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Que la montagne est belle ...

Chapitre 5

Hétéro
Vers huit heures du soir, nous sommes réveillés par une sonnerie de téléphone. Jean-Claude s’arrache à regret des bras de Louise et se précipite au salon où retentit son portable.
— Allo ... Oui papy ... Non, non, ne t’inquiète pas, on a seulement été surpris par la pluie et on est rentrés trempés au chalet. J’attends que mes vêtements sèchent un peu avant de redescendre au village ... Comment ? Il ne pleut plus depuis longtemps ? ... Ben oui, mais un jeans, ça met du temps à sécher ... D’accord, je ne traîne plus. J’arrive, à tout de suite.
Et il raccroche. Il n’allait tout de même pas dire à son grand-père qu’il avait passé l’après-midi à baiser avec une fille sublime puis qu’il s’était endormi dans ses bras ! Il ramasse donc ses vêtements en vitesse pour se rhabiller, mais Louise est déjà collée contre lui et lui caresse la queue.
— Reviens-moi vite, j’ai encore envie de toi !
Il l’embrasse tendrement et sa bite reprend rapidement du volume, mais il doit y aller.
— A demain, mon amour. Je reviendrai pour passer toute la journée avec toi.
Il arrive enfin à enfiler ses vêtements et, après un dernier baiser, il sort du chalet, enfourche sa moto et s’en va, fort dépité d’abandonner sa belle.Julie et Jade se décollent de moi et se rhabillent. J’en fais autant ainsi que Louise et nous nous retrouvons tous les quatre sur la terrasse. En effet, il ne pleut plus ... et sans doute depuis longtemps, comme l’a dit Michel, car tout est sec aux alentours. Il fait même à nouveau chaud et je propose de nous servir un rafraîchissement, ce qui est accepté à l’unanimité.Je rentre donc à l’intérieur et, pendant que je prends un plateau et des boissons dans le frigo, je tends l’oreille, car j’imagine bien qu’il va y avoir des commentaires à propos de tout ce qui s’est passé cet après-midi. Et c’est Louise qui s’exprime la première.
— Julie, tu m’as bien dit que ta mère t’avait obligée à prendre la pilule pendant notre séjour ?— C’est exact.— Est-ce que, par hasard, tu n’en aurais pas une plaquette pour moi, car, quand je vois ton extase quand ton frère jouit en toi, je voudrais connaître la même ivresse. Je voudrais que, la prochaine fois, Jean-Claude puisse gicler en moi en toute liberté.— Tu as de la chance, Louise, le pharmacien m’a donné une boîte de trois plaquettes. Tu peux en avoir une sans problème. Comme ce sont des pilules qui bloquent totalement le cycle, tu peux commencer quand tu veux. Et toi, Jade, pas trop secouée par ce qui t’est arrivé ?— J’avoue que j’ai été un peu surprise, mais j’étais tellement excitée que je devais jouir par n’importe quel moyen. Et c’est Thomas qui s’en est chargé ! Aucun remords, j’ai obtenu ce que je voulais et j’en suis bien contente.
En entendant la réponse de Jade, je suis soulagé. Elle ne m’en veut apparemment pas de l’avoir prise sans lui demander son avis ! Je pose donc les boissons sur le plateau et ressors sur la terrasse sans leur dire que j’ai tout entendu. Nous trinquons jusqu’à la nuit venue puis, après un bon repas, nous nous couchons pour nous remettre de toutes nos émotions.
La nuit se passe calmement, chacun de son côté, sans aucun débordement sexuel puisque nous avons eu notre content dans l’après-midi.
Le lendemain matin, Jean-Claude déboule juste après que nous ayons terminé notre petit-déjeuner. Il trimballe tout un matériel de pêche et semble bien déterminé à nous offrir notre repas du soir. Il embrasse passionnément Louise, ce qui fait sourire Jade et Julie tant elles sont heureuses pour leur amie.
J’ai compris que je n’ai plus aucune chance du côté de Louise, mais en regardant les visages radieux des deux autres, je me dis que j’ai déjà eu beaucoup de chance jusqu’à présent d’avoir pu posséder ces deux splendides adolescentes.
