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Quelle fête pour ma retraite !

Chapitre 1

Le cadeau surprise

Avec plusieurs femmes
On sonnait la retraite. Ou plutôt c’était l’heure de ma retraite qui avait sonné. Je n’étais qu’un modeste employé dans une administration, et je travaillais dans ce service depuis plus de vingt ans. J’avais juste atteint l’âge légal et j’aurais pu faire du rab, mais n’en avais pas envie. J’avais des projets, et surtout, comme beaucoup de gens vivant en Île de France, celui de partir en province. Ici ça devenait l’enfer. Trop de monde, la circulation croissante, les transports en communbondés et dysfonctionnant chaque jour plus, les villes qui s’agrandissaient sans cesse, on étouffait, ça devenait infernal. Et même si depuis la crise sanitaire du Covid les prix de l’immobilier avaient flambé en province (parce que beaucoup de gens comme moi, sans attendre l’heure de la retraite d’ailleurs, avaient eu la même envie et avaient fait de même) la vie y restait moins chère que dans nos mégalopoles surpeuplées et grises ; ça n’était donc pas difficile de dénicher un coin où il faisait meilleur vivre. Et puis, franchement, je n’avais plus trop de raison de rester vivre là où je vivais : ma famille (peu nombreuse) vivait en province, mes enfants aussi, et puis cela faisait maintenant sept ans que j’étais veuf. Alors autant profiter de cette liberté, certes pas toujours marrante, mais qui s’avérait à ce stade de ma vie un avantage. 
Question boulot, même si les choses avaient changé petit à petit, je n’avais pas à me plaindre. Bien entendu il y avait beaucoup plus de turnover qu’avant et les collègues (en majorité des femmes d’ailleurs) était quasiment tous là depuis moins de cinq ans. Mais l’ambiance était bonne, et s’il y avait bien une seule chose que j’allais regretter c’était cet entourage professionnel. À part quelques grincheux, quels êtres asociaux, la plupart des collègues étaient sympathiques et de joyeuse humeur. 
Comme j’étais cadre et avec des bons états de service la grande direction organisa pour moi un pot de départ en grande pompe. Ça n’était pas vraiment ce que j’avais rêvé car ça s’avéra, comme je le redoutais, un peu trop guindé, trop cérémonieux, trop coincé. Il y avait beaucoup de cadres (dont certains que je ne connaissais quasiment pas) et les employées, les secrétaires, ne se mélangèrent pas trop à ces coincés intellos et obséquieux, certains très arrivistes. Et c’était surtout avec les secrétaires que je m’entendais le mieux. Elles me trouvaient cool parce que j’étais détendu au taf, les mettais à l’aise, on bossait dans une ambiance sans chichi ; on se tutoyait, on rigolait, blaguait, sans se prendre la tête ni formalités. Moi je savais qu’elles bossaient, et je n’avais rien à leur demander de plus, puisque le boulot était fait. 
J’eus donc droit au début du pot à plusieurs discours très formels, très officiels de la part de mes chefs. Certes ils me remercièrent, me félicitèrent, et ça n’avait rien de vraiment hypocrite, mais ça donnait à ce pot de départ une ambiance sans chaleur, sans aucune gaîté. Et « les filles » (c’est à dire les secrétaires) restèrent dans leur coin, entre elles, et ne m’approchèrent quasiment pas, contrairement à nos habitudes (je veux dire par là, contrairement à ce qui se passait quand nous faisions des pots entre nous, fêtes d’anniversaires, galette etc.) Elles n’avaient sans doute pas envie de se mêler aux huiles et demi-huiles qui ne les regardaient même pas. Elles s’éclipsèrent d’ailleurs toutes les unes après les autres avant le reste des invités.J’en fus peiné, contrarié même, j’en gardais sans le montrer un sentiment de tristesse. Si ça se terminait comme ça je sentais que j’allais en garder un goût amer, un petit pincement au cœur, un sentiment de regret.
Bon, il me restait encore trois semaines à bosser (le pot avait en effet été planifié à cette date à cause de l’agenda chargé des « huiles ») et j’allais finir les derniers jours de ma carrière dans une autre ambiance, détendueet sympa comme « as usual », mais c’était dommage.
Le lendemain, Jessica, ma secrétaire depuis plus de quatre ans, me souffla :
— C’était un peu sinistre, le pot hier, hein ?— Oui, ça tu peux le dire…— J’en suis désolée. Et les autres aussi.— Et moi aussi, je peux te dire. J’aurais aimé que ça se passe autrement. Entre nous, déjà. Mais bon, tu sais comment c’est. Ils voulaient me rendre hommage, les chefs, et je ne pensais pas qu’ils seraient si nombreux— Oui, Je sais.Enfin écoute, continua-t-elle, on en a parlé avec les autres et on s’est dit la même chose. Et on a eu tous la même idée. Je ne suis pas censée t’en dire plus, mais ça serait de refaire une petite fête, plus ou moins privée – en tout cas, sans inviter la direction. Je t’en parle quand même parce qu’avant de l’organiser on voulait savoir si tu n’étais pas contre…— Bien entendu que je suis d’accord ! Et je dois te dire que je suis très touché que vous ayez cette intention, franchement.
Elle ne douta pas un instant de la sincérité de mes propos car elle avait perçu de l’émotion dans ma voix. Je savais bien que « les filles » (comme je les appelais) m’aimaient bien mais jamais je n’aurais pensé qu’elles iraient jusqu’à prendre l’initiative d’organiser une nouvelle fête pour moi.
Elle sourit donc en me regardant. Je sais qu’elle m’appréciait. C’était une fille un peu froide mais bosseuse, consciencieuse, et elle m’avait à plusieurs reprises fait comprendre qu’elle appréciait ma bienveillance et ma sollicitude envers elle (quand elle avait dû s’arrêter pour des petits problèmes de santé ou des problèmes familiaux), bien que ma sollicitude n’était motivée que par de la simple humanité, de l’empathie, et aussi de la reconnaissance pour son travail accompli dont elle n’était pas avare (en retour, j’étais plutôt cool quand elle avait eu besoin de petits assouplissements ponctuels sur ses horaires, par exemple, appliquant un donnant-donnant implicite, qui est en général plutôt efficace et bénéfique pour tous quand on a affaire à des gens intelligents et de bonne volonté.)Elle était jolie et elle le savait mais n’en jouait pas. À 38 ans elle avait l’âge d’être ma fille et moi, en général, je ne flashais pas sur les jeunes ; j’étais naturellement et depuis toujours attiré par les femmes plus âgées (ou, du moins, en vieillissant, les femmes de mon âge ou d’au moins cinquante ans) et plutôt en chair, pulpeuses voire plus.Jessica était une belle fille, mince (mais pas maigre), une belle liane bien proportionnée, aux traits fins et aux beaux yeux verts, et si je reconnaissais qu’elle était objectivement jolie, elle n’avait donc ni l’âge ni le physique propre à m’émoustiller.Pour sa part, bien qu’elle fut très discrète dans ses propos, j’avais cru comprendre qu’elle me trouvait sinon bel homme, du moins bien conservé, ou potable pour un homme de mon âge, sans que rien me laisse à penser qu’elle était – ou qu’elle eut été – attirée par des hommes mûrs ou plus vieux qu’elle. Mais après tout, me disais-je, qu’on soit homme ou femme, quand on a « faim » on ne ferait pas le difficile devant un être plus âgé mais « consommable », c’est humain. 
