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Ce que je sais de ma mère

Chapitre 1

Inceste
Ce que je sais est bien suffisant, je le sais, je l’ai entendue si souvent, juste derrière la porte de leur chambre. Quand j’étais petit, je n’avais pas peur de prendre ce risque, ce que j’entendais était tellement troublant que je me devais de savoir précisément ce qui se passait dans ce lit derrière cette porte. A vrai dire, je crois avoir compris assez vite, les cris et les soupirs que j’entendais ne pouvaient être que ceux de ma mère, des cris et des soupirs qu’elle émettait avec tellement de grâce et de vérité, tellement d’ardeur et d’intensité qu’ils parvenaient alors aisément jusqu’à moi.
  Assez vite également, je compris combien cela était en mesure de me procurer à moi aussi un vif plaisir sexuel. Je pris alors l’habitude d’attendre le soir, de guetter patiemment les premiers signes. Lorsque mon père, qu’elle avait d’abord du sucé goulument, venait enfin la pénétrer avec une ardeur qui m’impressionnait toujours, elle semblait vraiment adorer ça, elle volait je crois, de se sentir engloutie et elle l’exprimait si fort que je m’en souviens encore. Je me souviendrai toujours de la façon quasi-violente avec laquelle il la baisait, le lit grinçait fort et ses râles devenaient de plus en plus plaintifs, à mesure qu’elle se prenait ses coups de queue, elle semblait presque pleurer et l’implorer de cesser, c’est ce que je m’imaginais alors et c’était fabuleux.
  Les battements de mon cœur s’accéléraient, et chaque fois ma branlette durait le temps d’une allumette, c’était vraiment très difficile de résister. Pendant des années ce jeu m’a passionné et chaque soir, j’espérais avoir droit à mon spectacle préféré, entendre ma mère se faire défoncer par mon père, l’entendre jouir comme une vraie salope, c’était vraiment génial. Il faut dire que ma mère est une très belle femme, son corps sait largement susciter le désir d’un homme normalement constitué. Et puis un soir, un soir d’été durant lequel nous dormions dans la maison de mon grand père, j’ai eu le droit à une soirée exceptionnelle.
  C’est ce soir là en réalité que tout à vraiment commencé, à ce moment précis que ma vie, je crois, est devenue différente pour toujours. Encore plus excité qu’à l’habitude, ma chambre se situant tout près de la leur, je fus très vite alerté par ses premiers petits soupirs, l’idée de savoir qu’une fois de plus, j’allais l’entendre se faire prendre, que j’allais presque assister à leur baise en direct live, cette idée me plaisait toujours intensément, de plus en plus intensément. Et ce soir-là, la réalité allait dépasser toutes mes espérances.
  Elle commença tout de suite par des soupirs plaintifs, il semblait lui faire mal ou elle semblait souffrir, c’est idem, et j’aimais ça évidemment, l’entendre glousser et soupirer ainsi, c’était tellement excitant. C’est alors que pour la première fois, j’ai pu l’entendre distinctement parler pendant qu’ils forniquaient, entendre sa voix à ce moment là provoqua en moi quelque chose de surpuissant. Alors qu’elle venait d’émettre un long gémissement presque douloureux, distinctement donc j’ai pu l’entendre prononcer ces mots : « oh ! mais qu’est-ce que tu fais là ? Tu me tritures ! », j’étais aux anges, l’impression que j’avais alors qu’elle semblait parfois avoir mal se confirmait donc et renforçait encore un peu plus mon excitation.
