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Ce que femme veut ...

Chapitre 1

Erotique
Vous connaissez tous et toutes le proverbe "Ce que femme veut, Dieu le veut".Et bien il faut croire que le bon Dieu est un sacré coquin !

Cette aventure, à laquelle je ne donnais aucune chance, ma chérie est parvenue à la réaliser contre toute attente.Elle a corrompu le curé de notre paroisse !!!

 Ma belle-soeur a accouché d’un petit garçon en janvier 2015. Elle a choisi ma chérie comme marraine et c’est en juin qu’eut lieu le baptême.Lors de la cérémonie monsieur le curé (bien brave homme de 65 ans environs) a félicité les parents ainsi que le parrain et la marraine. Pour ce, il leur a serré la main à tous.Je ne sais ce qui s’est produit ? Intervention divine ou maléfique ? Toujours est-il que ma chérie est revenue toute émotionnée près de moi. Elle était presque livide et son regard était comme perdu, je me suis inquiété en pensant que c’était dû à la chaleur et la joie d’être marraine.Alors que je venais de lui poser la question de savoir si l’émotion l’avait submergée, elle m’a répondu que non, qu’elle m’expliquerait par après.Après avoir quitté l’église nous sommes tous partis vers une salle louée pour l’occasion et où un service-traiteur ainsi qu’un DJ’ nous attendaient.Superbe après-midi et formidable soirée ! Une ambiance folle qui nous a mené jusqu’aux alentours de 02 h 00 du matin.Ma chérie s’était rétablie et nous avions dansé sans plus y penser.

