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Quatuor pour une Saint Sylvestre

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Les congés de fin d’année se déroulent, pour moi, d’une manière un peu particulière, depuis que j’entretiens une liaison avec Nicolas. Il est marié et, si ses activités professionnelles lui laissent beaucoup de moments de liberté qu’il me consacre, il est retenu par sa femme et ses enfants pendant la période des fêtes.
Cette année, j’en ai profité pour passer moi aussi du temps avec ma famille, qui habite le sud de la France et que je vois peu, et avec quelques anciennes copines.
J’ai retrouvé Carine, une amie depuis près de 10 ans, avec qui j’ai partagé plein de bons moments. Comme moi, elle est brune, très mince, mais elle est plus grande que moi –  1m72, contre mes 1m57 – et j’envie sa poitrine ronde et ferme, du 90C. Nous avons toujours été très complices, entre shopping, fous rires, soirées plus ou moins sages, histoires de cul avec les garçons… Nous avons même fait l’amour de temps en temps toutes les deux.
Beaucoup de nos relations étant absentes pour la Saint Sylvestre, nous avons décidé de faire la fête en petit comité, chez Carine. Elle a invité Colin, son copain du moment, et Lucas, le meilleur ami de celui-ci.
Si j’en croyais ses confidences sur ses parties de jambes en l’air avec Colin, c’était une bête de sexe et il aimait la fantaisie dans ce domaine (le contraire m’aurait étonné!). Quant à Lucas, elle me dit simplement que c’était un «beau mec».
Le 31 décembre est arrivé, et je me prépare pour cette soirée. Même si Carine ne m’a pas donné de consignes particulières, il ne fait aucun doute qu’elle compte sur moi pour m’habiller sexy.
J’aime le noir, qui met en valeur ma peau mate et allonge ma silhouette. Je choisis donc une jupe longue, fendue sur le côté jusqu’à la hanche, et un bustier à fines bretelles, en dentelle.
En dessous, pas de soutien-gorge – je veux qu’on devine mes petits seins en pommes et leurs pointes saillantes – et un string minimaliste en dentelle noire également. Pas de porte-jarretelles (je n’aime pas ça), mais des bas autofixants en résille. Et pour compléter le tout, des escarpins à fines lanières et très hauts talons…
J’arrive chez mon amie vers 21 heures. Carine vient m’ouvrir, et elle aussi est très provocante: une robe rouge vif très courte, avec un haut forme tablier, retenu par un lien noué derrière son cou. Le trapèze de tissu masque à peine sa poitrine ; elle aussi a renoncé au soutif… Par contre, elle est jambes nues, mais elle a opté, comme moi, pour les talons aiguilles.
J’enlève mon manteau, et Carine fait les présentations: Colin, un grand blond, que je rencontre pour la première fois, et son pote Lucas. Pour ce dernier, elle ne m’a pas menti, il est vraiment canon, mais elle ne m’avait pas dit qu’il était métis. De ses origines antillaises, il a hérité d’une peau couleur caramel, et d’une chevelure crépue. Lui aussi est grand, avec une carrure athlétique. A côté de lui, j’ai l’impression d’être une petite fille.
Les deux garçons sont vraiment sympas. Ils me font la bise, et me complimentent sur ma tenue, se réjouissant d’avance du réveillon qu’ils vont passer.
Carine a prévu un buffet très appétissant, et les hommes se sont occupés des boissons. Si j’en juge par le nombre de bouteilles qui nous attendent, la soirée s’annonce arrosée! Et la soirée commence, en débouchant une première bouteille de champagne.
Les toasts circulent, les flûtes sont remplies régulièrement, et les conversations s’animent. Les plaisanteries fusent, et nous nous amusons comme des fous. Et une deuxième bouteille de champagne fait encore grimper la température dans l’appartement de Carine; d’autant plus que les pointes de ses seins s’échappent de plus en plus souvent de sa robe.

Je l’accompagne dans la cuisine, pour chercher d’autres plateaux de toasts et une troisième bouteille, et elle en profite pour me confier à voix basse ce qu’elle a imaginé pour pimenter ce réveillon.
— Il faut qu’on s’arrange toutes les deux pour commencer à faire l’amour avec les mecs un peu avant minuit, toi avec Lucas, moi avec Colin. Et à minuit pile, on échange nos partenaires. Comment trouves-tu mon idée?— Géniale! Tu veux bien me prêter Colin?— Tu sais bien que je partage tout avec toi!, répond-elle en riant.— Et tu crois qu’il sera d’accord? Il ne me trouve peut-être pas à son goût.— Tu rigoles? Rien qu’à voir la manière dont lui et Lucas te regardent, ils seraient prêts à te violer.— Pour qu’il y ait viol, il faudrait que je ne sois pas d’accord…
Nous rejoignons les deux garçons, et Carine allume la télé, sans mettre le son, pour connaître le moment exact où nous passerons en 2017. Elle met en route aussi son lecteur CD, et choisit une musique rythmée, pour l’ambiance.
