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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 13

Secret de famille révélé

SM / Fétichisme
Au lendemain de la discussion qu’il avait eue avec sa mère, Florent contacta Rosalie afin de convenir d’un lieu et d’une heure de rendez-vous. Les deux jeunes gens finirent par se mettre d’accord sur le fait de se retrouver chez la jeune femme aux environs de quatorze heures. Florent verrouilla l’écran de son téléphone et se rendit dans la cuisine afin de prendre son petit-déjeuner. Roger ayant été contraint de se rendre à son travail en raisons de circonstances exceptionnelles, le jeune homme ne trouva que Solange et Manon dans la pièce. Toutes deux le saluèrent en souriant.
— Bonjour, mon chéri ! Bien dormi ?— Oui, très bien. Ça faisait un moment que je n’avais plus eu un sommeil aussi bon.
Solange lança un clin d’œil à Manon.
— Ça, c’est peut-être grâce à moi.
Manon éclata de rire.
— Oui, c’est bien possible. En tout cas, tu m’as appris beaucoup, hier. Merci, Maman.— Avec plaisir, mon chéri. On peut remettre ça quand tu veux. Et même y ajouter un peu de piment.
Cette dernière phrase de Solange, claire dans l’esprit de Florent, suscita l’intérêt de Manon.
— Qu’est-ce que tu entends par « ajouter un peu de piment », Maman ?
Solange adressa un regard complice à Florent.
— Je vais laisser à ton frère le plaisir de te raconter ce qu’il s’est passé entre nous, hier.
Avec un mélange d’appréhension et de plaisir, le jeune homme commença le récit des évènements de la veille.
— Hier, j’étais un peu énervé à cause de ce qu’il s’est passé avant-hier. Ça m’avait beaucoup choqué de vous voir toutes les deux avec des godes-ceintures. En plus de ça, je me souviens t’avoir dit un jour que ce ne serait pas avec moi que tu éveillerais tes talents de dominatrice. Je me suis laissé emporter parce que, jusqu’à hier, j’avais une vision assez erronée de ce genre de rapports.
— Oui, je sais. Tu nous as même dit que tu ne nous laisserais pas « faire de toi une tapette ».— Je me rends compte, maintenant, que c’était blessant. Surtout pour toi. Je suis désolé.— Pas de problème. C’est oublié. Continue.— Maman est venue dans ma chambre pour me parler de ça. Elle m’a expliqué qu’elle s’était beaucoup inquiétée pour moi avant-hier et on a discuté. Elle m’a expliqué qu’elle et Papa avaient une relation basée sur l’égalité. Du coup, si Papa l’encule, elle l’encule aussi en retour. Jusqu’à ce qu’elle m’explique ça, je pensais que le fait de se faire enculer par une femme était réservé aux hommes soumis. Je lui ai ensuite parlé de Rosalie en lui disant que j’étais avec elle avant-hier et que je l’aimais. Je lui ai aussi expliqué que Rosalie est ma coach et qu’elle m’apprend à bien baiser. Et, là, Maman m’a proposé d’essayer. J’ai accepté et je l’ai d’abord baisée. Ensuite, c’est elle qui m’a pris au gode-ceinture.
Manon écarquilla les yeux de surprise.
— Je ne m’attendais pas du tout à ce scénario. Et tu as aimé ?— Oui, ça a été meilleur que ce que je pensais.
En constatant que Florent n’avait pas encore tout dit, Solange décida de s’immiscer dans la narration des faits.
— N’oublie de pas dire à ta sœur ce que tu m’as dit, hier.— Bien sûr. J’allais y venir. À la fin, j’ai dit à Maman qu’on pourrait remettre ça avec toi. Voilà ce que Maman entend par « ajouter un peu de piment ».— Eh bien, c’est plutôt tentant comme idée. Et si on essayait maintenant ? Papa n’est pas là. Comme ça, tu auras nos godes-ceintures pour toi tout seul.— Non, ma chérie. Nous n’allons pas faire ça tout de suite. Ton frère a également une autre nouvelle à t’annoncer.— J’ai discuté avec Maman, hier. Et on a convenu que j’irais voir Rosalie aujourd’hui pour lui dire la vérité à notre sujet.