 Le lendemain, alors que je terminais un dossier compte-rendu d’une de mes activités professionnelles, ma chérie s’est enfin réveillée et est venue près de moi.Déjà j’étais allé acheter les petits pains au chocolat et le café l’attendait dans la bouteille thermos.Nous avons pris le petit-déjeuner, puis une douche réparatrice de nos excès de la veille.Matinée calme, elle à repasser du linge et moi à laver la voiture.Pour le midi, nous nous sommes rendus dans notre taverne favorite pour y consommer un pavé  de veau à la milanaise.Nous en étions au dessert quand je me suis enquis de savoir la raison de son malaise du jour précédent.Son explication me laissa pantois, incrédule, mais finalement pas si étonné que ça vu que je connais ma chérie sur le bout des ongles.Elle m’a révélé la cause de son émoi et des conséquences qui l’avaient mise si fébrile:En arrivant à l’église, tout de suite elle avait ressenti une drôle de sensation en voyant monsieur le curé. A chaque fois que leurs yeux c’étaient croisés elle s’était sentie comme envoûtée. Quand, pour la féliciter de son rôle de marraine, il lui avait pris ses mains entre les siennes, une chaleur intensive lui avait traversé le corps et elle avait eu peur.
Naturellement je me suis aussitôt moqué d’elle, lui parlant du film "l’exorciste" et la suppliant de ne pas me cracher au visage ainsi que de ne pas me dire "je suis ta mère".Nous en avons bien ri puis sommes allés faire une promenade digestive au parc.Durant le reste de la journée je m’étais posé quelques questions du genre: "Pourquoi a-t-elle eu cette réaction ?", "Connaissait-elle ce curé ?", ...Et le soir venu je suis revenu sur ce sujet.Elle m’a affirmé qu’elle ne l’avait jamais vu, mais qu’il se dégageait une drôle de sensation à son contact.Rieur je lui ai dit qu’elle était sous le charme, qu’il l’avait ensorcelée et qu’il allait falloir l’exorciser.Sérieuse elle m’a rétorqué que peut-être avais-je raison.C’en était trop, je ne pouvais la laisser croire à des idioties pareilles. Et, tout de go, je lui ai dit qu’elle en était tout simplement tombée amoureuse.Elle s’en offusqua, pas tant parce-que c’était un homme d’église, mais parce-que il n’y a que moi qu’elle aime affirma-t-elle. Je la croyais sans peine, notre vie "spéciale" me le prouvait très régulièrement.Je ne pouvais clore ce délicat sujet et ai continué notre discussion en arguant qu’il ne restait plus que la probabilité qu’elle soit attirée sexuellement.Là, sa manière de répondre devint autre. Elle disait que non, mais je la sentais moins catégorique.  Titillé par la chose, je lui ai soumis l’idée que rien n’est impossible; que les voies du Seigneur sont impénétrables, mais pas les siennes.Durant plus de deux heures le sujet a occupé notre conversation. Moi, plus on en parlait et plus je fantasmais. Voir, ou savoir, ma chérie se faire prendre par le curé et, peut-être, à même l’autel !! Finalement elle a admis que j’avais certainement raison, que ce religieux dégageait une grande sensualité et qu’il ne lui déplairait pas d’avoir une relation avec lui. Mais, bon, nous n’étions même pas de sa paroisse.Nous nous concertâmes et arrivèrent à la conclusion que il nous fallait en savoir plus sur lui. Et la seule personne apte à nous en parler était ma belle-soeur vu qu’elle fréquentait l’église chaque semaine pour la messe du samedi.Ma chérie apprit que l’homme de Dieu avait habité (malgré sa charge ecclésiastique) quelques années avec une femme. Donc il pratiquait le "péché de chair" (rires).Il nous fallait maintenant trouver un moyen d’approche.Après diverses élucubrations, nous convînmes que la façon suivante serait la meilleure:Ma chérie se ferait passer pour une nouvelle paroissienne qui avait besoin d’aide, une aide spirituelle.Elle se rendit à la messe le dimanche suivant et, celle-ci terminée, s’en alla trouver le curé pour obtenir un rdv avec lui.Ce fut pour le mardi soir au presbytère.Nous avons récapitulé notre plan d’attaque et, habillée d’une tenue sexy classe, elle y est allée.Le plan était simple, mais sans aucune garantie de succès.Il s’agissait de demander conseil concernant notre couple. Je, soi-disant, souhaitais l’épouser mais elle hésitait. Elle hésitait car elle ne savait pas si elle était prête à devenir la femme d’un homme, plus précisément la femme "d’un seul" homme. Et tout en parlant de ça elle tenterait d’attirer le regard du curé sur elle et ses merveilleuses jambes.Arrivée à l’heure pile, il la fit entrer et lui proposa une boisson. Elle demanda un thé qu’il lui servit. Tout en dialoguant elle s’écarta de la table, toujours assise et mine de rien. Elle croisa les jambes en prenant soin d’en garder une assez haute. Ainsi mise, sa courte jupe remontait de façon vertigineuse et, comme tout homme, le curé ne put s’empêcher d’y jeter le regard.Faisant mine de refroidir son thé en soufflant dessus, elle plongea ses yeux dans sa tasse afin de donner toutes possibilités au coquin de se rassasier du spectacle.Et du spectacle elle lui en donna ! Déjà que sa jupe dévoilait 80% de ses cuisses, elle mit le paquet et décroisa lentement (façon sharon