Nous continuons à boire et à grignoter, et Carine se met à danser, bientôt imitée par ses invités. C’est une danseuse hors pair, et elle bouge avec beaucoup de sensualité, surtout qu’elle vient de choisir une vieille chanson très hot : love to love you baby! Pour celles et ceux  qui ne connaissent pas, le morceau dure 17 minutes, durant lesquelles Dona Summer semble jouir sans interruption…
Sa poitrine apparaît régulièrement, et Colin la charrie, ce qui ne l’empêche pas de continuer.
— Voilà, je sais que c’est ce que tu voulais, lance-t-elle à son copain, en dénouant le haute de sa robe, et en le roulant autour de ses hanches.— Ouiii, s’exclame Lucas, j’adore te voir topless, Carine. Chloé va être obligée de t’imiter.— Allez, Chloé, montre leur tes nichons aussi, renchérit Carine.— Vous oubliez que je suis une jeune fille pudique et timide, dis-je en mimant la gêne.— Attends, je vais leur montrer ce que fait la «jeune fille pudique et timide», me rétorque ma copine.
Je me demande ce qu’elle a en tête, pendant qu’elle prend sa tablette dans un tiroir, et l’allume.
— Ce sont des photos et des vidéos de l’été 2015, au Cap d’Agde, annonce-t-elle, en cherchant parmi ses fichiers images.— Tu ne vas pas leur montrer ça!— Bien sur que si, d’ailleurs Colin les a déjà regardées.
Nous avions passé quelques jours torrides toutes les deux, dans le village naturiste du Cap, et nous avions profité des nombreuses possibilités offertes en matière d’exhib et d’expériences sexuelles diverses et variées. Carine aimait me prendre en photo ou me filmer, et elle disposait d’une véritable collection d’images compromettantes me concernant.
Nous nous rapprochons tous les trois autour de Carine et de sa tablette. Elle choisit une première série de photos, prises par un copain que nous nous étions fait sur place. On m’y voit sur une plage (les habitués l’appellent la «baie des cochons»…), évidement nue, cuisses largement ouvertes. Je doigte Carine, allongée à côté de moi, tout en l’embrassant à pleine bouche, et au fil des photos, on aperçoit des voyeurs nous entourant, de plus en plus nombreux.
Ma copine sélectionne ensuite une courte vidéo, tournée sur la même plage. J’étais agenouillée au centre d’un cercle d’hommes, au garde-à-vous, et je les suçais les uns après les autres. C’était une longue séance de bukkake, et elle n’avait pas été filmée dans son intégralité. Mais, sur la dernière partie, on voit nettement les mecs éjaculer dans ma bouche, sur mon visage et sur mon corps, et la vidéo se termine sur un gros plan de mon buste, maculé de sperme.
Lucas se colle derrière moi, pour regarder ces images. Il pose d’abord ses mains sur mes épaules, puis elles descendent lentement sur mes seins. Comme je ne le repousse pas, il s’enhardit et commence à les caresser, de plus en plus franchement.
Je sens, au creux de mes reins, son sexe qui durcit et se dresse, au fur et à mesure du défilement des images sur la tablette. Tout doucement, je bouge mes hanches en soupirant, pour l’exciter, et la verge gonfle, gonfle…
Encouragé, Lucas joue avec les pointes de mes seins, à travers la fine dentelle. Puis il glisse une main dans la longue fente de ma jupe. Ses doigts suivent l’élastique de mon string, jusqu’au minuscule triangle posé sur ma chatte, l’écartent, et se posent sur ma fente déjà trempée. Je gémis faiblement, et je guide sa main, pour l’encourager à s’insinuer au creux de mon intimité.
Juste à côté de nous, Carole continue d’ouvrir des fichiers de photos. J’en aperçois une sur laquelle un homme me prend en levrette sur notre terrasse, pendant que je bouffe le minou de ma copine.
Colin caresse lui aussi Carole, et il dégrafe maintenant la fermeture de sa robe, qui tombe sur le parquet. Je découvre qu’elle ne portait rien en dessous: elle est nue, juchée sur ses hauts talons, et j’envie toujours sa poitrine ferme et généreuse, dont les aréoles se dressent orgueilleusement.
— Tu n’as pas envie de te retrouver à poil, comme elle?, me demande Lucas, au creux de mon oreille. Si j’en crois les photos qu’on regarde, tu es fan d’exhib.— Oui… déshabille-moi…
Je suis toute émue par sa voix grave, qui provoque un frisson remontant de mes reins, jusque dans mon dos. Je lève les bras, je pose mes mains derrière son cou, pendant qu’il soulève le bas de mon bustier. Ses gestes sont pleins de douceur, et je sens la fine dentelle glisser sur mes seins, pour finalement les dévoiler.
Les mains de Lucas s’attardent quelques instants sur mes tétons, jouant à les faire saillir, puis elles descendent, et se posent sur la fermeture de ma jupe.
