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Quel anniversaire!!

Chapitre 3

Zoophilie
–Repose toi un peu chérie.–Et pour Ulysse, qu’est-ce qu’on fait ?–Tu veux vraiment le faire avec lui ?–Oui, je veux savoir, j’ai beaucoup aimé avec Rex, mais avec Ulysse, ça va être autre chose, il a un membre énorme.–Oui, presque aussi gros que celui de Tonnerre, tu crois que tu vas pouvoir.–Bien sûr, après la boule de Rex, je peux tout recevoir, et en plus j’en ai envie, ça ne te gêne pas ?–Pas du tout ma chérie, je ne veux que ton bonheur. –Comme pour la femme que tu aimes ?–Oui, comme pour la femme que j’aime, parce que je t’aime.
Je l’attire à moi et l’embrasse avec passion.
–Qu’allons-nous devenir, nous sommes frère et sœur, et je veux partager ma vie avec toi.–Nous n’en sommes pas là, repose-toi, je vais préparer Ulysse.–Ok.
Yves sort de la chambre et je me laisse aller à somnoler jusqu’à ce que je m’endorme. Vers dix-huit heures, il entre et me réveille en parsemant de multiples baisers sur mon corps.
–Tu es prête pour la dernière étape ?–Oui, allons-y.
Je sors de la maison pour rejoindre tout le monde dans le box d’Ulysse, à ma grande surprise, il y a Josette, la copine de Walter, nue qui caresse Ulysse. Elle vient vers moi pour m’embrasser.
–Tu as trop chaud ?–Non, je viens de préparer Ulysse.
–Tu t’es déjà faite prendre par lui ?–Oui, quand je viens ici, mais aujourd’hui, je l’ai excité pour toi, il est prêt.
En effet, je vois son énorme bite pendre sous son ventre.
–Viens, je vais te montrer ce qu’il faut faire, mais d’abord, te préparer.
Sans que j’aie le temps de réagir, elle s’accroupie devant moi et je jette sur mon sexe. Sa langue me titille le clitoris, ce qui a pour effet de déclenche la pompe à cyprine. Quand elle me juge suffisamment excitée, elle me faire mettre face au mur du box, les mains sur le mur en écartant les jambes. Elle amène Ulysse derrière moi, il se cabre et plaque ses pattes à côté de mes mains. Je sens sa bite battre contre mes jambes, d’un seul coup, elle se redresse et frappe entre mes fesses. Josette guide sa bite qui s’enfonce d’un seul coup dans mon vagin. Il est tellement gros que j’en ai le souffle coupé, j’ai l’impression qu’il va me l’exploser, mais il glisse jusqu’à toucher mon utérus. Il donne deux ou trois coups de reins, je n’ai pas le temps de m’habituer à cet énorme sexe qu’il se vide en un énorme jet de sperme, se retire et descend. Je sens mon sexe ouvert qui laisse couler le sperme sur mes cuisses.
–Reste en place, il va remettre ça.
Je ne bouge pas, une minute plus tard, il recommence, mais cette fois, la pénétration est plus progressive et ça dure un peu plus longtemps, il me bourre pendant presque une minute avant de se vider à nouveau en moi. Cette fois-ci, j’ai eu le temps d’apprécier cette bite qui me labourait sur toute la profondeur de mon sexe, et le remplissait entièrement. Je suis au bord de la jouissance quand il se retire. Je ne bouge pas, je sens toujours le sperme couler le long de mes jambes, j’attends encore et il remet ça. Son sexe me remplit d’un seul coup, il donne de violents coups de rein. Cette fois-ci, ça dure encore plus, je sens monter l’orgasme qui finit par me submerger au moment où il me remplit de nouveau.
–AAAAAAAAHHHHHHHH
Mon corps vibre, mais Ulysse se retire et me tourne le dos, je vois sa bite remonter dans sa gaine. Je reste immobile, le sperme coule toujours, je suis dans un état second, mon sexe en redemande, mais je sais que c’est fini. C’est beaucoup plus rapide qu’avec un chien, c’est différent, je ne sais pas si je recommencerais, Rex m’a donné beaucoup plus de plaisir. Yves vient vers moi et me prend dans ses bras.
–A la douche ma chérie.
Il me porte jusqu’à la salle de bain, se déshabille et nous passons sous la douche. Il me nettoie complètement, en insistant bien sur mon sexe et mes seins. Ses mains, sa langue et son sexe sont tellement efficaces que je jouis une nouvelle fois. Après un ultime rinçage de mon sexe, nous nous séchons, Yves me prend dans ses bras et nous rejoignons les autres dans le salon.
