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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 11

Manon est initiée à la domination

Inceste
Au bout d’un séjour catalan rythmé par les visites et les sorties en boîte de nuit, Florent et Manon furent ravis de retrouver leurs chambres montpelliéraines afin de pouvoir se remettre de leur voyage et profiter des derniers jours qu’il leur restait avant la reprise des cours. 
Tandis qu’elle rêvait de celui qu’elle aimait, Manon fut légèrement secouée par la main de Solange qui tentait de la réveiller. Frustrée d’être tirée d’un rêve aussi agréable que celui qu’elle était en train de faire un samedi matin, Manon émit un grognement de mécontentement avant de rouvrir les yeux et de regarder l’heure sur son réveil. 
— Maman ! On est samedi et il n’est que huit heures !— Je sais, ma chérie, mais je pense que ça vaut le coup. Viens avec moi. J’ai quelque chose à te montrer. 
Manon se leva de mauvaise grâce et suivit sa mère jusque dans le salon. Dans la pièce, elle vit le mystérieux sac blanc posé sur le canapé. Prise par l’ambiance qui régnait à Barcelone, la jeune femme l’avait complètement oublié. 
— Je croyais que c’était pour mon anniversaire. — Oui, c’est vrai, mais ce qu’il y a dans ce sac a aussi un rapport avec ce que je compte t’apprendre aujourd’hui. Du coup, je t’offre ton cadeau avec un peu d’avance. — D’accord. Merci, Maman. 
Manon ouvrit le sac et en sortit des objets qui lui parurent plus qu’intrigants. Elle découvrit dans un premier temps une tenue noire en cuir pourvue de fermetures éclair au niveau de la poitrine. Elle trouva également un fouet à lanières, noir également, un collier pour chien hérissé de piques assorti d’une laisse et une paire de menottes. 
— Maman, qu’est-ce que c’est que tout ça ?— Je te l’expliquerai en temps voulu. En attendant, essaie la tenue. 
Sans répondre, Manon de débarrassa de son pyjama et enfila la tenue que Solange lui avait offerte. 
— Comment tu te sens là-dedans, ma chérie ?— Euh... Ça me fait juste un peu bizarre de porter de la lingerie en cuir. — Ne t’inquiète pas, tu vas t’y habituer avec le temps. Au fait, je ne sais pas si tu l’as remarqué, mais les fermetures éclair au niveau de la poitrine te permettent de cacher ou de montrer tes seins. 
Solange fit la démonstration de ses explications en faisant glisser les fermetures éclair concernées dans chaque sens. 

— C’est plutôt classe. — Oui. Je t’avoue que j’ai tout de suite été sous le charme en voyant ce modèle. J’aurais bien aimé trouver la même à mon époque. — Tu as aussi une tenue de ce style ?— Bien sûr, ma chérie. Attends. Je vais la chercher et on se fait une photo ?— Si tu veux. — Très bien. Dans ce cas, va aussi chercher ton gode-ceinture. 
Sur ces mots, Manon et Solange se dirigèrent lentement vers leurs chambres respectives afin de ne pas réveiller Roger et Florent qui dormaient encore à points fermés. Mère et fille se retrouvèrent à nouveau dans le salon et Manon fut surprise de constater qu’en plus d’une tenue en cuir similaire à la sienne, Solange avait également un gode-ceinture un peu plus long et large que le sien. 
— Toi aussi, tu as un gode-ceinture ?!— Oui, ma chérie, et il m’a servi dans plusieurs situations. — Lesquelles ?— Tu le sauras bientôt. En attendant, une petite photo souvenir ?
Sans attendre la réponse de sa fille, Solange prit son téléphone et les deux femmes se placèrent devant un miroir pour les besoins de la photo. 
— Magnifique ! Tu es très sexy dans cette tenue, ma chérie. — Merci, Maman. — Bon, je pense qu’il est temps de ranger tout ça avant que ton père et ton frère ne se réveillent. 
