Mon téléphone sonne: c’est Stéphane qui me donne rendez-vous après son rendez-vous. Très bien, je regarde son agenda: ça veut dire à 19 heures. Je sais que s’il m’écrit un vendredi à cette heure-ci (tiens il est quelle heure d’ailleurs? 17h17, ça porte bonheur paraît-il) il ne s’attend pas à ce que je continue de travailler. Il sait dans quelle situation ça ne sert à rien de rester pour rester, et comprend très bien qu’un employé qui reste à s’ennuyer parce qu’il a fini ses objectifs de la semaine ne peut que nuire à son entreprise; mais moi visiblement, et je frémis d’impatience à cette idée, je n’ai pas fini ma semaine. Je sors de mon bureau, ascenseur, je suis dans la rue, fais le tour de l’immeuble, je suis derrière le bâtiment, près du local poubelle; une forte odeur m’envahit les naseaux et paradoxalement (parce que je sais ce qui m’attend) m’excite un peu et fait se dresser légèrement ma bite dans mon pantalon. Cette odeur, je l’associe aux soirées particulières que je passe avec Stéphane, mon patron, aux rendez-vous d’après travail. J’ouvre la porte à code que je suis l’un des deux seuls à connaître (l’autre étant Stéphane lui-même), monte l’escalier de service, m’arrête au troisième étage, c’est-à-dire à l’étage que je viens de quitter, mais de l’autre côté du bâtiment, et je frémis de penser à ces quelques employés qui attendent de finir leur journée et de partir, comme Muriel, la comptable taiseuse mais très tendre, qui doit vite rentrer après avoir passé ses derniers appels, Brigitte, ma copine de café; si elles savaient... Et cette pensée, ce secret que je cache me fait dans la tête comme un vide qui me donne le vertige. 17 heures 32. J’arrive enfin dans le vestiaire (plutôt conçu comme une loge de théâtre en fait) où Stéphane me laisse les affaires que je porterai. Pour aujourd’hui, comme souvent, un petite culotte noir (mais il a pensé à en prendre un conçu pour y mettre ma petite queue) en coton (classique donc); une jupe crayon, noire également; des bas en coton, ornés d’un petit pois régulièrement espacé; un chemisier blanc décolleté que je vais remplir de la paire de faux seins (pas très gros aujourd’hui) qu’il m’a mise de coté; évidemment une veste de tailleur noire assortie à la jupe, et ses lunettes préférées. Les escarpins pointus ont des talons de 5 ou 6 centimètres, je les enfilerai en dernier. Une tenue cliché de secrétaire, en somme, ce qui compte très bien vu le rôle que je joue dans nos rendez-vous. Je commence à me préparer: déjà je me déshabille entièrement dans la loge, je vérifie qu’il n’y a pas de poils qui dépassent sur mon torse, puis que ma barbe n’a pas assez repoussé pour dénaturer la féminité de mon visage. J’applique le fond de teint qu’il a choisi lui-même, parfaitement adapté à ma carnation (il a l’oeil, je suis chanceuse - chanceuse? qu’est-ce que je dis?), puis l’anti-cernes (je dois être parfaitement apprêtée), un peu de blush rouge que j’étale bien, un rouge à lèvres pourpre qui tranche avec la pâleur de ma peau et s’assortit à mes yeux bruns. Je lâche le chignon dans lequel j’enferme mes cheveux la journée, et je brosse mes cheveux pour leur redonner leurs boucles. Ils tombent sur mes épaules. Je me regarde dans le miroir et me trouve méconnaissable. 