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Quatrième mi-temps

Chapitre unique

Orgie / Partouze
— Dédicace spéciale EmilyJolie.
*****‌
— La scène se passe dans hall d’un grand hôtel parisien. Il est rempli d’une foule très diverse dont le point commun est qu’elle est supportrice d’une grande équipe de rugby qui a pris ses quartiers dans les chambres du lieu et s’apprête à fréquenter le banquet d’après match. Quand les joueurs ont débarqué de l’autocar, ils ont été salués par des vivats en raison de leur victoire quelques heures plus tôt. Ils vont descendre de leur chambre en smoking, recevoir de nouveaux bravos avant de se mettre à table dans un cérémonial très classique. Une fois celui-ci achevé, non sans les avoir fortement rasés, ils se rendront dans une boite de nuit à la mode, accompagnés par les plus mordus de leurs soutiens. Certains d’entre eux reviendront accompagnés et c’est là que commence notre histoire.
Dans la foule du hall citée en exergue figurent ce qu’on appelle des groupies. Essentiellement des jeunes filles ou jeunes femmes, généralement célibataires mais parfois mariées ou en couple, pour qui ces joueurs sont non seulement des stars mais constituent à leurs yeux un idéal masculin suscitant un violent désir érotique. Ce sont des femmes qui aiment le muscle, la virilité affichée, le fantasme du gros sexe. Pour coucher, ne serait-ce que l’espace d’une nuit, avec un de ces phénomènes, elles sont prêtes à abdiquer toute réserve, toute pudeur, tout esprit féministe. L’apparition de ces gaillards en smoking provoque dans leur culotte des secrétions vaginales que leurs exploits sur le terrain ont déjà bien préparées.
Quatre femmes vont plus particulièrement solliciter notre attention. D’abord deux collègues de bureau fan de rugby et du reste : Camille, 23 ans, célibataire, petite blonde au corps menu qu’elle a moulé dans une mini robe sans soutien-gorge, et Marjorie, brune à peau mate, type espagnol, divorcée, la quarantaine épanouie soulignée par un pantalon corsaire et un décolleté carré. Entre les deux par l’âge, Clémence, 34 ans, corps de sportive souligné par une jupe courte dévoilant des jambes musclées et un top dégageant les épaules, celle-ci accompagnée de son mari Gaétan, sur le même moule, tous deux kinésithérapeutes et relation du préparateur physique de l’équipe. Enfin Laurence, blonde à mèches de 55 ans, très classe avec sa robe de couturier, femme du président qui organise toute la soirée. Toutes les quatre vont baiser dans les heures qui vont suivre, mais elles ne le savent pas encore et encore moins avec qui.
Lorsque les joueurs quittent la salle de restaurant, les groupies leur mettent le grappin dessus en espérant retenir leur attention. Elles savent que tout se jouera dans la boite de nuit. C’est là qu’elles pourront "emporter le morceau" avec un double objectif : non seulement séduire, mais aussi empêcher leur cible de trop picoler afin de pouvoir baiser de manière pleinement satisfaisante. Toutes les deux ont une boite de préservatifs dans leur sac à main, signe de leur prévoyance. Les plus habiles des groupies se sont procurées à l’avance le numéro de chambre de l’homme de leurs pensées, des fois qu’il leur aurait échappé ou oublié l’endroit où il doit en principe dormir.
Camille et Marjorie n’ont pas ce souci. Le spectacle de leurs cuisses généreusement découvertes et leur envie manifeste de se faire sauter a décidé deux gaillards à abréger la sortie en boite, de prendre un taxi et de conduire leur conquête dans leur plumard hôtelier. Camille et Marjorie ont fait mine de ne pas comprendre leurs intentions, vaguement repoussé leurs mains baladeuses dans le taxi tout en minaudant et néanmoins pris l’ascenseur sans barguigner. Les deux gaillards que nous appelleront Steve et Mike ont eu la bonne idée d’occuper la même chambre. Le premier a pris Camille dans ses bras en la soulevant comme une plume, l’autre a tiré Marjorie vers le lit sans la moindre résistance et les deux collègues de bureau ont capitulé sans condition, se laissant déshabiller un peu brutalement mais fourrageant en même temps dans le pantalon de smoking pour en extraire l’organe auquel elles n’ont cessé de penser depuis le début de la soirée.
