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Quelle fête pour ma retraite !

Chapitre 2

Samia sort de l'ombre

Avec plusieurs femmes
J’étais étonné de la forme que je tenais. Je ne me sentais même pas fatigué, ni même essoufflé. Le second souffle, pensais-je. Mais même Popaul restait dur, tendu, énorme, large et ne faiblissait pas. C’était comme si j’avais retrouvé une seconde jeunesse. J’avais de la réserve mais quand même. Je n’aurais pas voulu crever là en pleine action. Ç’aurait été une belle mort, certes, mais quelle image j’aurais laissé pour la postérité à mes proches. Je ne parle même pas du scandale pour ces filles, presque toutes en couple.Et mon plaisir ne montait pas. J’en étais content mais je ne voyais pas l’ombre d’une jouissance poindre à l’horizon. Je ne m’en préoccupais guère, je m’en étonnais seulement.
Samia, les yeux exorbités désormais, toujours à côté de nous trois, assistait à cette performance, ce double enculage de ses petites collègues, la grosse et la mince, et son air démontrait qu’elle n’avait jamais vu ni probablement imaginé cela. Elle était toujours debout, penchée sur nous, et Jessica tout sourire, hilare, se tenait juste derrière elle. Elle baissa les yeux vers le volumineux postérieur de Samia, moulé dans son étui de simili cuir noir qu’elle remplissait si bien, et me faisait des signes, des œillades, en regardant avec insistance le fessier de sa collègue pour me le désigner.Je souris tout en continuant ma besogne. Alors, pour être plus explicite encore, elle posa soudain ses deux mains sur le large fessier comme pour le mesurer, et me balança :
— Ça aussi, c’est du gros cul… ! Tu aimes, D. ?— Tu penses… Tu crois que je n’ai jamais vu qu’elle avais un bon gros fessier, bien large… ?
Samia eut un mouvement de recul, comme un peu effrayée… Elle dit d’une voix paniquée :
— Moi, la sodomie, non… Je ne veux pas !— T’es pas obligée, répondit Jessica sans lâcher son gros cul. Par contre, j’ai cru comprendre tout à l’heure qu’il y avait des choses qui t’excitaient… ajouta-t-elle d’un air coquin.— Des choses… ? Que… que… ?— Ben oui… Une bonne fessée… Te faire claquer le cul…— Oh…— Elle ne dit pas non, la Samia…— Je vais m’en occuper… Je vais t’occuper de toi, ma belle Samia, lui promis-je avec un sourire salace et entendu.
Et là dessus je me relevai, dard dressé, ce qui n’eut pas pour effet de la rassurer.
— T’inquiète pas, lui dis-je d’une voix douce, je ne te ferai rien que tu ne veux pas.Si tu prenais place sur cette chaise-là ? À genoux, comme elles étaient tout à l’heure… ?

Elle eut une moue légèrement indignée, mais je sentais qu’elle cédait, qu’elle se laissait tenter.
— Bon, bon…
Et toute hésitante, elle se laissa guider par Jessica qui la tenait par les bras et qui l’aida à monter à genoux sur cette chaise de salon. Elle prit place, en se retournant et nous regarda avec un air craintif. Je posai mes deux mains à plat sur ce si large fessier, moulé par le simili-cuir tendu à ravir, comme pour en prendre la mesure. Il brillait presque. 
— Hummm, fis-je, ça c’est du fessier. Un vrai cul de reine, un cul de compétition.
Et mes mains à plat sur cette mappemonde firent des mouvements caressants de plus en plus larges. Je commençais à le presser légèrement du bout des doigts. Les chairs étaient souples, mais tendues, enfermées qu’elles étaient dans leur prison de vinyle noir.
— Tu n’es pas trop à l’étroit, là-dedans ? lui demandai-je doucement mais avec un air vicieux, plein de sous-entendus.— Euh… non, répondit-elle.
