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Quel cul !

Chapitre 15

Voyeur / Exhibition
Nous avons repris nos anciennes habitudes et nous promenions souvent dans des bois ou près d’étangs ayant « quelque réputation » (pas facile dans la région ou nous habitons, il nous fallait faire des kilomètres) mais nous y fîmes d’agréables rencontres. Généralement on trouve dans ces lieux des homos ou des hommes à la recherche de sensations homos plutôt que des couples. Mais cela ne nous dérangeait pas. Même eux aiment profiter du spectacle d’une femme qui se montre. Généralement, lorsque l’endroit était assez discret, pas trop près d’une route ou d’un chemin trop fréquenté, je remontais la jupe de Louise jusqu’au milieu des fesses (sans culotte), lui ouvrait son chemisier pour faire apparaître ses seins (sans soutien-gorge) et nous nous promenions ainsi. Au début elle refusait mais après quelques caresses elle se laissait aller.Nous marchions ainsi, moi une main sur les fesses et elle sa main posée sur la bosse de mon pantalon.Je me souviens de cet après-midi de printemps ensoleillé : les arbres verdissaient, les fourrés commençaient à s’épaissir dans ce bois près de Saint-Amand. Nous marchions lorsque je remarquais un homme jeune nous suivre. Il se cachait parfois derrière un arbre mais il n’échappa pas à mon regard, à la recherche justement de quelqu’un comme lui.Nous nous enfonçâmes un peu plus dans le bois nous éloignant du chemin afin de ne plus en être visible.Lorsque j’estimai que nous étions dans un endroit suffisamment tranquille nous nous arrêtâmes. Nous nous embrassions à pleine bouche, nos mains se promenaient sur nos corps, nous découvrant un peu plus afin que notre voyeur, qui s’était rapproché, mais était toujours derrière un arbre, pu voir ce pourquoi il nous avait suivi.Louise avait aperçu elle aussi l’individu.« C’est un jeune me dit-elle ! »Mais manifestement elle le trouvait à son goût, vu la façon qu’elle avait de provoquer. Elle sorti ma queue, se pencha et la prit à pleine bouche, tournant le dos, comme par hasard, à ce voyeur qui avait une vue imprenable sur ses fesses et la chatte qu’il apercevait parfois en fonction des mouvements qu’elle faisait.Mes mains pelotaient ses fesses, que j’écartais le plus possible pour dévoiler son anus et je glissais aussi mes doigts dans sa chatte, venant gratouiller de temps en temps sa rosette.Je fis signe discrètement à l’individu de se rapprocher, ce qu’il fit après s’être assuré qu’il était seul. Il arriva tenant à la main sa queue qu’il masturbait lentement. Je relevai Louise et, me mettant derrière elle, offrit au regard de cet homme son corps dévoilé. Je pris ses seins à pleines mains et les pelotaient fortement puis je descendis vers sa chatte que j’écartais tout en demandant à Louise d’écarter ses jambes. « Elle te plait ? »« Elle est pas mal ! On voit qu’elle aime la bite ! »« Tu veux la toucher ? Tu veux qu’elle te branle ? « « Elle peut me sucer ? »« Elle va déjà te caresser, après on verra, c’est elle qui décide. De toute façon pas de pénétration, ok ? »« OK, pas de souci »Il s’approcha près de nous, et commença à caresser les seins, le ventre et pénétra à l’intérieur de la chatte de Louise qui, les yeux fermés, se laissait faire. J’étais toujours derrière elle et une de ses mains me caressait. J’avais la bite plus que tendue. L’individu prenait de plus en plus confiance et s’était collé à nous. Une de ses mains rejoignit celle de Louise et me caressait les couilles et la queue en même temps.« Tu aimes ? »« Oui, et vos deux mains en même temps, un régal ! »
Je pris la main libre de Louise et la menait vers sa bite qu’elle commença à caresser. J’en profitais pour lui peloter les couilles et tâter son engin, plutôt fin mais long.Nous jetions régulièrement un œil pour vérifier notre intimité. Le coin était tranquille.Louise se tordait littéralement : les caresses appuyées sur son clito lui donnaient visiblement beaucoup de plaisir. Elle jouissait sans retenue, offrant sa chatte aux caresses. Je lui glissais un doigt dans l’anus, et avec les mouvements qu’elle faisait, il s’enfonçait seul profondément.« Je peux te sucer ? »La question me surprit :« Est-ce que tu veux qu’il me suce ?, demandais-je à Louise »« Je voudrais que tu me baises avant ! J’ai trop envie !»