— Vas-y, enlève-la, lui dis-je d’une voix troublée par le désir.
Je n’ai pas cessé de frotter mes fesses contre lui. D’un geste précis, il dénoue et écarte les pans de ma jupe, qu’il lance au loin. Dans un miroir, j’aperçois mon reflet, avec mon string minuscule et mes bas résille, et je parais toute petite auprès de ce colosse.
Je me tourne, je passe mes bras autour de son cou, et mes seins s’écrasent contre son torse d’athlète. Je lève des yeux brillants vers Lucas, et je le regarde en entrouvrant mes lèvres. Il comprend tout de suite ce que j’attends, et nos bouches s’unissent, sa langue part à la recherche de la mienne, pendant que ses mains empoignent mes fesses nues.
Notre baiser est interminable. A son tour, il frotte sa queue contre mon ventre, et j’ai l’impression qu’elle a encore grossi. Je ne peux pas résister plus longtemps à mon désir et à ma curiosité. Je déboutonne sa chemise, et je l’arrache plus que je ne l’enlève. La ceinture et la braguette ne me résistent guère plus, et je baisse le pantalon de Lucas en même temps que son boxer…
Enfin, je découvre sa bite! Longue, épaisse, d’une couleur sombre, j’ai rarement admiré un engin de cette taille… Je le prends d’une main fébrile, pendant que Lucas fait sauter les agrafes en métal doré qui retenaient mon string, et je commence à le branler.
— S’il te plaît, suce-moi, me demande-t-il. Tu m’as excité à mort.
A côté de nous, Carine a posé un pied sur la table basse du salon, et Colin, à genoux, est en train d’explorer son abricot avec ses doigts et sa langue, lui arrachant de petits cris de plaisir.
Moi aussi, je m’agenouille devant Lucas. Rien que d’imaginer ce chibre planté bientôt dans mon ventre, je sens ma grotte se liquéfier. J’embrasse du bout des lèvres l’énorme gland rose que j’ai décalotté, puis je descends le long de l’interminable tige, remontant ensuite en léchant la hampe dressée à la verticale. Je continue ce manège pendant quelques minutes, exacerbant le désir de Lucas, qui savoure, la tête renversée en arrière.
N’y tenant plus, il prend ma tête entre ses mains, pour amener ma bouche au sommet de sa bite. Je ne le fais pas attendre plus longtemps, et je prends son pieu dans ma bouche. Je le suce, l’aspire, le mordille… C’est un vrai régal, pour la gourmande que je suis, même si je suis bien incapable de le prendre en entier dans ma bouche, loin s’en faut.
Je suis complètement absorbée par cette fellation, jusqu’à ce qu’un bruit me fasse lever la tête. Carine vient d’ouvrir la cloison coulissante qui sépare le séjour de son coin chambre, au milieu duquel trône un grand lit.
Elle tient Colin par la main, et l’entraîne vers le lit, sur lequel ils se laissent tomber tous les deux, enlacés. A son tour, Lucas me guide pour les rejoindre, et il m’allonge sur le dos, à côté du couple.
Il empoigne mes cuisses, les écartèle, et je devine tout de suite ce qu’il veut. J’écarte moi-même les grandes lèvres de mon sexe, pour offrir ma chatte en feu à sa bouche.
Aussitôt, je sens ses lèvres se poser sur elle, l’embrasser, se fourrer entre mes petites lèvres, aspirer le suc qui coule en abondance. Je gémis et je pousse de petits cris, de plus en plus forts au fur et à mesure que sa langue se fait plus indiscrète, léchant mon petit bouton, s’enfonçant dans ma fente. Au comble de l’excitation, mon clito pointe hors de son étui et se dresse, comme un minuscule pénis.
A quelques centimètres de moi, Carine continue de sucer Colin, et elle donne enfin libre cours à son désir. Elle lui demande de s’allonger sur le dos, et l’enjambe.
— Chloé, je voudrais que tu fasses comme moi, me dit-elle, en maintenant le pieu dressé entre ses cuisses. J’ai toujours rêvé que nous chevauchions deux mecs, cote-à-côte.
Je compris plus tard que cette position faisait partie de son plan, pour l’échange de nos partenaires juste au moment du passage en 2017: du lit, nous pouvons apercevoir l’écran de la télévision, et il reste moins d’un quart d’heure avant minuit…
Lucas ne demande pas mieux que de satisfaire Carine. Il s’étend sur le dos, saisit mes poignets, pour me guider sur lui. Je reste un instant immobile, hypnotisée par le spectacle de Carine qui, les yeux fermés, s’empale lentement sur la queue de son mec. J’ai l‘impression d’être à sa place, de sentir l’énorme dard me transpercer.
Mais c’est bientôt la réalité: à mon tour, je guide la bite de Lucas vers ma fente, qui s’ouvre sur son passage. Malgré la taille de l’engin, je suis tellement trempée qu’il s’enfonce en moi sans me faire mal. Au contraire, c’est une impression d’être entièrement remplie qui m’envahit, au fur et à mesure qu’il disparaît entre mes cuisses.
