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Quelle fête pour ma retraite !

Chapitre 3

Merci pour tout Jessica

Avec plusieurs femmes
Je me renfroquai aussi et constatai que nous n’étions plus que trois dans la pièce : Samia, Jessica et moi. Les autres filles avaient filé. Peut-être avaient-elles été impressionnées par la flagellation à la ceinture du gros cul de Samia. 
 
 J’interrogeai Jessica du regard, en montrant la pièce vide. Elle répondit à mon air incrédule :
 
 - Elles sont parties retrouver leur petite famille, il commençait à se faire tard. Elles ne voulaient pas avoir d’ennui
 - Je comprends
 
 Samia, déjà rhabillée, s’approcha :
 
 - Je vais y aller, dit-elle sans se justifier, mais avec un air un peu penaud
 - T’inquiète pas, répondit Jessica, on va gérer
 - Oui, euh… désolée
 - T’en fais pas

 
 Elle me fit la bise, comme si de rien n’était, et s’éloigna, s’apprêtant à partir. Mais elle se ravisa et revint vers moi :
 
 - Tu sais, j’ai menti : mon père m’a donné plusieurs fois… enfin souvent, la fessée quand j’étais petite. Mais pas après onze ans
 - Ah je comprends…
 - Je ne voudrais pas que tu penses que mon papa… c’est… Enfin, c’est un homme bien
 - Oui, bien entendu. Et la ceinture ? Tu l’avais déjà reçue ?
 - Une seule fois. Un oncle. Je devais avoir douze ou treize ans
 - Et ça t’a marquée ?
 - Oui. Au propre comme au figuré
 - Oui… Tu as aimé ?
 - Oui… Bon. J’y vais
 - OK… Hé, Samia ! l’hélai -je
 - Oui ?
 - Si un jour tu veux recommencer l’expérience n’hésite pas, tu m’envoies un mail (je te communiquerai mon mail perso…) lui dis-je sur un ton rigolard
 - Oui… euh, oui…
 
 Et elle disparut.
 
 Je me retrouvai seul avec Jessica. Tout autour de nous les restes de la fête (pour ne pas dire l’orgie), les verres, les souillures, les serviettes en papier, les assiettes en carton ; enfin bref, rien n’avait été rangé. Je jetai un regard circulaire.
 
 - Eh bien, y a du boulot, lui dis-je. Tout le monde est parti, tout est resté comme ça. C’est chez toi, ici ?
 - Non pas du tout, c’est un appartement que des amis m’ont prêté, ils sont gentils, ils ne sont pas là ces jours-ci. Et vu la « surprise » qu’on t’avait prévue, aucune de nous n’aurait pu faire la fête chez elle… On a toutes raconté à nos mecs (enfin, celles qui en ont un) qu’on faisait une fête entre copines, entre filles exclusivement
 - Oui, c’est sûr. Bon n’empêche, je vais t’aider à tout remettre en ordre
— Je veux bien. Pourtant c’est ta fête et ça ne devrait pas être à toi de le faire. Mais bon, ça, qu’est-ce que tu veux… ? C’est les « copines », ironisa-t-elle
 - C’est normal que je t’aide, je ne vais pas te laisser toute seule à ranger tout ce merdier. Et puis j’ai été « gâté » ce soir, je peux faire un effort…
 - C’est gentil. Je sais comment tu es, c’est pour ça que j’ai toujours apprécié de travailler avec toi
 
Tous les deux, nous nous mîmes à la tâche, prenant des grands sacs poubelle, y jetant toute la vaisselle en carton et en plastique et les déchets. Elle s’enquit de trouver balais et serpillières car il n’était pas question à plus de minuit et demi passés de passer l’aspirateur dans cet immeuble propret. Déjà que nous avions sans doute été un peu bruyants, il ne valait mieux pas trop attirer l’attention sur nous et faire en sorte que ses amis n’aient pas d’ennuis avec leurs voisins.
 Nous remîmes canapé, fauteuil, tables et chaises en place.
 Nous commencions à transpirer sérieusement. Jessica était toute rouge. Je savais que c’était une fille courageuse. 
 
