et rien que pour l’embêter, il allait encore ralentir, embrasser et caresser davantage, encore attendre avant de défaire ce dernier bouton au niveau du nombril.
Mais après quelques instants de tortures, il n’y tint plus et libéra entièrement Anaïs de sa chemise après l’avoir sortie de son jean. Il voulut s’attaquer directement à sa ceinture – comme ça ce serait fait –, mais elle l’en empêcha.
— Pas si vite mon garçon, tu m’as fait attendre, je vais te faire attendre aussi.
Elle ôta entièrement son haut, l’envoya rejoindre le t-shirt déjà par terre, et se rapprocha encore de Thomas. Les seins à peine couverts par un soutien-gorge noir, un torse sans gras et des abdos légèrement dessinés, une peau un rien bronzée et toute douce, elle était magnifique ainsi dévêtue et visiblement elle le savait très bien. Elle passa une main derrière la nuque de son amant et la poussa en avant, dirigeant sa tête en plein dans sa poitrine. Thomas s’y abandonna avec joie, le nez en plein dans le soutien-gorge d’Anaïs et les joues au contact de ses seins. Certainement ce qui ressemblait le plus au paradis sur terre.
Il ne réagit pas quand Anaïs ôta leurs chaussettes ; il ne réagit pas non plus quand elle défit la ceinture autour de son jean, et qu’elle glissa la main gauche entre ce dernier et son caleçon. En fait, elle aurait pu le déshabiller et rhabiller entièrement comme une poupée, tant qu’il avait la tête la entre ses seins, il serait resté sage. Et déjà que toute la situation l’avait terriblement excité, mais là c’était insoutenable, jamais il n’avait eu une érection aussi forte depuis des mois – peut-être même depuis toujours, en fait. Il avait aimé son ex, mais ça n’était pas une bombe telle qu’Anaïs.Anaïs recula et se pencha sur les jambes et le buste de son ami. Elle prit son jean des deux mains et le tira jusqu’à l’enlever entièrement. Thomas n’avait désormais plus que son boxer, extrêmement tendu par la bosse de son érection. Avec un sourire coquin, Anaïs demanda :
— Je te libère ou monsieur veut prendre son temps ?— Non vas-y j’en peux plus.
Il ne lui en fallait pas plus. Elle descendit doucement le vêtement et laissa le diable sortir de sa boîte. La verge de Thomas apparut, plus dure et tendue que jamais, d’une taille respectable qui, si elle n’était pas de beaucoup au-dessus de la moyenne, ne le faisait pas complexer pour autant. Anaïs, elle aussi, en semblait satisfaite et la regardait avec envie. Elle ôta complètement le boxer et le jeta par terre, avant de plonger la main vers l’engin de son partenaire. Mais Thomas saisit ses deux poignets et l’arrêta.
— Pas tout de suite. D’abord, je te veux nue aussi.
Il se redressa et fit basculer Anaïs de manière à l’allonger sur le dos. Elle se laissa faire et voilà que quelques instants plus tard, les rôles étaient inversés : c’était Anaïs qui était dessous, et Thomas qui s’attelait à la déshabiller. Son jean partit en quelques secondes, et seuls son soutien-gorge noir et une fine culotte blanche camouflaient désormais un peu ses attributs féminins.
De son côté, Thomas, nu et toujours extrêmement excité, n’avait plus envie de prendre son temps. Il replongea la tête entre ses seins et glissa une main derrière le dos d’Anaïs pour dégrafer l’embêtant tissu. Anaïs le repoussa gentiment quelques instants et l’enleva elle-même, avec lenteur, comme dans un strip-tease. Mais une fois que le vêtement eut rejoint les autres au sol, et que ses généreux seins étaient entièrement révélés, Thomas s’empressa d’y poser ses lèvres, de venir suçoter les tétons qui n’appelaient qu’à l’être, pointant avec force. Anaïs poussa un petit soupir de contentement. Pour eux deux, cela faisait une éternité qu’ils n’avaient pas vécu cela et ils savouraient cet instant avec joie. Elle plaça une main derrière la tête de Thomas pour le maintenir sur sa poitrine et, de l’autre, elle commença à se masturber sous sa culotte.
Après un long moment de travail appliqué de Thomas, elle supplia :
— Tu t’occupes trop bien de mes seins... je t’en supplie, finis de me déshabiller et fais pareil à ma chatte...
L’ordre fit l’effet d’un électrochoc pour Thomas. C’était le moment d’aller chercher davantage, oui. Il s’écarta de la poitrine d’Anaïs et plongea son visage entre les cuisses grandes ouvertes de sa partenaire. Il embrassa le bas de son ventre, ses jambes, tournant autour et se rapprochant de sa culotte. Il passa quelques doigts dessus, venant titiller son sexe à travers le tissu. La respiration d’Anaïs témoignait du plaisir qu’il lui procurait. Ses doigts se posèrent de part et d’autre de ses hanches et firent descendre lentement le dernier vêtement. Anaïs releva les jambes de manière à lui faciliter le travail. Puis la culotte fut envoyée par terre. Thomas remonta jusqu’aux lèvres de son amie pour l’embrasser. Ça y est. Ils étaient tous les deux nus. Et plus seulement amis.
