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Quel anniversaire!

Chapitre 1

Hétéro
Nous sommes début mars, je vais bientôt passer le cap des trente ans. Toujours bien bâti, presque comme à nos débuts, il y a maintenant douze ans et demi...Quel chemin nous avons déjà parcouru. Peu de choses nous résistent. Puisque nous vivons l’Amour, le vrai!
Pour mon anniversaire j’ai prévu un dîner au restaurant en amoureux, comme nous aimons tous les deux. Et puis je reviens d’un déplacement de quatre semaines donc ça nous fera du bien.
Le soir de notre sortie, je me décide à revêtir mon costume de mariage, le gilet en moins. Rasé de près, propre, bien coiffé. Vu d’ici dans le miroir, on dirait un de ces monuments du cinéma, dans un rôle de parrain de la Mafia.
J’ai de l’avance sur toi, nous échangeons de place dans la salle de bain. Je profite de ce laps de temps pour inspecter le menu et la carte des vins du restaurant.
À ta sortie, tu m’appelles, j’arrive au milieu des escaliers, et là je te vois. Rayonnante de beauté. Magnifique. Tu as opté pour cette robe rouge à motifs noirs, celle avec les épaules nues et les lanières qui s’attachent derrière ton cou. Tu ne sembles pas porter de soutien-gorge, ou tu en as un sans bretelle. Tes cheveux sont magnifiquement bouclés, du maquillage, juste ce qu’il faut pour te parfaire. Ça te donne un teint magnifique. Un soupçon de mascara. Et ce rouge à lèvres bien vif que j’adore sur toi. Tu as opté pour des bas ou un collant noir, je ne sais pas exactement. Tes magnifiques jambes se terminent sur de magnifiques talons hauts, rouges. Ceux-là sont nouveaux. Je souris. Tu es sublime, irrésistible.
Je n’arrive qu’à te dire « je t’aime ». Mais tu as compris que je suis totalement sous le charme. Tu souris, tu sembles heureuse de me plaire.
Mais ça va au-delà de plaire... j’en ai déjà le sexe bien raide...
Nous partons donc au restaurant. Pour fêter ça, tu acceptes de boire du vin blanc, je choisis un vin doux et sucré, un excellent Viognier vendange tardive.
Nous trinquons. Tu es heureuse, et j’aime ça. Toi tu ressens tout le désir que j’ai pour toi, je te regarde avec envie. Je m’enivre de la féminité que tu dégages. S’en est presque érotique.
D’ailleurs je ne suis pas le seul à te bouffer du regard, et ça ne semble pas te déplaire, au contraire. Tu en joues.
Je ne sais si c’est normal ou le vin aidant. Mais tu me fais signe, au niveau de ta poitrine, tu attires mon regard au niveau de tes mamelons. Je comprends rapidement que tu n’as pas mis de soutien-gorge.
Je me dis intérieurement « la coquine ! »Avec un sourire qui doit aller d’une oreille à une autre, j’attrape ta main et te la caresse. Je l’embrasse aussi. Pour te montrer à quel point je te trouve belle, sexy, désirable. Ça semble être le but recherché, puisque tu lâches un soupir de bien-être. Avec un sourire radieux.
Fin de l’apéritif, les plats arrivent. Le vin est déjà bien entamé. Pendant que tu me demandes de te resservir, tu files aux toilettes te soulager et peut-être te refaire une beauté, puisque tu prends ton sac.
Pendant que je patiente, mon téléphone vibre, c’est un message ou un mail. Je regarde donc. Un message venant de toi. Plus qu’un message, une photo! Une photo d’un détail de ton derrière. Dans ma tête j’explose, c’est l’euphorie. Je suis obligé de me concentrer pour ne pas souiller mon caleçon et le pantalon. Tes fesses sont magnifiquement ornées d’un rosebud. La pierre, ou le verre d’ornement est rouge rubis. Quelle photo! Une bombe érotique.
Tu as dû la prendre pendant que tu te préparais à la maison puisque tu es nue dessus. Pour la première fois tu m’envoies le signal que tu es prête. Mais quel signal, le plus beau.
Tu reviens quelques instants après. Je m’attendais à te voir rougir, mais tu sembles fière de toi, et ne sembles même pas sentir la moindre gêne liée à ce nouveau bijou. Ton sourire laisse comprendre que tu es satisfaite, la vue du regard que je pose sur toi, tu sais que ta petite surprise a eu l’effet désiré.
Mais nous poursuivons notre dîner d’amoureux comme s’il n’en était rien. Nous parlons de tout de rien. Des projets que nous avons pour nous. Seulement ça m’excite énormément de te savoir occupée, en plus d’un orifice que je désire depuis tant de temps, mais qui reste une de tes places fortes, imprenables au même titre que ta bouche.