Comme il fallait s’y attendre, Louise s’est arrangée avec ses amies pour qu’elle puisse s’esquiver seule avec son amoureux et nous les laissons partir bras dessus, bras dessous, vers le lac. Louise n’a clairement pas mis grand-chose sur elle et nous avons de sérieux doutes quant au résultat de la séance de pêche, celle-ci ne paraissant pas vraiment être la priorité des tourtereaux ! Aussi décidons-nous de descendre dans la vallée pour aller faire des provisions ailleurs que dans le petit magasin du village.
Nous embarquons vers onze heures dans la voiture et arrivons dans une jolie petite ville à l’heure de l’apéro. Après un repas pris dans un petit resto sympa, nous faisons une razzia dans un hyper-du patelin et remontons tranquillement par la petite route qui mène au chalet. Nous y arrivons en fin d’après-midi et avons la surprise de voir que Louise et Jean-Claude sont déjà rentrés ... et pas les mains vides ! Il est occupé à nettoyer cinq belles grosses truites à la cuisine pendant qu’elle dresse la table qu’ils ont tirée sur la terrasse.
Louise a les joues roses et des étoiles plein les yeux qui brillent comme des lucioles. Je pense qu’elle a déjà avalé sa première pilule et qu’elle a pu laisser libre cours à son fantasme : se laisser remplir par la semence de son amant.
Jade, fidèle à sa promesse, prend la relève de Jean-Claude et enfile un tablier pour préparer les poissons. Heureusement, nous avons acheté du vin blanc et il tombe à pic pour accompagner le repas. Chacun raconte sa journée et Louise nous avoue qu’ils n’ont pas fait que pêcher, mais qu’ils ont aussi, et surtout, péché, sans rentrer dans les détails ! Sa vie privée ne nous regarde pas.
Après avoir embrassé longuement sa dulcinée, Jean-Claude nous quitte à regret et retourne chez son papy. Il faudra à l’occasion que je lui demande pourquoi il vit chez son grand-père et qu’on ne voit jamais ses parents. Je crains que ce ne soit comme chez nous : parents divorcés, etc. ...
Nous faisons collégialement la vaisselle et nous allons dormir vers vingt-deux heures trente.Le lendemain, pendant le petit-déjeuner, Louise nous dit que Jean-Claude s’est proposé de lui faire visiter le village. Il a ses introductions un peu partout et peut l’emmener voir une ferme avec sa fromagerie, un artisan menuisier, et d’autres choses encore.
— Qui veut venir avec moi ?— Ah, je veux bien, ça changera des baignades et autres bains de soleil. Et toi, Jade, tu viens avec nous ?— Je ne sais pas. Qu’est-ce que tu fais, toi, Thomas ?— Bof, moi les fermes, je n’en fais pas tout un fromage, si je peux me permettre cette plaisanterie. Non, moi je reste ici.— Tu peux quand même nous conduire au village, frérot ?— Bien sûr, puis je remonte ici.— Dans ce cas, j’en profite pour descendre avec vous et aller acheter quelques magazines. Puis je reviens ici avec Thomas.
C’est ainsi que vers midi, je dépose Julie et Louise au village. Nous déjeunons tous ensemble chez Michel puis je remonte au chalet avec Jade, des revues plein les bras. A sa demande, je tire deux matelas sur la terrasse couverte et nous nous installons confortablement à l’ombre. Jade se lance dans la lecture de ses magazines, et moi, je pianote sur mon portable à faire des jeux.Au milieu de l’après-midi, elle dépose ses revues et regarde vers moi.
— Tom, je peux te parler un instant ?
Aie ! Le moment des reproches aurait-il sonné ?
— Bien sûr, je suis tout ouïe ...— L’autre jour, quand tu m’as pénétrée par surprise ...— Oui, je sais Jade, je n’aurais pas dû. Je te présente mes excuses les plus sincères, mais l’ambiance était tellement chargée d’érotisme que je n’ai pas réfléchi et j’ai agi égoïstement. Je n’ai pas pu résister à l’appel de ton corps offert devant moi et j’ai craqué. Je ne sais quoi dire ou faire pour que tu me pardonnes ...— Mais non, c’est tout le contraire ! C’est moi qui devrais m’excuser de t’avoir traité de tous les noms. D’autant plus que, quand tu t’es enfoncé en moi, j’ai eu comme un éclair dans ma tête et dans mon ventre. J’ai compris d’un seul coup que je faisais fausse route depuis des années, que, moi aussi, j’étais faite pour aimer les garçons. Ce qui bougeait en moi était tellement vivant et chaud, puissamment animé par un mâle fou de désir. Tout le contraire d’un gode en plastic, dur et froid, qu’il faut agiter soi-même ! Alors, quand j’ai senti ta queue brûlante pilonner mon ventre, je n’ai pas pu me retenir et j’ai joui comme je n’avais jamais joui ! Et lorsque je me suis retirée et couchée sur mon matelas, c’était pour m’offrir à toi totalement, face à face ... mais j’ai vu avec désespoir que tu avais repris ta sœur et que tu jouissais en elle ! C’est pour ça que je sanglotais seule dans mon coin. J’aurais tant voulu à ce moment-là que tu sois en moi à me faire l’amour ... Et pour faire passer la déception, je me suis branlée comme une folle.