 Elle me dit : 
 
 - Si tu veux prendre une douche, ne te gêne pas, il y a tout ce qui faut dans la salle de bain
 - Tu crois ? Je peux ?
 - Mais oui, t’en fais pas, mes amis m’ont laissé quartier libre. Ils ont confiance en moi
 - Oui. Bon, je ne pense pas que tu vas quand même leur raconter ce qui s’est vraiment passé chez eux… ?
 - Bah non, évidemment ! rit-elle. Faut pas exagérer. Et même si les voisins ont entendu des cris, au pire on leur dira que c’était une fête un peu joyeuse, un peu bruyante, des gens qui se lâchent : ils comprendront. D’autant qu’il n’est pas si tard. Ils se diront qu’ils étaient plutôt sages, les voisins, tu ne crois pas ?
 - Oui c’est sûr, ça n’a pas duré jusqu’à trois heures du mat, comme ça peut arriver avec des jeunes…
 - Oui c’est sûr. Et pour cause !
 - Tu as raison, lui répondis-je avec un sourire entendu.
 
 Elle souriait de bon cœur.
 
 - Mais pour être joyeux, c’était joyeux, ajoutai-je histoire d’en remettre une couche.
 - Ça… rit-elle.
 
 Et je filai à la salle de bain, que j’avais repérée dans la soirée après être allé aux toilettes.
 Elle était plutôt petite, façon chambre d’hôtel, munie d’une baignoire et d’un petit cabinet de toilette.
Je me déshabillai, jetai mes frusques dans un coin et sautai dans la baignoire. Le temps de faire couler l’eau pour qu’elle soit chaude, je la faisais ruisseler sur moi en une pluie fine et agréable. Je n’avais pas de fringues de rechange mais tant pis, je me sentirais un peu plus frais même si je devais remettre mon boxer sale… ou ne pas le remettre.

Et soudain, quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas. J’écarquillai les yeux pour voir si je ne rêvais pas, du moins si mes yeux n’avaient pas été inondés d’eau ou si ma mauvaise vue (en l’absence de mes lunettes) avait soudain encore baissé. Mais la voix de Jessica confirma ce que je voyais :

— Ça ne te dérange pas si je me douche avec toi… ?

Je ne répondis pas, restant sans voix, l’apercevant déjà devant moi enjambant la baignoire, entièrement nue. Sa peau était rose pâle, presque blanche du fait de sa carnation très claire. Son corps de faon, élancé, était déjà devant moi. Elle avait de beaux seins d’une taille moyenne (grand B, petit C ? Non je ne fais pas mathématiques, non je ne déraillais pas…)
Comme je ne réagissais pas et que je la regardais pétrifié, hébété, avec sans doute un air idiot qui la faisait sourire, elle dit :

— Tu me fais un peu de place ? Sous le jet… ?
— Euh oui, fis-je en reculant un tout petit peu, le peu que je pouvais.

Elle se colla presque à moi. Ma queue se remit au garde à vous. Je devais réagir : 

 - Tu veux que je te savonne ? osai-je, étonné moi-même de mon audace.
 - Oui, susurra-t-elle d’une voix soudain mielleuse, en se collant à moi.
 
Elle ne pouvait pas ne pas sentir ma virilité contre son bas ventre ; d’ailleurs, elle la saisit à pleines mains, la mit à l’horizontale et par jeu, la serra entre ses cuisses. Elle rit :
 
 - Quelle forme !
 - Oui, je n’en reviens pas… C’est vrai que vous m’avez bien stimulé.
 - Oui. Bon, j’avoue : on t’a un tout petit peu aidé.
 - « Aidé » ? Comment ?
 - J’ai écrasé un petit comprimé bleu et l’ai mis dans ton tout premier cocktail, en début de soirée. Ça tombe bien, c’était un blue lagoon, rit-elle.
 - Ah les garces… Je me disais bien aussi…
 - Ça n’est pas qu’on doutait de toi, mais ç’aurait été décevant pour toi comme pour les filles si tu n’avais pas tenu la longueur…
 - Ça va, je vous pardonne.
 
