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Quel cul !

Chapitre 13

Voyeur / Exhibition
Je remontais mon pantalon prestement, notre visiteur faisait de même et Louise essayai de remettre en ordre sa jupe et son chemisier.J’ouvrais doucement la porte :« Je peux entrer aussi » ? Un homme d’environ soixante dix ans, plutôt bien de sa personne me posa cette question. « Je vous ai vu laissé entrer une personne, alors je me suis dis pourquoi pas moi aussi ! »« Nous ne prenons qu’une personne à la fois, mais je vais demander à mon amie ».Refermant la porte, je demandais à Louise et à notre premier visiteur ce qu’ils en pensaient. Louise fit un peu la grimace et notre homme dit qu’ayant déjà joui il ne voyait pas d’inconvénient à regarder un peu. Je fis rentrer notre visiteur. « Lucien », se présenta t’il ! Il se tint debout près du téléviseur ou défilait toujours le film où se déroulait une partouze.Je m’asseyais à côté de Louise et entrepris d’ouvrir le chemisier refermé. Ses seins apparurent. J’en pris un en main tandis que notre premier visiteur qui était de l’autre côté pris le second. Mon autre main rejoignit la sienne qui remontait la jupe de Louise.« Ne vous gênez pas pour moi, je ne veux que regarder »« C’est comme vous voulez, mais vous pouvez la caresser si vous en avez envie », lui répondis-je.Nous avions relevé la jupe de Louise et ensemble nous la caressions. Elle se glissa au bord de la banquette, penchée en arrière, pour mieux s’exposer au plaisir. Notre premier visiteur s’agenouilla entre les cuisses grandes ouvertes, lui remonta les jambes sur la banquette et entrepris de lui lécher la chatte. Louise adore sentir une langue lui fouiller le sexe et titiller son bouton. Je me levais et lui présentais ma queue qui avait repris du volume. Lucien n’en perdait pas une miette et sa main bougeait dans la poche de son pantalon.Je pressais la tête de Louise sur ma bite tendue montrant ainsi à notre visiteur ce qu’elle savait faire et combien elle aimait sucer une bite. Ma queue était entièrement avalée par ses lèvres qui allaient et venaient en faisant de légers bruits de succion. Son bas ventre était secoué de spasmes car les titillements de la langue de notre ami sur son bouton lui faisaient beaucoup de bien. Je voyais sa langue aller et venir au creux de ses lèvres, titiller le bouton, le quitter pour aller envahir son vagin. Je voyais aussi ses doigts qui lui caressaient en même temps l’intérieur des cuisses et aller, petit à petit, rejoindre sa rosette qu’il frôlait de temps à autre.Lucien s’était rapproché, une de ses mains toujours en poche, et sa main libre caressait le genou et la jambe de Louise qui s’en rendit compte aussitôt. Elle eu d’abord un petit mouvement de recul, mais voyant cela je luis dis « laisse toi faire, prends ton plaisir et laisse le faire ».Lucien entreprit de lui relever la jambe plus haut pour mieux dégager l’accès à sa chatte, ce que son lécheur sembla apprécier. Je fis de même de l’autre côté ce qui fit que Louise était presque couchée sur la banquette, le cul tout au bord, les fesses prises à pleines mains maintenant par son bouffeur de chatte. La main de Lucien s’aventurait un peu plus vers le sexe. Il entreprit de lui caresser le ventre, les seins et essayait de glisser vers les lèvres grandes ouvertes par la langue de notre ami.Je lui fis signe de s’approcher davantage vers Louise.« Prends lui la main et emmène la vers ta queue, elle va te caresser » lui dis-je.Ce qu’il fit aussitôt. Il aida Louise à décrocher la ceinture, ouvrir son pantalon. Elle glissa une main dans son slip et en sortit un sexe bien tendu, plein de mouille. Elle lui caressa d’abord le gland avec les doigts, étalant sur sa queue le jus qui s’en échappait. Elle glissa ensuite vers les couilles, remonta sur le sexe et se mis à la branler doucement. Elle avait une bite en bouche, une queue dans la main, une langue dans la chatte et un doigt qui lui caressait le cul, qu’elle laissait faire d’ailleurs à mon étonnement.La langue faisait semble t-il des merveilles car elle commença à haleter, ses succions se firent plus fortes, sa main accéléra le mouvement et soudain elle se tendit comme un arc, laissant échapper de sa bouche occupée, des petits cris.« Je vais te prendre la chatte maintenant, mets toi à genoux, lui dis-je !Elle se dégagea prestement et s’agenouilla sur la banquette. Nos deux amis entreprirent aussitôt de lui caresser les seins, les fesses. Notre premier visiteur avança sa queue pour qu’elle le suce, mais elle tourna la tête. Je me mis derrière elle et lui enfonçait ma bite bien raide d’un seul coup. Sa chatte était trempée, pleine de son jus. Nos deux visiteurs la pelotaient partout. Je sentais une main qui frôlait mes couilles. C’était Lucien qui me caressait. Je le laissais faire, cela n’était pas désagréable du tout. Je limais doucement, prenant le temps de voir Louise prendre son pied. L’homme lui présenta de nouveau sa bite devant la bouche. « Suce-le », lui dis-je en lui enfonçant ma queue un grand coup. « Suce Lucien aussi, il attend de jouir ». Pas dans la bouche, précisais-je à notre second visiteur.Elle avala la bite de notre premier ami, le suça un moment et puis, tournant la tête, elle prit la queue de Lucien entre ses lèvres. Il lui tint la tête fortement en lui disant « suce moi, comme tu suçais ton ami tout à l’heure, à fond ». Je m’entendis dire « obéis, suce le à fond, entre bien sa bite ».Devant ce spectacle mon plaisir décupla et je ne pus me retenir plus longtemps. Je lâchai tout mon jus dans sa chatte. Elle gémit de plaisir, car ce qu’elle adore, encore aujourd’hui, c’est de sentir les jets de jus qui frappent l’intérieur de sa chatte. Elle suçait alternativement nos deux amis. Je la forçais à se retourner, à s’asseoir et lui dit de les finir tous les deux à la main. Je lui glissai ma queue encore pleine de jus dans la bouche pendant qu’elle branlait les deux hommes qui continuaient à la caresser. Ils jouirent rapidement, Lucien lâchant juste quelques gouttes qu’il ne put contrôler sur les seins de Louise.Nos deux amis nous quittèrent rapidement en nous remerciant pour ce bon moment.Après nous être nettoyés, habillés, nous quittâmes la cabine et remontâmes dans le magasin. Le gérant était seul. Nous passions devant le comptoir pour nous diriger vers la porte de sortie lorsqu’il nous dit que Lucien, qui était un de ses bons clients, lui avait raconté un peu ce que nous avions fait. Il nous dit aussi que si on avait apprécié, nous pouvions en contactant le magasin, lui faire dire lorsque nous reviendrons et qu’il serait ravi de nous rencontrer de nouveau. « Pourquoi pas, nous allons y penser » !A bientôt.Presque deux heures dans une cabine pas bien ventilée, cela laisse des traces. Nous reprîmes la route pour rentrer dans nos foyers, fatigués mais satisfaits de notre après-midi.
A suivre
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