La note sucrée du dessert, semble te plaire à merveille. Tu choisis un dessert au chocolat, avec du gingembre. Je décide de te suivre.
Il a l’air efficace, puisque tu me regardes avec envie, en te mordillant la lèvre. Tu sais que ça me fait craquer. Mais tu continues. Et en plus tu commences à me faire du pied tout en me caressant le creux de la main...Tu fais monter en moi une érection comme jamais ça m’est arrivé. Je te le fais comprendre. Mais tu ne sembles pas me croire sur parole. Tout à coup je sens ton pied que tu as retiré de ton talon haut, contre ma virilité palpitante. Tu es vraiment surprise et te mordilles à nouveau la lèvre. Nous commençons à chauffer.
En homme galant et amoureux de toi, je vais régler. Et nous retournons à la voiture, dans cette excitation. Sur le chemin tu attrapes ma main, puis la diriges sur tes fesses sous ta robe. Je suis dingue, tu n’as même pas un string. Mais tes bas, puisque je le sens, sont bien maintenus par un porte-jarretelle. En voyant ma réaction tu ris. Que j’aime t’entendre et te voir rire. Tu es encore plus belle. Jamais je ne m’en lasserai. En continuant tu me demandes, le sourire en coin, pourquoi je ne viendrais pas vérifier furtivement la douceur de tes fesses et la qualité de ton épilation?! Je repasse donc ma main sous ta robe. Tes fesses sont toujours aussi douces, bombées et charnues comme je les aime. J’en profite pour passer délicatement deux doigts le long de ta raie, tu es bien toujours occupée par ici. Ce qui me décroche la banane. Pas seulement au visage. Mais une bonne raideur à l’entrejambe.
Je m’apprête à vérifier l’avant. Mais tu me dis que sera mieux d’attendre que nous soyons dans la voiture et en route pour la maison.
Tu sembles avoir prévu beaucoup de choses. Et ça me plaît.
Au cours du retour tu attrapes ma main, et tout en relevant ta robe, la fait glisser depuis ton genou sur toute la longueur de ta cuisse. Jusqu’à atteindre tes lèvres, parfaitement épilées et d’une douceur irrésistible. Je sens également du bout des doigts une certaine chaleur, je finis par glisser un doigt dans ta petite fente déjà bien trempée. Tu laisses échapper un petit gémissement, lorsque j’effleure ton petit bouton.
Je décide d’attendre la maison pour le reste. Mais tu n’entends pas les choses de la même manière. Tu ne cesses de me caresser l’entrejambe. Arrivé à un pont avec un feu un peu long. Tu n’hésites pas à ouvrir ma braguette et à entreprendre une petite fellation que je savoure comme si c’était la première que tu me faisais. Mais elle est différente de l’habitude. Heureusement pour ne pas tout t’envoyer, le feu repasse au vert. J’ai eu chaud pour le coup.
Tu profites de la fin du trajet pour me rhabiller. Et décide de poursuivre le show jusqu’au parking, en te titillant à côté de moi. Glissant au passage un voire deux de tes doigts. Doigts qui te fournissent beaucoup de plaisir. Puisque tu gémis de plus en plus.
Arrivé à la maison, c’est la fougue qui nous entraine sur le canapé en face de la cheminée, qui brule ses dernières braises rougeoyantes.
Tout en me disant que tu as quelque chose à terminer, tu me dégrafes à nouveau le pantalon. Tout en étant à quatre pattes sur le canapé, à côté de moi, tu reprends effectivement cette douce pipe. Tu me fais signe de te faire des caresses sur le haut de ton dos. Mais je ne tarde pas à descendre sous ta robe. À te caresser les fesses avec douceur et fermeté. Je m’attarde un peu sur ton bijou. Clou du spectacle. Je commence par le faire tourner délicatement, tu n’es pas contre du tout, puisque tu remontes tes fesses et les rapproches en te cambrant. Je lui fais alors faire de petits va-et-vient tout en douceur. Je n’ai aucune idée de sa taille. Ni même si c’est la première fois que tu en portes vraiment.
Quoi qu’il en soit, ça te plaît. Je ressens le long de ma queue lubrifiée par ta salive une vibration accompagnée de gémissements de plaisir. Je te chuchote « je t’avais bien dit que ça te plairait! »Tu souris et reprends de plus belle la meilleure fellation de ma vie. Je suis sur le point de jouir, je te préviens, pensant que tu finiras à la main avec un de tes regards les plus excitants. Mais tu sembles en avoir décidé autrement. J’explose dans ta bouche, j’ai peur de ta réaction, mais tu ne dis ni ne fais rien, tu continus à m’aspirer. Comme si tu cherchais à me vider.