 Je pris de la mousse et commençai à la passer sur son cou, ses épaules, descendant sur ses bras, puis savonnai son dos… enfin ses fesses que je caressai à pleines mains, les palpant au passage (elle avait un cul en adéquation avec sa silhouette harmonieuse, plein mais peu volumineux), puis le haut de ses cuisses ; là pour continuer à descendre je pliai les jambes et me mis à genoux, comme devant une déesse, mes mains caressant le derrière de ses cuisses, ses jambes, et je me retrouvai le nez devant son pubis à peine couvert de poils châtain. Je posai un baiser sur son mont de Vénus légèrement renflé, puis plus bas. Elle entrouvrit les jambes et je déposai de petits baisers sur ses lèvres rosées, à peine ourlées, sortis une pointe de langue, lapai comme un chaton la fente rose et délicate. Elle soupira mais me soulevant mes bras elle me fit signe de remonter, ce que je fis. Elle me prit dans ses bras, me regarda de ses beaux yeux avec un air attendri, puis m’embrassa profondément, ses bras refermés autour de mon cou.
Je lui rendis son baiser, les bras autour de sa taille. Le baiser dura assez, longtemps, nous étions enlacés. 
Je pris sa taille du bout des doigts, fis faire demi-tour prudemment à Jessica : elle se retrouva dos collé tout contre moi, ma verge dressée et dure calée entre ses fesses. Mes mains remontèrent de son ventre à ses seins sur lesquels je plaquai mes mains : ils remplissaient tout juste mes paumes. Je les caressai, les massai, les fis rouler. Ils étaient fermes, sans doute durcis davantage par le désir. Je titillai ses mamelons d’un rose tendre, les aréoles à la peau fine et grenue, les pressant légèrement. Elle soupira, roucoula, commença à onduler des reins, faisant coulisser ma queue raide dans son doux sillon. 
 
L’eau coulait toujours sur nous, ça n’était pas très confortable. Alors elle dit :
 
 - Viens, sortons de là. Séchons-nous vite fait.
 
Je la suivis, elle me jeta une grande serviette de bain, se sécha à la va-vite. Je fis de même et elle partit presque en courant, entièrement nue. Je la pourchassai, nous riions tous les deux comme des gosses. Elle entra dans une chambre, ouvrit le lit king size, fit volte-face, m’agrippa, ses bras jetés autour de moi, et se jeta sur le dos en m’entraînant avec elle.
Je l’embrassai tendrement, la caressai, glissant sur elle avec des mouvements de reptation alors qu’elle gardait les cuisses serrées. Nous roulions de droite et de gauche, comme ivres. Mes mains descendaient de chaque côté de son corps en le dessinant, en le modelant comme un sculpteur. C’est vrai qu’elle était bien foutue. 
Elle m’ouvrit lentement ses jambes, je posai mon membre sur sa vulve entrouverte, la caressai ainsi de petits mouvements glissants, de bas en haut, de haut en bas.
 Rapidement, elle n’y tint plus, me lança d’une voix rauque :
 
 - Prends moi

Tout doucement, très lentement, je m’immisçai en elle, mes yeux dans ses beaux yeux. Elle m’accueillit, moite et brûlante, et je glissai jusqu’à buter contre son pubis. Je m’immobilisai, pris sa bouche et l’embrassai lentement, tendrement. Ça n’était pas de l’amour – nous n’étions pas amoureux, d’autant qu’elle aurait pu être ma fille, vu notre différence d’âge – mais de la tendresse, de la reconnaissance : je lui montrai ma reconnaissance pour avoir organisé cette soirée en mon honneur, pour me faire plaisir, me donner un plaisir bien savoureux (ayant, elle, compris par l‘intermédiaire de sa collègue, que j’avais louché à de nombreuses reprises sur le cul de Vilma et que ça avait été un pied inespéré d’en profiter ce soir. Quant au plaisir pris à baiser les autres, elle ne l’avait pas subodoré, néanmoins elle avait pu constater combien je l’avais pris et avec quelle joie et intensité. C’était au-delà de ses espérances.)
Elle me montrait également de la reconnaissance envers moi pour notre collaboration intelligente durant ces années écoulées, cette bienveillance affectueuse que j’avais montrée à son égard, la façon dont j’avais pris soin d’elle, et l’ambiance agréable et détendue que je m’étais toujours efforcé d’installer et de maintenir. Elle me l’avait montré en me permettant de réaliser les fantasmes juste soupçonnés (m’éclater avec Vilma et Aurore, mais aussi avec Samia - ce qui n’était pas prévu au départ), et maintenant en me faisant don de son corps, en partageant ce moment de plaisir, d’amour charnel, d’échange intime et intense, d’étreintes, de caresses, et cette jubilation, cette jouissance à se livrer l’un à l’autre sans façons, sans manières, avec sincérité, sans retenue ni arrières pensées. 