Toujours est-il que plusieurs jours se passèrent avant qu’elle me demande entre deux rendez-vous, avec une voix discrète et un air de mystère, si j’étais disponible la soirée du 22.Je consultai mon agenda perso et lui répondis par l’affirmative. Elle me dit alors que je serais invité à une petite fête donnée en mon honneur, comme prévu, que nous serions en comité restreint, et me demanda de n’en parler à personne (pour ne pas froisser des collègues qui ne seraient pas conviés), qu’elle me dirait peu de temps avant où et à quelle heure ça se déroulerait. Je me sentis honoré de tant d’attentions et lui dis que, bien entendu, je n’en soufflerai mot à personne. Devant tant de mystère, je n’osai bien entendu pas lui demander qui en serait ; c’était un petit cadeau supplémentaire qu’on me faisait la grâce de m’offrir, je n’allais pas me montrer trop curieux, encore moins inquisiteur, et je ne pouvais pas prétendre avoir un regard sur ces détails : elles organisaient une petite fête privée, elles invitaient bien qui elles voulaient. Je dis « elles » car j’avais bien compris que c’était le petit groupe de secrétaires et d’assistantes qui étaient à l’origine de cette initiative qui m’allait droit au cœur. 
Je n’étais pas un sex symbol, n’avais pas le physique d’un vieux playboy, et à soixante ans j’avais perdu le peu de sex appeal que j’avais dans ma jeunesse (cette époque où elles n’étaient encore que des bébés, voire pour la plupart n’étaient même pas nées) ; et pour moi, si elles me trouvaient sympa et cool, j’avais conscience que leur idéal masculin était un mec de leur âge – éventuellement un mâle quadra plus ou moins viril et bien conservé – et pas un papy. Bon, pour avoir discuté franchement avec les plus jeunes, elles me voyaient comme un « daron » (pour citer leur vocabulaire), c’est à dire plutôt comme un homme de la même génération que leur père et pas de leur grand-père ; et pourtant, quand je faisais le compte, pour les plus jeunes, j’aurais bien pu, en étant un peu précoce, être leur grand-père. Je trouvais ça touchant, ça semblait sincère (je dis « semblait » car je doutais qu’elles ne dissent pas ça par gentillesse, comme on fait un compliment à une femme mûre et vieillissante en lui disant qu’elle n’a rien à envier aux jeunes) mais je ne me faisais pas trop d’illusions : si elles avaient vu ma gueule le matin après une nuit d’insomnie elles se se seraient dit que j’étais plus près du troisième âge que du mâle reproducteur rassurant sur lequel elles devaient fantasmer.
Finalement, Jessica me communiqua le 20 l’adresse où la fête allait se dérouler et à quelle heure. Je ne posai aucune question et le soir du 22 à 19 heures 30 (soit une demi-heure après l’heure du rendez-vous - ça leur laissait un peu plus de temps pour les derniers préparatifs) je me pointai à l’endroit indiqué, un petit immeuble d’un coin tranquille de proche banlieue, et je me demandai en arrivant devant la porte de l’appartement laquelle y habitait. Je sonnai et je fus accueilli par Jessica, très maquillée, de telle sorte que la clarté et la beauté de ses yeux en étaient presque troublantes. « Tout ça pour moi, me dis-je ».
J’étais bien entendu très attendu et le dernier arrivé. Je ne comptai pas mais il y avait là une bonne douzaine de collègues de mon service, en majorité des secrétaires et des assistantes. C’étaient bien entendu toutes des femmes, celles que je savais qui m’appréciaient et qui étaient toutes bien plus jeunes que moi (la plus jeune ayant 25 ans, la plus vieille 38 ans.)Je fus étonné également qu’aucune ne soit accompagnée de son conjoint : elles avaient toutes laissé chez elles compagnon et enfants. C’était étonnant, et en même temps j’en éprouvais comme un honneur, comme si elles avaient voulu que rien ne brise un semblant d’intimité entre elles et moi.
La soirée commença gaiement, rien à voir avec le pot officiel de départ en retraite. Elles n’avaient invité aucun chef, et rapidement, le champagne aidant, on put vite blaguer et rigoler, les conneries fusaient. Quel défouloir ! J’adorais cette ambiance où chacun y va de sa vanne, peut moquer l’organisation, la direction, critiquer sans risquer de se faire choper à dire des propos outranciers. Et on put passer en revue « nos souvenirs d’anciens combattants », souvenirs de moins de quatre ans (car, comme je l’ai dit, toutes ces filles avaient peu d’ancienneté), se remémorer des scènes pas possibles et des psychodrames, brocarder des gens grincheux ou excentriques, voire bizarres ou inquiétants, qui n’étaient heureusement pas restés plus de deux ou trois mois.
Bien entendu, je ne m’attendais pas à un cadeau, étant donné que la quête avait été faite avant le pot officiel et que mes présents m’avaient été remis lors de celle-ci.Par contre je me demandais – car je ne le savais toujours pas - à qui appartenait cet appartement chez qui nous étions. Comme je suis discret je ne posai aucune question. 
Je vis au cours de la soirée certaines collègues s’en aller, qui ne souhaitaient pas rentrer trop tard pour retrouver leur petite famille. Il ne resta finalement qu’un petit cercle de filles, et c’étaient, j’en suis sûr, celles qui m’appréciaient le plus. Tout allait pour le mieux, donc. Si mes souvenirs sont bons (l’alcool – que j’avais cependant consommé avec modération – et la rigolade m’avaient un peu grisé, et je ne me souciais plus de rien) il n’y avait plus que Jessica, ma secrétaire, Aurore (la plus jeune des secrétaires encore présentes, 26 ans), Vilma (32 ans), Samia (37 ans), Ophélie (32 ans), et si je me souviens bien : Marie-Charlotte (35 ans) et Louise (30ans), mais il me semble que ces deux-là s’éclipsèrent ensuite, avant ce qui suivit, ou pendant. 
