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Quelle soirée.

Chapitre 5

Quelques mois passèrent

Inceste
Les semaines et les mois passèrent. La relation avec ma mère était particulière. De la gêne, de l’excitation, de l’envie, de l’interdit et on savait tous deux que ce que nous faisions n’était pas bien, mais d’un côté quand nos ébats s’emballaient comme la dernière fois au conseil des profs, c’était divin et surréaliste. Quelle salope quand j’y pense !
D’ailleurs cette soirée avait été suivie d’une nuit dantesque où je la prenais à la fois comme la pire des coquines, mais avec sensualité et passion. On s’en souviendra longtemps de cette nuit-là. Les masques étaient tombés, comme si nous les avions mis de côté et on baisait comme elle pourrait le faire avec un amant à elle ou moi avec Clem, ma petite amie du moment. On avait bu, on riait, on jouissait. C’est peut-être pour ça que j’ai eu du mal à retrouver une amie aussi fun de ce point de vue là. Clem d’ailleurs, je pourrais vous en parler plus longuement, mais qui est une sacrée coquine elle aussi. Plus mijorée que ma mère, mais sacrément ouverte d’esprit.
J’avais pris mes distances, il y a quelques mois pour revenir à une relation mère-fils normale. Je retournais donc vivre dans mon studio que ma mère me payait et j’avais eu un stage à réaliser de 3 mois que j’avais effectué à Munich. Un super stage que j’ai adoré.
Le retour fait, je retournais à la FAC pour finaliser mes études et avec ma mère on avait fêté mon retour en famille, sagement et comme avant. C’était chouette. Un samedi comme un autre, ma mère m’appela vers 11h.
— Hugo, ça va c’est maman ?— Oui ça va et toi ? Tu voulais quoi ?— Rien de spécial, juste prendre de tes nouvelles et savoir si une séance ciné de tentait ? Je ne fais rien ce soir et j’ai vu que Black Swan passait à 22 h.— Ouais carrément bonne idée, je suis en solo ce soir et black swan top ! Par contre je ne mange pas avec toi, car je bouffe en ville avec des potes, on se rejoint là-bas ? Et après je ne traîne pas je rejoins des copains pour aller en boîte. Mais je suis carrément opé de t’accompagner au ciné.— Super, on fait comme ça. Bisou Hugo, je t’embrasse.— Idem bisou maman,à ce soir.
[On est installés, le film va commencer, en haut de la salle, il n’y a pas grand monde]
Il fait sombre, la salle est presque vide, le choix d’une séance tardive n’a sûrement pas été fait au hasard... Je commence déjà à fabuler et ma mère est de toute beauté ce soir. Talons hauts, jupe noire et un haut échancré. Je vois juste avant qu’elle s’assoie la démarcation de son string ficelle, je fais comme si de rien n’était, mais ça me rend déjà perplexe. Je me raisonne et je sais que de son côté tout est clair sur notre relation érotico-épistolaire et que nous y avons mis un point final. Sa peau est douce, elle sent bon. Nous choisissons le dernier rang, sur le côté pour avoir un peu d’intimité et être au calme. Je m’éclipse acheter des sodas et des popcorns.
Elle est souriante, je le suis aussi. Jambes croisées, elle se penche vers moi. On mange des popcorns et on est là, posés au calme. Le film démarre. Bien que le film nous semble intéressant, l’éclairage tamisé éveille déjà mes sens. Assis l’un à côté de l’autre, elle me regarde avec un air que je connais, qui de toute manière, l’a déjà trahie depuis la file d’attente. Je vais avoir du mal à me concentrer sur le film, j’ai déjà très envie d’elle, envie de la remercier pour cette soirée et cette nuit lors de mon conseil parents-profs. Mais non, il n’en sera rien, je me retourne, je croise les jambes, car je commence à bander, c’est horrible. Et là je me dis dans mon for intérieur : Allez Hugo putain ressaisis-toi ! Niet niet niet ! Je me demande même si je ne devrais pas aller aux toilettes me soulager, question d’avoir les idées claires. Self-control.
Je la sens câline et attendrissante ce soir, avec son bras, elle me ramène vers elle. Nous sommes l’un contre l’autre. Je respire correctement, mais discrètement pour pas qu’elle sente quoi que se soit. Elle m’excite déjà, c’est atroce et je commence à me demander s’il n’y a que moi à avoir ce genre de pensées.
D’un geste délicat et lent, elle prend mon bras puis elle guide ma main vers son bas pour finir entre ses jambes.
— Laisse-toi faire Hugo, j’ai envie de toi, ne dis rien. Regarde mets ta main...— Non maman pas ce soir, qu’est-ce qu’on s’est dit ? Ça me gêne.
Ma main descend et s’arrête là où elle veut que ma main soit.