18h 02 J’enfile la culotte, dont le coton enveloppe mon sexe de sa douceur. Je n’avais pas vu, il est écrit dessus "yes sir" en petites lettres grises brodées, puis les bas, qui montent jusqu’à mes cuisses et me caressent la peau. La jupe vient m’enserrer la taille et les fesses. Je ne peux pas bien écarter mes jambes qui sont serrées dans la jupe en nylon, mais un coup d’oeil dans le miroir me montre mes fesses rebondies et je ne peux m’empêcher de penser que moi-même je les claquerais bien un petit coup tant elles sont appétissantes. Le mélange entre mon torse plat et la forme féminine de mes fesses, mes cuisses et même mes pieds me fait quelque chose: bientôt je serai pleinement Cassandra (il m’a nommée comme ça en hommage au nom d’une de ses ex, une "sacrée cochonne" d’après lui) mais pour l’instant je suis un mélange absurde que je trouve beau. Je colle les faux seins sur mon torse, c’est du B, petits seins que je fixe avec le soutien-gorge qu’il m’a mis de côté. Je reçois un message "photo?" "oui" je réponds, et reçois un message contenant une image, que je n’ouvre pas. Je sais ce que c’est, et je me réserve l’excitation d’attendre avant de voir l’objet de mon désir. Je fais monter l’excitation mais mon sexe ne grossit pas; simplement quelque chose se fait en moi qui me donne l’envie de ce qui va arriver. Je salive. Les lunettes rejoignent mon attirail sexy. Elles ne corrigent rien, mais augmentent mon air sérieux. Le chemisier me ceint, la veste me drape: me voilà prête. Je sais que la photo qu’il m’a envoyée est le signal que tout le monde est parti, je l’ouvre, et vois, détachée sur la moquette de son bureau, un sexe à moitié turgescent que je reconnais immédiatement pour l’avoir déjà vu de près deux fois (notre petit arrangement secret ne date pas de longtemps). Mes pieds entrent dans les chaussures dont les contours marquent l’endroit où ils me tiennent. Je peux sortir. Je finis de monter l’escalier, arrive dans le couloir désert, toque à sa porte. Il est 18h 43: sa réunion s’est finie plus tôt que prévu. Je toque à son bureau. "Entrez. Ah, Cassandra, pourrais-tu aller me chercher le dossier sur lequel tu as travaillé aujourd’hui? J’ai besoin de vérifier un nom de client"(Je sais que ce qu’il dit est vrai. Il joue son rôle à la limite de la réalité, il a vraiment besoin de ce dossier, et je suis comme sa véritable secrétaire). je marche vers mon bureau, celui que j’ai quitté il n’y a pas deux heures, tremblante de croiser un collègue retardataire. Revenue dans le bureau de Stéphane, il ferme la porte derrière moi. Je dois attendre, debout dans l’encadrement de la porte, qu’il ait fini. Il pose le dossier sur son bureau.
"Cassandra, je ne te paie pas à ne rien faire. Va me chercher un déca, je ne suis pas encore en week-end donc toi non plus"."Bien sûr, pardon". Quand je reviens avec son café, il me demande de but en blanc;"Qu’est-ce qui t’arrive? Tu es complètement ailleurs. Tu penses à quoi?""Euh, je bafouille, je pense que tu sais ce à quoi je pense""Je crois que je le sais mais j’ai envie de te l’entendre dire""..." Il est assis sur son siège, moi debout les mains croisées dans le dos, mais son magnétisme me prend. Je n’ai qu’une envie, mais je ne l’ai jamais dit, ç’avait toujours été un implicite entre nous "J’ai envie de te sucer" m’entends-je dire."Ah ben voilà. Il ne faut pas être timide entre collègues, Cassandra. Ne t’inquiète pas tu vas y avoir droit. Mais d’abord, ramasse-moi ça s’il-te-plaît" et d’un coup sec il renverse le dossier que je viens de lui donner. Les feuilles s’éparpillent dans le bureau. Consciencieuse, je me penche pour les ramasser, quand je sens son regard peser sur mes fesses, qu’il regarde avec appétit. Il prend plaisir à me dominer des yeux, et je ne peux pas m’empêcher de me sentir idiote, travestie, devant mon patron, et ce sentiment me donne envie de reprendre le pouvoir. Avec sa bite dans ma bouche, j’aurai le pouvoir. Je classe les feuilles dans l’ordre, m’approche de lui. Il a glissé sa main dans son pantalon. "Alors monsieur, est-ce que je peux vous sucer maintenant?