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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 9

Confessions intimes

Inceste
Pour leur dernier jour en Valais, Solange et sa famille décidèrent de se détendre en passant la journée à la piscine. Afin de pouvoir en profiter un maximum, ils se levèrent vers huit heures du matin et prirent un petit-déjeuner léger. Florent s’était levé un peu de mauvaise grâce de son lit, se sentant encore un peu fatigué. Les traits tirés et les cernes sous ses yeux ne purent échapper au regard de sa mère. 
— Tu n’as pas bien dormi, mon chéri ?— J’ai mis un moment à m’endormir parce que j’avais trop chaud. 
Solange parut satisfaite de cette explication mais une autre raison avait empêché Florent d’avoir un sommeil serein. Il s’était masturbé en regardant sa mère se faire du bien. Il avait beau se dire que la situation était peu conventionnelle et qu’il avait des circonstances atténuantes mais il se sentait coupable. Surtout vis-à-vis de son père. Il ne pouvait s’empêcher de penser qu’il lui avait manqué de respect en se touchant ainsi sur sa femme. En outre, le jeune homme avait passé une bonne partie de la nuit à se demander si sa mère s’était rendue compte de l’effet qu’elle lui avait fait. 
Convaincu de l’innocence de la question de Solange, Florent pensa que ses parents ne savaient rien de ses agissements de la veille. Ils finirent tous les quatre leur collation puis se dirigèrent vers la piscine. 
En chemin, Florent se remémora, avec un mélange de honte et de plaisir, le corps dénudé de Solange face à lui et les fantasmes qui s’étaient bousculés dans sa tête à cette vision. Il tenta de se convaincre que ceux-ci étaient absurdes et qu’il avait Rosalie pour se distraire mais son esprit n’eut de cesse de repasser l’image de Solange en train de se caresser. 
Grâce à ce débat interne, le jeune homme put supporter les trente minutes de marche nécessaires pour parvenir à la piscine. À la caisse, Roger et Solange payèrent les entrées puis la famille se sépara, ses membres féminins d’un côté et ses membres masculins de l’autre. 
Lorsqu’ils se furent tous changés, ils se retrouvèrent devant le bassin principal. En posant son regard sur les maillots de bain de Solange et Manon, Florent ne put empêcher son imagination de vagabonder. Avec leurs bikinis, leurs généreuses poitrines étaient bien mises en valeur. Le jeune homme s’imagina dans les vestiaires de la piscine avec les deux femmes. Il se voyait assis sur un banc, sa mère et sa soeur à genoux devant lui en train de le masturber à l’aide de leurs seins jusqu’à ce qu’il y répande sa semence. 
Un bruit de saut dans l’eau le ramena à la réalité. Il se rendit immédiatement compte que son maillot de bain était déformé par une bosse. Paniqué, il eut le réflexe de mettre la main dans sa poche afin de plaquer son sexe dur contre son ventre pour ainsi masquer cette érection gênante. 
— Ça te va comme ça, Florent ?
Le jeune homme releva la tête vers sa mère. 
— Pardon ?— Tu n’as rien écouté de ce que j’ai dit, hein ? Je disais que nous pouvons chacun aller de son côté et nous retrouver à midi au restaurant de la piscine pour manger. — Ah, d’accord. Oui, ça me convient. 
Sur ces paroles, Roger et Solange allèrent faire quelques longueurs dans un bassin tandis que Florent et Manon se dirigeaient vers les plongeoirs. Les deux jumeaux firent quelques sauts puis décidèrent de s’accorder une pause. Ils s’assirent un peu à l’écart pour reprendre leur souffle puis Manon voulut briser la glace. Elle sentait que son frère était troublé et elle voulait connaître la raison de ce sentiment. 
— Florent, je peux te poser une question d’ordre intime ?— Oui, bien sûr. 
Manon fit alors signe à Florent de la suivre jusque dans les toilettes. Afin de se ménager un peu d’intimité, ils s’enfermèrent dans une cabine. 
— Je t’ai senti un peu bizarre, ce matin. Je suis sûre que ce n’est pas la fatigue, comme tu l’as dit à Maman, mais autre chose. — Je ne vois pas de quoi tu veux parler. — Jusqu’à maintenant, tu semblais complètement ailleurs. Ce n’est pas la fatigue sinon la marche t’aurait réveillé depuis longtemps. Il y a autre chose. Est-ce que ça a un rapport avec moi et mon initiation ?
Florent dut se rendre à l’évidence. S’il pouvait prétexter la fatigue auprès de sa mère, il ne pouvait en faire de même avec Manon. En tant que soeur jumelle, elle le connaissait par coeur et il lui était impossible de lui cacher quoi que ce soit. Il dut donc se résoudre à lui dire la vérité. 
— Oui et non. — Comment ça ?— En fait, ça a plutôt un rapport avec ce qu’on a vu hier. — Le couple ?— Pas tout à fait.— D’accord. Explique-toi.— Tu te rappelles quand je t’ai dit que Rosalie et toi aviez les deux plus belles paires de seins que j’aie jamais vues ?— Oui. Et donc ?— Eh bien, il y en a une troisième. — Une troisième ? Tu trouves que la femme avait une belle poitrine ? Moi, pas spécialement. — En fait, ce n’est pas cette femme. — Attends un peu... Tu me dis qu’il y a une troisième poitrine qui rentre dans ta liste des plus belles que tu aies jamais vues et ce n’est pas celle de cette femme. Ce serait donc...— Maman, oui. 