Sacrée Samia qui ne comprenait pas les subtilités de mes questions, Samia toujours premier degré, presque innocente malgré ses 37 ans.C’était une fille aux cheveux longs bruns, qu’elle gardait toujours attachés en une sorte de chignon, pas vilaine du tout, avec des yeux artificiellement bleus (elle mettait des lentilles de couleur mais n’avait jamais voulu l’avouer) et des formes là où il faut (une belle poitrine, pas trop grosse mais généreuse, et des petits bourrelets ça et là), la fille pulpeuse, quoi. Ses cuisses et son fessier se distinguaient un peu plus, mais elle ne semblait pas trop avoir de complexes vu qu’elle n’hésitait pas à porterdes pantalons bien moulants. Elle assumait, et j’aimais ça. 
— Humm, quel cul, continuai-je à ronronner de plaisir en lissant ce beau volume, tu ne vois pas d’inconvénient à ce que je le déballe ? J’ai très envie de le mettre à nu, lui dis-je à mi-voix, d’une voix grave et sensuelle qui sembla la conquérir… car elle répondit :— Non vas-y… Si tu y tiens…— Oh oui, rien ne me ferait plus plaisir… Je vais déballer mon cadeau, lui dis-je en passant mes mains sous son ventre, et déboutonnai le pantalon de vinyle.
Je descendis sa braguette, puis délicatement saisis avec dextérité le haut du pantalon et la culotte (culotte qui s’avéra être un string… où va se loger la coquetterie féminine ? – ainsi on ne pouvait voir la marque de la culotte sous son pantalon ultra-moulant) et descendis le tout, lentement mais non sans peine, jusqu’au milieu des cuisses, libérant une paire de fesses bien larges mais qui semblaient plus souples que celles de Vilma. Deux gros culs dans une soirée, c’était vraiment ma fête !Je posai mes paumes à plat sur la peau nue, la chair était moelleuse et tiède.
— Hum, murmurai-je, ces fesses sont toutes chaudes.— Ouh… prononça-t-elle visiblement troublée
Je les caressai avec tendresse, parcourant toute leur surface, palpant la « culotte de cheval » qui élargissait le fessier vers l’extérieur, ainsi que les cuisses pleines, molles et souples. Elle frissonna. 
— ...Mais je connais un moyen d’en faire monter encore la température… Tu sais lequel ?— Euh…— Tu ne vois pas ?— Euh… La fessée ? demanda-t-elle d’une voix presque éteinte.
La tension sexuelle était palpable dans ce séjour devenu silencieux. Les regards des trois autres filles étaient tournés vers Samia, et notamment sur son gros fessier dénudé. Ce qui se préparait semblait bien en train de les exciter. « Samia va se faire fesser comme une gamine » devaient-elles penser.
— Quelque chose me dit que tu n’es pas novice, Samia. Tu l’as déjà reçue ?— Bien-sûr, répondit-elle avec une voix qui se voulait plus assurée.— Il y a longtemps ?— Oh oui…— Quant tu étais gamine, j’imagine... Mais depuis… ?— Je l’ai reçue jusqu’à... 23 ou 24 ans— Et par qui, ma chérie ?
