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Quelle soirée.

Chapitre 4

Confidence d'une mère

Inceste
[Confidence de cette mère aimante que je suis pour Hugo]Lorsque l’on est mère, la vie n’est pas tous les jours facile. Entre le boulot, la maison et mes enfants dont Hugo je n’ai pas vraiment une minute à moi.(Hugo : Je dois être honnête, je ne l’épargne pas vraiment et dès que je peux la mettre mal à l’aise, je n’hésite pas et surtout depuis ce qui se passe entre nous).
Et même quand j’ai un petit moment de libre, il faut que cela tombe lors de la réunion parents prof. On peut dire que c’est la loose, mais cette réunion n’allait pas être au final si pourrie que ça. Cela fait trois ans qu’avec le père de mes enfants, il ne se passe pas grand-chose et depuis cet intermède incestueux avec Hugo, c’est assez particulier et violemment excitant. Et dieu sait ce que mon fils me le rend bien. Quel coquin celui-là. Il est excitant et quand il s’occupe de moi, il ne m’épargne pas. La dernière fois qu’il s’est acharné sur moi, j’ai eu sacrément mal le lendemain à mon petit cul. J’étais une vraie salope. J’en rigolais le lendemain, seule, en y repensant.
Bref, depuis, c’est le néant, et ce, à mon plus grand désespoir... Il faut dire que je suis assez difficile et exigeante, mais en même temps quand on est maman et femme accomplie professionnellement, on sait ce qu’on veut et surtout ce qu’on ne veut pas. L’autre soir avait lieu la fameuse réunion parents profs. A chaque fois, je calcule mon coup et je ne cale pas de rendez-vous afin d’être seule et surtout d’être posée. Au calme et sans rien à faire après. Me voilà devant la salle de classe où se déroule la réunion.
Heureusement pour moi, je ne suis pas seule à attendre. Il y a Hugo, qui vient de me rejoindre. Il m’embrasse. Je le trouve beau et séduisant, mais je me fais la promesse de prendre du recul et ne pas répondre à ces avances.
J’entame la discussion tranquillement en attendant que notre tour se présente, on échange des futilités, il me demande de l’argent comme d’habitude. Trois autres parents plus tard, c’est enfin à moi d’entrer.
L’entrevue dura environ 20 minutes qui furent pour moi une éternité et bla-bla-bla, mais je me devais d’être là. Je fais fi de ce que l’on me dit, Hugo est un bon étudiant, je ne me tracasse pas trop, mais je sais qu’en ce moment, il se laisse un peu aller.
Je sors de l’école, je perds Hugo de vue et qui vois-je appuyé à côté de la voiture ? Hugo en personne ! Je fus surprise de le voir et il m’expliqua alors qu’il n’avait pas de soirée de prévue et que je devais le ramener à la maison. Ce n’est pas comme ça que je voyais les choses, mais bon... J’en déduis qu’il serait ravi que l’on continue notre discussion et notre soirée autour d’un verre voire d’un repas.
Il accepta immédiatement ma proposition, j’étais distante et froide pour lui faire comprendre certaines choses et nous voilà en route direction un petit bar resto sympa. La soirée était top. On parlait de tout et de rien et dès qu’Hugo essayait d’amorcer une discussion trop ambiguë, je bottais en touche. Il devait bouillir de l’intérieur, d’autant plus que sans vouloir me flatter, j’étais légèrement vêtue et plutôt sexy avec ma jupe sans petite culotte (je ne sais pas s’il l’avait vu) et mon haut noir. Les heures défilèrent à la vitesse grand V et il était déjà l’heure de rentrer. Je n’avais qu’une hâte, rentrer à la maison et me faire du bien, seule, à me déchaîner devant le miroir comme une vraie petite salope comme je le faisais depuis quelques soirées avec mes godes tous aussi gros les uns que les autres.