Le visage de Manon pâlit. Elle craignait plus que tout que les relations incestueuses qu’elle avaient eues avec les membres de sa famille fussent révélées au grand public.
— Ce n’est pas une bonne idée ! Rosalie le prendra très mal et, nous, on sera la risée de la ville !— Ne t’en fais pas, ma chérie. Si ton frère lui explique bien les raisons qui ont mené à cette situation et ce que vous comptez faire, je suis sûre qu’il n’y aura aucun problème.
Rassurée, Manon se calma peu à peu et, se souvenant que Roger et cette dernière étaient sortis la veille, Florent changea de sujet.
— Au fait, Maman m’a dit que Papa et toi étiez sortis, hier. Vous avez fait quoi ?— En fait, à peu près la même chose que vous. À la différence près qu’on a loué une chambre dans un hôtel. Papa m’a d’abord baisée. Il a pris tous mes trous jusqu’à la jouissance puis il m’a laissé l’occasion de lui rendre la pareille en l’enculant avec mon gode-ceinture.
Florent finit sa collation puis, après avoir fait sa toilette, s’habilla et sortit prendre l’air afin de réfléchir à la meilleure façon d’avouer à Rosalie les relations incestueuses qu’il entretenait avec Solange et Manon. Durant deux bonnes heures, il erra dans les rues de Montpellier, à la recherche d’une inspiration. Il rentra chez lui vers midi, une idée en tête. Il mangea distraitement son dîner puis, après s’être brossé les dents et avoir mis son meilleur parfum, se dirigea vers le domicile de celle qu’il aimait. À son arrivée, il fut accueilli par un baiser langoureux de la jeune femme.
— Je te manque déjà, on dirait.— Tu ne sais pas à quel point. Comme je te l’ai dit avant-hier, je n’ai pensé qu’à toi durant toutes mes vacances.— C’est vrai ?— Bien sûr.— Tu m’as l’air un peu patraque. Il y a quelque chose qui te chiffonne ?— Oui, j’ai quelque chose à te dire. Quelque chose qui pourrait tout changer dans notre relation.— Ça m’a l’air grave. Qu’est-ce que c’est ?
Florent demanda à Rosalie de s’asseoir et commença son exposé.
— Tu te souviens de la dernière fille que j’ai emmenée au motel ?— Oui. Une très jolie blonde. Plutôt bien faite. Difficile de l’oublier. D’ailleurs, tu ne la vois plus ?— Si, je la vois. Plus souvent que tu ne le crois.
Devant l’air perplexe de la jeune femme, Florent décida qu’il devait jouer franc-jeu sans avoir peur des mots.— Il s’agit de ma sœur jumelle.— Quoi ?! Ta sœur ? Tu plaisantes, j’espère.— Non, mais laisse-moi t’expliquer comment on en est arrivés là.— Vas-y, explique-moi.— Il y a de ça quelques semaines, j’ai senti Manon, ma sœur, en souffrance. Je suis allé lui parler pour savoir ce qui n’allait pas. Là, elle m’a expliqué qu’elle était amoureuse d’un garçon qui s’appelle Johann. Comme elle était encore vierge à ce moment-là, elle a cherché sur internet un garçon qui pouvait la dépuceler. Mais, comme elle n’a trouvé personne, elle s’est tournée vers moi parce que j’avais déjà quelques conquêtes à mon actif. Elle veut simplement être suffisamment bonne au lit pour être avec ce Johann qui a, selon elle, une vie sexuelle très riche. Je fais ça pour l’aider, c’est tout. Si tout se passe bien, nous n’aurons plus à faire quoi que ce soit ensemble et on oubliera tout.— D’accord… Cette explication me semble un peu étrange mais bon… Et vos parents ? Ils se doutent de quelque chose ?— Peu avant qu’on parte en vacances, ma mère a découvert un papier sur lequel Manon a noté toutes les positions qu’elle voulait essayer avec moi. Au début, elle a été contrariée mais on lui a expliqué pourquoi on faisait ça et mon père et elle se sont proposés pour aider ma sœur dans son projet.— Eh bien, plutôt compréhensifs, tes parents. Et ensuite ?