Samia se racla la gorge, je vis ses joues devenir très rouges, elle semblait très troublée, hésita longtemps. Quand j’allais reposer ma question, jugeant que ça devenait trop long, elle répondit :
— Par mon père— Ton père ? Eh bien, il se s’embêtait pas— Je n’ai pas envie d’en parler…— Soit. Mais tu étais une si vilaine fille que ça ? Toi qui es si sage…— Je faisais beaucoup de bêtises…— Comme… ?Un silence. Puis : — Je prenais de l’argent dans son portefeuille. Et je mentais, rajouta-t-elle.— Mouais… Et ça t’est passé ?— Oui, j’ai mûri…— Hum… pourtant je me suis laissé dire que tu faisais encore beaucoup de bêtises…— Oh non !— Oh si. Et tes collègues le savent bien. Elles ont dû parfois les rattraper. Et ne nie pas, je sais que tu t’es plusieurs fois fait « tirer l’oreille » par ton chef…— Ah… Oh… Oui c’est arrivé une fois…— Non plusieurs, ma chérie…— Hum. (Elle n’osait plus rien dire…)— Je suis sûr que tes petites camarades présentes ici ce soir ne verront pas d’inconvénient à ce que je te fesse, pour toutes ces petites bêtises. N’est-ce pas ? Qu’en pensez-vous les filles ?— Ouiiiii… !!! s’exclamèrent les autres. La fessée ! La fessée !— Ohhh... dit-elle, mais devant elles… ? gémit-elle— Oh ça va, on t’a montré notre cul, ne fais pas ta mijaurée et ta pudique, s’écria Vilma, avec bonne humeur mais protestant avec énergie.— Oui, et tu t’es pas gênée pour nous mater, p’tite vicieuse, rigola Aurore.— Elles n’ont pas tort, ma petite Samia, lui dis-je. Et puis ça sera une petite compensation pour avoir dû faire ton boulot à ta place…— Oui, et rattraper tes conneries ! dit Jessica.— Tu n’aimes pas être fessée ? demandai-je à Samia d’une voix de velours— Si, mais… (elle ne finit pas sa phrase)— Ne me dis pas que tu n’en as pas envie ? continuai-je sur le même ton mielleux— S’il faut…— « S’il faut »… Qu’est-ce qu’elle est drôle ! Bien-sûr qu’il faut ! Mais il le faut surtout… parce que tu en as envie. Tu crois que tout le monde ne t’a pas vu mater quand je claquais le gros cul de Samia ?— …— Et j’ai vu aussi, même s’il faisait sombre, ce que tu te faisais en regardant, murmurai-je à son oreille…— Ooooh…— Tu croyais que personne n’allait le voir ? À quoi pensais-tu en regardant cette scène ? continuai-je toujours à voix basse— … Euuuh…— Moi je vais te le dire – je lis dans tes pensées : tu t’imaginais à sa place, que c’était ton gros cul que je claquais— Je… non…— Ah bon… ?
Je cessai de murmurer à son oreille et retournai derrière sa grosse croupe dénudée, et là, j’examinai le devant de son string. Pas de surprise : il était gluant de mouille. Je m’approchai à nouveau de son oreille :
— Tu sais que ton string est trempé, petite salope ? Alors qu’est-ce qui t’a fait cet effet-là ? Voir tes collègues se faire défoncer le cul ? Mais tu m’as fait comprendre que tu n’aimais pas la sodomie - un mauvais souvenir, sans doute, ironisai-je. Ou est-ce de voir Vilma se faire claquer son gros cul ? (Si tu ne me réponds pas, si tu ne m’avoues pas la vérité, je montre ton string tout trempé de cyprine à tes petites camarades.) Alors ?— Non, non, pas ça ! J’ai trop honte. Pas mon string. Oui j’avoue, prononça-t-elle dans un souffle et à voix basse, la fessée m’excite !— À la bonne heure ! déclarai-je, réjoui. Je vais donc te fesser, Samia, solennellement devant tout le monde ! Tu vas recevoir une fessée mémorable, une fessée inoubliable, ma chère Samia, une fessée dont tu te souviendras longtemps… Et moi également. Pour commencer descends donc de cette chaise et retire ce pantalon et ce slip qui t’entravent trop. Elle obéit et quitta ce que je lui demandais d’ôter. Pour ce faire elle retira ses bottines de cuir noir. (Je notai qu’elle avait fait des efforts pour ma soirée : en effet, d’habitude elle traînait toujours la même paire de baskets. Avait-elle décidé d’être un peu plus sexy pour ma fête ? Ce pantalon noir si serré en témoignait en tout cas (elle avait dû, elle aussi, surprendre au bureau mes regards descendants sur sa croupe bien moulée), de même que son maquillage soigné qui était plus marqué que d’habitude.  — Tu veux bien remettre tes bottines, tu seras plus bandante comme ça.  Elle se rechaussa. — Oh et puis fous-toi à poil complètement ! Ça sera plus humiliant pour toi. Et une fessée est quand même une punition, alors autant ne pas faire les choses à moitié.  Elle hésita à protester mais ma voix autoritaire l’incita à obéir et elle n’insista pas :   - Allez, ne fais pas ta prude, tes petites camarades aussi se sont retrouvées les nichons à l’air. Et j’en ai vu d’autres. Rouge pivoine, les yeux baissés de honte, elle se déshabilla lentement. Tous les yeux étaient braqués sur elle : ses collègues, affichant un sourire ravi, se réjouissaient de la voir ainsi humiliée ; elles devaient se sentir vengées des savons qu’elles s’étaient pris à sa place, en l’ayant couverte pour ses erreurs, ses retards et ses manquements. Je pus admirer pour la première fois sa belle poitrine, assez lourde, en tout cas d’un bon volume, son ventre replet, et son émouvant mont de Vénus.  - Assis-toi à califourchon sur la chaise. Oui comme ça, et les cuisses bien écartées, et recule au maximum. Mets-toi bien au bord de l’assise, ton gros cul dans le vide. Cambre-toi bien. C’est ça.  Je posai ma main gauche sur le bas de ses reins, histoire de la maintenir et lui faire garder sa cambrure, je me décalai légèrement à sa gauche. Ses trois collègues se postèrent en demi-cercle à sa gauche, pour bien pouvoir mater le spectacle et ne pas en perdre une miette.  Je commençai à lui administrer des claques fermes, espacées, sur la fesse gauche, puis la fesse droite ; elles n’étaient pas bien fortes mais retentissaient sèchement dans le silence qui régnait dans cette pièce, et Samia accueillait chaque claque d’un petit cri aigu et bref. Je regardai de temps en temps les filles penchées sur la scène qui débutait ; elles observaient sans mot dire, la gorge sèche et sans sourire, la punition de leur tête-en-l’air de collègue. Elles devaient découvrir comme moi pour la première fois le gros fessier étalé et légèrement adipeux de la jeune femme, et je suis certain que presque toutes assistaient pour la première fois également à la fessée publique d’une femme, une fessée érotique. Je commençai à claquer plus fortement ses grosses demi-lunes, en appuyant bien sur ces chairs de toute ma main à chaque impact, et me mis à accélérer un peu. Les cris de Samia devinrent un peu plus hauts. Je fis une petite pause de quelques secondes et passai deux doigts sur sa vulve bien ouverte du fait de la posture, les faisant glisser de bas en haut, furtivement mais suffisamment pour recueillir une sève qui s’avéra être bien abondante. Tout sourire j’exhibai victorieusement mes doigts sous le nez des filles :  - Je crois que ce traitement lui plaît, à la Samia, déclarai-je vicieusement, puis je suçai goulûment mes index et majeurs.  Mais je me remis aussitôt à ma tâche, et repris la claquée de plus belle, au même rythme. Je me mis en tête de couvrir toute la surface disponible et distribuais désormais les claques du haut des fesses jusque sur les côtés, et descendant sur le haut des cuisses. La belle brune commença à gueuler en rythme... et à m’exciter, la chienne !  