  Je crois qu’il n’est pas un jour sans que je repense à cette phrase inoubliable, offerte à mon père, celui-ci savait en profiter et ne craignait pas d’y aller un peu sauvagement, sans complaisance, et dans sa très grande mansuétude, certain de son sort et maître absolu de son bord, il lui répondit et je pus alors entendre, toujours aussi distinctement, la très grande découverte de ma vie, le tournant magique, comme une sorte d’apothéose. Déjà anéanti de la savoir triturée et ainsi malmenée par mon père, déjà enivré de savoir que ma mère était assez chienne pour se faire baiser ainsi sans aucun souci des alentours, déjà survolté de pouvoir le constater aussi crûment, je l’entendis alors lui dire, d’une voix calme et très gentiment : « Mais non tu vas voir, après dans le cul ça va être super »,
  Mon cœur frôla la défaillance, mon sexe lui-même était sur le point d’exploser, je n’en revenais que très difficilement, son cul, son trou du cul, « mais non ma pute, c’est rien, je vais juste t’enculer comme tu aimes c’est tout, un peu de patience, je vais m’en occuper de ton trou du cul », je traduisais ses paroles pendant que toutes mes pensées se concentraient désormais sur un seul point, un seul trou, celui de son cul, son anus, voilà donc celui qui était le responsable de tant de jouissance, c’était donc pour ça, grâce à lui, c’est parce qu’il l’enculait sauvagement et sans vergogne qu’elle gueulait autant, c’est parce que mon père avait pris possession de son anus et qu’il en disposait à sa guise et sans délicatesse que j’avais l’immense honneur de l’entendre si souvent exprimer bruyamment son énorme contentement, pour cela que j’avais si souvent l’impression qu’il lui faisait mal, parce qu’il lui prenait le cul sans ménagement et qu’il le déchirait.
  Parce que ma mère est suffisamment chienne pour accepter cette sodomie brutale, quoi de plus excitant pour moi, de savoir qu’elle aime ça et qu’elle le fait souvent, que je sois là ou pas, juste à côté ou pas. Car elle s’en fout, bien entendu, que je puisse tout entendre et tout comprendre, elle s’en fout encore la chienne que je l’entende râler et gueuler, en prendre plein son cul pendant des heures, que je l’entende jouir comme elle jouit si bien quand il la prend par derrière, quand son trou du cul est bien ouvert et que la grosse queue de mon père vient le pilonner violemment, elle s’en moque de toutes ses forces pourvu que son cul prenne, pourvu que sa bite vienne la fourrer et lui matraquer l’anus toujours plus fort, elle ne demande qu’à jouir cette pute, qu’à le faire bander assez pour qu’il puisse l’enculer encore, et la faire jouir par le cul, toujours par le cul c’est ce qu’elle veut, qu’il poursuivre sans relâche et qu’elle puisse encore jouir et gueuler comme une chienne, et m’offrir par là-même l’intensité de ses derniers soupirs, quand elle semblait défaillir, juste avant qu’il ne jouisse à son tour et ne vienne déverser bien au fond de son cul tout ce sperme par elle tant attendu, et j’étais là aussi quand peu de temps après, son trou du cul recrachait bruyamment le foutre, elle riait, elle venait de se faire laminer l’anus, son cul ne devait plus ressembler a grand-chose, mais elle riait, ravie d’être souillée, ravie d’être une chienne de pute.
Ces moments ont marqué les soirées d’une enfance un peu étrange, personne ne peut oublier tant de jouissance entendue, tant de plaisir intense vécu au plus près de l’action. Savoir que sa propre mère adore se faire enculer et savoir qu’elle aime surtout se faire prendre le cul violemment, c’est terrible, à la fois terrifiant et hyper excitant.
Beaucoup plus tard, j’ai fais le rapprochement entre cette pratique assidue de la sodomie et le fait que malgré une élégance et un savoir-vivre incontestable, elle était parfois incapable de retenir un pet, le plus souvent un pet long et sonore, aussi révélateur qu’indiscret. Qu’elle pute faut-il donc être pour en arriver là, le trou du cul tellement élargi à force de sodomie, un anus tant de fois offert, tant de fois ravagé et détruit, et désormais incapable du service minimal ? Quand l’événement se produit et que je suis là, mon imagination s’emballe et l’envie de la prendre sur place m’envahit très vite, le désir violent de venir moi aussi visiter ses entrailles devient insupportable, comme elle mériterait que je lui prenne le cul à mon tour, là, tout de suite, dans la foulée de son obscène flatulence, sans préliminaires ni aucune préparation, l’enculer sans rien lui demander, simplement parce que le geste serait devenu incontrôlable, voilà ce qu’il veux ton cul et voilà ce que signifie ce que tu m’as fait, jamais je n’ai retrouvé ailleurs un cul pareil au tien, je rêve toujours de lui et je l’envie celui qui chaque soir avait la chance de te sauter, la chance si grande d’avoir dans son lit une femme vivant de sodomie, une espèce de pute qui voulait qu’on la traite comme une chienne, et qu’on l’encule ainsi du soir au matin.
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