« Je peux te sucer en même temps ! »« Après que je l’aurai baisé si tu veux ! »Je demandai à Louise de s’appuyer sur l’arbre qui nous cachait en partie, la fit bien pencher en avant et la pénétrai d’un seul coup. Sa chatte était trempée et ma bite coulissait à merveille. Notre voyeur lui caressait tantôt la chatte, tantôt les seins qui ballotaient à chaque coup de queue. Louise était fortement penchée en avant, et soudain elle perdit l’équilibre. Elle se rattrapa à l’individu, qui pantalon baissé, avait la bite en avant.« Suce le, prends le dans ta bouche ! Je vais te baiser en même temps ! Regarde cette belle queue, me souviens pas que tu en as sucé une aussi longue un jour ! »Elle prit la bite dans la main, la caressa un petit moment. Elle mit ce sexe offert en bouche. Je continuai pendant ce temps à la besogner, doucement mais fortement et sous mes coups de queue, son corps faisait des mouvements d’avant en arrière et je voyais cette queue pénétrer entre ses lèvres.Je ne voulais pas jouir trop vite, je voulais profiter de cet instant le plus possible. « Je voudrais te sucer pendant qu’elle me suce, tu veux bien ? J’avale tout ! »Louise me jeta un regard consentant. Il se pencha en avant, Louise changea de position pour pouvoir continuer à le sucer, et il prit ma bite à pleine bouche, la faisant entrer longuement jusqu’au fond de sa gorge.« Doucement, lui dis-je, je vais tout lâcher ! »« Ne te retiens pas, vide toi dans ma bouche. »Louise se releva et entreprit de le branler.Quel spectacle ! Louise le cul et les nichons à l’air, me caressant d’une main et branlant un inconnu de l’autre tout en m’embrassant ! Lâchant la queue qu’elle tenait dans la main, elle appuya sur la tête de notre complice pour qu’il prenne plus de queue en bouche. « Je jouis ! Va doucement ! »Je laissais partir toute la sauce dans la bouche de l’individu qui continuait à me pomper. Il avalait tout, aspirant pour ne pas en perdre une goutte. Louise avait recommencé à le branler et le regardait faire. Elle prenait une véritable leçon !« Je voudrais qu’il te baise, j’ai envie de te voir prendre par une queue aussi longue ! »« S’il a une protection je veux bien ! »Sa réponse me surprit ! C’était la première fois qu’elle acceptait de se faire baiser par quelqu’un d’autre que moi ! J’en étais abasourdi.« Tu es sûre ? »« J’ai envie « Il ne se fit pas prier : il sortit une capote qu’il enfila rapidement, Louise s’appuya de nouveau à l’arbre, et il la pénétra, doucement au début, puis il la besogna rapidement, enfonçant sa longue queue qui faisait lâcher des petits cris à Louise. J’étais là, en train de récupérer, regardant ce spectacle de mon amie en train de se faire défoncer par un inconnu et ce pour la première fois.« Et dans le cul, tu aimes ? Tu sais ma bite n’est pas grosse, elle te fera pas grand mal, et puis je n’irai pas trop loin ! »« Il a raison, elle est beaucoup plus fine que la mienne, tu n’auras pas beaucoup d’occasion comme celle-là ! »Je me rapprochai et entrepris de caresser son clito. C’est son endroit sensible, celui qui lorsqu’il est bien manipulé lui fait faire ce que l’on veut, ou presque.Elle ne répondit pas. Je vis la bite sortir de la chatte et se glisser vers ce cul offert. Il lui écarta un peu plus les jambes et se présenta à l’entrée de la grotte, s’enfonçant doucement, la capote lubrifiée par le jus de la chatte. Il fit quelques va et vient lentement puis accéléra le mouvement. Visiblement cela ne faisait pas souffrir Louise qui, le clito en feu, les yeux fermés, gémissait.Soudain il se retira, ôta la capote et, faisant quelques mouvements avec la main, lâcha sa semence dans la nature.Nous avons mis quelques instants à nous remettre de ces émotions. Nous nous sommes nettoyés avec des mouchoirs en papier, avons remis de l’ordre dans nos vêtements, donné un coup de peigne et de maquillage pour elle.Il y avait un tronc couché un peu plus loin. Nous nous y sommes assis et avons allumé une cigarette. Même Louise qui ne fume pas en voulu une ! Il s’appelait Jean-Luc, avait environ 30 ans, était marié mais il aimait aussi les hommes et il fréquentait cet endroit lorsqu’il passait dans le coin.« J’aurai jamais pensé qu’une femme qui a votre âge pouvait baiser comme ça ! » « Merci pour l’âge, mais à 60 ans, le cul on aime toujours ! » Il était sympa mais pas galant !Nous nous sommes relevés, dis au revoir.Il partit de son côté et nous nous sommes dirigés vers le chemin.C’est là qu’on le vit ! Appuyé contre un arbre !« Pour une partie de cul, c’était une partie ! »
A suivre
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