Je me laisse descendre sur le mât de Lucas, jusqu’à ce que mes fesses reposent sur ses cuisses. Puis je marque un temps d’arrêt, contractant doucement les muscles de mon vagin autour de sa tige. Je dois lui procurer des sensations bien agréables, si j’en juge par ses grognements…
Je m’aperçois que Carine m’observe à son tour, fascinée par la scène. Nous commençons alors à monter et descendre sur les sexes de nos partenaires, d’abord très doucement, puis de plus en plus vite. Je me redresse jusqu’à presque laisser sortir de ma fente le magnifique gland de Lucas, puis je m’emmanche en me laissant tomber sur le dard qui me transperce.
Pendant que Lucas malaxe mes seins et mes fesses, c’est un concert de gémissements, de cris, d’ahanements, qui remplit la chambre.
— Elle te plaît, cette grosse bite?, me demande Carine, entre deux plaintes.— Oh oui… Putain… Qu’est ce qu’elle est bonne…— Çà te plaît toujours autant, qu’on te regarde baiser?— Tu peux parler… T’es pire que moi.
Mais nous ne pouvons pas poursuivre davantage cette conversation. Je sens le plaisir qui monte en moi, partant de ma chatte, envahissant mon ventre, irradiant vers mes seins et mes cuisses. L’orgasme vient, le premier de cette longue nuit, et je ne fais rien pour y résister.
Carine part presque en même temps que moi, et nos vocalises rivalisent dans les aigus. Je continue d’aller et venir doucement sur la bite de Lucas, faisant frotter son gland sur mon point G, et des vagues de jouissance se succèdent, interminablement.
Lorsque je retrouve enfin mon calme, mon regard croise celui, malicieux, de Carine. Nous sommes restées empalées sur nos partenaires qui n’ont pas éjaculé et, à la télévision, Patrick Sébastien égrène le compte à rebours avant minuit:
— Encore quinze secondes… dix… cinq, quatre, trois, deux, un. Bonne année!— Bonne année!, crions-nous tous les quatre en nous embrassant.— Changement d’année, changement de partenaire, s’exclame Carine en riant.
Et nous nous redressons toutes les deux, pour nous libérer nos fentes des deux verges toujours dressées. Surpris, les deux garçons ont un moment d’hésitation, puis ils réalisent ce que Carine et moi voulons.
Le premier, Colin réagit. Il me guide pour que je m’agenouille, et je comprends qu’il veut me prendre en levrette.
Pendant qu’il se met en position, Carine s’allonge sur le côté. Elle veut observer son mec, pendant qu’il me baise, et Lucas se place derrière elle, soulevant haut sa cuisse. Moi aussi, je peux profiter du spectacle de ma meilleure amie se faisant emmancher par l’homme qui vient de me faire jouir, et j’avoue que c’est terriblement excitant.
Je glisse une main entre mes cuisses, autant pour astiquer mon clito, que pour caresser le membre qui me pénètre. Je le trouve tout gluant, enduit de la mouille de ma meilleure copine...
Les deux mecs se synchronisent pour nous pistonner, et pendant que je sens les doigts de Colin écarter les lèvres de ma chatte pour y enfoncer son dard, je vois la longue tige sombre de Lucas investir la fente de Carine. Nos petits cris se répondent, au fil des coups de reins de nos amants qui se déchaînent.
Colin me gratifie de véritables coups de boutoirs, comme s’il voulait faire exploser mon minou. Je dois me cramponner au matelas pour ne pas perdre l’équilibre, mais j’avoue que ce coït violent me fait grimper aux rideaux ;
— Vas-y, défonce-la, l’encourage Carine. Elle ne demande que ça.— Oh, oui, c’est bon, dis-je entre deux cris. Il baise bien, ton mec.
Elle est trop excitée, elle aussi. Sans se dégager de la pénétration de Lucas, elle l’oblige à s’allonger sur le dos, pour le chevaucher. Elle est penchée en arrière, en appui sur ses bras tendus, et dans cette position, Colin et moi avons une vue imprenable sur sa fente, aux lèvres écartelées par l’énorme pieu de Lucas.
Lorsque je sens les mouvements de la bite de Colin ralentir dans ma grotte, je crains un instant qu’il se fatigue, mais je me trompe. Ses doigts commencent à aller et venir entre mes fesses, et soudain, un majeur trempé de salive caresse mon petit trou.
Je me cambre un peu plus, et cette caresse devient pression. Mon œillet s’entrouvre, et le doigt inquisiteur s’introduit à l’entrée de mon fourreau. Je bouge légèrement mes fesses, pour faciliter sa progression, je pousse un long gémissement de plaisir.
Avec son bras libre, Colin a enlacé ma hanche, et son autre main a débusqué mon clito. Mon petit bouton dardé s’est extrait de son capuchon, et il l’effleure avec adresse. Cette sensation m’affole, et il en profite pour explorer plus avant mon cul, d’autant plus que je pousse des petits cris qui l’excitent.