Arrêtons-là la scène, avant d’y revenir plus tard, et intéressons-nous au cas de Clémence. Contrairement aux deux autres, elle n’est pas allée en boite de nuit. Elle est restée avec son mari dans le bar de l’hôtel en compagnie du préparateur physique et d’un autre joueur peu amateur de décibels de night club. Nous l’appellerons Jordan, c’est un athlète barbu et chevelu, une des vedettes de l’équipe, qui a manifesté d’emblée l’intention de baiser Clémence par quelques allusions sur son physique. Il se trouve que Gaétan, le mari, est tout à fait d’accord avec cette perspective car il admire ce joueur et le fait qu’il baise sa femme constituerait quasiment une sorte d’honneur rejaillissant sur lui. Lors de la discussion sur le sujet, une fois le préparateur physique parti se coucher, Clémence a rapidement donné son accord à la condition que Gaétan soit présent dans la chambre, comme le réclamait d’ailleurs ce dernier.
Le barbu a un peu tiqué mais la perspective d’écarteler la kiné, vrai morceau de roi pour un homme en rut, a vite balayé ses objections. Et c’est donc un trio qui a franchi le seuil d’une chambre encore vide d’occupants, les deux hommes s’entendant pour dévêtir Clémence en prenant leur temps tandis que l’intéressée ouvrait deux braguettes et gobait deux queues tendues en alternance, prélude à un accouplement triangulaire que la morale réprouve.
Du côté de Laurence, le scénario est différent. Lors du dîner en smoking, deux joueurs réputés frondeurs, lorgnant la beauté mûre assise à la table présidentielle à côté de la leur, s’étaient lancés dans un pari gonflé, à savoir lequel des deux arriverait à baiser l’épouse de leur patron, supposée "chaude". Celle-ci avait vite jaugé les deux vicieux, affecté l’indifférence puis s’était décidée à aller les trouver en plein dîner pour leur demander la raison de leurs sourires en la regardant. "Vous êtes la plus belle de la soirée", avaient-ils expliqué en choeur, une déclaration que l’intéressée avait savourée de la part de deux beaux mecs, surtout à l’intention d’une femme de cinquante ans, bien que s’étant récriée pour le principe. Néanmoins, elle avait accepté de les retrouver après le dîner. Ils s’étaient donnés rendez-vous dans un bar, mais pas celui, trop visible, de l’hôtel.
Les deux joueurs, prénommés Kevin, le petit blond râblé, et Manuel, le grand brun athlétique, y avaient dragué la présidente d’une manière éhontée, suscitant gloussements de l’intéressée, jusqu’au moment où elle avait déclaré, le sourire en coin :
— Bon, j’ai compris, vous voulez coucher avec moi. Mais c’est moi qui choisis entre vous deux.
Surpris, les deux gars avaient bafouillé, pris à leur propre jeu. Laurence avait choisi le petit blond aux yeux bleus de préférence au grand brun. Kevin en avait été à la fois flatté et inquiet. Baiser la présidente n’était pas sans risque pour sa carrière. Mais elle le rassura :
— Ne t’inquiète pas pour mon mari, il s’en fout.
Et c’est ainsi que le petit blond et la grande blonde sont entrés eux aussi dans une chambre où, ô surprise, s’ébattait déjà sur un des deux lits une rouquine à peau ivoire et un des deux blacks de l’équipe, ailier sur le terrain, dans un contraste de peaux assez saisissant.
— Au moins, on est dans l’ambiance, résuma Laurence en retirant avec précaution sa robe de couturier, avant de s’allonger entièrement nue sur le lit, visiblement fière d’une plastique impeccable que les ans avaient peu affectée.
*****Mais revenons à nos deux groupies. Elles avaient hérité de deux Musclor tatoués qu’elles avaient beaucoup applaudis lorsqu’elles étaient dans les tribunes. L’un d’eux, Steve, avait jeté son dévolu sur la plus charnue des deux, en l’occurrence Marjorie, qui n’y avait vu aucun inconvénient, tant elle était impatiente d’être honorée par celui qui avait justement inscrit un superbe essai dans l’après-midi. Elle le chevauchait avec allégresse, régalant ses yeux du torse sculptural du chevauché autant que de son sceptre dressé qui la fouillait au plus profond. Elle jetait en même temps un regard sur l’autre lit où la petite Camille disparaissait littéralement sous le corps considérable de Mike, lequel prenait quand même la précaution de ne pas l’écraser sous son quintal en prenant appui sur ses mains tout en virevoltant de la croupe.