Manon fut abasourdie par cette annonce. 
— Je ne m’attendais pas du tout à ça. Comment tu sais que Maman a une aussi belle poitrine ?— Je l’ai vue depuis l’endroit où j’étais. J’ai même vu Maman en train de se masturber. Et ça m’a fait me branler.— D’accord. Je dois donc en déduire que Maman te plaît aussi ?— Oui, Maman me plaît. — Eh bien, je me sens un peu moins seule, maintenant. — Quoi ? Toi aussi, tu fantasmes sur Maman ?— Non. Sur Papa. — Papa ?— Oui. J’ai voulu m’assoir derrière un buisson pour me caresser. Comme je n’ai pas pensé à prendre mon gode-ceinture avec moi, j’ai dû chercher un bout de bois assez fin pour pouvoir me l’enfoncer dans le cul. Et c’est pendant que je me branlais les trous que j’ai vu Papa se caresser. Il a une queue énorme. Un peu comme la tienne. — Eh bien, j’en conclus que nous sommes à égalité. Il y a trois femmes qui me plaisent, c’est-à-dire Maman, Rosalie et toi. Et de ton côté, il y a trois hommes qui te plaisent : Papa, Johann et moi. — À la différence près que tu as couché avec deux de tes trois femmes et que moi, je n’ai couché qu’avec un seul de mes trois hommes. — Tu vas sûrement rattraper ton retard à notre retour de vacances. — J’y compte bien mais pour le moment...
Sur ces mots, Manon retira le haut de son maillot de bain et entreprit de faire tomber celui de Florent au sol mais celui-ci l’en empêcha. 
— Tu es folle ! Si Maman vient à savoir qu’on a baisé ensemble ici, elle va nous flinguer !— Mais non. Et puis, on ne va pas baiser. Juste se faire jouir mutuellement. Tu te rappelles mes débuts ?
Florent se rappela les moments agréables durant lesquels Manon se contentait de le sucer. 
— Oui. Et tu as bien progressé depuis. 
Les deux jumeaux finirent de se déshabiller. Florent s’assit sur les toilettes et invita Manon à se mettre à quatre pattes sur ses genoux. Se souvenant de l’une de leurs positions sexuelles favorites, la jeune femme adopta la posture exigée en orientant son fessier vers son frère. 
En même temps que sa soeur prenait son sexe en bouche, Florent s’empressa de faire jouer sa langue sur sa rondelle et son clitoris. Les deux jumeaux décidèrent d’un accord tacite d’adopter cette posture jusqu’à la fin. 
Florent se rendit très rapidement compte des progrès de Manon. Son sexe entouré par les lèvres de sa jumelle et son gland agréablement agacé par sa langue, malgré le fait que leur rapport n’avait débuté que depuis quelques minutes, le jeune homme se sentit sur le point de jouir. Ne voulant pas passer pour un éjaculateur précoce aux yeux de sa jumelle, il se concentra sur ses coups de langue sur son petit trou et son clitoris afin de lui donner un maximum de plaisir avant de répandre son jus intime sur elle. 
Au vu des soubresauts de Manon, Florent en déduit que sa stratégie payait. Il fut d’autant plus déçu lorsque sa soeur interrompit sa fellation et se releva. 
— Je te sens sur le point de jouir... Tu te rappelles comment je te finissais à mes débuts ?
Florent se remémora avec plaisir sa première éjaculation sur les seins de sa jumelle. 
— Oui. Finis-moi comme ça. — C’est très tentant mais je veux essayer autre chose. 
Se souvenant du fessier de Rosalie recouvert du sperme de Florent, Manon décida de se servir du sien pour faire jouir son jumeau. La jeune femme lui fit signe de s’adosser à la paroi de la cabine et se frotta à son sexe jusqu’à ce qu’il éjacule sur ses fesses. 
— Petite coquine ! Je ne m’attendais pas du tout à ça. — C’est Rosalie qui m’a donné l’idée. Je me suis souvenue que tu as avais joui sur son cul et j’ai voulu que tu fasses pareil avec moi. — C’était une bonne initiative. — Merci. D’ailleurs, tu préfères quel cul entre le mien, celui de Rosalie et celui de Maman ?— Rosalie et toi avez les deux plus beaux culs que j’aie jamais vus. Quant à celui de Maman, je n’ai pas encore eu la chance de le voir mais je pense qu’elle occupera certainement une place dans ce domaine. — C’est sincère ou une réponse toute faite ? — Je ne mens jamais aux filles sur leurs atouts. 
Manon éclata de rire et les deux jumeaux se rhabillèrent et sortirent de la cabine. En consultant une horloge accrochée à un mur, ils s’aperçurent qu’il était midi moins cinq. 
— Il va falloir qu’on se dépêche un peu. 
Florent et Manon s’empressèrent de rejoindre leurs parents au restaurant. Ils mangèrent tous les quatre et passèrent l’après-midi à la piscine avant de remonter jusqu’à leur chalet pour se reposer et préparer leur voyage à destination de l’Espagne. 
[ à suivre ]
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