Cette fois, nous sommes partis tous les deux pour une longue séance de baise, dont nous connaissons d’avance l’issue. Carine n’en perd pas une miette, et s’empale sur Lucas avec une sorte de rage, en hurlant, mais nous y prêtons à peine attention.
Le doigt de Colin va et vient doucement en tournant dans ma rosette, et celle-ci se dilate, imperceptiblement, si bien que bientôt, l’annulaire rejoint le majeur. Très vite, ils coulissent superposés, dans mon anus, et Colin a changé de tactique pour baiser ma chatte: il ressort sa queue presque entièrement, et ses allées et venues se limitent à l’entrée de mon antre, là où les parois sont les plus innervées. J’ai l’impression de devenir folle, tant j’aime ce qu’il me fait.
— Oui, continue! Fouille bien mon cul, pilonne ma chatte!— Tu vas être servie, petite salope, me répond-il, son index rejoignant les deux autres doigts dans mon petit trou.— Oui, ouiiiii! Comme ça!… Ooooh, je vais jouir, c’est trop bon, je vais jouir!!
Et l’orgasme monte du creux de mon ventre, me tétanise, tout mon corps se contracte.
Colin se retient encore, mais pour combien de temps. Je sens ses doigts s’agiter dans mon petit cul, son sexe va et vient dans mon minou de plus en plus vite, de plus en plus profondément, et ses hanches heurtent mes fesses à chaque pénétration.
— Viens! Viens maintenant!! Je veux que tu jouisses aussi, je veux ton foutre dans ma chatte!!
C’est incroyable, un nouvel orgasme arrive, encore plus fort, dévastateur, et quand la semence gicle dans mon intimité, je m’abandonne totalement au plaisir. Colin éjacule interminablement, sa liqueur épaisse et chaude m’inonde par longs jets. Je suis à la limite de l’évanouissement, et mes cris suraigus envahissent la pièce.
Pendant un long moment, Colin continue de faire coulisser tout doucement son pieu entre mes petites lèvres, et le sperme coule à l’intérieur de mes cuisses. Il me faut du temps pour redescendre sur terre, et constater que Carine et Lucas ont du, eux aussi, atteindre le septième ciel, si j’en juge par le regard brillant de mon amie, et le liquide crémeux qui macule son ventre.
Nous échangeons un regard, et nous éclatons de rire: 2017 commence sous les meilleurs auspices!Colin nous amène des serviettes, pour que nous nous essuyions, et Lucas remplit nos flûtes de champagne. Carine éteint la télévision, et remet de la musique. C’est encore un vieux morceau disco, au tempo sourd, elle commence à danser, nue, et je la rejoins, après avoir enlevé mes bas.
Manifestement, les deux garçons apprécient le spectacle que nous offrons toutes les deux, juchées, en tenue d’Eve, sur nos talons aiguilles, ondulant sensuellement au rythme de la musique.
— Tu n’es pas fatiguée, j’espère?, me demande Carine.— Non, il m’en faut plus que ça. Et toi?— Moi non plus. J’espère que nos hommes ont encore des réserves, renchérit-elle, en lançant un regard aguicheur vers Colin.
Celui-ci part quelques secondes dans la chambre, et en revient avec une boîte habillée de satin rose.
— Qu’est-ce que tu fais avec ça?, lui demande Carine.— Eh bien, Lucas m’a avoué que son rêve était de voir deux filles faire l’amour, répond Lucas. Je crois que nous n’aurons jamais de meilleure occasion… Chloé et toi… Pourrait-on rêver d’un plus beau couple féminin? Et vu ce que tu m’as raconté sur Chloé…— Elle a peut-être son mot à dire, intervient Carine.
Je réfléchis à toute vitesse, et une idée perverse me traverse l’esprit. Je regarde les garçons:
— Et pendant que nous nous gouinons, je suppose que vous allez nous mater en vous branlant?— On ne promet pas le contraire, répond Colin, malicieux.— Alors, nous voulons que vous vous caressiez tous les deux mutuellement, on sera quitte.— Tu es sérieuse?, s’inquiète Lucas. On n’est pas homos.— C’est à prendre ou à laisser. Si vous voulez nous baiser encore…
Finalement, les deux garçons acceptent le marché, sans enthousiasme, et Colin ouvre la boîte: elle contient la collection de sextoys de Carine, et il compte que nous en utilisions dans nos ébats.
Carine me prend par la main pour m’entraîner sur le lit, à côté duquel elle pose la boîte. Pendant ce temps, Colin et Lucas tirent le canapé du salon, pour le placer face au lit, afin de nous regarder confortablement installés.
Pour les exciter, ma copine m’installe face à eux, le buste renversé en arrière en appui sur mes coudes, et elle écarte largement mes jambes pliées. Dans cette position, les mecs ont une vue imprenable sur mes seins déjà gonflés, sur mon mont de Vénus glabre et sur ma fente. En les regardant dans les yeux, Carine écarte mes petites lèvres, et stimule mon petit bouton qu’elle a dégagé de son étui.