Les deux femmes se hâtèrent de se changer et de ranger leurs tenues et accessoires dans leurs chambres respectives. Solange prépara ensuite le petit-déjeuner et fut, quelques minutes plus tard, rejointe dans la cuisine par le reste de la famille. 
Lorsqu’ils eurent fini de manger et fait la vaisselle, Solange réunit tout le monde dans le salon. 
— Comme je l’ai annoncé avant notre départ en vacances, nous allons poursuivre l’initiation de Manon. Après avoir discuté avec elle pendant notre séjour à Barcelone, j’ai pu en conclure que les expériences qu’elle a déjà vécues l’ont déjà grandement fait avancer dans son projet. C’est pour quoi je compte lui enseigner l’une des seules choses qu’elle n’a pas encore expérimentées. Pour ce faire, je vous demanderai de vous déshabiller, les garçons. Pendant ce temps, Manon et moi irons nous préparer dans nos chambres. 
Florent et Roger obtempérèrent tandis que les deux femmes se dirigeaient vers leurs chambres. Elles revinrent quelques minutes plus tard habillées de leurs tenues de cuir et harnachées chacune d’un gode-ceinture. Solange et Manon avaient également amené un fouet à lanières, deux paires de menottes ainsi que le collier et sa laisse. En voyant sa mère et sa soeur dans cet apparat, Florent implosa. 
— C’est une blague, j’espère ?!— Pas du tout, mon chéri. — Dans ce cas, je me casse !
Sur ces mots, Florent s’empressa de se rhabiller. 
— Je croyais que tu voulais aider ta soeur. — Oui, mais pas de cette façon. Désolé, mais il est hors de question que vous fassiez de moi une tapette !
Sur ces mots, Florent quitta la maison en claquant la porte. Manon se sentit blessée par l’attitude de son frère qu’elle ne comprenait pas. Il l’avait pourtant bien prise par tous ses orifices dans le passé. Alors pourquoi ne pouvait-elle pas faire de même avec lui ? Sentant le trouble de sa fille, Solange se voulut rassurante. 
— Ne t’en fais pas, ma chérie. Je lui parlerai en temps voulu. En attendant, nous allons nous occuper de ton père. 
Manon hocha la tête en signe de compréhension et Solange commença son exposé. 
— La première chose que tu dois savoir est lorsqu’une femme est équipée d’un gode-ceinture, les rôles s’inversent. La femme devient homme et l’homme devient femme en quelque sorte. À la différence près qu’au lieu de trois orifices exploitables, il n’y en a que deux. Bien évidemment, cette situation de domination te permet de jouer avec ton partenaire. Pour commencer, nous allons demander à ton père de s’occuper un peu de nous. Installe-toi sur le canapé et observe. 
Manon s’assit sur le canapé et regarda Solange passer le collier autour du cou de Roger et y attacher la laisse. Solange attira ensuite Roger jusqu’au canapé et s’y assit en tendant l’un de ses pieds vers son visage. 
— Occupe-toi de mes pieds, mon chéri. 
Roger prit le pied de son épouse dans ses mains et en suçota les orteils avec application. Sa langue parcourut le pied sur toute sa longueur jusqu’à parvenir au talon avant de remonter vers sa cheville. 
— Parfait. Maintenant, l’autre. 
Solange tendit son autre pied à Roger qui reproduisit les mêmes gestes que précédemment. Satisfaite, elle tendit la laisse à Manon qui attira son père vers elle. À la vue de la verge tendue, la jeune femme se rappela avec délice la scène du couple s’envoyant en l’air en Valais et sentit la cyprine couler de son sexe. Sur le moment, elle voulut se faire prendre par Roger mais elle comprit rapidement que cette idée ne faisait pas partie de la leçon du jour. 