-Je t’en prie Cassandra." Je m’agenouille devant lui, et j’imagine à quoi ressemblent mes fesses de derrière, bombées par la forme de la jupe. "Non, Cassandra: à quatre pattes sur mon bureau d’abord" Je n’ai jamais sucé dans cette position, je me sens tellement sexy. "Ouvre la bouche, tire la langue". Pendant que je m’exécute, il fait un tour de table, glisse sa main sur ma jupe, sur mes cuisses, sous ma jupe, je ne sais pas si je suis chatouillée ou si je frissonne d’excitation, mes mains s’agrippent au bord du bureau, je me penche en avant, la langue toujours sortie. Il se met devant moi, se déboutonne, ouvre sa braguette et en extrait son sexe. Moi je ne bouge pas, fascinée, quelques gouttes de bave glissant le long de ma langue. Il pose enfin son gland dessus, m’attrape la tête des deux mains, et commence de doux va-et-vient. Il sait que je n’ai pas énormément d’expérience, alors il est gentil avec moi. Sa bite envahit de petites parts de ma bouche, je me sens vraiment cochonne, moi aussi, comme son ex, et il a l’air de prendre son pied. Il me baise doucement la bouche, puis se retire et se rassoit sur sa chaise. Sans un mot je descends du bureau, me remets à genoux, et je vais pouvoir déguster ce dont il vient de me gaver. Je lèche le petit canal mou qui va des couilles au bout du gland, j’amollis ma langue pour qu’elle embrasse le plus de surface possible, je bave bien sur l’intégralité du bas de son sexe. je colle mon nez sur ses bourses, j’en aspire l’odeur pendant que ma main empoigne gentiment la verge . Je m’emplis du parfum particulier et de la sensation molle et douce des ses couilles, je les révère, je les aime tant, en même temps je frotte sur mon front sa queue dégoulinante de ma bave, dans un effort pour lui montrer à quel point je suis prête à me dégrader pour son plaisir esthétique. Ma langue fait des spirales de son périnée à sa verge, que je reprends enfin, mes lèvres embrassent langoureusement les côtés, s’adoucissent et caressent d’un baiser humide les formes délicieuses de sa queue. J’arrive enfin au gland, que j’engloutis tout doucement en même temps que je le pose sur ma langue. Je tente d’enfoncer sa bite dans ma gorge, ma langue en même temps s’arrondit pour accompagner le mouvement et tente de gagner du terrain à droite, puis à gauche, puis à droite... Je recule, le relâche dans un bruit de succion, et un filet de bave relie son frein à mon menton; Je me sens chienne. J’aime ça. 19h27. J’accélère le mouvement, je l’accompagne de ma main qui glisse sur sa base, et je sens qu’il perd le contrôle "je risque de jouir" tu m’étonnes, je travaille cette queue comme jamais, je la rentre je la sors de ma bouche, elle alterne entre l’air roid et ma bouche chaude et accueillante, je me concentre avance mes lèvres jusqu’à un tiers de la hampe et me mets à la masturber délicatement tout en enroulant ma langue autour de son gland. "je vais jouir attention" me répète-t’il, il ne veut pas me forcer à toucher son sperme si je n’en ai pas envie. Taquine, je lui lève le pouce pour signifier que j’ai compris. La peur de me surprendre par son éjaculation s’en va, je le sens se détendre, et soudain la viscosité de son sperme atteint le fond de ma langue, l’intérieur de mes joues, en cinq jets consécutifs et un peu répugnants. Mais je suis tellement excitée que je les garde en bouche, j’attends qu’il ait libéré la dernière petite goutte dans un râle, j’essuie son méat de ma langue, et j’avale d’un coup tout son sperme en me délectant du plaisir que je viens de lui donner.