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Que la montagne est belle ...

Chapitre 2

Lesbienne
Les trois filles sont maintenant vautrées l’une sur l’autre et se prodiguent force, caresses et baisers. Je tombe en pleine partie lesbienne et, apparemment, elles n’en sont pas à leurs débuts. Leurs gestes sont assurés, leurs gémissements, que j’entends jusqu’ici, ne sont pas feints, le plaisir qu’elles se donnent non plus.
J’ajuste la mise au point et suis avec excitation ce qui se passe à quelques pas de moi. Jade, qui a l’air la plus entreprenante, est couchée de tout son long sur Louise et lui caresse l’entrejambe d’un geste décidé tout en suçant les magnifiques mamelles de sa partenaire. Pendant ce temps, Julie, assise en tailleur à côté d’elles, les regarde en se branlant profondément, deux doigts engouffrés dans sa chatte et l’autre main caressant ses petits seins. Je n’aurais jamais imaginé ma sœur occupée à se gouiner avec ses copines ,et pourtant, c’est exactement ce qui se passe. Jade descend la tête vers le sexe de Louise et entreprend de lui prodiguer un cunnilingus torride. Profitant de la place libérée, Julie se met à califourchon au-dessus du visage de Louise et lui présente sa vulve. Celle-ci n’hésite pas un instant. Elle attrape ma sœur par les fesses, engouffre son sexe dans sa bouche et lui suce le clitoris à pleine langue.
De mon côté, incapable de résister à un tel spectacle, j’ai sorti popol de son abri et je le secoue à plein poignet, les jambes largement écartées pour garder l’équilibre. Dame, une main sur les jumelles, l’autre à me masturber vigoureusement, il faut bien ça ne pas tomber !
Le bruit des halètements et des gémissements augmentant sensiblement m’annonce que certaines approchent de l’extase et, de fait, Louise, la première, se cabre et jouit bruyamment dans la bouche de Jade. Ses soubresauts se répercutent dans tout son corps et sa langue fouille d’autant plus profondément la chatte de Julie qui, à son tour, explose dans un orgasme puissant qui la laisse un peu groggy.
Jade, qui n’a pas encore profité des faveurs de ses copines, le leur fait clairement comprendre en se couchant sur le dos entre elles, bras et jambes largement écartés. Julie s’installe à la perpendiculaire et enfonce deux doigts jusqu’à la garde dans le vagin de Jade. Elle se penche en même temps sur le buste de sa copine et engloutit les tétons durcis par le désir. Louise, elle, s’est postée au-dessus du visage de Jade et se branle à 10 centimètres de celui-ci. Je vois distinctement sa cyprine qui coule abondamment sur les lèvres de Jade qui l’avale avec avidité.
Julie accélère les mouvements de son poignet, mordille les tétons de Jade, la pénètre profondément à toute vitesse, l’amenant rapidement à l’orgasme qui se déclenche brutalement dans un flot de liquide jaillissant de son sexe dans une magnifique éjaculation saccadée. Après plusieurs jets puissants, Jade retombe comme anéantie par le plaisir au moment où Louise, tous seins dehors, se donne son deuxième orgasme de l‘après-midi.
Quant à Julie, elle a l’air satisfaite du plaisir qu’elle vient de donner à Jade et se couche langoureusement à ses côtés.Comprenant que l’épisode touche à sa fin, je n’ai aucune raison de me retenir plus longtemps. Je laisse libre cours à mon plaisir et je gicle à longs traits de sperme qui s’en va mourir dans l’herbe entre mes jambes.
Eh bien, voilà des vacances qui commencent en fanfare ! D’abord, j’ai droit au spectacle de trois jolies filles en bikini, puis à poil et enfin qui se gouinent, et l’une d’elles est ma sœur que je suis censé protéger des tentations de la drague. Avec ce que je viens de voir, aucun danger de ce côté-là ! Elle a l’air bien accro à ses copines et je comprends maintenant pourquoi elle râlait tant de ne pouvoir partir avec elles : ce n’étaient pas les copines qui lui manqueraient, mais ses amantes !
Conscient maintenant que j’ai affaire à trois lesbiennes, je me fais une raison quant à mes chances de draguer Louise ou Jade, mais tant pis. Au moins, elles m’auront offert un spectacle rare de trois filles s’aimant en pleine nature.