Vilma était particulièrement gaie et ne retenait pas son rire cristallin. Ici je dois avouer que j’avais travaillé plusieurs fois avec elle, parfois sur une antenne excentrée où nous n’étions que tous les deux la plupart de la journée, hormis lors du passage de quelques usagers. Cette fille d’origine portugaise avait des formes plus que généreuses et n’avait aucun complexe. Pour parler sans détour c’était une petite grosse, ronde de partout. Elle avait donc un physique plus en adéquation avec mes goûts. Et c’était un ravissement pour mes yeux de mater le plus discrètement possible son impressionnant fessier (évalué par moi à une taille 58 ou 60), ses gros roploplos globuleux (E ou F ?), et ses grosses cuisses. Car elle n’hésitait pas à mettre des minijupes, malgré les propos acides ou moqueurs que j’avais pu parfois entendre derrière son dos - de la bouche de vieilles rombières, jalouses sans doute de sa jeunesse, à défaut de sa sa silhouette. Ce soir-là, d’ailleurs, elle portait une jupe en cuir assez courte (s’arrêtant à vingt centimètres du haut de ses genoux) et des cuissardes en daim noir qui, si elles cachaient ses grosses jambes, laissaient bien apercevoir le bas de ses cuisses, gainées de nylon gris foncé. 
Quand on est un homme on croit toujours qu’on mate discrètement. Or on est un peu trop naïf. Car on finit par se faire prendre ; car à trop baisser les yeux, même furtivement, ce mouvement du regard finit toujours par être intercepté par une femme. Or ce soir-là je compris que si Vilma savait depuis longtemps quelles étaient mes préférences en matière de corps féminin (l’ayant clairement encouragée depuis le début, quand elle en parlait, à persévérer dans son absence de tout complexe), elle avait forcément un jour surpris mon regard descendant sur son fessier au volume étonnant (un gros ballon de basket, voire deux, collés l’un contre l’autre), quand elle marchait devant moi dans un couloir. Les femmes ont des yeux derrière la tête, c’est la seule conclusion possible. 

Je dois faire une parenthèse ici : j’avoue que je n’avais pas toujours été discret dans ma vie d’homme. Mais j’avais fini par prendre conscience que j’avais parfois été trop loin. Étant plus jeune, j’adoptais plus ou moins un point de vue un peu machiste, me disant : « pourquoi me gêner ? Si des femmes se mettent en mini-jupe ras-le-bonbon c’est un peu pour se faire mater, c’est qu’elles sont plus ou moins exhib, se l’avouant ou pas. » En vieillissant et connaissant mieux les femmes, j’avais compris, en discutant aussi avec elles, que si certaines s’habillent très court ou très décolletée c’est parce qu’elles estiment qu’elles n’ont rien à cacher et n’ont pas à se cacher, on n’est pas chez les Talibans. Et surtout, en premier lieu, les femmes cherchent d’abord à se plaire à elles, avant de plaire aux hommes (ou aux femmes), c’est bon pour leur moral et l’estime de soi. 
J’avoue qu’avant d’en arriver à ce stade de raison et de repentance j’avais joué un jour à un petit jeu malsain ; j’avais fait un petit test dont je ne suis pas fier aujourd’hui.Il y avait dans mon service une secrétaire qui avait deux ou trois ans de plus que moi. À l’époque j’avais quarante-six ans, vous n’avez qu’à calculer. C’était une fille pas très jolie (disons qu’elle avait un visage très quelconque, sans grâce, pas moche non plus) mais qui avait de très belles jambes, et elle le savait. Et je pense qu’elle avait décidé que c’était son atout physique et qu’elle n’avait donc pas raison de le cacher. Elle avait un bassin assez large (une taille 46-48 je dirais) qui ressortait bien sur sa taille. Fabienne (puisque c’est son prénom) avait une corpulence moyenne, pas mince, mais un peu pulpeuse, et elle s’habillait toujours en jupe, portant des jupes toujours très courtes et évasées (montrant au moins vingt centimètres de ses cuisses, qui, il est vrai, étaient vraiment bien faites et fort belles), ce qui faisait dire à des collègues à elles plus jeunes, moqueuses (et peut-être jalouses, si ce n’est de son corps, du moins de son audace) qu’elle ressemblait à un sapin de Noël. Rajoutez à cela qu’elle ne portait que des escarpins à talons, classiques certes, mais des belles chaussures très féminines. Tout ceci, pour moi, lui donnait un charme un peu rétro ou désuet, mais une certaine grâce féminine, et j’avais beaucoup de plaisir à regarder ses jambes et ses belles cuisses, qu’hélas, elle revêtait de collants couleur chair (elle aurait pu faire des efforts de ce côté-là, mais cette couleur devait faire partie de ses goûts un peu passés de mode. Elle se plaisait à elle, c’est ce qu’il faut sans doute en conclure.)Un jour que nous étions en pause dans la cuisine, elle était assise à la table avec ses collègues, en bout de banc. Vu le manque de place et l’inconfort du banc elle se tenait de travers, les jambes en biais. Moi qui prenais mon café debout, près à repartir dans mon bureau, j’avais un belle vue plongeante sur ses cuisses, légèrement entrouvertes. Alors je me mis à me déplacer imperceptiblement tout en parlant et écoutant la conversation et buvant mon jus, pour me placer bien en face du compas de ses jambes, espérant tout à fait inutilement apercevoir le plus haut possible de ses cuisses, voire sa culotte. C’est là que je compris que les femmes voient notre regard même quand il est discret (même si je ne suis pas sûr aujourd’hui qu’il était si discret – j’étais presque dans la provocation) : elle se déplaça pour soustraire l’axe de ses cuisses à mon regard. Alors, l’air de rien (mais mon petit jeu ne dût pas lui échapper) je me décalai d’un pas pour me remettre dans le bon axe. Immédiatement, elle changea encore de position. Je me décalai à nouveau. Et rebelote. Je répétai cette manœuvre perverse au moins trois fois, au risque de passer pour un vrai voyeur (que j’étais, ou du moins tout à fait assumé avec elle.) Puis je laissai tomber. Je ne sus jamais si elle avait pris totalement conscience de mon jeu (plus ou moins discret) ou si elle avait agi par pur réflexe en ayant à demi-conscience qu’elle m’offrait une vue trop plongeante, que sa pudeur instinctive me soustrayait automatiquement. En tout cas, je sais qu’elle ne m’en voulut manifestement pas puisque le jour où je changeai d’établissement je l’invitai (par mail, car elle, avait quitté mon service deux bonnes années avant) à mon pot de départ. Elle m’appela pour me dire que malheureusement, ayant une réunion de délégués du personnel, elle ne pourrait être là mais me remercia chaleureusement de l’avoir invitée, regrettant de ne pouvoir être présente, et m’affirma qu’elle était très touchée que j’ai pensé à elle, qui avait quitté mon établissement depuis tant de mois.Je ne sus trop quoi en penser, néanmoins qu’elle ne gardait pas un mauvais souvenir de moi et que si elle s’en souvenait, ne m’en voulait pas en tout cas de mon regard voyeur sur ses cuisses. Je n’irai pas jusqu’à dire, que peut-être, elle gardait un bon souvenir d’un homme parce qu’il appréciait ses cuisses. J’espère que je valais plus que ça à ses yeux.