— À notre retour de vacances, avant-hier, ma mère a voulu apprendre à ma sœur à se servir d’un gode-ceinture. J’ai pété un câble et je suis venu te rejoindre.— Voilà pourquoi tu ne voulais pas rentrer chez toi tout de suite. Et comment ça a fini, cette histoire ?— Ma mère est venue me parler, hier. Elle m’a expliqué pourquoi elle avait fait ça et je lui ai parlé de notre relation.— Qu’est-ce que tu lui as dit sur nous ?— Que tu étais ma coach et que tu m’apprenais à bien baiser. Je lui ai aussi dit que je t’aimais.— Tu m’aimes ? Comme ta prof ?— J’espère qu’un jour, toi et moi pourrons être ensemble comme n’importe quel couple. C’est pour ça que je te raconte tout ça aujourd’hui. C’est maintenant à toi de décider de la suite de notre relation. Je ne te demanderai qu’une chose : quoi que tu décides, ne répète à personne ce que je viens de te dire.— Je ne dirai rien. Concernant notre relation, je suis encore sous le choc mais, comme tu as été honnête avec moi, je veux bien continuer avec toi à deux conditions : premièrement, tu vas me laisser, en tout cas quelque temps, décider du genre de rapports que nous aurons, toi et moi. Deuxièmement, je veux rencontrer ta mère et ta sœur pour avoir leurs versions des faits par rapports à vos relations.— Pas de problème, Rosalie. Je leur dirai que tu veux les voir.— Très bien. Avant qu’on aille plus loin pour aujourd’hui, j’ai une dernière question à te poser. Tu m’as dit que ta mère a appris à ta sœur à se servir d’un gode-ceinture pour enculer un homme. Est-ce qu’elle a fini par te prendre quand elle est venue te parler ?— Oui.— Dans ce cas, voilà ce que nous allons faire aujourd’hui : déshabille-toi pendant que je vais me changer.
Florent obtempéra tandis que Rosalie quittait la cuisine pour se diriger vers la chambre à coucher. La jeune femme revint quelques minutes plus tard, entièrement nue, en tenant un gode-ceinture dans sa main droite. Comprenant ce qui allait se passer, le jeune homme se remémora Solange en train de le limer jusqu’à sa jouissance.
— À genoux !
Devant le ton autoritaire de cet ordre, Florent n’eut d’autre choix que d’adopter la posture exigée. Rosalie s’assit sur une chaise et tendit l’un de ses pieds vers son visage.— Lèche.
Sans se poser de questions, le jeune homme suçota les orteils de Rosalie l’un après l’autre jusqu’à ce que celle-ci lui tendisse son autre pied pour lequel elle exigea le même traitement. Sur injonction de la jeune femme, Florent lui massa également les jambes jusqu’à parvenir à son entrejambe. Rosalie se saisit de son crâne et le plaqua contre son sexe pour qu’il lui prodiguât un cunnilingus.
— Oh oui, c’est bien ! Continue comme ça ! Tu vas me faire jouir !
Instinctivement, le jeune homme accéléra le rythme de ses coups de langue jusqu’à ce que Rosalie répandît sa cyprine dans sa bouche. La jeune femme repoussa son visage et lui ordonna de s’allonger au sol. Florent obtempéra et Rosalie s’assit sur son visage, son fessier l’empêchant presque de respirer.
— Maintenant, occupe-toi de mon cul.
Sans réfléchir, Florent passa sa langue sur le petit trou de Rosalie, n’hésitant pas à le forcer de temps à autre afin de lui procurer un plaisir aussi grand que possible. Satisfaite, la jeune femme se caressa à nouveau jusqu’à jouir sur le cou et le torse de son partenaire. Elle se releva et s’équipa du gode-ceinture.
— Reprends ton souffle et mets-toi à quatre pattes.
Le jeune homme s’accorda quelques secondes de répit puis adopta la posture indiquée. Harnachée de sa verge factice, Rosalie s’agenouilla derrière lui et s’enfonça dans son petit trou d’une violente poussée. Ne ressentant aucune douleur, Florent fut heureux que Solange l’eût pris la veille pour la première fois.
— Tu n’as pas mal ? J’en conclus que ta mère t’a bien préparé.