À ma grande surprise tu déglutis. Puis directement viens m’embrasser. Ta salive a un goût fort, celui de mon jus. Mais tout en notes sucrées. Ça doit venir de la tonne de fruits que j’ai mangés pendant mon déplacement au Vietnam.
Tu relâches ma bouche. Et me dis « joyeux anniversaire mon cœur! » Avec un large sourire satisfaction. Tu peux en avoir, réussir à me faire jouir dans ta bouche et ne rien laisser. M’a coupé la voix. C’est fantastique. En poursuivant par « j’espère que le premier de mes cadeaux t’a fait plaisir ?! Mais je crois que oui! »
Je te confirme le plaisir que j’ai eu en t’embrassant à nouveau et avec fougue. À tel point que je reprends de la vigueur. Je ne mets pas longtemps à rebander. Ça semble te faire plaisir, puisque tu m’entraînes dans la chambre.
On est debout, on s’embrasse avec passion. Dans l’action chacun déshabille l’autre. Mais ça reste très sensuel. Je décide avec ton accord de te laisser tes bas et le porte-jarretelle.
Tu me pousses sur le lit pour me chevaucher. Tu commences à te frotter à mon sexe érigé rien que pour toi. Mais pas trop vite, tu approches tes seins si sexy de mon visage. Et je ne peux m’empêcher de les embrasser et les lécher. C’est si bon. Tu me fais savoir que toi aussi, tu aimes ça. Nous poursuivons cette exploration avec ma bouche. Tu te trémousses en remontant jusqu’à ma tête. Tout en me regardant droit dans les yeux tu m’ordonnes de te faire du bien uniquement avec ma bouche, et viens te placer directement dessus. Ça ne me déplaît pas, au contraire, je suis complètement dévoué. Je commence par lécher délicatement tes lèvres gorgées de sang et en pleine ébullition. Je me délecte de la saveur de ton jus d’amour. Puis me dirige vers ton bouton du plaisir. Au premier contact tu laisses échapper un petit gémissement de plaisir. Satisfaction pour moi et je le savoure.
À chacune de mes respirations, le petit flux d’air qui sort de mon nez te fait frémir au contact de ton intimité affolée.
Tu sens venir un premier petit orgasme. C’est divin vu d’ici.
Tu te retires et viens te positionner sur mon sexe tendu. Tu t’empales dessus dans un long gémissement de plaisir. Plaisir que nous partageons. Tu fais varier le rythme. Mais tu veux être la seule à maîtriser. Je te laisse donc te déhancher sur moi. C’est si bon. Nous nous redressons et tu poursuis en suspension sur tes pieds. Je sens le fond, et tu le sens aussi. Vu la tête que tu fais. Tu te mordilles la lèvre en me regardant avec tout ton désir. Je finis par t’allonger sur le dos. J’entreprends quelques coups de reins. Tu savoures et ça me plaît de te voir comblée de désir assouvi.
Je te demande de te retourner, à plat ventre. Avec un regard coquin tu te retournes. Je dirais même un regard cochin. Tu écartes sensuellement tes cuisses, pour relever ton bassin. La vue est sublime. Le plug est vraiment fait pour être sur toi, enfin en toi.
Tu me regardes avec tout ton désir et me lances « tu me fais sentir ta grosse queue maintenant, et ne jouis pas avant moi ou tu n’iras pas à la place de mon bijou ! »
Je me place dans cette position si excitante, à l’entrée de ta vulve. Positionne mon gland dans l’axe, et rentre d’un coup. Bien que je n’ai aucune peine à rentrer, vu ton excitation, tu es bien dilatée et mouillée, tu cèdes littéralement, ton gémissement est long et si fort que tu en mords le coussin. En reprenant ta respiration tu me glisses « je l’aime ta grosse queue, j’aime la sentir en moi! » dans ma tête ces mots rebondissent et m’excitent beaucoup. Je commence des va-et-vient vigoureux. Tu gémis de plus en plus, ta jouissance monte et la mienne aussi. Je me concentre dans un effort surhumain pour ne pas te décevoir.
Tout en continuant d’avoir des mots du même ordre je continue à littéralement te pilonner. Tu es aux portes de l’extase. Et d’un coup tu exploses. La jouissance est telle que tu en as le tournis et tu vois tout blanc. Je me retire, ça me permet de souffler. Je suis fier de t’avoir satisfait. Mais aussi heureux d’avoir eu cet intense moment.