Pour en revenir à ma soirée, l’ambiance était de plus en plus survoltée, les yeux brillaient, les voix explosaient en exclamations et rires sonores non retenus, les filles étaient surexcitées comme des gosses qu’on a laissés seuls en leur donnant quartier libre, d’autant qu’elles se retrouvaient désormais entre elles, c’est à dire en un petit cercle constitué, je le savais, de copines qui étaient très proches. Et avec moi. Mais elles avaient l’habitude que j’assiste parfois à leurs « délires », leurs manifestations de leur joie excessive et bruyante sans que je ne leur dise un mot de reproche : j’avais l’habitude les regarder en souriant, passivement mais avec bienveillance.Leur joie atteignait son paroxysme, totalement désinhibé. Moi, naïf, pensais à ce moment-là que c’était lié à la joie d’être entre elles et à leur sensation de liberté complètement débridée. Et j’avoue que je fus plutôt étonné quand, après avoir surpris des regards furtifs mais entendus entre elles, Jessica m’annonça :
— Bon, mais c’est pas le tout : on t’a réservé une surprise !— Une surprise ? Mais j’ai déjà été comblé et couvert de cadeaux de la part de tous, y compris de vous, lors du pot de départ…— Oui mais là, c’est un cadeau supplémentaire, de notre part, que de nous… et très spécial !
Elles éclatèrent toutes d’un rire bruyant. Je commençai à me demander ce qu’elles avaient manigancé, et affichai un rire sinon inquiet, du moins étonné et interrogateur.
— Fais pas cette tête, cria joyeusement l’une d’entre elles, on va pas te manger, et tu vas voir que tu vas apprécier !— Pour commencer, me dit Jessica, tu vas enlever ta veste. Tu l’as toujours et t’es comme engoncé, là-dedans.— Détends-toi, c’est ta fête— Oui, dis-je, mi-amusé mi-inquiet, en m’exécutant. C’est un jeu ?— Pas vraiment, répondit Jessica, avec un air goguenard. Et même si on te met à l’épreuve ça ne sera pas très difficile, tu vas voir. Allez, assis-toi sur ce fauteuil.
Et elles me firent asseoir sur un large fauteuil en bois et rotin qu’ils placèrent au milieu du séjour.
— Ok, fis-je en suivant l’instruction de bonne grâce. Et après ?— Maintenant on va te bander les yeux.— Ah bon… ?— Mais oui, laisse-toi faire, n’aie pas peur.— Bon, bon, OK.
Et elle me mit sur les yeux et tout autour de la tête une écharpe noire qu’elles placèrent si bien que je ne pouvais rien voir. Même la lumière ne passait plus. J’étais un peu inquiet mais je leur faisais confiance quand même. Elles m’aimaient bien et je n’avais rien à craindre. Ça gloussait bien autour de moi.
— Et maintenant ?— Attends un peu, sois pas si impatient.C’était la voix de Jessica.
— Bon d’accord, j’attends, fis-je en essayant de me détendre
Une demi-minute passa ; j’entendais des bruits comme celui d’une chaise qu’on déplaçait, des murmures, des rires étouffés.
Puis on me dit :
— Penche-toi un peu en avant, et tends tes bras. Oui, comme ça… oui, avance-les encore un peu…
Je m’exécutai, tendis mes mains, lentement… Soudain mes doigts butèrent sur quelque chose de chaud et mou. Par pur réflexe je retirai brusquement mes doigts.
— N’aie pas peur. Touche…
Lentement, j’avançai à nouveau mes mains… Elles rencontrèrent… de la chair molle… que je touchai du bout des doigts.
— Vas-y, touche, palpe, te gène pas !
Des rires, des gloussements tout autour de moi.Je touchai, palpai, commençai à parcourir la masse de chair de mes doigts, arrondie, d’un volume étonnant. Je demandai :
— C’est une devinette ?— Oui et non. Palpe, dis-nous ce que tu en penses, ce que tu ressens…— Hum. Je ne suis pas idiot : c’est un fessier, un gros fessier…
Des éclats de rire joyeux accueillirent ma remarque.
Dans les minutes qui avaient précédé, quand on m’avait bandé les yeux j’avais eu comme un pressentiment, mais je n’y avais pas cru : je m’étais dit « non, ils n’ont quand même pas fait venir une prostituée ? » Je savais bien qu’ils s’imaginaient que depuis mon veuvage je connaissais la solitude et une certaine misère sexuelle, même si le tableau n’était pas aussi sombre car j’avais eu quelques aventures, mais, bien entendu, je ne leur avais rien raconté. Et puis c’était bizarre : je n’avais entendu personne sonner depuis le début de la soirée, personne qu’on aurait pu faire entrer discrètement et cacher. Et puis m’offrir une professionnelle ça aurait été un peu vulgaire, surtout de la part de femmes, et un peu bizarre quand même. Je restai interdit après avoir palpé et reconnu la forme de ce gros fessier, je n’osai pas continuer.
— Vas-y, continuèrent-t-elle, touche, palpe, pelote… et dis nous si tu aimes ça, et comment tu le trouves !
Je jouai donc le jeu, d’abord d’une main qui se voulait professionnelle et inquisitrice, puis, poussé par les filles qui m’encourageaient à aller plus loin, je me mis à palper franchement et à deux mains les masses fessières, palpant, pinçant, caressant toute la surface, dessinant de mes doigts tout le volume de l’imposante mappemonde, tout en me disant : « non, quand-même, ça n’est pas Vilma qui m’offre ainsi son gros cul à palper ? » et encore : « Et si c’est elle, je fais quoi ? Je dis que j’ai deviné et je m’arrête là, ou je continue ? Je vais plus loin ? »Imaginant que c’était bien elle je commençais à m’exciter de la situation. Aussi, puisque je n’étais pas à l’initiative de ce jeu osé, pourquoi me gêner ? Je me mis, tout en caressant les grosses masses, à remonter tout en haut et trouvai sur les reins la preuve de l’identité de sa propriétaire : la jupe en cuir retroussée et roulée. Mais je ne dis rien, et on ne m’interrogea pas. Mes mains descendirent donc, mes pouces s’égarèrent dans le sillon profond, j’entrouvris ces deux globes, effleurai l’anus, puis descendis sur l’émouvant sillon qui sépare les fesses des cuisses, le caressai doucement et sensuellement, descendis encore, palpai de chacune mes deux mains des cuisses très grosses et grasses, tout en me dirigeant plus bas où mes doigts crissèrent sur le nylon de bas auto-fixants (« la salope » pensai-je, « elle a mis exprès des bas et pas des collants, tout ça était bien prémédité ! »), palpai bien méthodiquement les cuisses replètes et rebondies tout en descendant, jusqu’à ce que je rencontre le daim des cuissardes, ne me laissant aucun doute sur la propriétaire.