Après un long baiser, Thomas redescendit. Comme Anaïs il avait demandé, il s’occupa de sa chatte. Au premier coup de langue, elle poussa un petit gémissement. Au second, elle lui mit une main sur la tête. Au troisième, elle appuya. Les coups de langue suivants la refirent gémir. Thomas continua longtemps, alternant entre rapidité ou intensité, entre coups de langue et baisers, titillant toute la vulve, clitoris compris ; clitoris surtout.
Il fit tourner un doigt autour de l’entrée du vagin. Anaïs murmura un encouragement, et Thomas fit lentement entrer son doigt dans le sexe accueillant, chaud et déjà bien humide. Il fit quelques mouvements puis, constatant à quel point elle était déjà détendue, il y joignit un second doigt. Anaïs semblait apprécier. Elle demanda un troisième. Thomas s’exécuta avec joie. Il continua quelques minutes de s’occuper d’elle, armé de ses doigts et de sa langue ; elle respirait de plus en plus fort et elle ne lui tenait plus la tête, elle agrippait carrément ses cheveux.
Il s’arrêta et se redressa. Elle s’approcha pour l’embrasser passionnément à pleine bouche. Leurs langues tournèrent et échangeaient la cyprine que Thomas venait de récolter, fruit d’un labeur appliqué et efficace. Anaïs était trempée. Thomas bandait toujours autant. Et ils étaient tous deux surexcités.
— On y va ? chuchota-t-il.— Tu veux pas que je te branle avant ?— Pas besoin. Je peux pas bander plus que ça. Et je veux autre chose que ta main, là.
Ils échangèrent un large sourire coquin puis s’embrassèrent longuement. La tension sexuelle était insoutenable. 1 an que Thomas n’avait plus goûté à ça ; 3 mois pour Anaïs, dont un mois de fantasmes sur ce que son ami pourrait lui faire. Et ça y est, ils allaient enfin baiser. C’était inimaginable il y a une heure encore. Mais ça allait avoir lieu. Sur un coup de tête, un plan à l’improviste. Souvent les meilleurs.
— Je vais prendre une capote, dit Thomas en détachant ses lèvres. — Pas besoin, je prends la pilule, répondit Anaïs. « Et pas besoin de lub sauf si t’y tiens, je mouille suffisamment. En fait, tu peux y aller maintenant, comme ça. »

Elle se mordit les lèvres et plongea son regard dans le sien. Thomas, lui, n’avait jamais été aussi excité de toute sa vie. Ils s’embrassèrent encore puis il se positionna. Elle croisa les jambes derrière lui. Il s’empara de son sexe et le dirigea vers la fente d’Anaïs. Alors que son gland touchait son vagin, il marqua une pause et embrassa encore Anaïs. Elle impulsa un petit mouvement avec ses jambes sur le bassin de son partenaire. Thomas entra le gland. Puis, lentement, tout son pénis. Ils poussèrent un soupir simultané. Sa chatte était chaude, accueillante, détendue. Sa bite était brûlante, dure, désirable. Il continua à la pénétrer, lentement ; cela se faisait sans difficulté. Elle avait eu raison, pas besoin de lubrifiant, elle était habituée et du genre à bien mouiller. Son gland finit par toucher le fond. Enfin ils étaient l’un dans l’autre.
Ils se regardèrent et s’embrassèrent encore. Thomas n’osa pas bouger pendant quelques instants. Il essayait de capturer l’instant. Il était au fond de son amie. Celle sur qui il s’était toujours refusé de fantasmer sérieusement, par respect pour Hugo, puis pour leur amitié à lui et elle. Et voilà que maintenant, c’était elle qui lui murmurait, dans le noir, d’y aller, de la baiser.
Il s’exécuta. Commencèrent de lents va-et-vient. Ça allait tout seul. C’était trop bon. Il accéléra peu à peu. Anaïs respirait bruyamment, gémissait de temps à autre. Thomas n’était pas beaucoup plus discret.
Plusieurs minutes s’écoulèrent ainsi, les coups de reins de plus en plus fluides, rapides et intenses. Leurs respirations s’accélérant et laissant échapper de nombreux soupirs de plaisir. Anaïs griffait presque le dos de Thomas et ses muscles se contractaient de plus en plus.
Thomas sentit son orgasme approcher. Normal, il était surexcité et c’était comme s’il refaisait une première fois tellement ça faisait longtemps et tellement Anaïs n’avait sexuellement rien à voir avec son ex. Mais il ne voulait pas venir maintenant. Même s’il savait que ce serait dur de tenir bien longtemps, il allait repousser au maximum ; Anaïs semblait vraiment prendre son pied. Il ralentit le rythme, et demanda entre deux soupirs :
— Tu veux changer de position ?— Levrette ? articula-t-elle en reprenant son souffle.