Nous buvons un peu d’eau, reprenons nos esprits. Tu m’embrasses langoureusement. Droit dans les yeux tu me dis « Je t’aime mon cœur! Tu es fantastique! C’est trop bon de te sentir jusqu’à la jouissance. Tu es prêt pour le final ?! » avec un air qui me plaît et m’excite à nouveau. Tu te places les fesses en l’air, la tête et les bras appuyés sur le coussin. Tes consignes sont simples « soit délicat, tu sais que c’est une première. Même si je me prépare mentalement et physiquement depuis un bon mois avec des plugs de plus en plus gros, ils sont toujours plus petits que toi, et eux ne bougent pas. Je me réserve le droit d’arrêter si jamais j’ai trop mal. » Rien que de savoir que ça fait plusieurs semaines que tu te titilles le derrière, ça m’excite au plus haut point. Pas de souci, je serais le plus doux possible. En premier lieu, je me remets à jouer avec ton plug, le tourne, le titille, lui fais faire un peu de mouvements. Tu apprécies et sembles remonter en excitation. Je tire légèrement dessus pour te faire signe de l’accompagner. Tu pousses délicatement, une fois sorti, je le replace en face de ton petit œillet et le rentre à nouveau. Nous faisons ce petit jeu plusieurs fois tout en lubrifiant. Puisque tu as même prévu ça. Jusqu’à ce que tu me dises « vas-y! » avec un beau sourire. Je m’étale du lubrifiant et en remets sur ton petit trou. Je masse bien, et tu cèdes sous la pression de mon doigt. Ça semble bien lubrifié. Je me positionne derrière toi, place mon gland devant ton anus. Je m’approche délicatement, commencé à pousser. Tu es bien concentrée sur ta détente. Mal grès ton excitation tu as un peu peur. Mais tu gères parfaitement la situation. Tu te sens parfaitement détendue et prête à m’accueillir. En poussant un peu plus je vois mon bout écarté, et se frayer petit à petit un chemin dans tes entrailles. Hop la couronne de mon gland vient de passer. Tu respires bien et te détends à nouveau. Le reste de mon sexe suit le mouvement. Je progresse doucement, et tout en te parcourant de mes caresses, je finis par être planté en toi jusqu’à la garde. Je te demande si ça va. Tu acquiesces avec le sourire. Tu te sens bien, même si c’est inhabituel et assez nouveau. Tu te sens bien remplie.
Tu me dis « vas-y mon amour! Fais-nous jouir! »
Je commence à m’activer doucement en toi. Mes coups de reins te sont agréables. Tu commences à respirer plus fort. Je suis content, tu prends du plaisir dans cette nouveauté que tu refusais jusqu’à maintenant.
Je rajoute un peu de lubrifiant. Dans le souci de ton confort je veux m’abstenir de tout désagrément. Tu dois au moins avoir autant de plaisirs que moi, sinon plus.
J’accélère mes mouvements, que tu acceptes sans souci. Je sens que tu te remets à mouiller. Mes bourses tapent sur ta fente trempée.
Soudain je sens une caresse dessus. Tu viens de passer ta main entre tes jambes. On sourit tous les deux. Je continue dans notre nouveauté. J’accélère encore. Et les coups sont de plus en plus forts.
Tu te mets à gémir de plaisir. Et plus du fait que je t’occupe les fesses. Tu en profites pour te titiller ton bouton.
Je sens en toi monter le plaisir tu respires de plus en plus fort. Commence à te cambrer tout en te redressant et prenant appui sur la tête de lit. Fini le titillage. Tu veux jouir par le cul seulement. Je me colle à toi. Attrape un de tes seins, et tout en t’embrassant dans le cou, j’attrape tes cheveux. Que je tire doucement pour augmenter ta cambrure qui me rend fou. Comme tu gémis de plus en plus, je suis sur le point de déverser toute ma semence en toi. Et lorsque tu jouis, j’éclate. Nous jouissons ensemble et bruyamment. Tu m’as laissé finir en toi. Je relâche tes cheveux. Tout en restant dans cette position. L’un dans l’autre je t’embrasse goulûment. Mais avec amour. Nous sommes heureux. Tu me dis que tu as plutôt bien aimé. Qu’on pourrait recommencer. Mais pas trop souvent. Et seulement quand tu le déciderais. Et ça me convient. Sur un je t’aime à l’unisson. Je finis par me retirer.
Nous retournons prendre une douche pleine de câlins et de bisous. Chacun lave l’autre pour retirer la sueur et l’odeur de sexe que nous dégageons. Nous passons notre nuit enlacés et repus de tout cet amour.
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