A ce moment-là je m’attendis à ce qu’on me demande immédiatement si j’avais trouvé à qui était ce postérieur et ces cuisses, mais rien de cela ne vint. Jessica m’avait dit que ça n’était pas une devinette. C’était donc plus qu’un jeu érotique. À cette pensée j’eus un frisson et sentis ma queue se tendre au maximum, et mes pensées salaces atteignirent leur paroxysme.Ma main droite remonta, et entre les cuisses entrouvertes, mes doigts trouvèrent une vulve épanouie, aux lèvres charnues et espacées, et je me mis à caresser les muqueuses qui étaient glissantes de mouille. Je reconnus la voix de Vilma dans son soupir même pas dissimulé, juste devant moi :
— Hummm…— On dirait que tu lui fais du bien, dit la voix de Jessica, empreinte d’un trouble. Alors, et toi, comment tu le trouves ton cadeau ?— Plutôt bien… J’aime. Je vous remercie…— Il te plaît ?— Ça oui, alors ! dis-je avec enthousiasme— Tu aimes les bons gros culs comme celui-là ? On ne s’est pas trompées sur tes goûts…— Ah non, quel cul ! dis-je en le pelotant vicieusement, délaissant quelques instants la vulve, et gratifiant le gros fessier d’une claque retentissante sur chaque demi-lune.Puis je me remis à palper avec force ces grosses chairs molles, bandant comme jamais, attrapant le large cul à deux mains et le serrant comme si j’allais commencer une levrette sauvage. Vilma gémissait, et sa mouille coulait abondamment sur l’intérieur de ses cuisses.
— Il te plaît, mon gros cul, hein, salaud ? prononça-t-elle d’une voix tremblante d’émotion et d’excitation. Tu croyais que je voyais pas tes regards sur mon cul et mes cuisses quand je mettais des jupes moulantes ou mon pantalon en cuir ?… Et mes mini-jupes qui montraient bien mes grosses cuisses ?— Ah tu as vu, ma cochonne ? Et tu t’es pas cachée, hein ? Tu te gênais pas pour te mettre en mini-jupe bien courte ou bien moulée dans ton pantalon...!— Tu penses bien… Je savais que t’appréciais mes formes, j’allais pas bouder mon plaisir… Tu m’aurais bien mis une main au cul, hein ? T’aurais aimer me coincer et me peloter mes grosses fesses, quand on était rien que tous les deux, à l’antenne de N., t’aurais bien aimer me sabrer, hein ?— Oui mais je ne l’ai pas fait… Je n’aurais jamais osé, je suis un gentleman…— Mais oui, je le sais bien… Et qu’est-ce que t’aurais aimé me faire encore… ?— Me branler entre tes gros seins, ma cochonne…— Hummm… Je te fais bien bander, là… ?— Tu parles… je bande comme un âne ! 
J’allais enlever le bandeau qui masquait mes yeux, ivre d’excitation et avide de découvrir son somptueux fessier hors normes et d’en régaler mes yeux mais Jessica m’arrêta :
— Attends un peu, n’enlève pas le foulard… Tu vas avoir encore autre chose.— Autre chose ? Encore un cadeau ?
Je suivis les consignes mais je continuai à caresser la vulve offerte à mes doigts, je branlais la chatte dégoulinante de Vilma qui ondulait du bassin en gémissant sous la caresse sensuelle. J’entendis le bruit d’une chaise qu’on déplaçait. Il n’y avait cette fois plus de rires, mais des murmures, des chuchotements, et on sentait dans l’air une tension sexuelle extrême. Quelques secondes s’écoulèrent puis on me tint, m’invita à me lever un peu pour déplacer mon fauteuil latéralement vers la droite, ce que je fis.
— Lâche un peu Vilma et tends tes mains par là. Touche, dis-nous ce que tu en penses.
On dirigea mes mains et me laissai guider. Je touchai… j’hésitai moins cette fois. C’était un fessier (et des cuisses) pas de doute là-dessus. Mais c’était un petit gabarit. Mais c’était bien ferme. Je palpai un petit cul bien tendu par la position (j’avais compris que les deux filles devaient être à genoux devant moi sur deux chaises), les fesses étaient douces, la peau veloutée. Sur le côté de croupe ma main rencontra du nylon… La petite garce portait un collant-porte-jarretelle. Ses courbes étaient tendres, fines, les cuisses joliment bombées, semblant presque musclées. Je caressai ce que je devinai être un abricot tendre et joliment fendu… et qui perlait déjà de sève. Le jeu devait plaire à son ingénue propriétaire, à mon avis novice dans les jeux de ce genre. En tout cas elle n’avait pas hésité à se déculotter et exhiber son cul devant ses copines et à l’offrir à mes mains.
— Alors, tu en penses quoi ? me demanda la voix de Jessica, toujours à mon côté droit.— Hum. Ça c’est un jeune cul, bien ferme, des cuisses fines… mais une petite chatte qui coule déjà comme celle d’une petite salope…— Ohhh, protesta une jeune voix devant moi
Mes mains caressèrent les cuisses douces d’un mouvement descendant et tombèrent sur le nylon du collant qui les gainait et du bout des doigt je reconnus des motifs en relief. J’eus immédiatement dans les yeux ceux qu’Aurore portait souvent, noirs ou marron, et qu’elle portait ce soir. Cette jolie fille, la plus jeune du groupe, avait de longues cuisses de faon et ne se gênait pas non plus pour les montrer en portant des robes très courtes. À son âge et d’une telle fraîcheur, elle aurait eu tort de sen priver. Même si ça n’était pas le gabarit que je préférais, j’avoue qu’avoir juste devant moi entre mes mains deux fessiers et deux chattes offertes, à disposition, me mettait dans un état d’indescriptible excitation sexuelle. Je n’avais jamais vécu de pareille expérience. 

Là, je dois avouer quelque chose. J’aimais bien Aurore, et si les jeunes femmes de moins de trente ans n’étaient vraiment pas ma tasse de thé, sa beauté subtile, son sourire délicat et l’impression d’innocence qu’elle laissait, avaient tendance à m’émouvoir.Et j’avoue qu’un jour, alors que je travaillais avec elle, elle s’était laissée aller à des confidences. Alors qu’elle n’avait que vingt-trois ans elle venait de se mettre « en ménage » avec un garçon de son âge et se plaignait, comme certains et certaines jeunes, qui découvrent pour la première foisla vie de couple. Je ne sais pas ce qui lui avait pris mais elle avait commencé à me raconter, comme elle l’aurait fait à un père ou un grand-frère peut-être, tout ce qui la décevait chez son mec et sa nouvelle vie de couple, des petits trucs quotidiens aux prises de bec et accès d’humeur avec son petit ami, et pour finir avait évoqué sa vie sexuelle, me faisant comprendre qu’elle avait espéré mieux, ressentant déjà l’impression d’être un vieux couple, déçue d’une sexualité active et fréquente mais monotone, avec des ébats brefs et stéréotypés, et semble-t-il, souvent sans plaisir.Diplomate, je lui dis qu’elle découvrait ce à quoi tous les gens en couple étaient confrontés tôt ou tard, et que la vie à deux, avec ses rituels, ses habitudes, les contraintes du quotidien, avaient tendance plus ou moins rapidement à tuer le désir, ou du moins à le réduire à peau de chagrin, certains couples n’arrivant à avoir envie et faire l’amour que lors de périodes privilégiées comme les vacances ; et pourtant, elle n’avait pas encore d‘enfants. Mais néanmoins, insistait-elle, son mec était maladroit, pressé (comme un jeune), peu attentionné, centré sur son propre plaisir et ses fantasmes, et sans doute peu attentif à ses attentes à elle et à son plaisir à elle, et ne la comblait pas vraiment - ou rarement - sur le plan sexuel. Je lui avais demandé si elle avait eu plusieurs expériences avant de le connaître, mais elle répondit par la négative, si elle avait déjà eu une aventure avec un homme plus âgé, et c’était non aussi.Je lui dis que son jeune mec était sans doute peu doué, et que si je m’étais occupé d’elle je lui aurais fait découvrir le septième ciel et plein de plaisirs que sans doute elle ignorait. Elle avait rougi et avait décliné l’invitation. Je lui avais dit que c’était dommage parce qu’à une jolie petite pouliche comme elle, je me serais fait un plaisir de lui faire connaître le nirvana, ça m’aurait rajeuni. Mais elle se voulait fidèle et croyait à cette valeur, au couple, et je n’insistai pas. Mais la nuit suivante j’avais rêvé d’elle, à quatre pattes, bien cambrée, bien offerte, avec ses jolies cuisses blanches et fines, son joli petit cul, et je me faisais l’exquis plaisir de lui déflorer le petit.Dans mon rêve elle était très passive, se comportait comme une novice qui se laisse guider par son vieux dévoyeur vicieux, son professeur de sexe, et montrait une nature très soumise, s’offrant totalement et en toute confiance à cet initiateur mûr que j’étais, et elle atteignait un niveau de jouissance jamais égalé. 