Stone, si si) les jambes en prenant soin qu’il puisse voir sa petite culotte.Il avait admiré, elle l’avait vu regarder de manière intensive et, lorsqu’il avait relevé les yeux, il avait vu qu’elle l’avait vu.Il était devenu pourpre (sans être cardinal !! MDR) et ma coquine l’a regardé droit dans les yeux en lui souriant.Maintenant elle était sûre que dans ce curé se trouvait un homme qui se trouvait attiré par le sexe.Avec une outrecuidance sans borne elle se leva et vint se planter devant lui. Relevant sa jupe aussi haut que possible elle s’exprima de telle manière:— " Voyez ceci, pourquoi devrait-elle appartenir à un seul homme ?"Le curé ne savait que dire, que faire, et restait coi devant elle. Alors, amorçant un striptease lent et sensuel, elle se rapprocha encore de lui pour lui dire:— " Je sais que vous n’êtes pas insensible aux charmes des femmes et que vous avez été en couple jusqu’il y a peu. L’autre jour je suis venue à votre église pour le baptême de mon filleul et vous m’avez pris les mains pour me saluer. Depuis ce jour j’ai envie de vous".Il ne répondait rien, mais ses yeux ne quittaient la petite culotte de ma coquine.Elle était maintenant presque nue, n’ayant plus sur elle que sa lingerie composée d’un soutien-gorge à balconnets et sa culotte. La jupe gisait par terre à ses pieds, tandis que sa blouse elle l’avait déposée sur les jambes du curé pour le provoquer.Il prit la blouse et la déposa sur la table. Ma salope lui demanda alors de bien vouloir faire de même avec la jupe. Quand il se plia pour la ramasser , elle lui saisit la tête et l’appuya entre ses jambes. Le cureton avait maintenant le nez collé sur le fin tissu le séparant d’un abricot juteux à ravir et qui ne demandait qu’à être goûté.Et youppie, le miracle eut lieu.Certainement en manque de péchés capitaux, l’ecclésiastique s’empara des fesses de ma salope et les lui pétrit sauvagement. Elle dû même le modérer car il enfonçait ses ongles dans la chair fessière.Il termina l’effeuillage de ma salope en quelques secondes et rendit hommage à chaque parcelle de son corps et de son intimité la plus profonde avec ses dix doigts.Ma salope le fit se rasseoir et elle se plaça à genoux pour lui prodiguer une fellation. Une fellation ? Que dis-je, "THE" fellation !!Je vous garantis que personne ne dirait non à une pipe réalisée par ma salope, même pas le plus gay des gays, même pas "l’autre" (ben oui, vous savez, "l’autre", celui à qui ce coquin de curé doit rendre des comptes).Moins de 5 minutes plus tard il lui versa son "eau bénite personnelle" au fond de la gorge. Ma petite putain s’en régala puis se releva. Elle le prit par la main et l’invita à se redresser également.Là, elle lui roula une pelle d’enfer (excusez la comparaison) et sentit entre ses cuisses que son bâton de chair demeurait ferme et dressé.Un ange passa, semblant décocher une flèche au curé qui, dans un mouvement rapide et nerveux, se saisit de ma putain et la souleva pour la déposer et l’allonger sur la table (cette même table où, peut-être, déposait-il ses hosties et son vin de messe). Son cul et le reste de son corps sur le bois, les jambes pendantes et bien ouvertes, ma pute fut pénétrée hardiment. Non pas pénétrée de la foi, mais du membre d’un membre du clergé.Il lui avait pris les jambes et les avaient relevées. Elles les tenait nouées autour du cou de l’homme qui allait et venait en elle. C’était bon, délicieux, on pourrait aller jusqu’à dire "divin".Il ramonait comme un forçat et ma putain criait de plaisir.Fatiguant peut-être, il se retira (non non, pas dans un monastère) et lui désigna le canapé.Elle alla s’y coucher, mais il n’était pas satisfait de la position prise (simplement allongée, jambes écartées) et la supplia (ben oui, c’est un homme d’église) de se mettre à quatre pattes les cuisses les plus écartées qu’elle put.Et, alléluia, ce ne fut pas le Saint-Esprit mais 18 bons centimètres qu’elle reçut en elle.Il reprit son martèlement incessant tout en insinuant un doigt dans l’antre démoniaque situé entre les portes de l’enfer anal.Le cureton envoya ma putain au 7ème ciel, et même plus haut.Ayant emmagasiné un grand stock de sperme saint, quand il éjacula le trop-plein s’écoula sans discontinuer.Il se retira enfin et ma putain se retrouva inondée jusqu’aux pieds. Charitable (on en attends pas moins de la part d’un curé), il lui donna une serviette et elle s’essuya.Il lui proposa de prendre une douche mais elle refusa en lui révélant qu’elle était mariée et voulait me donner la preuve de la bénédiction dont elle venait de profiter.Ma putain s’est rhabillée puis, après lui avoir donné un dernier baiser, est rentrée au bercail pour tout me narrer.

Puis-je me permettre de solliciter la bienveillance des modérateurs et, si besoin est, de couper ce récit en 2 parties à l’endroit où ils le jugent opportun.De même, si ce texte ne correspond pas à la charte, m’en donner la raison bien définie.Cette demande est faite avec gentillesse, n’y voyez rien d’hostile.MerciPS: je ne suis pas d’accord avec les fautes signalées ;-)
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