Alors que son père finissait de lui lécher le pied, Manon eut une idée. La randonnée en Valais et les longues heures de marche dans Barcelone avaient fait beaucoup de mal à ses pieds et elle estima que ceux-ci méritaient une petite attention. 
— Masse-le moi. 
Surpris par le ton autoritaire de la demande de sa fille, Roger s’exécuta sans broncher sous le regard de Solange, impressionnée par la rapidité d’apprentissage dont Manon faisait preuve. Lorsque Roger eut fini de lécher et masser le deuxième pied de Manon, Solange ramassa le fouet au sol afin de poursuivre sa leçon. 
— Un autre outil assez important dans la domination est le fouet. Lorsque tu estimes que ton soumis ne fait pas ou pas bien son travail, tu peux lui donner des coups assez violents pour le motiver. Dans le cas de ton père, nous nous contenterons de quelques coups assez doux. 
Solange demanda à Roger de poser ses mains sur le canapé pendant que Manon le maintenait en laisse. Le premier coup de fouet toucha son dos puis un second atteignit ses fesses. 
— À ton tour. Pas trop forts, les coups. 
Solange et Manon échangèrent leurs rôles. Un peu moins adroite que sa mère, la jeune femme fit claquer le fouet plus fort qu’elle ne le souhaitait sur le dos de son père qui réprima un cri de douleur. Un peu mieux maîtrisé, le deuxième coup toucha le postérieur de Roger sans que ce dernier n’en souffrît. 
— Pas mal du tout. Le premier coup était un peu fort mais tu t’en es plutôt bien sortie pour une première fois. Maintenant, nous allons nous servir de nos "bites". 
Solange indiqua à Roger de se mettre à quatre pattes sur le canapé puis s’agenouilla en face de lui, son gode-ceinture orienté vers ses lèvres. 
— Étant donné que les hommes ont une expérience et une sensibilité différentes, il est toujours bon de lubrifier ton gode-ceinture avant une pénétration. Pour cela, il te suffit simplement de le faire sucer à ton partenaire. 
Sur ces mots, Roger se mit à sucer le gode-ceinture de sa femme tandis que celle-ci montrait sa participation en ondulant du bassin pour lui baiser la bouche. Au bout de quelques minutes, Solange céda sa place à Manon. 
— Il est également conseillé de lubrifier le cul de ton soumis avant la pénétration afin que celle-ci se passe au mieux. Je m’en occuperai pendant qu’il te suce. 
Tandis qu’à son instar, Manon baisait la bouche de Roger, Solange badigeonna la rondelle de son époux de sa salive. Afin de tester la qualité de son lubrifiant, elle inséra deux doigts dans son conduit. Satisfaite, elle demanda à Manon de l’observer. 
— Maintenant que ton père est prêt, nous allons pouvoir le prendre comme nous le souhaitons, dans n’importe quelle position. Comme je te l’ai dit tout à l’heure, lorsqu’elle a un gode-ceinture, la femme devient homme. 
Solange s’enfonça ensuite dans le fondement de son époux et entama une série de va-et-vient à rythme progressif. Après quelques minutes, elle se retira pour laisser Manon le prendre. 
— À ton tour. — Je dois garder la même position ?— Pas forcément. Choisis celle qui te plaît le plus. 
Sans répondre, Manon retourna Roger et l’allongea sur le canapé de manière à ce que son postérieur en touchât l’accoudoir. Elle lui releva ensuite les jambes et s’enfonça jusqu’à la garde dans son petit trou. De suite, elle réalisa une série de puissants va-et-vient sous le regard fier de Solange qui l’encourageait. Au bout d’un certain temps, elle finit par se retirer. 
— Bravo, ma chérie. Tu te débrouilles très bien. Avant de passer à la dernière étape de cette leçon, nous allons nous amuser encore un peu. 
