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Quel cul !

Chapitre 19

Voyeur / Exhibition
Il se passa plusieurs semaines avant qu’une nouvelle rencontre ne soit programmée. Pendant ce temps nous nous étions rencontrés régulièrement et quelque chose avait changé dans nos relations. Louise parlait régulièrement de David et des autres rencontres que nous avions faites dans la forêt. Elle me demandait souvent si j’avais aimé la regarder se faire prendre par d’autres, si j’avais éprouvé du plaisir pendant qu’elle en prenait énormément. Et puis lors d’une rencontre elle me lâcha :« J’aimerai que tu me regardes me faire baiser sans me toucher ! »« Que je devienne voyeur, comme ceux que nous avons rencontrés ? »« Oui j’aimerai, mais c’est seulement si tu veux ! »« Cela me paraît possible, mais ça va être dur !! »« Essayons, on verra bien si tu peux résister ! »Après nous être quittés je me suis beaucoup interrogé sur cette nouvelle tournure que prenait notre relation. Nous étions amants depuis presque 30 ans : nous avions eu beaucoup d’aventures où nous étions toujours tous les deux acteurs. Pendant longtemps nous nous sommes contentés d’être regardés, puis nous avons continués à nous montrer en ajoutant le voyeur à nos jeux, puis nous avons mêlés plusieurs personnes à nos jeux mais toujours avec moi actif et elle sans se faire pénétrer. Et puis il y a eu cette rencontre en forêt avec ce jeune voyeur et puis l’autre. Et puis cette rencontre avec David à l’hôtel. Elle l’avait vraiment baisé, comme elle me l’avait fait si souvent.En y réfléchissant davantage je me suis rendu compte que j’avais aimé la voir se faire prendre et que j’avais pris du plaisir à la voir se faire enculer. « Pourquoi pas me dis-je, essayons on verra bien ! »Rendez-vous fut pris avec David au même endroit.Louise portait une robe classique, mais je remarquais les bas noirs et les hauts-talons.David nous attendait dans la chambre. Il nous vit arriver et vint nous ouvrir la porte. Il était déjà en slip !Aussitôt entrés, après nous être embrassés, il commença à caresser Louise tout en déboutonnant sa robe, (boutonnage par 20 boutons sur le devant !). Je l’aidais à dégrafer et elle apparût nue, à part les bas tenus par le porte-jarretelles rouge que j’aimais tant. Je quittai ma veste et allai m’asseoir sur la chaise près du petit bureau qu’il y avait dans cette chambre. David me regarda interrogatif. Je lui fis un signe pour lui dire que tout allait bien.Louise se mit à genoux sur le lit devant David debout près du bord. Elle baissa son slip, lui retira et aussitôt prit sa bite en bouche. Elle lui tenait les fesses à pleine mains, faisait de rapides aller et retour, glissait sa langue le long de cette bite tendue, léchait les couilles. Il lui prit les seins à pleines mains et se mit à les caresser fortement. De ma place je voyais son cul rebondi et lorsqu’elle se penchait je voyais sa chatte aux poils coupés courts, et il me semblait voir briller l’intérieur, signe qu’elle était excitée.De temps à autre David me regardait mais je ne disais rien. Comprit-il à ce moment qu’il pouvait faire ce qu’il voulait, je ne sais pas, mais toujours est-il qu’il prit possession de la belle.Il la fit s’allonger, se plaça entre les cuisses, lui remonta les jambes jusque sur la tête, et tenant ses cuisses, entreprit de lui bouffer la chatte. Louise prenait son pied je le voyais : sa tête bougeait dans tous les sens, le souffle était court et ses mains tenaient fermement la tête de David pour l’empêcher d’arrêter. Elle adore se faire bouffer le minou !Soudain il se redressa, la fit mettre sur le ventre et recommença à la lécher par derrière. Sa langue glissait sur la raie et s’arrêtait de temps à autre sur la rosette. Il lui écartait les fesses pour bien dégager ce à quoi, j’en étais sur, il allait s’approprier.Elle se redressa se mit à quatre pattes, s’appuya sur les coudes, offrant son cul et sa chatte à nos regards. David sortit une capote qu’il enfila rapidement et se positionnant la prit en levrette. Les deux mains sur les hanches, il la tenait fermement et il la pilonnait en lui demandait si elle aimait ça, si elle sentait bien sa queue… A chaque fois elle répondait « oui, oh oui, baise moi encore, baise moi comme si j’étais ta salope ».