Thomas s’arrêta et sortit son sexe de l’antre de sa partenaire. Il était trempé, mais toujours bien bandé. Une fois qu’Anaïs eut relâché l’emprise de ses bras et de ses jambes autour de lui, il s’écarta pour la laisser se redresser.
Elle le regarda avec désir.
— Tu te débrouilles pas trop mal... tu penses tenir encore longtemps ? — Honnêtement, ça va devenir compliqué, dit-il en souriant.— Essaie quand même de durer quelques minutes et de bien me défoncer, répliqua-t-elle en se mettant à quatre pattes devant lui. « Donne tout ce que t’as ».
Thomas s’empara de ses fesses, magnifiquement formées par les nombreux squats qu’elles faisaient. Tendres, rebondies, quel pied. Et puis la voir, devant lui, son dos bien cambré, ses longs cheveux défaits... Il frotta son sexe contre l’entrejambe d’Anaïs, sans rentrer pour autant. Elle bougeait le bassin pour l’exciter. Il se décida à la pénétrer, d’un coup sec – ou plutôt humide vu l’état de son vagin. Quelle sensation exquise.
Il recommença à bouger lentement. Anaïs gémissait et bougeait aussi d’avant en arrière. Après quelques instants, elle s’impatienta :
— Allez, je t’ai pas demandé de me faire tendrement l’amour, mais de me baiser bien fort parce que je suis en manque et toi aussi.
Elle l’avait complètement rallumé. Il accéléra le rythme d’un coup. Dans le fond, vite et puissant ; et Anaïs gémissait fort. Il la tenait fermement par les hanches et appréciait le claquement de son cul contre ses reins. Qu’est-ce que c’était bon. Elle murmurait des « allez », « encore » ; lui, il laissait échapper des « oh ouais », « c’est bon ».

Trois à quatre minutes plus tard, Thomas n’en pouvait plus. Anaïs le sentit et l’aguicha.
— Tu peux tout balancer au fond, j’adore ça.— Oh putain si t’en veux tu vas l’avoir.
Quelle allumeuse. S’il l’avait su, il aurait sûrement voulu la baiser plus tôt. Il se déchaîna. Il sentait la jouissance arriver. Quel pied. Quel pied putain. Anaïs aussi semblait apprécier le moment ; elle appréciait particulièrement d’avoir aussi bien allumé son partenaire avec cette dernière phrase. Il lui mettait d’excellents coups de reins qui la faisaient gémir. Oh qu’est-ce que ça faisait du bien d’enfin se faire baiser.
Thomas laissa échapper un grand gémissement à mi-chemin entre un soupir et un râle et accéléra une dernière fois. Le plaisir de l’orgasme envahit son corps et son sexe éjacula plusieurs fois au fond du vagin d’Anaïs. Ses provocations aguicheuses, l’excitation d’éjaculer en elle sans capote, et toute l’excitation de cette baise, la meilleure et la plus inattendue de sa vie, lui procurèrent la plus grosse jouissance qu’il n’avait jamais eue. Après quelques derniers va-et-vient, l’éjaculation s’arrêta. Il s’arrêta et resta planté au fond d’elle.
— Oh putain...— Ça fait du bien, murmura-t-elle, visiblement satisfaite de son coup.
Thomas attrapa un mouchoir, se retira et s’essuya. Anaïs, elle, attendit quelques instants avant de s’allonger sur le dos. Thomas s’approcha d’elle et ils s’embrassèrent un long moment.
— Tu veux que je continue avec d’autres outils ? demanda-t-il, tirant la langue pour préciser ses intentions.— T’inquiète, j’ai eu ce que je voulais, répondit-elle en souriant. « Et avant que tu le demandes, comme tous les mecs inexpérimentés le font, oui, j’ai aimé » ajouta-t-elle.
Thomas savait que c’était stupide, mais au fond, il en tira une certaine fierté. Il l’embrassa une nouvelle fois, sincèrement. Lui aussi, il avait aimé. Infiniment aimé. Mais il n’y avait pas besoin de le préciser. Elle l’avait très bien vu et senti au fond d’elle.
Anaïs accepta ses lèvres et sa langue contre les siennes quelques minutes puis le repoussa gentiment.
— Faut que j’aille aux toilettes. Après, tu me rejoins pour une douche.— C’est une question ou un ordre ?— Une possibilité.
Elle lui adressa un dernier grand sourire aguicheur puis, dans le plus simple appareil, alla s’enfermer dans la salle de bains.Thomas, lui, s’effondra sur son lit. Quelle soirée. Et le plus beau, c’est que c’était bien parti pour devenir une habitude.
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