Je m’interrompis à nouveau quelques secondes, cette fois pour attraper la belle pointe du sein gauche qui dardait… une belle tétine, toute turgescente, et je me mis à jouer avec, l’étirant, la tordant légèrement, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’elle se mette à crier !Je reposai ma main gauche sur ses reins, appuyant bien fermement et autoritairement pour lui faire comprendre qu’elle allait déguster : sa belle croupe épanouie était vraiment bandante, elle allait prendre cher ! Je repris la claquée et me mis à accélérer progressivement mais rapidement, couvrant toute la surface de ce beau volume dont la chair initialement pâle avait bien viré au rose vif. Je la fessai, sans faiblir, avec énergie, avec rage, avec force, et la belle fille commençait à avoir des soubresauts sur sa chaise, comme pour essayer d’échapper à la punition vengeresse tout en continuant à s’y soumette avec zèle, sans rien ne dire d’autre que des : « HAA ! HAA ! HAA !» en cadence et au rythme de ma partition que je jouais comme un pro, désormais galvanisé par les encouragements de mon public féminin acquis à ma cause :  - Ouais, vas-y, claque-la, claque-la bien ! - Ah, elle prend cher, la Samia ! - Putain continue, claque lui bien le cul ! - Vas-y, chauffe-lui ses grosses fesses à la salope ! - Ah tu la fesses bien, elle a ce qu’elle mérite ! - Elle l’a voulue, la fessée, bah elle l’a. Qu’est-ce qu’elle prend !  Je finis par ralentir un tout petit peu, juste pour me pencher sur sa jolie tête et lui dire :  - Quand tu n’en peux plus, dès tu veux demander grâce, ne te gêne pas, tu dis « STOP ! » Mais tant que tu ne le dis pas je continue. (Ah, je commence à avoir mal à la main…)  Elle continua à pousser des cris déchirants, des cris de désespoir - d’autant que j’avais immédiatement repris la vitesse maximale - mais rien de plus.Une demi-minute passa dans le bruit de cet orage de claques puis elle cria :  - STOOOOP ! Ahhh…  J’avais immédiatement cessé. Elle ne bougeait plus, me regarda furtivement : elle avait les larmes aux yeux.  — Ça va, tu as ton compte ? lui demandai-je - C’était bien ? enchaîna Jessica, hilare - Quelle fessée ! dit Vilma - N’empêche, elle encaisse bien, déclara Aurore, presque admirative— Tu avais déjà été fessée comme ça, Samia ? m’enquis-je - Pas depuis longtemps, répondit-elle en se touchant légèrement les fesses. En fait, non, jamais aussi… - Aussi fort ? - ...Euh… et aussi bien, ajouta-t-elle d’une voix plus faible - Hummm… J’ai pu constater d’ailleurs que ça t’a fait de l’effet…  Elle sourit en baissant les yeux, en peu honteuse.  - Tu es excitée ? lui soufflai-je près de son oreille - Oui... avoua-t-elle - Ça te suffit ? - Oui… Enfin… hésita-t-elle— Quoi donc ? demandai-je, étonné… - La ceinture… La ceinture, osa-t-elle. Je recevais la ceinture aussi… - Tu me sidères, ma petite Samia. Toi, si douce, si timide… Ne me dis pas que tu as envie de la recevoir maintenant ? Après cette cuisante fessée ? - Tu maîtrises bien… Tu es doué, chuchota-t-elle. Tu crois que tu saurais m’administrer la ceinture… pas trop fort… sans me faire trop mal ? - Ça dépend de toi, ma chérie… de ton degré de résistance. Bien entendu je ne suis pas une brute, et je sais m’adapter…— Tu as l’air de maîtriser… Je pense que je peux te confier... mes fesses. - Tu viens de me les confier, lui rétorquai-je, amusé - Oui, mais là, c’est un degré au-dessus... - Oui, j’avoue. C’est toi qui vois. Si tu en as envie, si tu veux essayer, je n’ai rien contre. Maintenant ou plus tard… - Non, maintenant ! Je veux, dit-elle un peu plus fort, la voix rauque. - Tes désirs sont des ordres, ma reine de Saba.  Et sous les yeux sidérés de ses trois collègues je dégrafai ma ceinture et la pris en main.  - Fais voir, me demanda-t-elle en tendant sa main.  Je lui mis dans la main : elle la regarda, la tâta, testa la souplesse.  - Elle est large. Un peu raide. - Oui, ça ne vaut pas une strappe en peau… - Ça ira - Je vais ne pas la doubler, mais en enrouler la moitié. Comme ça tu recevras le bout le plus souple. Il va se dérouler comme un serpent à chaque coup. - Brrr… fit-elle - Tu as peur ? - Non. Mais ça me rappelle des souvenirs… - Tu avais peur ? - Oui, un peu… Mais à l’adolescence je m’étais endurcie. Et ça me faisait mouiller grave… ajouta-t-elle d’une voix de gorge.