Solange s’assit sur le canapé et invita Roger à venir s’empaler sur sa verge factice. Celui-ci obtempéra et son épouse prit rapidement les choses en main en lui imposant un rapide mouvement d’ascenseur. Manon prit ensuite le relais en exigeant de son père qu’il s’allongeât sur le côté. Elle adopta la même posture et le sodomisa dans cette configuration. 
Les deux femmes se divertirent ainsi pendant un moment en prenant Roger dans diverses positions puis Solange décida qu’il était temps de passer à la dernière étape de la leçon du jour. 
— Maintenant que nous nous sommes bien amusées avec lui, nous allons demander à ton père de nous faire jouir. — Il doit jouir, lui aussi ?— Ça, c’est à nous d’en décider. En attendant...
Solange se saisit d’une paire de menottes et attacha les mains de Roger à un pied de la table basse. Sur recommandation de la mère, les deux femmes retirèrent ensuite leurs tenues et leurs godes-ceintures. 
— Allez, mon chéri. Fais-nous jouir. Ta jouissance en dépend. 
Solange et Manon se placèrent de part et d’autre de Roger puis ce dernier commença par prodiguer un cunnilingus à sa femme qui s’empressa de l’encourager à continuer. Excitée par cette vision, Manon était impatiente de sentir la langue de son père sur son sexe. 
Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, la jeune femme eut l’idée d’attirer son père à elle en tirant sur la laisse. Cette initiative lui valut un sourire ravi de la part de sa mère. Dès le premier coup de langue, Manon sentit le plaisir l’envahir. L’expérience de Roger devait y être pour beaucoup mais elle finit rapidement par être emportée par la jouissance. Solange prit ensuite la laisse des mains de sa fille puis attira son époux pour qu’il reprît là où il en était resté. Plus habituée aux caresses buccales de Roger, Solange mit davantage de temps à jouir. 
— Eh bien, ton père a réussi à nous faire jouir. D’après toi, il mérite de jouir lui aussi ou pas ?— Si on est des gentilles maîtresses, je pense que oui. — Très bien. Dans ce cas, à toi l’honneur. Fais-le jouir. — Il y a une façon précise de faire jouir un soumis ?— Non, c’est toi qui décides de comment tu le fais jouir. — D’accord. 
Se souvenant à nouveau de son père en train de se masturber en regardant le couple en Valais, Manon jugea qu’elle avait une occasion immanquable de profiter de sa verge. Elle s’en saisit à la base et la prit en bouche. La jeune femme comprit rapidement qu’elle avait des talents de suceuse puisque Roger ronronnait de plaisir. Au bout de quelques instants, celui-ci lui tapota légèrement le crâne. 
— Est-ce que je peux jouir dans ta bouche, ma chérie ?
Sans hésiter, Manon émit un grognement d’approbation puis accéléra le rythme de sa fellation jusqu’à ce que son père éjaculât dans sa bouche. La jeune femme avala sa semence puis lui nettoya la verge d’une ultime fellation. Solange libéra ensuite son époux et ils se rhabillèrent tous les trois. 
— Alors, Manon, ça t’a plu ?— Oui, mais...— Mais ?— Je ne suis pas sûre que Johann apprécie ce genre de pratiques. — Possible mais les fantasmes d’un homme peuvent varier avec le temps. C’est pourquoi une femme doit être prête à les assouvir si elle le peut. — D’accord. Et pour Florent ? Je ne me sens pas très bien vis-à-vis de sa réaction. Je pensais qu’il ferait tout pour m’aider. — Ne t’en fais pas pour lui. Je lui parlerai seule à seul. Comme ça, ton père et toi pourrez prendre la journée pour vous amuser comme vous le souhaitez. — D’accord. 
Solange et les deux autres rangèrent ensuite le matériel qu’ils avaient utilisé puis dînèrent sans Florent qui ne reparut que durant la soirée. En voyant l’expression de son visage, Solange se garda de le questionner sur ses activités de la journée et décida d’attendre le lendemain en espérant que la nuit lui portât conseil. 
[ à suivre ]

 
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