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Oh! Quelle histoire

Chapitre 1

Trash
A 44 ans, un événement important est survenu dans ma vie, pour essayer de comprendre, l’exorciser, les jours suivants, j’ai écrit dans ce qui deviendra naturellement un journal intime. Comme la mémoire n’est pas toujours fiable, je peux ainsi aujourd’hui vous écrire une tranche de vie, de ma vie.Cet événement aurait pu être "anodin" et n’être qu’un événement isolé parmi tant d’autres dans la vie d’un couple.Jacques, mon mari, 48 ans, me disait que j’étais une épouse agréable. C’était pour moi un mari attentionné. Nous nous aimons. Cependant, un samedi après-midi ,alors que ma fille ainée Fleur, qui venait d’entrer à l’université, et son frère Robert en dernière année de lycée, étaient à leurs activités favorites, Jacques et moi avions une dispute au sujet de je ne sais quoi. J’ai oublié, je ne l’ai pas noté, mais ce n’était pas le plus important. Le ton est monté, nous employions des mots inhabituels et tout d’un coup, je reçus une gifle magistrale, je suis restée stupéfaite, ma joue me faisait mal. Je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qui se passait quand je reçus une deuxième gifle, j’allais me rebiffer, mais il ne m’a pas laissé le temps, il m’a attrapée à bras le corps et m’a mise sur ses genoux et m’a donné une fessée mémorable. Jacques ne m’avait jamais battue auparavant. Il cessa de me fesser, me mit debout et me dit : « Ton pantalon me fait mal aux mains Muriel, c’est mon nom, baisse-le », puis« Baisse aussi ta culotte.» J’allais répliquer, mais un geste de Jacques m’en dissuada et j’obéis. Il me remit sur ses genoux et la fessée reprit de plus belle. Je devais avoir les fesses rouges, elles brûlaient, mais en même temps mon sexe s’humidifiait, une vraie fontaine, j’espérais que Jacques ne s’en rende pas compte. Je faisais tout pour ne pas gémir, pour ne pas pleurer. Il cessa et caressa mes fesses tranquillement, les écartant, il se rendit compte que je mouillais. Il me mit un doigt dans la chatte puis me leva, m’amena au bord de la table où je dus me pencher sur mes avant-bras, écarta mes jambes et introduisit son sexe dans le mien facilement, tellement que c’était mouillé et me pilonna avec vigueur, cela ressemblait à un viol.
Le plaisir est venu très vite, mon sexe s’est contracté sur la verge de Jacques qui s’en est rendu compte, il a arrêté de bouger en se positionnant au fond de mon sexe. Quand les contractions de ma jouissance se sont arrêtées, il est sorti et m’a fessée à nouveau, la peau me brulait. Il a repris son viol, très rapide, brutal, son bas-ventre cognait contre mes fesses à chaque fois et donnait l’impression d’une autre forme de fessée. L’orgasme n’a pas tardé à venir, il a accéléré et s’est vidé en moi. Il a marqué une pause, le temps que toute sa semence soit en moi. Cela faisait un moment que je n’avais pas autant joui.Jacques a quitté le salon où nous étions sans dire un mot. Quel était son état d’esprit ?Pour ma part, je suis restée un certain temps penchée sur la table, j’étais sonnée, je ne comprenais pas, que s’était-il passé ? Les idées se bousculaient dans ma tête, je ne voulais pas m’avouer à moi-même la vérité. Je me suis rappelé ma réaction physique après la première gifle, je me suis mise à mouiller et cela a continué avec la fessée. Y prendrais-je du plaisir ? Je suis allée dans la salle de bain, où j’ai lavé mes parties intimes et regardé mon arrière-train, il était de belle couleur. Le reste de l’après-midi, nous nous sommes évités et concours de circonstances, les enfants sont passés en coup de vent, ils avaient chacun une soirée avec des amis. Nous nous sommes alors retrouvés face à face. Nous avons très peu parlé pendant le repas, seuls des "passe-moi le sel" ou "passe-moi le pain". Nous n’avons pas évoqué la raclée que j’avais prise cet après-midi. Mais à la fin du repas, Jacques m’a dit d’une voix qui ne tolérait pas de réplique :« Muriel !......Tu feras la vaisselle plus tard, monte dans la chambre, déshabille-toi complètement et attends-moi, je veux te trouver nue quand j’arriverai. »Plus tard, j’ai compris que c’était un coup de poker de sa part, c’est à ce moment que tout s’est joué, si je m’étais rebiffée, si j’avais dit « non », rien de ce que je vais raconter ne serait arrivé. J’ai voulu répliquer, je le regardais droit dans les yeux, il a levé la main droite face à moi et d’une voix froide, autoritaire « On ne discute pas, tu ne dis rien, tu fais ce que je t’ai demandé, je ne veux pas t’entendre ! » J’ai tenu quelques petites secondes puis j’ai baissé la tête et je suis montée.Comme il me l’a demandé, je suis allée dans la chambre, je me suis déshabillée et j’ai attendu face à la porte, je tentais de cacher ma poitrine avec un bras et mon sexe avec une main, comme dans le tableau "La naissance de Vénus". Il n’a pas tardé à arriver, s’est approché de moi, sans parler, il m’a pris les mains, les a mises sur la tête, il a trituré, malaxé les seins puis est passé derrière moi, en a fait autant de mes fesses puis il s’est assis sur le bord du lit, a tapoté ses cuisses, j’ai compris, je me suis mise en travers de ses genoux et m’a donné la deuxième fessée de la journée et de notre vie commune, mais si les