Je me mis à bouger doucement en elle, ondulant lentement des reins, tout en picorant ses lèvres, embrassant sa bouche. Je lui murmurai :

— Tu aimes le slow sex ?
— Je ne connaissais pas vraiment, sourit-elle, mais elle ajouta : c’est vrai que c’est bon… c’est doux, c’est tendre…
— Une façon de profiter de chaque seconde, de se concentrer sur son plaisir… presque une méditation charnelle… On n’en ressent que plus l’intensité… On a tout notre temps
— C’est bon, j’aime… Oui fais-moi l’amour…
— Tu es si douce, ta peau si soyeuse… (Je caressais tout son corps)

Elle ferma un instant les yeux, profitant de l’instant :

— Merci de me faire connaître ça... soupira-t-elle
— Un peu d’amour dans ce monde de brutes…
— C’est bon ce moment, ce partage…
— Oui c’est bon… Oui, fais-moi du bien

J’ondulais lentement en elle, et sur elle, comme une vague montante, sans cesse répétée, mue par un immuable mouvement de houle. Elle me faisait du bien, sa peau était si douce, elle m’excitait en diable, et soudain me vint une envie, qui me rappela que parmi toutes les filles du bureau elle était la seule qui m’eut inspiré cette envie ; alors j’osai, lui lâchai :

— J’ai envie de te bouffer ta petite chatte
— Vas-y, me dit-elle, en ouvrant ses bras pour me libérer.

Je glissai lentement en descendant sur elle, embrassant au passage ses seins, son ventre plat, ses cuisses… mais je lui dis :

— Pas comme ça. J’ai envie que tu viennes t’asseoir sur ma bouche…

Elle ne répondit rien mais sourit, tandis que je m’installais confortablement sur le dos, un oreiller sous ma tête. 
Elle vint vers moi à genou, avec sur les lèvres le même sourire, empreint d’un certain ravissement et d’excitation contenue, puis enjamba mon visage, les cuisses écartées.
Je saisis son fessier bien arrondi et l’amenai à descendre jusqu’à ce que sa vulve se colle à ma bouche.
Alors là je me livrai à un léchage en règle, lent, méthodique, lapant toute la surface de son coquillage, dégustant ses lèvres, son bourgeon, immisçant ma langue en pointe dans son orifice vulvaire qui coulait largement - une vraie corne d’abondance, balayant sa fente de bas en haut, tandis que je tenais fermement tantôt son fessier, tantôt sa taille. Ma langue patinait avec délices sur ses muqueuses et elle, gémissant de plus en plus nettement, donnait des mouvements de bassin d’arrière en avant, d’avant en arrière. 
Je profitais de ses mouvements amples pour pousser ma langue jusque dans le petit cratère de ses fesses, léchant la petite cupule fripée ; elle avait l’air de s’y plaire car elle ne cherchait pas à s’en échapper, se faisant lécher le cul à grands soupirs, les yeux à demi-fermés. 
Puis elle se mit à donner des petits coups de reins plus secs, plus rapides, se mettant à pousser des plaintes de plus en plus brèves et de plus en plus intenses, jetant littéralement sa conque contre ma bouche entrouverte comme si j’allais la gober.
Mes mains étaient montés à ses seins et je les avais emprisonnés, et je les pressais de plus en plus fort, ressentant leur fermeté et les sentant gonflés par le plaisir qui montait, leurs pointes durcies roulant sous mes paumes.
Ce sont des cris de jouissance qu’elle jetait désormais à chaque coup de reins, et j’avais du mal à avaler toute sa cyprine qui m’inondait la bouche en abondance. 
Ses mains, qu’elles avaient d’abord plaquées sur les miennes, refermées sur ses seins, s’étaient je ne sais comment enlacées à mes mains, nos doigts entremêlés et crispés, et elle me les serrait de plus en plus fort.