Les petits pieds de Camille s’agitaient spasmodiquement, tantôt en l’air, tantôt croisés sur les reins puissants de son amant tandis qu’elle clamait sa satisfaction d’être baisée par un super joueur génial et tout et tout.
Bien entendu, les deux couples changèrent de position au cours de leurs ébats, de sorte que les deux collègues se retrouvèrent un temps face à face et à quatre pattes en travers de leur lit, leurs costauds fichés en elle, heureuses de se voir mutuellement honorées par leurs héros et ainsi justifiées de leur petite stratégie. Le fait qu’elles soient un peu secouées ne les indisposait en rien car si elles fantasmaient sur les joueurs de rugby, c’est bien parce qu’elles les préféraient de beaucoup aux joueurs d’échecs, par exemple. Elles les encourageaient même à se multiplier à coups de "vas-y, encore, plus fort" ce qui engendra chez les deux protagonistes mâles une coulée de sueur le long de leur colonne vertébrale. Mû par leur égo, ils ne voulaient surtout pas éjaculer en premier, ce qui servit les intérêts des deux femelles, désireuses de prolonger le plus longtemps possible une partie de fesses qui sortait de leur ordinaire.
Les plus belles santés n’étaient pas celles qu’on pouvait imaginer et les deux stars de l’ovale rendirent les armes simultanément alors que leurs partenaires se seraient bien vues baisées jusqu’au petit matin.
*****Du côté du trio Clémence-Gaétan-Jordan, on n’était pas moins enthousiaste. Clémence était ravie d’avoir deux mâles à sa disposition dont l’un n’était pas son mari. Après s’être gavée buccalement de deux bites, elle avait demandé que deux langues la préparent à une intromission pénienne qu’elle souhait tonique et prolongée. Gaétan fut invité à se tenir en retrait pour assister à la pénétration de son épouse par son joueur préféré.
Ce jeune couple n’hésitait pas parfois à sortir de sa routine pour un "plan cul" aux manifestations diverses. Belle femme, Clémence n’était jamais en peine de trouver un partenaire qui la satisfît autant que son mari, aux tendances candaulistes très affirmées. Leur objectif du jour était qu’elle se fasse sauter par un joueur de leur équipe favorite. Le dénommé Jordan, heureux élu, n’était pas mécontent de la situation, pour une fois qu’il pouvait se taper un canon et non une de ces groupies certes chaudes mais pas toujours servies par leur physique.
Quand il pénétra Clémence, il se mit sur ses coudes et son regard plongea dans ses yeux azur tout en faisant vriller son manche de pioche. Jambes repliées, orteils rétractés, la kiné manifesta son adhésion par quelques exclamations sonores qui rassurèrent le mari voyeur, qui croisait souvent son regard extasié. Madame prendrait son pied, c’était assuré. Il encouragea son joueur préféré à y aller franco, lui expliquant que son épouse aimait "que ça bouge" et poussa le zèle jusqu’à peser des mains sur les fesses du joueur pour l’inciter à y aller profond. C’était tout à fait inutile car le volume du pénis remplissait copieusement l’intimité de Clémence, qui commençait vraiment à perdre les pédales. Elle jouit une première fois après s’être mise en arc de cercle sous la masse, confirmant sa propre qualité athlétique. Heureusement, l’homme bandait toujours et elle lui en fut reconnaissante. Elle avait encore envie.
Puis son mari lui imposa d’être prise en levrette. Son idée était de lui tendre sa queue à sucer pendant qu’elle se faisait besogner. Clémence adorait ce type de situation qui n’était certes pas inédite pour elle. Ses cheveux raides se balançaient sous les assauts de son tringleur et de son énergique succion de la queue de son mari. Celui-ci n’avait pas la même endurance que le rugbyman. Cette copulation à trois l’inspira tellement qu’il éjacula dans la bouche de Clémence, qui avala le tout sans barguigner.