Au moment de ranger les jumelles dans leur étui, il me semble voir bouger de l’autre côté de la crête. Je règle la profondeur de champ et jette un coup d’œil en face de moi. Et je vois, tapi dans un buisson, un jeune garçon, le pantalon baissé, en train de se branler énergiquement en regardant les trois filles toujours aussi nues. Je suis mal placé pour lui faire des reproches, le bougre, il profite comme moi de l’aubaine ! Mais je me dis que je vais lui faire une petite surprise !
Je contourne donc la crête et surgis derrière lui. Il ne m’a pas entendu venir et continue à se secouer la queue. Je l’observe furtivement et je me dis qu’il doit avoir environ le même âge que les trois filles. Je remarque aussi que, malgré son jeune âge, il est sérieusement monté ! Sa trique doit bien faire 22 ou 23 centimètres de long, elle est épaisse, son gland est énorme et coiffe sa hampe comme un gros champignon. Voilà un engin capable d’emmener n’importe quelle fille au septième ciel !
— Alors mon ami, on mate !
Surpris, il se retourne et pique un fard, gêné d’être découvert en si embarrassante posture. Ne sachant que faire de ses deux mains, il tente maladroitement de se rhabiller, mais la dimension de son sexe en érection l’en empêche.
— Tu n’y arriveras pas comme ça, il vaudrait mieux que tu ailles jusqu’au bout de ton fantasme et que tu craches ton jus pour te calmer.— Vous ... euh ... je ... ça ne vous dérange pas ?— Et qu’est-ce que tu crois que je viens de faire ? La même chose que toi. Le mâle normalement constitué qui peut résister à ça n’est pas encore né. Vas-y, branle-toi et finis-en !
Fort de ma bénédiction, il se retourne à nouveau vers les filles qui ont repris leurs papouilles et, incapable de tenir plus longtemps, il éjacule tout son sperme comme moi, dans l’herbe entre ses jambes.
— Ouf, c’est pas glorieux, mais qu’est-ce que ça fait du bien ! En plus, ça fait des années que je bande pour une de ces filles, alors quand je l’ai vue à poil, mon sang n’a fait qu’un tour : il fallait que je gicle pour elle.— Dis donc, tu ne serais pas Jean-Claude, le petit-fils de Michel ?— Euh, si. Comment savez-vous ça ?— D’abord, arrête de me vouvoyer, je ne suis pas beaucoup plus âgé que toi. Et pour répondre à ta question, j’accompagne ces demoiselles et nous avons pris le petit-déjeuner chez ton grand-père ce matin. C’est sûrement lui qui t’a dit que Jade était de retour dans la région.— Exact, et quand j’ai appris ça, je me suis dit que je pouvais peut-être retenter ma chance, même si ça n’a pas marché quand on avait 13 ou 14 ans. Mais après ce que je viens de voir, je crois que c’est foutu. Ces trois-là ont l’air d’être lesbiennes jusqu’à la moelle.— Je suis arrivé à la même conclusion. J’avais des visées sur Jade et Louise, celle qui est la plus développée, mais je pense comme toi que c’est loupé !— Et la troisième, elle ne t’intéresse pas ? Moi, n’importe laquelle des trois, j’aurais été preneur !— La troisième, c’est ma sœur et c’est justement pour la protéger des gars entreprenants comme toi que notre mère m’a demandé de les accompagner !— Donc, si je te suis bien, tu es ici pour chaperonner ta sœur, mais tu te serais bien fait ses deux copines ! Drôle de comportement !— Eh oui. Qu’est-ce que tu veux, je ne suis pas de bois.— Et moi non plus, et je peux te dire que je viendrai souvent par ici ces prochains jours !— Bon, il faut que je te laisse, car je dois au moins aller voir qui a gagné le Grand Prix cet après-midi, car elles vont me le demander.— OK. Salut. Et si tu vois une ouverture, pense à moi !— Petit canaillou ! Mais je crains que ce ne soit sans espoir. Ciao.
Et je me dépêche de retourner au chalet où je vois tout juste la fin de la course. Ma petite aventure aura donc duré environ une heure et demie !L’après-midi s’achève plus tranquillement et les filles reviennent vers 18h, l’air de rien, en papotant. Elles s’installent sur la terrasse et, vers 19h, Jade sort les verres et sert l’apéro. Puis nous passons à table et avalons avec appétit le bon dîner préparé par Louise et Julie. La journée passée à l’extérieur nous a passablement fatigués, ainsi que d’autres activités en ce qui les concerne, mais, ça, silence pour tout le monde, et nous décidons d’aller dormir tôt.