Je calmai un peu le jeu, saisissant délicatement sa taille, la pressant vers le bas pour qu’elle descende, et nous nous retrouvâmes bassin contre bassin, les pétales brûlants de Jessica enserrant la hampe de mon membre. Elle me regardait de ses beaux yeux, les joues écarlates, ses jolis seins toujours aussi tentants se balançaient lentement au-dessus de ma poitrine et je caressais ses fesses à la courbe parfaite, à la peau douce et veloutée. 
Mes mains lissaient ses cuisses, s’immisçaient dans son sillon fessier, je caressais du bout des doigts son anus fripé, sans insister, sans aller plus loin. 

— Et toi, me dit-elle, mon pauvre, tu n’as même pas joui…
— Pas encore. T’inquiète, lui répondis-je avec une grande sérénité. Et puis ça, c’est aussi l’effet des petites pilules bleues. Ça rend endurant… mais ça retarde un peu l’éjaculation.
— Quelle patience…
— On a tout notre temps, non ?
— Euh… hésita-t-elle, c’est vrai qu’il n’est pas tard. Et puis je te dois bien ça…
— Pourquoi ?
— Une si belle collaboration, coopération… des années de travail, cools, avec toi, fructueuses mais sereines, bienveillantes… Quelles belles années ça a été…
— Oui, murmurai-je en l’enlaçant, pressant sa taille. Aux mouvements de mes bras elle comprit que j’avais encore bien envie d’elle : elle descendit un peu, jusqu’à s’empaler lentement sur mon pieu de chair toujours aussi raide.

Elle se remit à onduler des reins, mais je sentis à ses mouvements qu’elle était un peu vidée ; c’est vrai que la jouissance intense qui l’avait prise lui avait un peu ôté son énergie. Mais je savais qu’elle était encore jeune, si jeune… À son âge, on avait de la ressource. 
Je l’étreignis fermement et la fis rouler sur le côté. Nous étions toujours emboîtés, je fis en sorte de bien rester collé à elle, pour rester en elle. Et je fis passer mon genou par dessus sa cuisse et me retrouvai à nouveau sur elle, en missionnaire. 

Arc-bouté sur les avant-bras, je me laissai aller à des mouvements de va-et-vient. J’étais si bien, dans son fourreau chaud et doux.  
Progressivement, je mis à accélérer un peu, donnant des coups de reins plus longs, plus amples, plus forts. Elle commençait à pousser des petits cris à chaque coup de boutoir, elle coulait comme une reine. Toujours aussi raide, je sentais bien sa chatte qui m’enserrait et me procurait un plaisir dingue. 
Je prenais sa bouche à intervalles réguliers, la galochais avec gourmandise, puis interrompais le baiser, pour nous laisser mieux respirer. 

Ses cris rauques devinrent un long feulement, une plainte qui montait et croissait en intensité. Elle commençait à rouler des yeux, je la sentais partir.
Soudain elle me cria :

— Baise-moi, baise-moi profond !

Et elle enserra ma taille de ses cuisses, referma bien ses jambes sur mon corps, me gardant bien planté, bien verrouillé en elle.
Mes mains plaquées sur ses seins, en appui sur mes coudes, je lui envoyai toute la puissance de mon marteau-pilon, et très vite elle se mit à beugler, ses râles devinrent des cris de jouissance complètement déments. 
Sa jouissance si expressive, tant sonore que visuelle (son visage déformé par l’égarement d’un orgasme qui la faisait ressembler à une folle, une tigresse, une femelle en délire), et les contractions de son ventre qui me pressaient la queue rythmiquement, firent que je sentis enfin ma jouissance arriver : une brûlure remonta du fond de mon bas-ventre jusque dans la tige et j’explosai littéralement en elle, expulsant mes jets de foutre en un feu d’artifice presque douloureux mais libérateur. 
Nous continuâmes tous deux à expier notre plaisir, mêlant nos respirations bruyantes, rapides, mais qui s’apaisaient, mélangées à nos plaintes finissantes.
Nous restâmes ainsi soudés un long moment, frottant légèrement et tendrement nos corps l’un contre l’autre. Ses joues étaient cramoisies. Nous étions en nage.