Je sens un picotement familier le long de mon dos, qui irradie vers mon bas ventre, comme chaque  fois que je m’exhibe. Carine, à demi allongée à côté de moi, cuisses écartées, a pris une pose tout aussi provocante, et les deux garçons recommencent à bander, tout doucement.
— Vous vous rappelez ce que Chloé vous a demandé, leur lance Carine.
Ils échangent un regard gêné puis, le premier, Colin pose sa main sur la verge de Lucas. Après un temps d’hésitation, nous voyons ses doigts enserrer la longue hampe, et commencer à la caresser, et ce n’est qu’à ce moment que Lucas rentre à son tour en action.
Ce spectacle, inédit pour nous, nous excite toutes les deux, d’une façon tout à fait inattendue. Carine plonge sa tête entre mes cuisses, et aussitôt sa bouche et sa langue s’activent sur mon abricot, que sa salive et ma sève inondent rapidement. Elle s’est agenouillée, et en se cambrant, elle offre aux yeux de nos admirateurs sa moule déjà humide.
Mon amie me connaît par cœur, et sait comment me donner du plaisir. Sa main rejoint sa bouche, et c’est un festival de sensations pour mon clito et pour ma grotte. Je sens mon petit bouton enveloppé par une langue agile, l’entrée de mon antre savamment excitée par des doigts qui s’agitent, tournent, coulissent… Je gémis, mes gémissements se transforment en cris…
La pointe de sa langue s’enfonce le plus loin possible dans ma fente, et ses doigts enduits de cyprine ont glissé entre mes fesses, là ou peu de temps avant, Colin avait exploré ma rosette. Carine doit y penser aussi, car elle se met à limer mon anus, frénétiquement.
Elle se déplace, pour que son entrejambes se retrouve à portée de ma main, et je lui rends ses caresses. Ses fesses sont fermes et cambrées, son minou tout lisse est déjà inondé... Leur contact accroît mon excitation… Je jouis encore, longuement, bruyamment.
Je reste quelques instants immobile, mais Carine est maintenant en état de manque. Elle fouille dans la boîte des sextoys, et s’empare d’un gode double, rose, en forme de U. Les deux extrémités imitent parfaitement des sexes d’hommes, avec veines apparentes et glands turgescents. Elles sont rigides, mais la partie qui les relie est relativement souple, pour s’adapter aux positions adoptées par leurs utilisatrices.
Carine veut conserver l’initiative. Agenouillée sur le canapé, elle enfonce un côté du gode dans sa chatte, avec une expression de contentement sur son visage. Lorsqu’elle se met debout, on a vraiment l’impression qu’elle est dotée d’une vraie bite, et qu’elle bande.
Pendant ce temps, j’observe Colin et Lucas. Nous voir nous caresser toutes les deux a fait, chez eux, naître et grimper l’excitation. Sans réellement y penser, ils traduisent, le désir qu’ils ressentent en se branlant mutuellement, comme si c’était leur propre sexe qu’ils tenaient entre leurs doigts.
Je suis fascinée par la longue hampe sombre de Lucas, émergeant à intervalles réguliers de la poigne de Colin, et j’ai hâte qu’elle me pénètre de nouveau.
Mais Carine ne me laisse pas m’abandonner à la rêverie! Elle s’agenouille sur le lit, où je suis étendue sur le dos, elle m’attire vers elle, saisit mes cuisses et les écartèle. Nos regards brillants sont plantés l’un dans l’autre, chacune à l’écoute du désir et du plaisir de l’autre.
Je la vois plier le gode pour l’amener à l’horizontale, face à ma fente, comme le ferait un mec, puis elle me tire vers elle pour l’enfoncer dans mon intimité. Lorsqu’il est suffisamment engagé, elle le lâche pour empoigner mes hanches.
Je pousse un long cri: c’est délicieux, cet olisbos dur comme de la pierre, qui me perfore inexorablement. Je sens sa progression en moi, millimètre par millimètre, et je découvre que, dans cette position, le gland appuie sur mon point G en raison de l’effet de ressort du gode… C’est trop bon, à la limite du supportable.
Carine commence à faire aller et venir le gode dans ma grotte. J’ai passé mes jambes autour de sa taille, et je peux ainsi bouger à ma guise sur le pieu qui me perfore. Mais mes mouvements se répercutent aussi, à travers l’autre extrémité de l’engin, dans la chatte de ma copine. C’est un enchaînement de sensations pour toutes les deux, et nos gémissements couvrent la musique.
C’en est trop pour les deux garçons. Ils quittent leur canapé, pour venir nous rejoindre sur le lit.