J’étais interloqué par ces propos, que généralement elle me réservait.Il ne se fit pas prier. Je vis un de ses doigts caresser la rosette pendant qu’il balançait ses coups de rein. Elle tenta avec sa main de le rejeter mais sa position n’était pas idéale et il continua à faire entrer son doigt au même rythme que sa bite entrait et sortait de sa chatte.« Aujourd’hui je vais te baiser comme une salope et je vais même t’enculer, que tu le veuilles ou pas ! C’est toi qui m’as demandé de te baiser comme ma salope, alors je vais le faire ! »Je bandais comme un taureau. J’avais sorti ma bite, sans baisser mon pantalon, et je me branlais doucement, et d’un coup tout parti : je n’avais pas joui comme cela depuis longtemps, j’arrosai la moquette ! Sa position interdisait à Louise de me voir et je m’en réjouis, tout comme je me réjouissais de voir David qui appuyant sur sa nuque faisait offrir davantage son cul. Il dut se rappeler notre dernière rencontre, car il lui administra quelques claques sur les fesses qui rougirent aussitôt. Il profita de ce moment pour quitter la chatte et glisser sa queue vers l’anus. Je me levais et m’approchais près du lit pour regarder Louise accepter ou pas cette sodomie.Elle bougeait son cul dans tous les sens mais David la tenait bien et elle ne put se dégager. Il lui administra deux fortes claques en lui disant qu’il taperait plus fort si elle résistait !« Va doucement s’il te plait, encule moi mais ne me fait pas mal »Je voyais la bite entrer petit à petit dans ce cul qui avait attiré mes regards il y a bien longtemps. De temps en temps il s’arrêtait pour la laisser souffler, se retirait un peu et recommençait sa pénétration. Louise avait la tête posée sur le lit et je voyais ses mains serrer les draps. David avait la bite presque entièrement entrée dans son anus. J’avais vu Louise se faire prendre le cul dans la forêt mais la bite alors était beaucoup plus fine que celle de son enculeur du moment et visiblement cela ne passait pas de la même façon !Nos regards se croisèrent, peut-être la première fois depuis le début du rapport. J’y vis des larmes mais aussi une moue de plaisir quand il s’enfonça un peu plus.Il ne chercha pas à aller plus loin et entreprit de la besogner. Il commença doucement à aller et venir par de petits mouvements, sortait complètement de son anus et repartait à l’assaut. Il accéléra petit à petit lui arrachant de petits gémissements : du plaisir ? de douleur ? Cela ne l’arrêta pas et d’un coup il lui annonça qu’il allait jouir au fond de son cul : il se raidit, s’enfonça d’un coup et je vis à ses soubresauts qu’il lui balançait son jus. Louise poussa un petit cri et continua à bouger son cul, comme pour en prendre encore.David s’allongea sur Louise, l’embrassant dans le coup, attendant que la nature fasse ses effets pour sortir doucement de ce cul. « Je ne sais pas pour toi, mais pour moi ce fut génial ! Tu es vraiment faite pour le sexe ! Quel plaisir j’ai pris, et ce en plus devant Charles ! »Louise reprenait pied. Elle se leva pour se rendre aux toilettes se rafraîchir et en passant devant moi m’embrassa en me disant que j’avais été formidable et qu’elle avait adoré !Pendant qu’elle était aux toilettes je dis à David que c’était elle qui avait souhaité se faire baiser devant moi sans que je ne m’en mêle ! Et apparemment elle avait aimé ! Et moi aussi j’avais apprécié ce spectacle : j’avais encore la bite tendue alors que je venais de jouir quelques minutes auparavant.Je me suis assis sur le bord du lit. David, qui venait de se nettoyer, s’approcha de moi, m’écarta les cuisses, ouvrit mon pantalon, s’empara de ma bite et commença à la sucer. Louise sortit à ce moment des toilettes, me sourit et dit : « Chacun son tour, maintenant c’est moi qui te regarde ! » Elle caressait le dos de David, la nuque et je sentis qu’elle lui appuyait sur la tête car ma queue entrait plus profondément dans sa bouche.« Je vais jouir ! »« Il va tout avaler et ne pas en perdre une goutte. Il peut te faire ça, tu l’as bien mérité ! »J’étais sidéré par les propos qu’elle tenait et David obéit : je me vidais dans sa bouche : il hoqueta un peu mais la main de Louise lui imposait d’aller jusqu’au bout et il avala entièrement le peu de jus que je lui envoyais. « Heureusement que je m’étais branlé, sans cela il aurait étouffé, dis-je !! Nous fîmes un brin de toilette et nous nous sommes rhabillés. La chambre disposait d’une bouilloire et nous pûmes boire du thé et du café en grillant une cigarette.Louise confirma à David que c’était elle qui était bien à l’initiative du déroulement de cette rencontre, qu’elle avait remarqué que je prenais mon pied à la regarder se faire tripoter et baiser et ce depuis longtemps et si elle avait toujours aimé se montrer en action c’était aussi parce que j’aimais ça . Le déclic lui est venu, et c’est bien ce dont je me doutais, avec ce voyeur dans la forêt : il y avait une réelle différence d’âge et elle avait aimé se faire baiser et enculer par ce jeune, (qui soit dit en passant elle aurait aimé retrouver !) qui aurait pu être notre fils !Elle dit encore qu’elle était bien, qu’elle était heureuse de cet après-midi et ce malgré son cul qui lui faisait un peu mal du fait des claques reçues et de la taille de la queue qui l’avait prise.Nous nous séparâmes et c’est avec plaisir que j’entendis Louise dire à David « à très bientôt, si tu le veux bien » !!« Comment refuser une telle invitation répondit-il ».J’étais content……..
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