— Je ne te demande rien, tu te laisses faire, tu joues le jeu et on se quitte après le ciné. Allez mon petit chat, fais-moi plaisir. Tu sais à quel point je peux être une vraie petite coquine. Et là je veux l’être avec toi... Tu es sûr de ne pas vouloir continuer ? C’est pas ce que tu disais à notre dernière soirée.
Un silence prit place quelques instants. Je m’aperçois qu’elle est nue, pas de petite culotte. Aucun tissu n’entrave cette entrée. Sa peau lisse, douce, est terriblement brûlante. Le bout de mes doigts la touche délicatement, l’électrise de part en part, et récolte quelques gouttes d’excitation, de ce nectar dont je rêve tant. Comme à son habitude elle est épilée. Je remonte ma main et elle lèche mes doigts, elle les suce discrètement, ma queue ne tient plus dans mon caleçon, mais je ne bouge pas. Des milliers d’images passent dans ma tête et entre autres la dernière position où ma mère en levrette se donnait à moi avec force. Sur les genoux derrière elle, ma queue raide et elle venait s’empaler entièrement sur ma queue comme une furie encore et encore. Ma vue était extraordinaire avec cette petite chatte que je limais et qui était trempée ainsi que son petit anus déjà bien ouvert de par la soirée que nous avions passée. Il était dilaté et accueillant.
Bref, là nous étions au cinéma. Mes doigts sont tout mouillés, et elle les lèche un à un, mon regard plongé dans le sien. Mon cœur bat la chamade et je n’ai qu’une envie c’est de rentrer à la maison et lui donner ce qu’elle souhaite.
— Tu viens, on rentre ? On va chez moi ?— Non, on reste ici. Tu ne bouges pas et tu ne dis rien. Je n’ai rien envie d’autre que ce que je vais te faire.
Je soupire. Sa main est sur ma cuisse, pour de doux mouvements, de douces griffures à travers mon pantalon. Sur la jambe vers le genou, puis revenir par l’intérieur de ma cuisse, en direction du petit amour à l’étroit dans mon pantalon.
J’ai envie d’elle et d’aller de plus en plus loin. C’est trop tard, on ne peut pas s’arrêter en si bon chemin. Elle descend ma braguette sous mon regard excité et désireux d’envahir sa bouche de ma douce queue. Je défais le bouton de mon pantalon et me mets à l’aise... sa main extirpe la diva de cet endroit confiné et commence de tendres va-et-vient. Le rythme est lent, sa main exerçant une légère pression est douce. Je respire vite. Je crois être en plein rêve et elle sert ma queue comme à son habitude, avec une certaine force. Je la sens terriblement excitée.
Discrètement elle se baisse et se cache, elle démarre les va-et-vient avec sa bouche et entreprend une fellation. Lentement, très lentement... Une fellation improvisée dans un lieu public accentue le désir et l’excitation autant pour elle que pour moi, elle mouille à n’en plus finir. Je sais qu’elle aimerait que je puisse l’attraper par les hanches pour la malmener. Je ne peux rien faire, je suis spectateur d’une scène qui m’échappe complètement et que je n’avais pas envisagée. Je lui écarte les jambes avec mon pied et elle vient y frotter sa petite chatte. Elle se branle sur moi en me suçant et je sens sa mouille couler sur mon pied. C’est d’une extase indéfinissable. Il se passe quelques minutes comme ça.
Elle est formidable et je sens qu’elle ralentit. Elle jouit et étouffe comme elle peut un léger couinement. Incroyable.
— Vas-y continue, tu as commencé, tu vas finir. Fais ça sans faire de bruit, Vas-y continue, tu as joui c’est mon tour. Vas-y, reprends.
Elle me toise, elle sourit, reprend ma queue dans sa bouche et elle suce. Elle la prend entièrement dans sa bouche. Ma main sur sa tête et mes doigts s’emmêlant dans ses boucles influencent le rythme et je l’enfonce au plus loin dans sa bouche. Ça dure quelques minutes, mais je sens que ça va venir vite. J’en ai mal à la queue tellement que je bande. Finalement, elle me laisse prendre en main mon plaisir et je lui baise littéralement la bouche. J’accélère, quelques gémissements s’échappent et je sens monter dans ma queue mon jus, avant qu’elle le reçoive chaud au fond de sa gorge... Plusieurs salves saccadées de sperme qui envahissent sa bouche et elle continue de me sucer. Elle avale, remonte, s’assied.
J’essuie sa bouche et je l’embrasse. Electrisant, sensationnel, jouissif. La séance terminée, nous sommes partis prendre un verre chez moi. Ce qui m’a surpris c’est qu’elle avait déjà tout prévu et que son sac était prêt dans la voiture, elle avait déjà envisagé cette soirée. Quelle coquine ! J’ai l’impression que notre pacte avait été une nouvelle fois rompu.
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