Colin s’installe à côté de moi, et présente son dard à portée de mes lèvres. Je goûte pleinement l’érotisme de la situation: sucer un mec, pendant que sa copine me bourre la chatte avec un gode double, qui va la faire jouir aussi… Je saisis le pénis, qui a retrouvé toute sa rigidité, pour prendre le gland dans ma bouche. Je l’embrasse, le tête, je fais rouler ma langue tout autour, et le rythme du mouvement de mes hanches s’accélère.
Lucas ne reste pas inactif. Du coin de l’œil, je l’aperçois, agenouillé derrière Carine. Sa grande main malaxe ses seins gonflés et, aux petits cris de ma copine, je devine que son autre main explore ses fesses, que ses doigts s’insinuent dans le sillon qui les sépare, pour ouvrir son petit œillet.
L’excitation emporte de nouveau notre quatuor. Je pompe la queue de Colin comme une forcenée, tout en m’emmanchant avec une sorte de rage sur le gode. De son côté, Lucas a trouvé un flacon de lubrifiant dans la boîte des sextoys, et il fouille maintenant l’anus d’une Carine qui a renoncé à se contrôler.
Je suis au bord de l’orgasme, mais Carine me coiffe sur le poteau. Elle cesse de bouger, tétanisée, tout son corps se contracte, et je l’entends hurler de plaisir. C’en est trop pour moi, et je m’abandonne au tsunami qui m’emporte.
— Je jouiiiis! Oui, c’est ça, continues encore, bouge le gode dans ma chatte…. Ooooh! Comme c’est bon!!!— Moi aussi, j’arrête pas de jouir!, crie Carine. Vas-y, rentre un autre doigt dans mon cul… Ouiiii, j’adore!
Je ne sais pas combien de temps ont duré nos orgasmes, mais ils nous laissent toutes les deux haletantes et épuisées. Carine se dégage, et se laisse tomber sur le lit. Le gode reste planté dans mon abricot, et je continue de branler Colin, presque machinalement.
Les deux hommes n’ont pas éjaculé, et il ne fait pas de doute que, pour eux, nous n’allons pas en rester là. Mais ils ne veulent pas nous forcer: peut-être pensent-ils aussi qu’ils ont intérêt à nous laisser récupérer, pour profiter de toute notre ardeur!
Colin remplit une nouvelle fois les flûtes de champagne, et nous les apporte sur le lit, embrassant tendrement Carine au passage. Lucas trinque avec moi à la nouvelle année, et me gratifie aussi d’un long baiser, tandis que ma main libre batifole sur son sexe encore dressé à demi. J’ai retiré le gode luisant de cyprine de ma fente, et il le suce avec gourmandise.
L’atmosphère est électrique. Les deux mecs n’attendent que le signal du départ d’une nouvelle séance de baise, et nous mettons leur patience à l’épreuve. Et cette attente commence à nous exciter, Carine et moi. Jusqu’à ce que ma copine me prenne par le cou, pour me parler à l’oreille, et me proposer une combinaison qui vient de lui passer par la tête… Elle est encore plus cochonne que moi! Je l’écoute, sans lui répondre, mais mes réactions trahissent l’audace de sa proposition.
Carine veut que je joue le rôle de la maîtresse de cérémonie, et cette idée ne me déplaît pas. Colin et Lucas me regardent, interrogatifs.
— Je vois que vous êtes encore en forme, tous les deux, dis-je en fixant ostensiblement leurs verges. Tant mieux, car vous aurez fort à faire pour nous satisfaire, et vous devrez suivre mes instructions. Lucas va s’allonger sur le dos, et Colin va lubrifier le petit trou de Carine. Exécution!
Colin s’empare du lubrifiant et en verse sur ses doigts, pendant que sa copine s’agenouille en se cambrant, dans une posture provocante. Lucas m’a obéi, il s’est étendu sur le lit. Sa bite se dresse déjà vers le plafond, et je la masse doucement, puis je prends un peu de lubrifiant aussi pour l’en enduire.
Je fais durer le plaisir, pendant que Colin fouille de ses doigts l’anus de Carine, pour le dilater. Elle commence à éprouver du plaisir, tant du fait des caresses de son homme, qu’en pensant à ce que nous allons faire.
Lorsqu’elle se sent prête, elle se relève, et vient au dessus de Lucas, lui présentant ses fesses. Puis elle plie lentement ses longues jambes, prend appui sur ses bras tendus, le buste en arrière, pour venir s’asseoir sur la bite du métis, que j’ai prise dans mes mains, et que je guide vers la rosette dilatée, luisante, de ma copine.
La grosseur du gland rend son passage difficile dans le fourreau de Carine, mais elle pèse de tout son poids, en laissant échapper des gémissements. Lentement, la longue tige s’enfonce, disparaît entre les deux globes de son cul.
Pendant qu’elle s’empale sur le chibre de Lucas, je reprends le gode double que nous avions utilisé toutes les deux, et je l’introduis dans ma fente. Je me relève, ayant l’impression d’être un homme en érection, et je viens m’agenouiller entre les cuisses largement ouvertes de Carine et Lucas.