Elle s’apprêtait à chevaucher le dénommé Jordan quand un couple fit son entrée dans la chambre : l’autre joueur colocataire, pas beau, cubique, fortement tatoué, pilier de son état, flanqué d’une supportrice prénommée Corinne, connue de Clémence et Gaétan, grande blonde en pleine maturité, venue avec son mari au match, sauf que celui-ci n’était pas là. Visiblement pressés d’en venir au fait, ils se jetèrent sur l’autre lit en se déculottant mutuellement pour le grand plaisir de Gaétan, désormais spectateur de deux couples en pleine fornication. Il se repalucha en regardant les deux femmes faisant aller et venir leur cul avec frénésie sur deux types musclés mais passifs. L’amant de Clémence lâcha prise le premier, expulsant verticalement dans sa capote un sperme qui ne demandait qu’à gicler depuis un bon moment.
Clémence poussa un profond soupir en faisant jouer ses muscles intimes puis bascula sur le côté et assista sur un coude aux ébats du couple voisin, plus courts et plus intenses que le sien. Le pilier tatoué pilonnait la blonde mature en la pliant en porte-feuille, la propulsant vers un orgasme dévastateur avant que l’autre l’arrose de son sperme épais. Elle de dégagea, groggy, titubant vers la sale de bains, tant et si bien que les deux femmes se retrouvèrent ensemble sous la douche, repues, satisfaites et, de leur propre aveu, bien décidées à recommencer après le prochain match.
*********On avait laissé Laurence nue sur le lit, en attente. Tandis que sur l’autre couche, la rousse et le black baisaient bruyamment, indifférents à ce qui se passait à côté d’eux, Kevin avait entamé un cunnilingus que la présidente savourait en ronronnant. S’envoyer en l’air avec un gars de moitié moins son âge, bien bâti et bien monté de surcroit, qui plus est un joueur connu qui faisait rêver les groupies, c’était un privilège que seules les femmes du bon côté de la barrière pouvaient s’offrir. Et gratuitement en prime. Son mari serait cocu une fois de plus mais ce n’était pas son problème. Et puis quoi, ce jeune costaud voulait la baiser. Pourquoi le rejeter ? Il faudrait juste lui montrer qu’il avait eu raison.
C’est elle qui lui proposa un 69. Elle aimait sucer et être léchée en même temps. La position lui permettait de jeter un oeil sur l’autre lit. La rousse prenait vraiment son pied avec le black, le joueur le plus rapide de l’équipe, qui avait la baise aussi fine et déliée que la course. Lorsqu’elle l’avait vue évoluer sur le terrain, Laurence était loin de s’imaginer qu’elle le retrouverait plus tard en train de fouiller le bas-ventre d’une plantureuse rouquine en pleine pâmoison, couinant à chaque coup de queue.
Ce qui l’amena à se dire qu’il était peut-être temps d’être visitée aussi par un organe mâle. Détachant son giron de la bouche du râblé, elle s’avança de quelques centimètres pour venir s’empaler sur lui et lui offrir le spectacle de sa croupe en mouvement. L’avantage de son initiative était de permettre la maîtrise de la pénétration, son vagin n’ayant plus la souplesse de ses vingt ans et le gars étant vraiment très épais. Mais à force de louvoyer et d’onduler, elle finit par ressentir l’intense bien-être que procure à une femme en appétence l’envahissement d’un pénis bien rigide. Il fut bientôt totalement engagé en elle et elle put faire aller et venir ses hanches pour le ressenti de frottement qui allait la conduire inéluctablement au plaisir. Elle baisait et était heureuse de baiser.
Puis elle pivota sans rompre le lien avec l’axe de chair et put s’offrir l’autre satisfaction, visuelle et tactile à la fois. Elle put caresser, palper et mater les pectoraux saillants, les abdominaux sculptés et les bras volumineux tout en faisant aller son cul d’avant en arrière et de gauche à droite, son sexe en lien avec ses yeux et ses mains. Laurence avait parfaitement conscience que des occasions comme celle-ci de s’envoyer en l’air avec la quintessence d’un mâle, elle n’en aurait plus cent cinquante. Aussi savourait-elle le moment, offrant à son jeune amant l’image d’une belle femme mûre en pleine extase, active, entreprenante (main sur ses couilles tout en le chevauchant), verbeuse (célébration de sa bite et incitation à poursuivre), jusqu’au moment où une phase inattendue survint.