Sans attendre de réponse de Florent, Rosalie entama une série de puissants va-et-vient, ses cuisses butant contre le postérieur de son partenaire dans un bruit sourd. De son côté, le jeune homme avait très envie de se masturber sous les assauts de celle qu’il aimait mais, au vu de la situation, il dut se résoudre à l’abstention. Au bout de quelques minutes, Rosalie se retira et alla s’asseoir sur une chaise.
— On change de position. Viens t’empaler sur ma queue. Face à moi.
Avec un mélange de soulagement et de déception, Florent obéit à la jeune femme et celle-ci lui imposa rapidement son rythme en le faisant aller et venir sur son sextoy. En voyant le sexe dur du jeune homme, Rosalie ne put s’empêcher de sourire.
— On dirait que ça te plaît de te faire enculer par une femme. Tu aimes ?— Pas avec n’importe quelle femme.— Et avec moi, tu aimes ?— Oui, tu le fais très bien.— Hum… J’en ai, de la chance.
Sur ces mots, Rosalie poursuivit son mouvement d’ascenseur avec davantage d’intensité pendant quelques minutes puis elle libéra Florent avant de se relever. Elle prit une deuxième chose qu’elle plaça à quelques dizaines de centimètres de la première.
— Allonge-toi sur ces chaises et lève les jambes. Je veux te prendre dans une autre position.
Le jeune homme obtempéra et Rosalie le pilonna à nouveau avec force en crispant ses mains sur ses hanches. La verge toujours rigidifiée par l’excitation, Florent continua de prendre son mal en patience en espérant que la jeune femme lui permettrait de se soulager. Au bout d’un bon quart d’heure, Rosalie se retira de son petit trou et se débarrassa de son gode-ceinture.
— Très discipliné à ce que je vois. Tu es encore tout dur.
Florent n’osa pas répondre mais il espérait de tout cœur que Rosalie le délivrât de cette situation frustrante.
— Tu as été très sage. Je pense donc que tu mérites une récompense. Tu les aimes toujours, mes seins ?— Oui, Rosalie. Je les adore.— Très bien. Dans ce cas, je vais te laisser les arroser.
En s’agenouillant devant lui, Rosalie se saisit de la verge de Florent et la caressa jusqu’à ce que le jeune homme éjaculât sur sa poitrine dans un râle de plaisir. Lorsqu’ils eurent repris leurs esprits, les deux jeunes gens se rhabillèrent.
— Alors, ça t’a plu ?— Oui, mais j’espère quand même qu’on ne fera pas que ça.— Ça dépendra de mon humeur. En tout cas, n’oublie pas ce qu’on a convenu.— Ne t’en fais pas. Je vais leur dire dès que je serai rentré.
Florent et Rosalie s’échangèrent un baiser sensuel en guise d’au revoir puis le jeune homme rentra chez lui, pressé de tout raconter à Solange et Manon. Dès qu’il passa le seuil de la porte, sa sœur accourut vers lui, sa mère sur ses talons.
— Alors ? Comment ça s’est passé ?— Plutôt bien. Notre relation a survécu mais…— Mais quoi ?— Elle veut discuter avec vous de ce qu’il se passe entre nous.— Très bien. Donne-nous son numéro et nous lui donnerons rendez-vous le plus vite possible. Et qu’est-ce qu’elle a dit d’autre ?— Elle veut, pendant quelque temps, décider du genre de rapports qu’on aura. Aujourd’hui, ça été plutôt dur pour mon derrière.— Elle t’a enculé ?! Eh bien, on dirait qu’il ne reste plus que moi. Plus que moi et les trois femmes qui te plaisent t’auront enculé.— En effet. Mais ce ne sera pas tout de suite pour toi. J’ai besoin de me reposer.— Ne t’en fais pas : j’ai déjà trouvé l’occasion à laquelle ça arrivera.
Florent communiqua les coordonnées de Rosalie à sa mère et à sa sœur puis monta dans sa chambre pour se reposer. Bien que cela eût été difficile, il se sentait heureux de pouvoir construire une relation basée sur l’honnêteté avec celle qu’il aimait. Il espérait juste que la future entrevue entre les trois femmes ne fît pas tout capoter.
[ à suivre ]
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