Chacun et chacune passe à la salle d’eau pour faire ses ablutions et se changer puis nous nous mettons au lit, dans le même ordre que la veille. Julie me fait un bisou sur la joue et me souhaite la bonne nuit. Ensuite, elle se retourne et sombre illico dans le sommeil. Assommé par le grand air de la montagne, je ne tarde pas à en faire autant.
Plus tard dans la nuit, une sensation de chaleur me réveille et je me rends compte que, dans son sommeil, Julie s’est déplacée et que ce sont ses fesses qui sont collées contre mes reins. Ce contact, pour innocent et involontaire qu’il soit, me fait gamberger et je ne peux pas m’empêcher d’avoir un début d’érection que j’essaie en vain de réprimer.
Et c’est alors que j’entends un bruit ténu au bout de la pièce. Un léger frottement de tissu accompagné d’un halètement difficilement contenu m’apprend qu’une des deux autres filles est plus que probablement occupée à se branler. En écoutant bien, je réalise que c’est Louise qui s’offre un petit moment de plaisir solitaire et, moi qui gambergeais déjà au contact des fesses de ma sœur et qui avais du mal à ne pas bander, je ne peux évidemment plus me retenir et, en cinq secondes, j’arbore une trique digne d’un singe en rut.
J’imagine la jolie Louise, à trois mètres de moi, en train de se caresser les seins et de se frotter le clitoris, de glisser deux doigts dans sa chatte mouillée et de se faire jouir, toutes choses que j’ai pu admirer cet après-midi ! J’ai terriblement difficile à ne pas m’empoigner la bite pour me la secouer, mais ça réveillerait Julie, toujours collée contre moi, et j’aurais du mal à expliquer la situation !
Heureusement, Louise atteint rapidement son bonheur et le silence retombe dans la pièce. C’est le moment que choisit Julie pour se retourner et, vu qu’elle était déjà tout contre mon flanc, il n’y a rien d’étonnant à ce que ses bras viennent se poser sur moi. Et, hasard ou pas, sa main gauche atterrit pile sur ma queue encore bien gonflée. Je n’ose pas bouger d’un poil, mais ce contact si intime me relance comme un coucou bien remonté et je rebande comme un taureau ! Il faut un bon moment pour que Julie change de position et me libère de cette douce, mais bien encombrante étreinte.
J’arrive enfin à me calmer et à me rendormir jusqu’au lendemain matin.Lorsque je me réveille, je regarde ma montre et constate qu’il est déjà 10h ! Je m’habille en vitesse et sors de la chambre pour trouver les trois filles assises dehors en train de bouquiner, qui de pianoter sur son portable. Elles ont toutes les trois opté pour un short et un chemisier ample vu le temps chaud qui persiste. Lorsqu’elles me voient surgir, comme hier, elles se précipitent vers moi.
— Ah, enfin ! Quand tu dors, toi, il faudrait tirer au canon pour te réveiller !— Bonjour quand même ! Alors quoi, c’est encore une histoire de croissants qui vous manquent ? Je vous ai dit que vous pouviez prendre ma voiture, Julie l’a déjà souvent utilisée. Et, cette fois-ci, j’ai laissé les clefs bien en vue sur la table du séjour.— Oui, on a vu, mais, aujourd’hui, c’est encore autre chose : impossible de se faire un café en t’attendant, on n’a plus de gaz. Il faudrait aller chercher une nouvelle bouteille de butane, mais c’est trop lourd pour nous. Alors, on a bien été obligées de t’attendre !— Ah, d’accord ! Eh bien, vous voyez que c’est quand même bien utile d’avoir un homme avec vous !
Allusion à peine voilée à ce que j’ai vu hier après-midi, mais bien sûr, aucune ne relève ! Je retourne à l’intérieur, débranche la bonbonne et la porte jusque dans la voiture.
— Ces demoiselles ont-elles encore besoin d’autre chose en provenance du village ? Car je ne vais pas y retourner vingt fois dans la journée.— Eh bien, tant que tu y es, amène aussi des croissants et du pain frais.— Et où vais-je trouver un marchand pour le gaz ?— Demande à Michel, le cafetier, il t’indiquera.— OK. Quelqu’un vient avec moi ?— Oui, frérot, je t’accompagne.
Julie embarque donc à côté de moi et je démarre. Chemin faisant, nous discutons de tout et de rien jusqu’à ce que, à brûle-pourpoint, elle me pose la question que je n’attendais vraiment pas.
— Alors, frangin, ça t’a plu ce que tu as vu hier après-midi au bord du lac ?
N’étant pas sûr de bien comprendre, je commence par biaiser.