Le black s’était détaché de la rouquine après lui avoir fait connaitre un énième orgasme. Toujours raide, il s’était rapproché du couple voisin :
— Putain, Kevin, tu baises la présidente, mon salaud.
S’ensuivit un dialogue entre les deux joueurs qui interrompit leur coït. Célestin, le black, demanda à Laurence si elle verrait un inconvénient à ce qu’il vienne participer à leurs ébats en troisième larron. Elle n’avait pas prévu ce scénario mais quand le sprinter de l’équipe écarta ses fesses pour lui lécher le petit trou, sans rompre son union avec Kevin, elle comprit son intention, n’étant pas née de la dernière averse.
— Penche-toi en avant, je vais t’enculer, prévint le Black.
Laurence, plusieurs années auparavant, avait déjà pratiqué la double pénétration anale-vaginale. C’était au cours d’un déplacement de l’équipe en Australie, où son mari, alors simple dirigeant, l’avait conduite dans un club échangiste avec la certitude que le couple serait inconnu. Elle s’était fait enfiler doublement par un costaud à poil roux et un aborigène sculptural sous l’oeil ravi de son mari. Expérience jamais renouvelée, quoique nullement désagréable. C’est pourquoi Célestin ne reçut pas de fin de non recevoir et s’enfonça d’autant plus aisément que sa queue fine et bien lubrifiée s’accordait avec l’anus expérimenté de la présidente.
Le Black y trouvait une double satisfaction. D’abord, baiser cette femelle au corps d’actrice de cinéma en deuxième partie de carrière. Mais aussi, enculer virtuellement son mari qu’il détestait autant que lui le détestait. Le président avait en effet tenté de l’écarter de l’équipe pour des raisons n’ayant rien à voir avec le jeu, mais plutôt à la couleur de sa peau. Mais il s’était heurté à l’entraineur et à la vox populi.
— J’encule ta femme et je t’encule aussi, salopard, se disait in petto Célestin.
Laurence n’avait évidemment aucune conscience de cette vengeance enculatoire. Doublement prise, elle perdit complètement les pédales et offrit aux oreilles de ses partenaires un orgasme bruyant qui les fit éjaculer tous les deux dans leur capote. Elle se détacha lentement, le cul et la chatte en feu, avant de courir aux toilettes puis à la douche où elle rejoignit la rouquine :
— Ils t’ont bien secouée, hein ? lui dit celle-ci, nullement jalouse, comme elle tint à le préciser.
Il ne restait plus à Laurence qu’à se rhabiller et de rejoindre la suite présidentielle dans l’hôtel, où l’attendrait sûrement son mari.******Les lendemains de matches génèrent en général une foule de commentaires sur les supporters et les supportrices. Mais pas toujours au jeu. A la cafeteria de leur entreprise, Marjorie et Camille évoquèrent (discrètement) leurs ébats de la veille pour conclure que leurs deux chevaliers servants étaient "aussi bons au pieu que sur le terrain". Elles envisageaient déjà une autre "quatrième mi-temps" après le prochain match avec les mêmes joueurs en supposant qu’elles ne les avaient pas déçus. Ou qu’ils n’en choisiraient pas d’autres, car la concurrence serait toujours rude.
Du côté de Clémence, c’est son mari qui était l’interlocuteur de cette prolongation sexuelle. Ils reconnurent l’un et l’autre avoir pris leur pied. Gaétan était heureux d’avoir vu jouir sa femme sous les assauts de son idole et Clémence d’avoir fait plaisir à son mari tout en ayant pris le sien. Tout était donc pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Seule Laurence était contrainte à l’introspection. Lorsque son mari l’avait interrogée sur le pourquoi de sa rentrée tardive dans leur chambre, elle était restée dans le vague, évoquant une conversation avec l’épouse d’un dirigeant de l’équipe adverse. Le mari n’était pas dupe mais n’épilogua pas. Retournée à l’intimité, Laurence eut recours à son gode pour refaire le scénario de son plan à quatre, le glissant notamment dans son anus pour simuler l’introduction de Célestin, sans éprouver hélas les mêmes sensations malgré le recours à l’imagination. Au moins avait-elle été baisée, et supérieurement baisée, par deux gars qui faisaient rêver des groupies de vingt ans. "Allons, je ne suis pas encore bonne à mettre au rebut", conclut-elle. Et bien décidée à repartir en chasse quand l’occasion lui serait donnée.
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