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Oh! Quelle histoire

Chapitre 2

Trash
Au réveil, nous nous sommes embrassés tendrement, Jacques m’a susurré à l’oreille.
— La préparation commence aujourd’hui.
Je me demandais ce qu’il voulait me dire, mais j’ai vite compris, il m’a m’allongée à plat ventre sur le lit, a caressé mes fesses, les a écartées et il a glissé un doigt dans mon anus, l’a enlevé, il a pris de la vaseline, c’était plus facile pour faire aller et venir le doigt dans mon cul. Au bout de quelques allers-retours, il m’a donné une petite tape sur les fesses.
— Allons debout, au p’tit déj’. — Auparavant, j’ai réfléchi pendant la nuit, je ne veux pas être prostituée, ni dans la rue ni à la maison. Je n’accepterai pas d’être vendue. Je n’accepterai d’être prêtée à d’autres hommes que s’ils sont accompagnés de leur femme, je ne veux pas être considérée comme une marchandise.— Accord de principe, nous aviserons en temps et en heure, pour l’instant, je te veux pour moi seul.
Nous sommes descendus, après avoir mis chemise de nuit et robe de chambre, les enfants nous ont rejoints dans la cuisine, nous avons pris notre petit-déjeuner en famille, c’était bon. Je suis ensuite remontée pour m’habiller, j’ai trouvé dans mon armoire des bas et un porte-jarretelles, mais j’ai fait le constat qu’il allait falloir en acheter d’autres, car ce sera ma tenue de tous les jours. Après m’être habillée, je suis redescendue à la cuisine pour vaquer à mes occupations habituelles du dimanche matin. Jacques est venu me rejoindre peu après, il a contrôlé ma tenue et en a profité pour glisser un doigt dans ma fente.
— C’est bien, m’a-t-il dit, et aujourd’hui, c’est dimanche, tu resteras toute la journée comme cela.
Comme nous étions seuls dans la cuisine, j’ai répondu, pas trop fort :
— Oui Maître.
Il m’a fait une petite bise dans le cou.La matinée et le repas dominical se sont déroulés comme d’habitude, à la fin du repas, Jacques a annoncé :
— Exceptionnellement, comme il fait beau, je vous propose une promenade le long de la rivière.
Pensait-il que les enfants n’allaient pas nous accompagner, dans ce cas-là, il a eu tort, ils avaient besoin d’un dimanche calme. Il a eu raison pour la promenade, nous étions accompagnés d’un petit vent qui passait sous ma robe, il rafraîchissait ma chatte nue. J’avais peur que le vent ne soulève complètement ma robe, j’avais l’impression que tout le monde me regardait et savait. Pour une première sortie cul nu, ce fut étrange, depuis, je me suis habituée.

Le soir, Jacques n’a rien demandé, nous nous sommes couchés sagement en tenue de nuit. Au réveil, il a rejoué avec mon petit trou pour m’habituer. Puis j’ai dû le sucer et avaler. Je suis partie au travail comme si rien ne s’était passé ce week-end. Les gens autour de moi ne pouvaient pas se rendre compte qu’il y avait eu un changement. Au travail, ma cheffe, nous sommes toutes les deux dans le même bureau, est une très bonne amie dont je suis amoureuse, mais je n’ose l’avouer, je ne suis pas lesbienne, c’est aussi une confidente, nous sommes très proches, elle connaît tout de moi et ne se doute de rien. Je n’ai pas envie de la mettre au courant. Le lendemain, ce fut pareil, excepté que j’avais un colis qui m’attendait à la maison. Je l’ai monté dans la chambre et j’ai informé Jacques à son arrivée. En fin de soirée, il m’a dit :
— Tu peux monter dans la chambre, attends-moi, j’arrive.
Cette phrase sibylline, Jacques l’emploiera souvent quand les enfants seront là. Dans ce cas, il n’y a pas d’ambiguïté pour moi, je sais ce que je dois faire, monter dans notre chambre, me déshabiller, me mettre en position d’attente au pied du lit face à la porte, ce soir, j’ai posé le colis devant moi. L’attente m’a paru longue, mais je n’ai pas bougé, mon Maître est arrivé, a pris le colis et l’a ouvert. Il en a sorti un collier de soumission qu’il m’a mis autour du cou :
— Ce sera ton seul vêtement quand nous serons seuls.