— Oui, oui, le coin est superbe et la baignade était agréable.— Ne fais pas l’innocent, tu sais très bien que ce n’est pas de ça que je parle. Ce que je te demande, c’est si ça t’a plu de nous regarder toutes les trois faire l’amour ?— Ah ... euh ... donc ...— Mais bien sûr que je t’ai vu nous mater, dissimulé dans ton buisson. Je n’en ai rien dit aux deux autres, mais j’avoue que ça m’a émoustillée de savoir que tu nous reluquais ! Ça a même sérieusement augmenté mon plaisir. Et j’imagine que pendant que tu te rinçais l’œil, tu en as profité pour te branler un bon coup ?— Ecoute, Julie, je suis confus de m’être comporté comme ça, mais c’est arrivé tout à fait par hasard. Lorsque j’étais à mi-chemin du chalet, je me suis rendu compte que j’avais oublié mon portable et j’ai rebroussé chemin. C’est comme ça que je suis tombé sur vous alors que vous étiez à poil. Désolé, mais je ne suis pas de bois et le spectacle de trois jolies filles nues, ça ne me laisse pas indifférent. J’ai donc effectivement regardé ce que vous faisiez et j’ai effectivement assisté à vos ébats à mon corps défendant !— C’est ça ! Et les jumelles, elles te sont sans doute tombées du ciel pour pouvoir mieux nous regarder ! Arrête de me prendre pour une gourde. Tu as vu qu’on était à poil, tu t’es dépêché d’aller les chercher au chalet pour mieux en profiter et tu es revenu à toutes jambes pour t’installer dans ton taillis. Et là, suprême bonheur, les trois gonzesses étaient en train de se gouiner ! Avoue que ça a dépassé toutes tes espérances et que ça t’a plu !— Evidemment que ça m’a plu ! Et je comprends maintenant que tu n’avais rien à craindre des garçons en venant ici avec tes copines.— Eh oui, Thomas, je suis lesbienne et très heureuse de l’être ! Voilà, comme ça les choses sont claires entre nous. Et, ne t’en fais pas, ça ne m’a pas choquée de voir que tu nous matais, ça m’a même plutôt amusée. Ça mettait un peu d’épices supplémentaires dans mon plaisir. Et encore, tu n’as pas tout vu. Normalement, nous utilisons toutes sortes de sex-toys pour nous faire du bien. Nous avons des godes, des strapons, des doubles dongs et que sais-je encore ... Et, crois-moi, on sait s’en servir ! Mais pour cause de bagages restreints, et puis par discrétion aussi, on a laissé tout ça à la maison.
Je constate qu’elle ne parle pas de Jean-Claude. Je suppose que, contrairement à moi, elle ne l’a pas vu et c’est tant mieux. Elle aurait sans doute eu plus difficile à avaler ça.
— Et sans indiscrétion, ça fait longtemps que vous couchez ensemble ?— Oh la la, ça remonte à notre puberté. Nous avons d’abord découvert notre corps comme tout le monde, chacune de son côté. Ensuite, on en a parlé entre nous, on s’est réunies pour se caresser ensemble, d’abord chacune pour soi-même puis mutuellement, et, de fil en aiguille, nous sommes devenues amantes et avons complètement rejeté l’idée de mêler des garçons à nos ébats. C’est comme ça que nous sommes devenues toutes les trois des lesbiennes convaincues ! Mais, s’il te plaît, ne dis pas aux autres que je t’ai raconté tout ça. — T’inquiète, sœurette, ça restera entre nous !— Et ne va surtout pas raconter tout ça à maman, elle en ferait une maladie ! Déjà que pour la rassurer, j’ai dû acheter une boîte de pilules et lui promettre de la prendre, si, en plus, elle apprend que je couche avec des filles ...— Ça restera également entre nous, promis. Et tu la prends réellement, la pilule ?— Bien sûr. Ça ne sert à rien, mais je lui ai promis ! Et puis, imagine que, suite à je ne sais quel événement, je rentre encloque à la maison, je perdrais sa confiance à tout jamais.— Ça aussi, t’inquiète, je suis là pour te l’éviter et, moi aussi, je tiens à respecter ma promesse.
Sur ces entrefaites, nous arrivons au village et, renseignement pris auprès de Michel, nous suivons la route qui descend vers la vallée pour nous arrêter après un kilomètre dans une station-service qui fait le détail des bouteilles de gaz. Nous échangeons notre bonbonne et, au retour, nous passons à la boulangerie faire nos achats.
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