J’avoue que j’étais très excité. J’avais entre mes mains et à disposition deux jeunes et jolis culs féminins, offerts, que je ne pouvais voir : l’un pléthorique, large, gras et mou, l’autre mince et ferme. Je tendis du coup la main gauche et retrouvai à tâtons le large fessier de Vilma que je pelotai sans vergogne tout en continuant à caresser de la main droite le fessier si frais d’Aurore. Elles devaient être très excitées toutes les deux car elles gloussaient sous mes caresses, tortillaient du derrière. Mes mains s’égarèrent symétriquement dans les sillons fessiers, descendirent, trouvant deux chattes bien différentes (l’une charnue et pulpeuse, l’autre aux lèvres intimes fines) mais toutes les deux bien ouvertes, épanouies comme des fleurs qui s’ouvrent sous le rayon de soleil au petit matin, mais toutes les deux plus trempées que par la simple rosée de l’aube. Je me mis à les branler doucement, jouant avec les pétales, caressant le bourgeon, me livrant symétriquement au même rythme lent mais sensuel, appuyé juste comme il faut, et qui fut très vite accueilli par des râles et des gémissements croissants.
Je dois dire que je bandais très fort et très dur, comme ça ne m’était pas arrivé depuis des années. Jessica me retirera le bandeau qui masquait ma vue et j’avais désormais le merveilleux spectacle de ces jeunes poulettes, l’une très ronde, l’autre mince, délicieusement cambrées, gracieusement offertes, à genoux sur leur chaise. Toutes deux avaient leur jupe retroussée sur les reins, avaient gardé leur chaussures, et commençaient à me donner des sérieuses envies d’infamie.
À ce stade je me demandais si le jeu allait s’arrêter là (ce qui m’aurait semblé un peu cruel pour moi) ou si elles avaient prévu de me soulager d’une autre manière de ma tension sexuelle insoutenable. Car ces deux filles étant en couple, elles n’avaient peut-être pas envie d’aller plus loin, et j’étais prêt à respecter, en gentleman, leurs limites, bien que c’eut été franchement frustrant. Car si elles m’aimaient bien, elles ne m’aimaient peut-être pas assez pour se faire baiser par un presque papy qu’elles n’était pas obligées de trouver sexy ni suffisamment ragoutant. Allais-je devoir m’arrêter une fois qu’elles auraient joui sous ma caresse, quitte à me branler et jouir sur les gros seins de Vilma ou sur la jolie petite gueule d’Aurore ? (Bien que ce type de final, assez classique dans les films pornos, n’est ni très classe, ni forcément flatteur pour les dames...)
Mais Jessica, qui avait tout prévu et était de connivence avec ses copines (et avait, avec elles, bien échafaudé et finassé leur plan) me mit un sachet de plastique sous le nez, l’ouvrit, me tendit la capote lubrifiée :
— Tiens, me dit-elle, tu ne vas quand même pas les laisser dans cet état… ?— Je peux ? demandai-je, un peu étonné et encore hésitant— Qu’est-ce t’attends pour nous sabrer, salaud… ?! 
Ce fut en effet Vilma qui répondait d’une voix rauque, passablement excitée et impatiente. Ne tergiversant pas plus longtemps, et répondant à une si sincère invite, je me débarrassai à toute vitesse de mes chaussures, chaussettes, froc et caleçon, saisis la capote que tenait toujours Jessica entre ses doigts, la roulai sur ma queue raide et arquée, présentai arme devant la conque rose et épanouie de Vilma et l’enfilai d’une seule poussée, lentement mais sûrement. Elle frémit, poussa un cri de contentement et tressaillit… elle déchargeait déjà la petite gueuse ! Je saisis à deux mains sa taille replète (juste au-dessus de ses larges hanches), la verrouillai bien, et mis à la besogner à un rythme croissant, lui ébranlant tout le ventre, lui envoyant mes coups de bélier comme pour faire céder la porte. À chaque butée contre sa matrice, la jeune femme hurlait :
— Oui ! Oui ! Ouiiii…. !
Elle m’excitait en diable avec son gros cul. Passant ma main sous son ventre je me mis à la branler à pleine pogne et en cadence, et elle en feula de plus belle.
— Dépoitraille-moi cette grosse salope, Jessica, s’il te plaît….
Jessica en riant, lui souleva son haut en tissu fin et vaporeux, et lui sortit sans douceur les mamelles de son soutien. Je m’en emparai avidement et me mis à les peloter comme un mort de faim. Quelle nichonnaille ! Ses gros nichons, ses gros melons mous, je les pétrissais, les faisais ballotter, balancer, lui pinçant ses mamelons ainsi que ses larges aréoles que découvraient pour la première fois mes doigts ravis. 
— Ils t’excitent, mes gros nichons ?! me lança-t-elle entre deux cris de tigresse en chaleur.— Tu m’étonnes… ! Je me branlerai après, entre tes grosses loches, t’inquiète… tu perds rien pour attendre.
À grands coups de bite je la hayonnais sans faiblir, et le bruit de mon ventre claquant contre ses grosses fesses était obscène, lubrique et comique tout à la fois. 
— Ah je t’ébranle bien toute ta graisse, ma cochonne, t’aimes ça, hein ?— Oui, vas-y mon gros loup…. Ah tu me baises bien, mon salaud. Tu les aimes, mes grosses miches, hein… ?!— Oh que oui… J’aime pétrir la pâte… Tiens, prends ça… dis-je en lui claquant ses grosses fesses à deux mains, avec une violence contenue. Néanmoins ça retentit bien dans la salle.