Il y a attaché une laisse qui pendait entre mes seins. Il a pris ensuite des pinces à sein en forme de papillons, il les a fixées sur mes tétons, ce n’était pas trop douloureux. Il a attrapé la laisse et m’a fait marcher à quatre pattes, un tour complet autour de lui, puis m’a demandé de monter sur le lit, j’ai grimpé, j’ai gardé la position à quatre pattes, écarté les genoux, il devait avoir une excellente vue de mon sexe et de mon anus.
— Pose la tête sur le lit, garde tes cuisses à la verticale, avec tes deux mains, écarte tes fesses, ne bouge pas.
Il a alors pris une photo de mon cul. Il est retourné au colis, en a sorti un tube de lubrifiant avec lequel il m’a caressé l’anus, et introduit un doigt. Quand il a estimé que cela suffisait, il a sorti du colis un plug anal, il y en avait trois de tailles différentes, il m’a expliqué que j’allais à partir de maintenant porter le plus petit, il décidera du moment où il devra changer de taille. Il m’a enfoncé le plug dans mon fondement et prit à nouveau une photo. Il a sorti puis remis le plug trois ou quatre fois, ce n’était pas trop dur, puis il m’a demandé de poser mes mains sur le lit à côté de ma tête. Il a pris une troisième photo. Il est retourné au colis prendre cette fois un martinet de cuir doux, il a commencé alors à me tanner la peau des fesses, au début doucement, juste pour chauffer la peau, puis de plus en plus fort, je devais avoir les fesses rouges. Il s’est arrêté, m’a demandé de ne pas bouger, s’est déshabillé et est revenu derrière moi.
Il m’a enlevé les pinces à sein, ce fût douloureux avec la reprise de circulation du sang, il m’a pénétrée, et violemment tout en massant mes seins, avec des allers-retours sauvages m’a fait jouir. Je me suis écroulée sur le lit.
— C’est bien ma soumise, on reverra ça demain matin, je t’enlève le plug anal pour dormir, car c’est la première fois, demain tu rangeras les sex-toys avant de partir au travail.
Le lendemain matin, il m’a remis le plug anal, et il a complété avec des boules de geisha dans ma chatte.
— Tu garderas ces deux bijoux ce matin, mets ta chemise de nuit et une robe de chambre et vas faire le petit-déjeuner.
Quand j’ai commencé à marcher, la sensation était bizarre, les boules de geisha me massaient le vagin, et le plug anal l’anus. J’ai fait le petit-déjeuner que nous avons pris avec les enfants et j’essayais de ne rien laisser paraître, puis je suis remontée pour me préparer, j’ai mis un pantalon. Je suis allée au travail, à chaque mouvement, je sentais mes deux locataires qui bougeaient en moi.
Au bureau, j’essayais de rester le plus longtemps assise sans bouger, mais j’étais bien obligée de me lever de temps en temps, et à chaque fois, la même sensation qui me donnait envie de sexe. Un moment, ce fut si fort que je suis allée aux toilettes et je me suis masturbée pour faire passer l’envie. Peine perdue, peu de temps après, j’avais de nouveau envie. Je devenais nymphomane. Ma cheffe s’aperçut que quelque chose n’allait pas, elle m’a demandé si j’étais souffrante, elle me regardait d’un drôle d’air, je lui ai répondu que tout allait bien. Midi est arrivé, ouf, j’ai pu enlever mes deux objets, mon Maître avait parlé de les garder le matin.
De retour à la maison le soir, quand je me suis changée, j’ai hésité entre remettre ces deux objets ou attendre mon Maître. J’ai eu raison d’attendre, il s’est fait un plaisir de me les remettre. Je lui ai dit que je m’étais masturbée le matin, que je pensais trop à mon sexe, que ça avait des répercussions sur mon travail. Il m’a assuré que désormais, je ne mettrais les boules de geisha que le soir et le week-end.
Le soir au moment d’aller me coucher, j’étais en manque de sexe, je voulais qu’il me viole, il l’a fait avec brio.
Jusqu’à la fin de la semaine, nous avons continué comme cela, au bureau, ma cheffe me regardait quelquefois d’un air interrogateur, mais je n’allais pas lui parler de ça.
Le week-end est arrivé, le samedi matin, mon Maître a mis deux doigts dans l’anus pour tester puis les a remplacés par le plug anal de taille moyenne, il est rentré sans problème, Jacques m’a dit.
— Je pense qu’après une semaine avec celui-là, tu passeras à la casserole.
Les enfants sont partis à leurs occupations l’après-midi, alors Jacques m’a envoyé l’attendre dans notre chambre. Je me suis déshabillée et j’ai mis le collier de soumission. J’ai attendu. Mon Maître est venu après quelques minutes :
— Allonge-toi sur le ventre sur le lit.