Alors, puisque tu me demandes comment te faire pardonner, et bien, c’est très simple : baise-moi maintenant, ici et très fort ! Et vas-y à fond, ne te retire pas, j’ai piqué la troisième plaquette de pilules dans le sac de ta sœur !
Si je n’avais pas déjà été couché, je serais tombé sur le cul ! Voilà une tirade complètement inattendue, mais bien agréable à entendre. Et Jade, joignant le geste à la parole, déboutonne son chemisier qui se retrouve rapidement par terre. Puis elle fait sauter la fermeture de son short qui part rejoindre le chemisier.
Elle se dévoile alors à mes yeux dans toute sa splendeur, seulement "couverte" de ses sous-vêtements arachnéens. Elle porte un soutien-gorge en fine dentelle à travers laquelle se devinent ses aréoles sombres. Quant à son pubis, il n’est recouvert que par un minuscule string assorti.
Est-ce un dernier accès de pudeur ou une provocation supplémentaire, mais elle ne poursuit pas plus loin son effeuillage improvisé et vient s’étendre à côté de moi. Elle me présente ses lèvres que j’effleure. Puis elle sort sa petite langue rose et viens titiller ma bouche pour que je l’ouvre. A mon tour, je sors la pointe de ma langue qui rencontre la sienne. A partir de là, tout s’enchaîne très rapidement.
En un clin d’œil, nos langues s’emmêlent, nos salives se mélangent et nos dents s’entrechoquent. Je passe mes bras derrière son dos et la serre très fort contre moi. Elle glisse ses mains sous mon tee-shirt, me caresse le torse et me pince les mamelons. Mes doigts rencontrent alors l’agrafe de son soutien et je la défais d’un coup de pouce.
Elle se redresse pour faire passer les bretelles et j’en profite pour enlever mon dessus puis je me recouche. Elle s’allonge alors sur moi et m’offre à nouveau sa bouche. Je l’embrasse passionnément, ses petits seins, durs comme du marbre, s’écrasent contre ma poitrine et je sens distinctement ses tétons durcis s’enfoncer dans ma peau. Je suis déjà au paradis et ça ne fait que commencer ! Mon sexe est dur comme une barre d’acier rougi et elle entretient mon érection, qui n’en a franchement pas besoin, en ondulant des hanches tout doucement.
Petit à petit, elle descend le long de mon corps en me couvrant de baisers torrides. Arrivée à ma taille, elle se heurte à la ceinture de mon jeans. Elle la dégrafe précipitamment et tire mon pantalon vers le bas. Je soulève mon bassin pour lui faciliter la tâche et elle enlève tout d’un seul coup : jeans et slip volent rejoindre ses propres vêtements. Mon érection émerge alors dans toute sa splendeur et elle se précipite dessus comme la faim sur le monde.
Elle avale goulûment la moitié de mon dard et se met à le branler et le sucer avec beaucoup d’adresse. A mon avis, elle a dû regarder pas mal de vidéos pornos, car je suis étonné de son habileté pour une fille qui n’a jamais fait de fellation. Mais je ne me pose pas de questions, trop heureux de profiter de ses merveilleuses caresses. Elle me lèche le gland, me malaxe les couilles, me masturbe de haut en bas, m’engloutit jusqu’au fond de sa gorge et m’amène plusieurs fois au bord de l’orgasme en s’arrêtant chaque fois juste à temps.
Puis elle se remet debout et, très lentement, fait glisser son string vers le bas et l’enlève. Elle m’apparaît enfin dans toute sa sublime nudité et j’en ai les yeux éblouis. Jade a un corps tout simplement parfait, sculpté par le sport. Ses épaules, à la fois larges et galbées, encadrent des seins ronds surmontés d’aréoles sombres et de petits tétons, durs comme du bois, sa taille fine et ses hanches saillantes entourent un ventre plat qui se termine par un pubis joliment bombé et complètement glabre. Et, merveille des merveilles, sa fente, déjà largement ouverte, sert d’écrin à son clitoris gonflé et luisant de cyprine.