— Merci, lui murmurai-je
— Merci à toi aussi, dit-elle, c’était très bon
— Et merci de m’avoir organisé une telle soirée, une telle fête. Ça a vraiment été ma fête
— Ça n’était pas que mon idée à moi…
— Ah… ?
— Oui, ça venait aussi de Vilma… On en a parlé, et toutes ont été d’accord. Enfin toutes celles qui étaient dans la confidence. Mais c’est vrai que c’est moi qui ai pris en main toute l’organisation
— Je te fais confiance pour ça. Je sais que tu es efficace
— Oui, et jusque dans les détails, et même pour ce type de soirée… un peu spéciale !
— Oui, j‘avoue. En tout cas je me souviendrai jusqu’à ma mort de cette fête de départ en retraite… pas banale. Je ne crois pas qu’il y ait beaucoup d’hommes qui en ont eu une comme ça.
— Ça non ! Mais je dois avouer que tu as été efficace, toi aussi ! Et performant. Tu nous as toutes sidérée.
— Merci. Mais c’est quand même grâce à vous.
— Oui, n’empêche. On aurait aimé te connaître plus jeunes…
— Plus jeune ? Je n’étais pas aussi au top. Trop timide, trop timoré, pas assez expérimenté.
— Je parlais de nous… nous plus jeunes
— C’était différent, il y a quelques années. J’étais en couple. Et j’étais fidèle
— Oui, c’est comme ça la vie
— Mais tu as raison : j’aurais sans doute aimé prendre le pucelage de Vilma, et celui d’Aurore… rigolai-je
— Tu as quand même eu le pucelage anal d’Aurore, ce soir. Ça n’est pas rien !
— C’est vrai
— Et apparemment elle a apprécié. Elle a profité de ton expérience. Tu as été très doux, très classe
— Apparemment
— Moi ça n’est pas mon truc. N’empêche : si j’avais été dépucelée « par devant » par un mec doux et expérimenté comme toi… J’aurais apprécié. Pas comme les premières fois pas terribles…
— Par un vieux, tu veux dire ?
— Arrête, t’es encore pas mal
— En tout cas ça clôture en beauté ma carrière, toutes ces années parmi ces femmes… J’ai été honoré. Et ce soir vous m‘avez honoré. C’était mon baroud d’honneur
— Toi aussi tu nous as honorées ! rit-elle. Et bien !
— Euh… oui
— Bon, c’est pas le tout, se ressaisit-elle, on a encore un tout petit peu de taf. Et moi je vais repasser sous la douche
— Oui, moi aussi
— Alors vas-y pendant que j’aère et que je retape le lit. Si y a un problème avec mes amis, je dirai qu’il y a peut-être un couple qui est venu là en loucedé faire « je ne sais quoi »… rigola-t-elle
— Et ça ne sera pas faux.

Je pris une douche très rapide, elle m’y succéda, on se rhabilla, finit de tout remettre en ordre après avoir bien aéré, et on quitta l’appartement. 

Je l’embrassai sur les deux joues comme une bonne copine, avant de m’en aller : 

— Allez, salut.
— Et si un jour je suis en manque, si mon mec ne me satisfait plus, p’t-être que je ferai appel à tes « services », qui sait ?
— Pourquoi pas ?
— Ou p’t-être que ça sera une autre des filles… Ou Samia ...pour se faire claquer son gros fessier ! rit-elle
— Peut-être. Je resterai disponible pour vous, les filles. Je vous dois bien ça.
— Alors tâche de rester en forme !
— Je vais essayer. À bientôt Jessica !

         « Et partout dans la rue
          J’veux qu’on parle de moi
          Que les filles soient nues
          Qu’elles se jettent sur moi         Qu’elles m’admirent, qu’elles me                    tuent.          Qu’elles s’arrachent ma vertu 
»

FIN
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