Avec le martinet, il m’a fouetté les fesses, le dos, les cuisses, je mouillais, quand il m’a pénétrée, c’était un soulagement.
— Défense d’aller dans la salle de bain, tu t’essuieras avec les doigts comme l’autre jour.
Je suis retournée faire le ménage, nue avec mon collier. Je me suis habillée une dizaine de minutes avant l’arrivée des enfants. Il faudra que je prenne mes précautions pour ne pas être surprise, au moins prévoir une blouse longue que je pourrais enfiler pour les cas où quelqu’un entrerait dans la maison. J’ai demandé à mon Maître comment je devais faire, mais il m’a dit qu’il réfléchirait, autant dire que je n’aurai jamais la réponse.
Pendant tout ce temps, les boules de geisha me chauffaient le ventre, j’ai demandé à mon Maître de me faire jouir, mais il m’a dit de me retenir, ça n’en sera que meilleur le soir. Quand on s’est couché, j’étais en position d’attente avec envie de me toucher, mon Maître est arrivé, m’a ordonné de m’allonger sur le lit et de me caresser, je ne l’avais jamais fait devant lui, j’ai hésité, il est allé chercher le martinet, mais n’a pas eu à s’en servir, j’ai commencé doucement sur le clitoris et n’y tenant plus, j’ai mis deux doigts dans ma chatte et je me suis branlée avec force. Après ma jouissance, Jacques s’est agenouillé entre mes cuisses et a lapé ma cyprine.
Pendant toute la semaine, jusqu’au samedi suivant, j’avais le plug anal, toute la journée, je m’y suis habituée, je me déplaçais naturellement en ville et au bureau. Le samedi matin, mon Maître m’a annoncé que le soir, je passerai à la casserole. Vers 5 heures de l’après-midi, il m’a mis les boules de geisha, et le soir, il m’a envoyé dans notre chambre assez tôt, j’ai mis le collier de soumission, il m’a fait attendre longtemps, je ne bougeais pas. Quand il est arrivé, il m’a mis les pinces à sein, des bracelets de cuir avec anneau aux poignets et aux chevilles.
— Allonge-toi sur le ventre.
Il m’a mis des coussins sous le bassin pour surélever mes fesses, attaché une cordelette à chaque anneau des bracelets de poignet, cette cordelette passe sous le lit et est attachée aux anneaux des bracelets des chevilles opposées. Je me retrouve en croix sur le lit, le postérieur bien dégagé. Il caresse mes fesses, enlève les boules de geisha, et commence à me flageller doucement. Il alterne les coups de martinet avec les caresses et contrôle le taux d’humidité de mon sexe. Il frappe de plus en plus fort, je mouille de plus en plus. J’ai envie de lui dans moi.
...Il s’enfonce enfin en moi dans ma chatte, et retire les pinces à sein, la douleur est réelle, il me masse les tétons, il pétrit mes seins, bouge un petit peu dans mon sexe, se retire et présente sa bite sur mon cul, il force le passage, mon anneau s’ouvre, comme si je l’avais toujours fait, la préparation a porté ses fruits. Il s’enfonce complètement et ne bouge plus, je suis pleine de lui. Il sort, se présente à nouveau, pousse et se réinstalle. Il fait cela quatre fois puis il entame des allers-retours dans mon cul, lentement au début et de plus en plus rapide pour finalement éjaculer dans mon ventre.
C’était ma première sodomie, j’aurais dû commencer plus tôt.Il me laisse attachée, se place devant moi pour que je nettoie sa queue, je le fais avec dégout, il s’en rend compte et me punit avec une tapette (paddle) en cuir qu’il avait achetée en même temps que le martinet. C’est plus douloureux et mes fesses doivent être rouges. Il reprend de la vigueur et m’encule à nouveau. Deux fois pour étrenner mon cul ! Il me détache enfin, et me prend dans ses bras, nous nous endormons ainsi. Au réveil, il ne m’attache pas, il prépare mon cul et me sodomise à nouveau. Il a du retard à rattraper.
La vie continue son cours, nous avons fait insonoriser notre chambre, nous alternons les jours calmes et les jours un peu moins calmes, je suis d’une obéissance indéfectible, il a même ajouté des jeux avec vibromasseur, gode et œuf vibrant. Avec ce dernier, il s’amuse à le faire marcher pendant les repas, je ne sais pas quelle contenance adopter. C’est peut-être l’œuf vibrant qui a changé la suite de notre domination / soumission.
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