Il commence à se faire tard, tout le monde est assis autour de la table basse. Je m’assoie à côté de Josette toujours nue, elle se penche vers moi.
–Tu as aimé ?–Oui, mais moins qu’avec Rex, c’est trop bref avec Ulysse et en plus, c’est plus brutal, je suis moins en confiance. –Tu as raison, je suis comme toi, et tu verras, quand vous vous connaitrez mieux, ça va être extraordinaire avec Rex. Le seul avantage d’Ulysse et de Tonnerre c’est la taille de leurs bites. Je dois dire que j’adore me faire défoncer par eux.–Je ne sais pas si je recommencerais.–Si, de toi-même, tu auras de nouveau envie d’essayer, tu ne peux pas juger en une seule fois, et puis, il faut que tu essayes Tonnerre, lui est plus endurant, il te fait monter aux rideaux.–Peut âtre, on verra.–Et les filles, tu as goûté ?–Juste tes lèvres sur mon clitoris, c’est la seule expérience.–Et tu aimerais y goûter ?–Pourquoi pas, mais pas ce soir, pas devant eux, quand nous serons toutes seules.–Je suis à ta disposition.
Rex vient vers moi et glisse sa tête entre mes cuisses. Je les ouvre pour qu’il puisse arriver à ma vulve, je deviens accroc. Il me donne de grands coups de langue. La réaction est immédiate, je me liquéfie. En sentant mon liquide, il redouble de vigueur, j’ouvre mes jambes en grand, mais j’ai envie d’autre chose. Je me lève et vais me mettre à quatre pattes sur le tapis. Deux secondes plus tard, Rex me saute dessus et me transperce le vagin d’un violent coup de rein. Il me baise à un rythme endiablé, je sens son sexe dur me labourer le vagin. Au bout de deux minutes, l’onde se profile, elle remonte le long de mes jambes, envahi mon ventre, irise ma peau, fait exploser mon cœur pour finir en un gigantesque feu d’artifice qui me transporte dans les nuages.
–AAAAAAAHHHHHHH
Rex continu son œuvre, il ne s’arrête pas, son rythme est constant. L’onde se reforme et me submerge à nouveau, toujours sous les coups de butoir de Rex.
–OOOOOUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
De nouveau, mes bras me lâchent, ma tête atterrie sur le sol, les fesses en l’air, mais Rex continu, il ne faibli pas, et dans un dernier coup de rein, m’introduit sa boule.
–Oh la vache.
Il se vide en moi, j’ai l’impression que mon vagin va exploser, mais je ne voudrais pour rien au monde être ailleurs. Je viens de jouir comme une folle, mon sexe est rempli par une bite hors norme et se rempli de sperme. Je reste sans bouger à apprécier l’instant. Rex finit par se dégager, il va sur un coin du tapis et se lèche la bite. Je m’affale sur le tapis et roule sur le dos, les jambes ouvertes, le sexe dégoulinant de sperme. Josette vient se mettre à quatre pattes entre mes jambes et me lèche la vulve.
–Il est délicieux.
Elle me lèche la vulve et le clitoris jusqu’à ce que je jouisse de nouveau sous sa langue, mon sexe est nickel. Je suis complètement épuisée, liquéfiée, je n’aspire qu’à mon lit et me reposer. Yves le comprend et vient me prendre dans ses bras. Il m’emmène dans sa chambre, m’allonge dans son lit déjà ouvert, pose un baiser sur mes lèvres.
–Repose toi chérie, Je viens te chercher dans une heure d’accord ?–Ok, embrasses moi.
Il se penche et nous échangeons un baiser. Il quitte la chambre en refermant la porte. Je m’endors en quelques secondes. Je suis réveillée par une langue qui me titille le sein gauche. J’ouvre les yeux sur Josette qui est venu me réveiller. Elle est debout à côté du lit. Je peux bien la détailler, car, aujourd’hui, c’est la première fois que je la vois nue. Elle est grande, très jolie, belle poitrine, ventre musclé, très belles fesses et surtout un pubis sans poils.