J’entendis gémir dans un coin. : la lumière étant tamisée depuis le début de la soirée, je n’avais pas vuSamia quand on m’avait enlevé mon bandeau ; je l’aperçus donc, accroupie, qui observait la scène. Non pas que j’avais oublié qu’elle était venue à ma fête, Samia la discrète, l’introvertie, mais je pensais qu’elle était partie avant tout ça, avec le reste de la troupe, et que nous n’étions plus que quatre ; alors qu’elle était restée là à mater, en se faisant oublier (comme d’habitude à vrai dire) ; mais j’étais étonné car je la croyais plutôt prude. Elle portait son éternel pantalon en simili cuir noir qui moulait son gros cul (je me demandais parfois s’il n’était pas plus volumineux, plus épanoui, plus réjoui, que celui de Vilma.)Qu’elle fut restée là à assister à ce spectacle j’en étais sidéré. Je devais la connaître finalement très mal. Était-ce de la curiosité de sa part ? Avait-elle été mise dans la confidence et était-elle restée là par accident, j’en doutais... quoique ses camarades, plutôt taquines avec elle (elles la charriaient souvent parce qu’elles la trouvaient un peu trop sage voire un peu bébête), eussent peut-être été capables de lui faire un coup comme celui-là, une sorte de bizutage (bien qu’elle bossait avec elles depuis un eu plus d’un an.)Néanmoins, si elle avait été choquée par la scène à laquelle elle était en train d’assister, elle aurait pu s’éclipser, discrètement ou pas, prendre la fuite, personne ne lui aurait dit quoique ce fut. L’aurait-on remarquée en train de partir, d’ailleurs, dans la fièvre ce qui était en train de se dérouler ?Peut-être trouvait-elle immoral que ses deux collègues se fassent lutiner alors qu’elles étaient en couple, et qui plus est, y prenaient du plaisir. Elle, en tout cas, vivait seule avec sa fille, ce que tout le monde savait.
Jessica alla la voir, lui parla un instant à mi-voix et je n’entendis pas ce qu’elles se dirent. Néanmoins, Samia ne partit pas pour autant : elle resta là, dans la même position, à regarder la scène en train de se dérouler, et manifestement, n’en perdait pas une miette.Il me sembla même, malgré le faible éclairage de la pièce, qu’elle avait une main entre ses cuisses. Sous son pantalon ? Je ne l’aurais pas juré. Jessica revint vers moi, hilare. Elle me murmura :
— Ça l’émoustille, la Samia… Et tu sais quoi, qu’est-ce qui l’excite, la fait mouiller le plus ? Que tu pelotes et que tu claques le gros cul de Vilma… J’ai l’impression qu’elle se met à sa place, qu’elle a envie du même traitement, rigola-t-elle.— Je m’occuperai de son cas tout à l’heure, elle aura ce dont elle a l’envie, la salope. Elle ne perd rien pour attendre, répondis-je surexcité. 
Je continuai à limer la chatte de Vilma en changeant souvent de rythme mais je commençais à faiblir, tandis qu’elle, coulait comme une fontaine, et enchaînait les orgasmes à répétition. Ses grosses cuisses commençaient à trembler, à flageoler sous mes assauts et ses spasmes de jouissance.Je me dis qu’il était plus que tant de m’occuper de la jolie petite Aurore.Je sortis ma pine de l’antre de Vilma, et me plaçant derrière Aurore, je me mis à la frotter sur la vulve toute humide de la jeune salope aux airs d’ingénue, en tenant sa croupe à deux mains : ça glissait tout seul, je la caressais de mon membre, du pistil jusqu’à l’orée de sa chatte, remontant jusqu’à son sillon fessier, et caressant le petit œillet tendre et encore rose. Mes mains caressaient ce faisant avec passion ce joli petit cul et ses jolies cuisses ; puis tout doucement, plaçant mon gland devant la petit corolle rose, je glissai lentement dans son conduit. Bon dieu que c’était serré, sa petite chatte était brûlante comme l’enfer !Je tins bien serrée sa taille fine et souple, à la peau douce comme celle des jeunes filles, et me mis à la besogner lentement mais en tapant en butée tout au fond. La petite chatte poussa des petits cris de plaisir. Je passai mes mains sous son petit pull et sous le soutien et trouvai les mamelons tout érigés au sommet de ses jeunes seins qui tenaient tout entiers dans mes mains : quel contraste avec les formes généreuses et débordantes de Vilma. La petite salope était fine comme une biche et ma queue était à l’étroit dans son joli petit corps, et je me mis à l’agiter et à le pistonner sur moi, la bougeant en cadence, comme une poupée de chiffon.Je matais en même temps le gros corps bien épanoui de Vilma, qui désormais ondulait de partout… elle se faisait reluire la chatte de la main droite tout en se cramponnant à sa chaise. Ma main gauche ne put résister à l’envie d’aller se poser sur ses grosses fesses, lui distribuer quelques claques sonores, puis caresser son profond sillon fessier, trouvant le petit cratère plissé. Je lui introduisis mon majeur dans son petit trou et enfonçai le doigt à fond : elle se mit à gueuler, déchargeant de plus belle.
Moi j’avais d’autres projets pour la jeune et jolie Aurore, à qui j’avais un jour promis la découverte de nouveaux plaisirs. Pendant que je la baisais sans faiblir, je me mis à caresser sa petite rondelle de la pulpe de mon pouce droit que j’avais mouillé à la source (je n’avais pas eu de mal, elle était trempée du haut de la chatte jusqu’au milieu des cuisses, elle coulait comme une fontaine), puis, appuyant de plus en plus avec insistance je finis par déprimer la petite cupule, la caressai, l’humectai, puis lui introduisis la première phalange. Elle poussa un petit cri mais je me mis à bien lui travailler son anneau serré, allant de plus en plus loin, la fouillant de façon éhontée.
Jessica qui observait tout ça de près, me lança à mi-voix :
— Oh oh, je sens que tu vas la sacrifier, la petite poulette…— Oh que oui, répondis-je super excité, et sur l’autel de la sodomie. Il est temps qu’elle connaisse tous les plaisirs.— C’est sûr qu’avec son mec elle a encore beaucoup à apprendre, continua Jessica, qui manifestement en savait beaucoup sur son couple. Il était temps que t’arrives, dit-elle d’un air trouble.— Oui, il est temps de la délurer, la petite, je pense qu’elle ne le regrettera pas— Non, je ne crois pas non plus, dit-elle, me regardant de très près, les yeux brillants, les lèvres et les joues rouge vif. Et à ma grande surprise, elle m’offrit sa bouche, et me gratifia d’un baiser profond, lent et langoureux que je lui rendis avec la même passion, et ma queue reprit encore plus de vigueur.