Sur le retour, Hugo ne cessa de me complimenter et m’avoua qu’il attendait depuis pas mal de temps de passer une soirée avec moi. J’étais très flattée par ses paroles. Il sait y faire. Nous arrivons devant le parking afin que je récupère ma voiture et que nous puissions rentrer. Au moment de rentrer dans la voiture, je tendis ma joue pour lui faire une bise, mais il m’esquiva et m’embrassa à pleine bouche. Dans un premier temps, je fus choquée par ce baiser si inattendu puis me laissai complètement aller sous ses lèvres si délicieuses. Nous étions sur le parking, appuyés sur sa voiture à nous embrasser tels deux ados. Étant collée à lui, je sentis qu’une bosse était en train de se dessiner au niveau de son entrejambe. Je sentis des picotements dans mon bas-ventre, des pensées coquines faire leur apparition, mais non non non, je ne céderai pas.
Je ne pensais pas que je pouvais encore faire autant d’effet... Du moins pas si vite, garce que je suis, j’étais en train de me dire que je n’avais qu’une hâte, me faire baiser. JE M’AVENTURAI À LUI TÂTER LA QUEUE DÉLICATEMENT PUIS COMMENÇAI À LA CARESSER. Nous avions bu, on rigolait. Pendant ce temps, il continuait de m’embrasser en prenant soin de descendre vers mon cou tout en pelotant mes seins, ce qui a le don de m’exciter fortement. Je pense que nous avions tous les deux la même envie. Je me baissai afin de goûter à sa jolie queue qui me paraissait bien grosse. Au départ, je le pompai doucement puis augmentai crescendo ma cadence. Sa bite durcissait de plus en plus et j’avais presque du mal à l’enfoncer bien profond dans ma bouche. Le coquin était putain de bien gaulé ! Je la connaissais bien cette queue.
Je sentis monter en moi une forte excitation, à tel point que ma chatte était si humide que ça coulait le long de mes cuisses. Je me relevai et l’embrassai à nouveau. Il m’installa alors sur le capot de la voiture encore toute chaude. Il écarta mes jambes et me pénétra d’un coup. Il faut dire qu’entre ma salive et ma mouille, il entra sans aucune difficulté son gros engin. Je ne voulais pas que cette soirée se passe ainsi, mais c’était plus fort que moi. Mes trous étaient ouverts, à sa merci.
Non seulement il était bien gâté par dame nature, mais en plus de cela, il savait très bien manier sa queue et ses coups de reins. Il me pilonnait assez fortement en prenant soin de temps en temps de ralentir sa cadence afin d’accentuer mon plaisir. Au bout d’un moment, je me mis dos à lui, mes mains appuyées sur le capot. JE DEVINAIS L’IDÉE QU’IL AVAIT DERRIÈRE LA TÊTE, MAIS APPRÉHENDAIS UN PEU LE PASSAGE DE SA BITE DANS MON PETIT ORIFICE. Il était complètement ouvert tellement l’excitation était grande. Il y alla en douceur en commençant avec un doigt puis deux qu’il avait préalablement humidifiés. Sentant mon anus prêt à accueillir sa queue, il se mit à pénétrer dans mon intimité la plus secrète. Je ne vous cache pas qu’il y a eu un petit sursaut qui laissa rapidement place à un plaisir indescriptible et Hugo sait que j’aime me faire enculer. Au début, je suis toujours réticente, mais après, c’est un vrai plaisir. Je pense être capable de jouir que par le cul.
J’étais en train de devenir sa petite salope et j’aime ça, je doute que ses petites copines de 20 ans lui font autant d’effet. Il m’encula bien comme il faut en me donnant des coups de bite assez puissants, des bons coups de bites, elle rentrait entière au fond de mon cul qui ne demandait que ça. Encore et encore, il était en sueur et je mouillais comme une petite chienne. Il le savait, il le sentait et je sais que ça le rendait dingue.
J’étais là en train de me faire sodomiser sur le capot d’une voiture par mon fils... La scène était pour moi surréaliste, mais tellement excitante. Il avait encore gagné. Il m’encula de la sorte pendant un bon moment auquel je mis fin en atteignant un orgasme anal jamais atteint jusqu’à présent. Au même instant, je sentis son sperme tout chaud se loger au fin fond de mon conduit anal. Il me retourna et m’embrassa à nouveau pendant que son foutre dégoulinait le long de ma jambe. Nous avons fini la soirée à la maison où nous avons baisé comme des bêtes toute la nuit et je me suis laissé aller comme une vraie petite salope qui n’avait qu’une envie : se faire matraquer comme jamais tellement l’excitation était là.
Merci Hugo pour tous ces moments et ce que tu me fais vivre. Je t’embrasse
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