–Debout ma belle, on ne va pas tarder à manger. –Comment se fait-il que tu n’aies pas de poils, tu te rase ?–Non, je m’épile avec de la cire, tu devrais en faire autant, tes poils sont beaucoup trop longs, ce n’est pas très agréable de te faire une minette, j’en avais plein le nez.–Une quoi ?–Une minette, te bouffer le sexe.–Ok, et tu fais ça où ?–C’est ma sœur qui m’épile, et moi, je l’épile, si tu veux, je peux te le faire.–Oui, j’aimerais bien, je pense que ça plaira à Yves.–Je le pense aussi, les hommes aiment ça en général.–Tu ne t’ai pas habillé depuis tout à l’heure ?–Difficile de se faire saillir par Ulysse et Tonnerre habillée.–Avec Tonnerre aussi ?–Oui, et Rex pour finir, allez, lèves toi, ils nous attendent.
Nous les rejoignons dans la salle à manger, ils sont tous nus et ont installé une planche d’un peu plus d’un mètre sur soixante-dix centimètres environ sur des tréteaux, recouverte d’une couche de serviette. Josette m’amène vers la planche.
–Allonge toi dessus sur le dos.
Je m’allonge avec précautions, mais elle est très stable. Josette m’installe de manière à avoir les jambes écartées et repliées en bout de la planche. Je me sens prête pour le sacrifice final. D’un seul coup, je sens un liquide couler sur moi, c’est Victor et Walter qui font couler du champagne sur mes seins, mon ventre et mon sexe. Immédiatement, des bouches viennent le lécher, dont une, celle de Josette, qui s’occupe particulièrement de mon sexe. Le champagne coule toujours sur moi et les langues continuent de s’abreuver sur mon ventre, mes seins, mon sexe. Yves m’en fait couler un peu dans la bouche. Une nouvelle fois, je sens cette vague se former dans mon corps. Petit à petit elle gonfle, gonfle pour s’étendre partout. Je finis par jouir sous leurs langues, mon corps s’arque boute sur la planche. La dernière à me libérer est Josette qui me boit jusqu’à ce que je me relâche sur la planche. Une nouvelle fois, je suis exténuée, je n’en peux plus.
–Yves chéri, tu peux m’aider ?Il me prend dans ses bras et m’amène sur le divan, il s’assoie à côté de moi. Je pose ma tête sur son épaule.
–Qu’allons-nous devenir, je veux rester avec toi, mais ce n’est pas possible, nous sommes frère et sœur.–Je t’ai dit de ne pas t’en faire, il y a toujours une solution.
Il me sourit, mais je n’ai pas le cœur à sourire, je ne pourrais jamais vivre avec l’homme que j’aime, car maintenant, j’en suis sûre, c’est l’homme que j’aime, et lui aussi m’aime, je le sens. Yves se lève.
–Victor a une annonce à vous faire.
Victor se lève et vient vers moi.
–Lève-toi petite sœur.
Il me prend la main pour m’aider à me lever, il m’approche d’Yves qui s’est aussi levé.
–Je dois vous annoncer une bonne et une mauvaise nouvelle pour nous.
Tout le monde se regarde.
–Voilà, papa voulais absolument une fille pour pouvoir assumer la tradition de la famille. Je dois dire que c’est un peu con, mais passons. Or il a appris que maman ne pouvais plus avoir d’enfant en janvier dix-neuf cents cinquante-deux.
Mon cœur s’arrête, qui est ma mère, qui suis-je ? Tout le monde me regarde, Yves me sourit, je suis sûre qu’il le savait, c’est pour ça qu’il était si serein. Comment ai-je atterri dans cette famille ?
–Papa a donc passé un accord avec une famille de Chartres dont la fille mineure était enceinte disant que, si c’était une fille, il la prendrait dans sa famille sans lui donner son nom. C’est ce qui fut fait, Brittany, tu n’es pas notre sœur de sang, mais je peux t’assurer que tu seras toujours notre petite sœur chérie.
Tout le monde vient me serrer dans ses bras et m’embrasser, particulièrement Yves qui me serre dans ses bras à m’en étouffer.
–Je t’aime Brittany, je t’aime mon amour.–Tu ne m’appelle plus petite sœur ?–Non, maintenant tu es mon amour.
La soirée se termine dans la joie, je suis la plus heureuse des femmes, J’ai découvert l’amour physique, mais surtout l’amour tout court, l’amour pour un homme qui m’aime en retour.
Je n’ai jamais voulu connaitre ma mère biologique, pour moi, ma vraie mère, c’est maman et mon vrai père, papa. J’ai maintenant une famille et une belle famille qui ne font qu’une.
Je me suis épanoui dans les bras d’Yves, avec les sexes de Rex, Ulysse et Tonnerre que j’ai finis par essayer et adopter. Sans compter la tendresse de Josette qui m’a fait connaitre d’autres horizons, mais ceci sera peut-être l’objet d’une autre histoire.
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