— Ma petite chérie, dis-je en m’adressant à Aurore, il est temps d’honorer ton joli petit cul. À moins bien sûr que tu y vois un quelconque inconvénient, la prévins-je, tandis que mon pouce enfoncé en elle jusqu’à la garde continuait de s’agiter et s’assouplir ses chairs, tandis que mes coups de reins souples ralentissaient avec une amplitude maximale.
Comme elle ne protesta pas, je compris qu’elle acceptait cette initiation.
— Allez, à quatre pattes par terre, mes deux salopes !
Mes deux statues grecques descendirent lentement de leur chaise-piedestal qu’elles éloignèrent (Jessica les mit de côté), et ne surent trop comment se placer.
— L’une à côté de l’autre, bien-sûr ! Et vite ! ordonnai-je avec énergie pour les réveiller.
Dociles, elles s’installèrent comme demandé, l’une à côté de l’autre, se touchant presque.Jessica (décidément de plus en plus vicieuse, elle m’étonnait, ma secrétaire) s’accroupit devant le visage d’Aurore et lui souleva le menton :
— Regarde-moi, lui dit-elle, visiblement excitée
Elle avait l’air de savoir parfaitement que sa jeune collègue était encore vierge de son petit trou et voulait ne pas perdre une miette de son expression quand je la déflorerais. Je ne perdis pas de temps de mon côté : je plongeai deux doigts dans sa jeune chatte qui dégoulinait de cyprine, les ressortis tout gluants, en enduisis à nouveau son adorable petite rondelle encore toute fripée, puis présentai mon gland qui avait repris de la vigueur sur cette petite cupule.Je jetai un œil sur sur mon côté droit. Samia que je voyais mieux avait bien sa main sous la ceinture de son pantalon et s’astiquait la vulve, il n’y avait plus aucun doute à avoir là-dessus. Je l’interpelai :
— Samia au lieu de te faire du bien toute seule dans ton coin, viens donc me donner un coup de mains : viens tenir les reins de cette petite gueuse à qui je vais faire découvrir les plaisirs de Sodome. 
Elle sembla hésiter une seconde, puis voyant qu’elle avait été prise la main dans le sac (si je peux dire) et qu’elle ne pouvait plus cacher son plaisir de voyeuse, se releva un peu lourdement (cette fille bien en chair, encore jeune, se montrait plutôt souple), et s’approcha un peu timidement, en reboutonnant son pantalon serré. 
— Mets-toi à ma droite, face vers moi, penche-toi, et tiens-la par la taille, s’il te plaît.
Elle s’exécuta, semblant plus que troublée.L’aide que je lui demandais était bien inutile (c’était comme si je voulais qu’elle empêche un mouvement de fuite en avant d’Aurore au moment où j’allais l’enculer, alors que je n’avais aucune intention d’être brutal et de lui faire mal), mais c’était bien entendu pour la faire participer et l’impliquer, elle aussi, et qu’elle voit en gros plan sa jeune et délicate collègue se faire déflorer la rosette. Je poussai donc mon « avantage » et le gland força le barrage de la petite rondelle. Elle poussa un petit râle, le petit anneau se contracta, j’attendis un peu qu’il se relâche, puis je poussai en elle très lentement le reste de ma queue. Elle se prit toute la longueur de la hampe, mon pubis buta contre sa vulve. Jessica lui tenait toujours le visage levé vers elle :
— Alors, ma petite chérie, ça y est, tu te l’es prise dans le cul jusqu’à la garde ! Félicitations ! Tu es dépucelée du cul. Alors, ça fait quoi de se la prendre dans le cul… ? Impressionnant, la première fois, non ?— Hum… répondit la jolie Aurore, ...ah je la sens… fort !— Oui, et c’est que le commencement. Tu vas la sentir encore mieux, maintenant. Il va bien t’enculer, il va t’enculer comme un chef, rigola-t-elle.— Oh que oui, approuvai-je, tandis qu’accroupi, bien enfoncé en elle, je lui caressai les fesses, et commençai à me retirer, sans toutefois jamais retirer le gland, pour redescendre et m’enfoncer à nouveau en elle, amorçant un très long et lent mouvement de piston.
À ma droite Samia était toujours penchée vers moi, ses mains sur la taille d’Aurore, et son regard allait de mes yeux à ma queue qui rentrait et sortait du petit trou d’Aurore, comme fascinée par cette vision, telle un lapin pris dans la lumière des phares. Fléchissant mes jambes en cadence je montais et descendais, pénétrant avec un plaisir croissant le petit trou de la jeune femme qui s’assouplissait tandis qu’elle semblait y prendre un plaisir croissant. Les yeux de Samia brillaient. Je lui tendis ma bouche mais elle ne m’embrassa pas.Finalement, je déculai et allai me placer derrière Vilma :
— Toi aussi tu vas te la prendre dans le cul… Tu la veux, hein ?!— Oh oui, vas-y, j’aime ça. Moi je suis plus pucelle depuis longtemps…— Et un bon gros cul comme ça, ça serait dommage, dis-je en regardant Samia bien droit dans les yeux. Elle détourna les yeux, ne pouvant soutenir mon regard.— Oui, vas-y, prends-moi le cul, il t’excite tellement, mon gros cul… ! continua Vilma.— Ah oui, j’aime les gros culs, et tu le sais, ma salope… ! répondis-je en regardant Samia qui afficha presque un air gêné. Et sur ce, après avoir enduit l’œillet brun de la petite grosse de sa propre mouille, je lui enfonçai lentement ma pine. Vilma feula de plaisir :
— Ouiiiiii… fit-elle d’une voix rauque-Ah il est bon ton cul… ça rentre comme dans du beurre— Oui, une grosse motte de beurre, gloussa-t-elle— Ah il est bien souple, on voit que t’as l’habitude…— Oui, et j’aime ça !— Humm, c’est bon ça, dis-je en commençant à la pilonner sans ménagement.
J’allais et venais à fond en elle, en butant contre ses fesses, et elle criait son plaisir :
— Oui, oui, ouiiii… ! Défonce-moi !— Ah t’aimes ça, grosse salope ?! T’en prends plein ton cul, là !— AAAH ! AAAH ! Oui !!!— Mais y a pas que toi, ici. Faut partager, égoïste, dis-je en sortant de sa rosette et en me replaçant sur celle d’Aurore que je pénétrai avec ménagement mais franco. Le jeune pouliche accueillit cette nouvelle pénétration d’un râle surpris.
— Hum, comme il est bien serré ton petit anneau… Il va falloir l’entraîner maintenant. Va falloir pratiquer, ma douce Aurore.— Oui… AAAH !
Excité comme un diable je me mis à besogner les deux filles, en leur défonçant le cul chacune leur tour, une minute chacune, en alternant. Vilma qui se branlait, la main passée entre ses cuisses, jouissait brièvement à grand bruit chaque fois que j’enfonçai mon vit raide dans son cul resté entrouvert. Aurore, quant à elle, l’accueillait à chaque fois avec un cri aigu comme si c’était la première fois, et elle beuglait tout du long pendant que je lui ramonais le boyau. 
(À suivre...)
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