Si je ne la prends pas dans la seconde qui suit, je vais devenir fou. Heureusement, elle est aussi au bord de la démence et n’en peut plus. Elle se met alors à califourchon au-dessus de ma taille, prend mon gourdin incandescent dans sa main et le dirige vers l’entrée de sa grotte. Elle se laisse alors descendre tout doucement sur moi et s’empale jusqu’à la garde. Ça y est, j’ai atteint le nirvana !
Jade reste un long moment immobile, les yeux fermés, prise de frissons incessants et dégustant sa victoire sur elle-même. Elle s’est enfin offerte de sa propre volonté à un garçon et en ressent un bonheur vertigineux. Puis, elle se met à monter et descendre à un rythme lent sur ma verge dilatée à l’extrême.
Je la prends par la taille et accompagne ses mouvements en soulevant mes reins à sa rencontre. Je l’envahis totalement et, à chaque pénétration, mon sexe vient buter au fond du sien, lui arrachant un gémissement non simulé. Elle est tout simplement comme moi, au septième ciel. Pour étirer notre plaisir à l’infini, elle n’accélère pas ses mouvements et j’en profite pour empoigner ses seins et les palper avec volupté. Ils sont fermes et souples à la fois, sa peau est douce comme la pêche. Je roule ses tétons érigés entre mes doigts et elle me répond en pinçant les miens.
Puis, désirant fusionner nos corps le plus possible, elle s’étale de tout son long sur moi et ondule du bassin sur ma queue toujours bien en elle. Elle intensifie progressivement cette danse érotique jusqu’à nous amener à une tension insoutenable ... et c’est à ce moment fatidique que mon portable sonne !
Jade s’immobilise et je tends le bras vers mon jeans pour prendre mon téléphone. Je le sors de la poche et regarde l’écran où la photo de Julie apparaît ! Je la montre à Jade qui, d’un signe dépité de la tête, m’incite à décrocher.
— Allo, frérot, ça va bien ?— Oui, oui, ça va. Que veux-tu ?— Eh bien, voilà. On a fini notre visite avec Jean-Claude et, comme tu peux t’en douter, Louise a envie de rester seule avec lui ! Alors, si tu pouvais venir me rechercher, ça m’arrangerait.— Ah ... Bon ... D’accord, mais je termine d’abord ce que je fais en ce moment.— Pas de soucis. J’ai le temps. Et, ça va avec Jade ?— Oui, oui, ça va très bien.
A ces mots, Jade qui entend tout ne peut s’empêcher de s’esclaffer en tournant la tête.
— Où est-elle en ce moment, qu’est-ce qu’elle fait ?— Tu sais, sœurette, Jade est imprévisible et elle est toujours là où on ne l’attend pas. En ce moment, elle est allongée sur moi, avec ma queue bandée profondément enfoncée dans son ventre et elle attend patiemment que tu aies terminé de bavarder pour continuer à me faire l’amour !— Oups ... Pardon ! Je tombe au mauvais moment. Oublie ce que je t’ai demandé, je rentrerai à pied. Ça vous donnera largement le temps de profiter l’un de l’autre. Allez, à tantôt frérot, soyez heureux !
Et elle raccroche. Jade, que cette intrusion a, malgré tout, un peu perturbée, a besoin de relancer la machine. Elle pose donc sa bouche sur la mienne et m’embrasse lascivement. Son bassin est comme indépendant du reste de son corps et elle reprend sa danse interrompue par Julie.
Il ne lui faut pas longtemps pour retrouver le niveau d’excitation qui était le sien et elle repart à toute vitesse, ses hanches se soulevant frénétiquement sur ma queue bien plantée en elle. A ce rythme infernal, elle atteint rapidement le point de non-retour et explose dans un premier orgasme incendiaire. Mais moi pas ... J’ai pu me retenir, car je veux que ce premier rapport entre elle et moi soit inoubliable.
Quand elle se calme un peu, je la prends délicatement par la taille et la retourne pour la coucher sur le dos. Je me retire de son ventre encore secoué par des spasmes irrépressibles et me laisse glisser entre ses jambes. J’ouvre ses cuisses et découvre, à dix centimètres de mes yeux, son clitoris gorgé de sang et sa vulve palpitante.