— Voilà ce que je te propose : 12 coups (comme les 12 coups de minuit – il est quasiment minuit, ça tombe bien), uniformément répartis sur toute la surface de tes grosses fesses. Et tu as le droit de prononcer le mot-clé avant la fin si tu ne supportes plus, bien entendu… - Je peux en encaisser plus… Tu peux m’en mettre 20 - Tu me sembles bien sûre de toi… - Je peux, je ne suis pas une femmelette - Ok, tu me défies… Alors disons que je commence par 12, et après la douzaine je te demanderai si vraiment tu veux continuer— D’accord comme ça. Mais je ne demanderai pas grâce, je m’engage à aller jusqu’au bout… - C’est bien, tu es une fille courageuse, lui répondis-je attendri. Je lui caressai la joue. J’avais envie de l’embrasser.— Et tu es une jolie fille… avec un magnifique fessier ! Je te conseille de serrer les dents, je ne vais pas le louper. Tu compteras après chaque coup. Si tu oublies je recommence le coup. Si tu oublies une deuxième fois je reprends depuis le début…— OUI, approuva-t-elle en frottant ses cuisses l’une contre l’autre. Elle semblait très excitée, mais très impressionnée aussi, sa voix trahissait une intense émotion. - Alors, allons-y. Je commence. Tu es prête ? - Prête. Oui, dit-elle en cambrant ses reins au maximum, offrant sa large croupe au châtiment. J’étais très ému par son offrande… et son désir.  Je me plaçai à gauche de son fessier, à environ un pas de distance que mesurai bien pour ne pas louper ma cible. Jessica s’était assise confortablement à deux pas derrière, sur ma droite : elle ne voulait rien louper du spectacle. Je ne voyais plus les deux autres, Vilma et Aurore.   Je visai bien, pris mon élan et « SCHLAAK !» la ceinture s’abattit en biais, laissant une trace diagonale qui barrait les deux grosses lunes.  - UN, dit-elle d’une voix forte.  Le second coup s’abattit tout en haut de la croupe, à la limite du creux de ses reins.  - DEUUX, trembla sa voix Je visai plus bas pour les suivants, de façon à bien descendre les marques en bandes parallèles. Samia ponctuait le compte, qui devenait presque un cri.  Pour les 4ème, 5ème et 6ème coups je fis en sorte de ne cingler que la fesse droite. Elle hurla les numéros en se révulsant en avant. Pour le 7ème et les suivants je changeai de côté, fouettant d’abord toute la surface du gros fessier de la même façon méthodique, en descendant, puis en ne cinglant que la fesse droite.Elle criait de plus en plus fort les nombres, sans cri de douleur supplémentaire avant ni après, et ses yeux s’humidifiaient.   - DOUUUZE ! - Bien. C’est vrai que tu encaisses bien, ma petite Samia. Alors, que fait-on ? Je continue jusqu’à 20 ou on s’arrête là ?  Elle reprenait sa respiration, tout en sueur, et pris deux secondes avant de me répondre :   - Continue. J’en veux 20. Je le mérite. Et j’en suis capable… - Entendu ma chérie. Mais pour les 8 prochains et derniers c’est moi qui compterai. Mais je te préviens : ils vont être très forts et je vais te les administrer à un rythme rapide. Ça va être un bouquet final. Tu pourras toujours prononcer le mot-clé, mais je pense que tu n’en auras guère le temps. - Je peux compter, moi ? demanda Jessica en levant le doigt, visiblement très émoustillée. - Entendu. Si Samia n’y voit pas d’inconvénient.— Non non, pas de problème. Comme ça tu pourras mieux te concentrer sur ton travail…  J’appréciai la pertinence de sa remarque. La douce et discrète Samia, avec son air de ne pas y toucher, était décidément très maso. Je pris ma marque, la bonne distance, Samia crispa les mains sur le dossier de la chaise, fit une grimace. Je levai le bras et me mis à abattre ma ceinture de toutes mes forces sans aucune pause, à un rythme effréné.  - TREIZE ! QUATORZE ! QUINZE ! compta Jessica.  Samia se mit rapidement à crier, que dis-je, à hurler, mais ça ne dura pas bien longtemps car j’arrivai très vite à vingt. Ses pauvres fesses étaient couvertes de zébrures rouge vif et de petites marques violacées. — Hummm, fis-je en caressant ces belles masses qui étaient devenues brûlantes, les palpant lentement sous les petits cris de Samia entrecoupées de petits sanglots brefs à peine audibles. Tu as pris cher, ton gros cul a dégusté… mais c’est toi qui l’as voulu, ma chérie.  