Ils sont bien emboîtés, et Carine admire le gode qui s’approche de son mont de Vénus. Sa sève brille sur ses petites lèvres, que j’écarte doucement. Je frotte un instant l’extrémité de l’olisbos contre sa fente, et je sens dans mon intimité les premiers effets des mouvements du gode. C’est délicieux! Et ça sera encore mieux tout à l’heure...
J’engage doucement la tige rose dans l’antre de Carine, qui pousse un petit cri de plaisir. Elle halète pendant je m’enfonce en elle, et je ne lui fais pas grâce d’un millimètre. Lorsque nos deux pubis sont collés l’un contre l’autre, je me cambre légèrement.
— A toi, Colin, dis-je d’une voix transformée par l’excitation. Viens dans mon cul.
Colin attendait ce moment. Il prépare ma rondelle avec ses doigts, comme il l’a fait tout à l’heure, tout en enduisant sa verge de lubrifiant, il en verse quelques gouttes dans le sillon qui mène à mon anus, et se met en position.
Je retiens mon souffle, quand je sens ses mains écarter mes fesses, son gland pousser contre ma rosette…. Oh, comme c’est bon, ça y est, il est en moi. Il m’encule lentement, avec un art consommé. Le passage de l’interminable hampe dans l’étroit orifice si sensible, sa progression dans mon ventre, le gode planté dans ma chatte, tout cela provoque un feu d’artifice de sensations qui part du creux de mes reins, et diffuse dans tout mon corps.
Mes seins sont durs, gonflés,  à en devenir hypersensibles, leurs pointes se dressent, et les caresses enfiévrées de Colin sur ma poitrine sont presque douloureuses.
Il marque une pause, puis commence à aller et venir dans mon petit cul. Chacun de ses mouvements provoque une réaction en chaîne. Une vraie centrale nucléaire! Lorsqu’il me pénètre, il me soulève et me fait coulisser sur le gode, qui s’enfonce dans le minou d’une Carine, perforée par le dard qui remplit son petit trou…
Nous sommes prises toutes les deux en sandwich, et nous ne savons plus où nous en sommes. Nous poussons des cris inarticulés, nous ponctuons nos sensations de mots crus, couvrant les grognements de nos partenaires.
Je n’avais jamais expérimenté une telle position, et j’ai l’impression que les parois de ma chatte et de mon petit cul vont se déchirer. Mais c’est en même temps excitant, au-delà de toute expression.
Colin se déchaîne, et me sodomise avec force. Lucas, en dessous, ne supporte plus de devoir rester passif, et il soulève Carine – autant qu’il le peut – en empoignant ses hanches. Au milieu de tout cela, je suis ballottée comme une coquille de noix sur une mer déchaînée.
Progressivement, je sens l’orgasme monter, et je perds conscience de ce qui se passe. Tout mon être se concentre dans mon anus, perforé par un mâle en rut, et dans mon minou inondé de sève, pilonné et vrillé par le gode qui semble animé d’une vie propre.
— Oooooh!!! Je vais jouir…. Ouiiii, je jouis, hurle Carine.
Ce cri vient à bout de ma résistance, moi aussi je cède au plaisir.
— Aaaaah! Moi aussi, je jouis… Oh, quel pied… Continue Lucas, ne t’arrête pas… Ouiiii!
Nos deux mecs se retiennent encore, mais l’hallali est proche. Ils ne prennent plus aucune précaution, trop excités eux aussi par ce quatuor d’enfer. Sous moi, Carine monte et descend comme si elle était soulevée par des vagues furieuses, et les coups de reins de Colin me propulsent en avant.
Mon amant se met à grogner et, enfin, ouvre les vannes qui retenaient sa semence. Il se contracte, et je sens les flots de sperme gicler dans mon petit trou. A ce contact, un dernier orgasme, animal, interminable, me transporte, m’arrachant une longue plainte.
Le foutre s’écoule lentement entre mes fesses, descend jusqu’à ma fente, puis suit le gode toujours planté dans l’abricot de Carine... C’est alors que Lucas éjacule à son tour, et que Carine hurle encore, en jouissant elle aussi.
Nous nous écroulons tous les quatre sur le lit, épuisés. Carine et moi nous libérons difficilement, à regret, des sexes – réels ou synthétiques – fichés dans nos orifices. Pendant plusieurs minutes, nous nous embrassons tendrement, nos mains parcourent les corps qui nous ont donné tant de plaisir.
Puis nous allons prendre une douche bien méritée. L’eau chaude nous ragaillardit, et nous buvons une dernière flûte de champagne, nous dansons sur les derniers slows, sans prendre la peine de nous rhabiller.
Il est près de cinq heures du matin, quand nous nous séparons, après avoir remercié Carine. Je pars avec Lucas, mais je ne rentre pas chez moi: je l’accompagne chez lui, où nous dormons ensemble, et nous faisons une nouvelle fois l’amour, à notre réveil.
L’année 2016 est morte, vive 2017...
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