Tout comme elle m’a offert une fellation merveilleuse, je veux, à mon tour, lui prodiguer une caresse buccale dont elle se souviendra longtemps. Je pose donc ma langue délicatement sur son petit bouton et c’est comme si je lui avais envoyé dix mille volts dans le corps ! Elle se cambre à se rompre le dos et tout son corps est secoué de soubresauts alors que je n’ai même pas encore commencé à la lécher !
Lorsqu’elle retombe sur le matelas, j’entreprends de lui prodiguer un cunnilingus d’anthologie ! Je lèche d’abord son clitoris et je tourne tout autour, ma langue appuyant fortement pour ne laisser aucun endroit non visité. Puis, je l’introduis dans l’entrée de son vagin et l’enfonce le plus loin possible à l’intérieur de son fourreau brûlant. Elle gémit maintenant en continu quand, d’un seul coup, je gobe toute sa vulve comme pour avaler son intimité. Cela la rend comme folle :
— Mon amour, prends-moi tout de suite sinon je vais mourir ...
Comme c’est demandé avec beaucoup plus de sentiment que l’autre jour, je m’empresse de lui apporter satisfaction. Je remonte tout le long de son corps admirable, lui lèche les seins au passage, lui offre ma bouche pour un baiser passionné et, sans même devoir chercher, ma bite s’enfonce voluptueusement dans son ventre doux comme le miel, chaud comme la braise.Je la besogne durant de longues minutes puis, la sentant remonter vers l’orgasme, j’accélère ma cadence pour arriver en même temps qu’elle. Je la défonce maintenant à grands coups de boutoir et, à chaque estocade, elle couine de plaisir. Lorsque je sens ma sève monter dans mes reins, je pousse ma queue tout au fond de sa chatte et j’éjacule longuement en elle pendant qu’elle tressaute violemment, en proie à sa deuxième explosion de l’après-midi.Vidé, au sens propre comme au sens figuré, je retombe lourdement sur elle et, craignant l’écraser, je fais mine de me relever, mais elle m’entoure de ses bras et m’empêche de bouger.
— Non, ne pars pas, reste en moi, j’aime sentir tout ton poids sur moi, j’ai l’impression de t’appartenir encore plus comme ça.
Que voulez-vous répondre à ça ? Pour la faire taire, j’écrase ma bouche contre la sienne et nous échangeons un long baiser passionné. Et c’est à cet instant que Julie déboule, alors que Jade et moi sommes encore intimement emboîtés !
— Oups, je n’ai rien vu ! Continuez sans vous préoccuper de moi, je vous laisse à vos amours.
Et elle rentre se réfugier dans le chalet ! Mais, comme nous venons de jouir tous les deux, après quelques minutes, nous nous séparons à regret et rentrons dans le chalet, les doigts enlacés et complètement nus. Julie connaît quand même nos anatomies, aucune raison de manifester de la fausse pudeur entre nous. Sauf que Julie, regardant Jade s’approcher, s’exclame :
— Jade, ma chérie, qu’est-ce qu’il t’a mis, le sperme te coule entre les jambes ! Mais en fait, je constate que tu as eu ce que tu voulais et je ne me fais pas de soucis pour toi à ce propos. Je ne suis pas aveugle, j’ai bien vu que tu avais piqué la troisième plaquette dans mon sac !
Et elle éclate de rire ! Jade se baisse pour regarder et force est de constater que Julie a raison !
— Qu’est-ce que vous êtes mignons tous les deux ! Et qu’est-ce que je suis heureuse de voir ma meilleure amie s’éclater entre les bras de mon frère adoré !— Tu ne m’en veux pas de te l’avoir pris ?— Mais non ! Il m’a fait découvrir l’amour hétéro, il m’a intensément fait jouir, mais je sais bien que ça ne peut pas durer ! Donc, je préfère largement que ce soit mon amie qui le rende heureux plutôt qu’une inconnue quelconque. Et comme Louise a l’air sérieusement occupée ... ! Mais va vite te laver car, si ça continue, le chalet va être inondé !
Jade, un peu confuse quand même se retire à la douche et revient ensuite dans le séjour, toujours aussi nue. A son apparition, je vois les yeux de ma sœur qui brillent et je comprends qu’elle est réellement bi, car elle a visiblement encore envie de son amie.
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