Elle dit quelque chose que je ne compris pas.  - Comment ? - BRANLE MOI ! Fais-moi jouir, m’implora-t-elle. - Hum. Mais à tes ordres, ma princesse. Tu l’as bien mérité, après tout…  Et je glissai mes doigts entre ses cuisses, trouvai sa fourche douce et trempée, et commençai à la caresser en de longs mouvements, d’abord lents, que j’accélérai rapidement. Très vite elle se pâma, se mit à onduler des reins, puis se mit à feuler de longues plaintes, poussa des cris aigus de décharge, rapides et rapprochés ; elle faisait dodeliner sa tête de droite et de gauche, de plus en plus vite, comme une folle, comme une hystérique.  Jessica s’était rapprochée, visiblement très excitée, et se mit à lui peloter le sein droit, très fort, vicieusement.   Mes doigts glissaient sur la piste, c’est à dire entre ses pétales veloutés, en de rapides va-et-vient, branlant, en passant, son bourgeon, puis glissant dans sa chatte. Je saisis son sein gauche, le pelotai, le malaxai, jouai avec son mamelon tendu et gonflé, le pinçant de plus en plus fort, l’étirant, lui arrachant des petits cris au passage. Elle tourna la tête vers moi et je vis ses beaux yeux humides, attendrissants. J’approchai mon visage, tout près, elle m’offrit sa bouche : je la galochai langoureusement sans cesser de la peloter et de la branler, suçai sa langue. Son corps se tordait sous les ondes de plaisir.  Quand le baiser cessa elle me dit d’une voix de folle :  - Baise-moi !  Je regardai Jessica qui lui triturait toujours le mamelon droit :  - Assistante, Jessica, une nouvelle capote ! demandai-je sur un ton ironique  Jessica me sourit avec un air étrange que je ne lui connaissais pas. Je crois qu’elle était passablement excitée. Elle m’ouvrit un nouveau sachet et me le tendit. Je déroulai une capote neuve sur ma queue qui n’avait pas molli (ce qui me surprenait encore… quelle forme je tenais), puis me plaçai derrière la large croupe de Samia. Sans hésiter je lui mis ma queue direct, et jusqu’à la garde, je la sentis buter tout au fond. La belle brune m’accueillit avec un :  - OH OUI, OUIII ! BAISE MOI, BAISE-MOI BIEN, SALAUD ! Je refermai mes mains sur sa taille, juste au-dessus de son large bassin, la tenant bien fort, et je mis à la pistonner comme un dément. Sa chatte était douce et chaude, et je la sentais bien.  Je lui balançai mes coups de boutoir, ébranlant tout le bas de son corps, je sentais les petits bourrelets de son ventre me battre les mains. Je n’y allais pas de main morte, je la secouais comme un prunier, pliant sur mes jambes pour prendre plus d’élan à chaque assaut et elle se mit à hurler au rythme de mes coups de bélier :  - AAH ! AHH ! AHH !  Je lui attrapai ses deux bons gros seins, les pressant comme des oranges, la tenant par là, lui faisant descendre et empaler son corps sur mon pieu à chaque va-et-vient.Elle jouit plusieurs fois, m’aspergeant de cyprine, je la sentis trembler sur ses genoux, osciller, vaciller, et sa jouissance s’acheva par un long cri, une longue plainte comme celle d’une bête blessée à mort :  - AAAAH, AAAAH, OUIIII ! Je la ceinturai, la maintenai plaquée contre moi, mon bras enserrant son ventre chaud et moelleux. Je n’aurais jamais cru qu’elle était une aussi bonne baiseuse.  Je n’avais toujours pas joui et mon érection était presque douloureuse.  Je la lâchai et l’aidai à à descendre de la chaise. Elle était toute chancelante. Mais elle retrouva vite ses esprits. Elle prit ses vêtements et se rhabilla lentement. Elle était toute rouge et comme ivre (alors qu’elle n’avait bu aucune goutte d’alcool), elle gardait les yeux baissés.   (À suivre)
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