coups étaient aussi forts que l’après-midi, il marquait des pauses pendant lesquelles il écartait mes fesses et me mettait un doigt dans le vagin, il vérifiait l’humidité. Alors que le matin, il était sous le coup de la colère, ce soir, il était calme. Moi pendant ce temps, je mettais un point d’honneur à ne pas dire un mot, à n’émettre aucun son. Pendant toute la fessée, nous étions silencieux, on n’entendait que les claques sur les fesses. Quand Jacques a été satisfait, il m’a fait lécher son doigt, m’a mise à quatre pattes et m’a prise en levrette, il me donnait des coups de boutoir, j’étais ballotée et j’ai joui à nouveau quand il s’est déversé en moi. Quand il eut fini, il m’a présenté son sexe à nettoyer, je l’ai léché, mis dans ma bouche, après ce nettoyage, je me suis levée et il m’a prise dans ses bras :« Tu vas descendre faire la vaisselle toute nue, si ça coule de trop entre tes cuisses, tu essuies avec tes doigts et tu laves tes doigts avec ta langue et ta bouche. Je t’accompagne et après la vaisselle, nous parlerons. »J’ai obéi, j’étais gênée toute nue, mes joues étaient peut-être aussi rouges que mes fesses, mais à chaque fois que je léchais le sperme sur mes doigts, j’avais du plaisir, était-ce parce que j’obéissais, était-ce parce que j’étais humiliée ?Jacques m’a regardée faire puis il est allé s’asseoir dans un fauteuil dans le salon. Quand j’ai eu fini, j’ai mis deux doigts dans mon sexe pour finir de le nettoyer, dans ma tête, c’était une forme de bravade, j’ai léché mes doigts et je l’ai rejoint au salon.« Mets-toi devant moi...A genoux, ...Cuisses écartées ... Un peu plus
...Mains ouvertes sur les genoux, la paume vers le ciel...Tête baissée.»Je n’avais pas prononcé un mot depuis le repas, j’ai obéi servilement, il a continué.« J’avais lu que ça existait que l’on pouvait aimer la douleur, je ne savais pas que c’est ton cas et que tu peux être très obéissante, je viens de le comprendre. Désormais, tu te mettras dans cette position de soumise quand je te demanderai de m’attendre. »Dans ma tête se bousculaient des sentiments contradictoires, la révolte, l’obéissance. Mes tétons se dressaient, fiers, sur ma poitrine, une douce chaleur me prenait tout le bas-ventre. J’étais calme, sereine. Je suis veule. J’ai compris à ce moment-là ce que je ne voulais pas m’avouer après les fessées : je suis maso, j’aime la fessée...
Nous sommes restés là sans parler pendant quelques minutes, je ne bougeais pas, Jacques reprit la parole.« Nous allons définir les règles de notre nouvelle vie, désormais tu m’es soumise, ton corps m’appartient. Tu ne mettras plus de pantalon à la maison, jupe ou robe, et dessous ni culotte ni collant, tu auras droit aux bas autofixants ou tenus par des jarretelles et porte-jarretelles. Dehors, au travail, tu pourras mettre des culottes, des pantalons, pour l’instant, mais pas de collant.Tu seras nue quand nous serons seuls ou quand tu seras seule !Ta soumission ne devra pas être visible des enfants et des amis, aussi nous ne changerons rien à nos habitudes quand nous ne serons pas seuls. Tu seras tenue de m’obéir quand nous serons tous les deux ou avec des amis pour une soirée échangiste. Compris ?»« Oui »Il me saisit un téton et le tordit, me faisant mal : « Oui qui ? Oui ??? Oui Maître ! »« Oui Maître »« Bien, j’aime mieux ça, quand nous serons seuls, ce sera Maître ou Monsieur, et tu me vouvoieras, dans les autres circonstances, tu m’appelleras Jacques et tu me tutoieras. Compris ? »« Oui Maître »« Si tu as des remarques ou objections, c’est le moment de le dire, tu considèreras que ce que nous décidons en ce moment est une espèce de contrat moral. »Après un temps de réflexion :« D’accord Maître, nous définissons les règles du jeu....Vous me dites que mon corps vous appartient, mais je ne voudrais pas de piercings, de tatouages, de scarifications, en un mot, je voudrais garder l’intégrité de mon corps »« Accordé »« Je ne voudrais pas de sodomie »« La sodomie n’est pas négociable, tu ne m’as jamais permis de t’enculer, ce sera pour bientôt, toutefois je préparerai ton petit cul pour ne pas te faire trop mal » « Je ne vois pas d’autres restrictions, mais je demande un délai de réflexion jusqu’à demain, la nuit porte conseil »« D’accord, monte dans la chambre et attends-moi, je vais passer commande de quelques objets. »« Merci Maître »Il s’est mis devant l’ordinateur, je suis montée dans la chambre et j’ai pris la position d’attente au pied du lit, j’étais devenue sa soumise, comment cela s’est-il passé, je n’ai rien vu venir. Jacques est arrivé quelques minutes plus tard, il s’est déshabillé, il avait une belle érection, il m’a pris la tête par les cheveux, « Ouvre la bouche », il m’a fait l’amour dans la bouche avec brutalité, il m’a violé la bouche, il allait profond comme jamais il ne l’avait fait auparavant, c’était difficile, j’étais contente quand il a éjaculé, j’ai avalé avec plaisir, c’était la fin du viol. « Tu recevras dans deux ou trois jours un colis, tu ne l’ouvriras pas, tu le mettras dans la chambre, nous l’ouvrirons ensemble le soir »Jacques avait besoin de se reposer, nous nous sommes couchés nus, enlacés, comme lors de notre nuit de noces. C’était un nouveau départ.
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