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La quête d’Asia

Chapitre 11

L’épreuve de rattrapage

Hétéro
Je suis debout depuis six heures, impatient et un peu inquiet. Impatient de revoir Asia, inquiet qu’elle ait décider d’abandonner. Je me suis astreint à ne pas lui donner signe de vie de la semaine… et elle en a fait autant. Après une semaine d’abstinence, je suis excité comme un jeune homme qu’un trop plein de sève travaille.
Comme j’ai un plan pour ce week-end, j’ai pris la dose maximale de mes pilules jaunes, ce qui me garantit trente-six heures de forme olympique. Si Asia ne vient pas, il va falloir que je fasse appel à mes relations… Mais au fond de moi, je suis intimement convaincu que je vais la revoir.
Huit heures pétantes, la sonnerie de l’interphone retentit. J’attends quelques secondes avant de répondre d’une voix aussi neutre que possible :
— Oui ?— C’est Asia, Monsieur.
Je suis soulagé et euphorique. Deux petites minutes plus tard, on tape à la porte. J’ouvre avec un air détaché en feignant la surprise.
— Bonjour Asia, je ne pensais pas te revoir.
Elle se tient devant moi, vêtue d’un sage imperméable qui lui arrive aux genoux, trempée. Tout à mes préoccupations, je n’avais même pas remarqué qu’une abondante pluie arrosait copieusement Paris ce matin. Elle me répond simplement, sans relever la provocation :
— Bonjour, Monsieur.
Je tiens à ce qu’elle fasse amende honorable.
— Tu as changé d’avis ?— Oui, Monsieur.— Tu es enfin prête à te laisser guider ?— Oui, Monsieur.— Très bien, nous allons voir ça. Donne-moi ton imper, tu es en train d’inonder mon appartement.— Pardon, Monsieur, répond-elle en l’ôtant.

Pendant que je l’accroche au porte-manteau, je découvre la tenue qu’il dissimulait. Elle n’a rien de sage… Un très fin chemisier blanc transparent, qui ne cache rien de ses magnifiques petits seins qui tendent le tissu et une jupe plissée noire très très courte, qui dévoile ses superbes jambes, mises en valeur par une paire de bottines à hauts talons.
Et puis elle s’est parée d’un collier élastique ras de cou noir en forme de tatouage gothique. Elle veut visiblement m’envoyer un signal. C’est terriblement sexy !
Je n’en laisse rien paraître, enfin je l’espère, mais je suis vraiment scotché. Alors qu’elle se tient toujours devant moi sur le pas de la porte, immobile, je glisse une main sous sa jupe. Elle écarte docilement les jambes et croise ses mains dans le dos en baissant la tête. Une louve féroce qui fait acte de soumission à son mâle alpha, pensé-je à cet instant. Je rencontre un pubis lisse et fraîchement épilé. Ce matin très certainement. Un doigt s’aventure dans sa chatte et s’y enfonce sans difficulté. Elle mouille abondamment. Ma main progresse entre ses cuisses qu’elle écarte un peu plus pour me faciliter le passage et rencontre… une paire de couilles.
— Je vous ai ramené votre godemiché, Monsieur, dit-elle d’un air faussement innocent.— Entre, je te prie, lui dis-je en avalant ma salive.
Je m’installe sur le canapé sans lui demander de s’asseoir et lui ordonne de se déshabiller mais de garder ses chaussures. Elle s’exécute lentement puis reste debout devant moi, droite dans ses bottines, bien cambrée, mains à nouveau croisées dans le dos, yeux baissés.
— Comment s’est passée ta semaine ?— Sportive et studieuse, Monsieur.— Bien. Rien de spécial à signaler ?
Après un instant de réflexion probablement feinte, elle se lance.
— Si Monsieur. Je me suis branlée dans la nuit de samedi à dimanche.
Elle ajoute avec un débit qui s’accélère, comme une petite fille qui chercherait à se justifier, en se dandinant mais en affichant une mine aguicheuse, totalement décalée.
— J’étais désemparée et j’avais beaucoup de stress à évacuer. J’ai fait des rêves très hard, Monsieur.
Même si je suis persuadé qu’elle joue un rôle, je jubile. En prenant un air sévère et très contrarié, je rentre dans ce qui est finalement son jeu car j’ai le sentiment que c’est elle qui mène les débats et qu’elle m’emmène en fait où elle veut. Je lui demande de m’en dire plus.
— Quels rêves ?— De nombreux hommes me maltraitaient de toutes les manières, Monsieur.— Sois plus précise, je te prie. Des hommes de quel âge, de quelles manières ?— Des hommes jeunes. Ils me pénétraient par tous mes orifices simultanément, me battaient, m’éjaculaient et me pissaient dessus, Monsieur poursuit-elle.
Des fantasmes avec des garçons de son âge. Cela indique une évolution.
— Et ?— J’ai eu du mal à jouir en me caressant simplement le clitoris. Alors je me suis pénétrée avec le gode, mais je ne le sentais pas.
Elle marque un temps d’arrêt avant de compléter, en me jetant un regard en coin avec un sourire d’une incroyable perversité, en rougissant discrètement toutefois :
— Alors je me le suis fourré dans le cul. Et j’ai connu immédiatement un énorme orgasme.
Le contraste entre la description très crue et le ton innocent est saisissant. Je fais mine de m’emporter.
— Espèce de petite cochonne lubrique. Non content de désobéir, tu te comportes une catin ! Autre chose que je devrais savoir ?— Je me suis à nouveau masturbée dimanche matin, au réveil.— Eh ben dis donc ! Tu ne fais pas les choses à moitié quand tu désobéis. Et sous quel prétexte cette fois ?
Toujours avec ce curieux mais délicieux mélange de soumission et de provocation, totalement inédit pour moi de la part d’une « patiente », elle répond :
— Je me suis remémorée notre séance de l’après-midi.— Tu veux dire quand je t’ai fouettée avec le martinet, puis que je t’ai arrosée de sperme après que tu m’as si mal sucé ? Sans parler de ton retour en métro avec un gode dans le cul ?— Oui, Monsieur.
Je garde le silence en la fixant sévèrement, comme si je réfléchissais. Puis d’un air las, je l’interpelle :
— Que dois-je faire de toi ?— Me punir très sévèrement, Monsieur, assurément, répond-elle vivement, presque enthousiaste.
Peut-être a-t-elle endossé ce costume parce qu’elle redoutait que je mette ma menace ultime à exécution : la fin de notre relation ? Mais, à la réflexion, je ne le pense pas. Je suis en fait maintenant convaincu que ses réticences et sa résistance vis-à-vis de moi sont non seulement surmontées, mais encore qu’elle a parcouru un bon bout du chemin, quasiment toute seule. Le déclic que je recherchais a déjà eu lieu.
Quoiqu’il en soit, je sais désormais qu’elle est déterminée et prête à me suivre. À moins que ce ne soit l’inverse ? Je chasse cette pensée et reprends le rôle qui doit être le mien.
— Ce serait le minimum, lui lancé-je alors. Depuis qu’on se connaît, tu sembles prendre un malin plaisir à discuter toutes mes demandes et à désobéir.— Je vous garantis que ça n’arrivera plus, Monsieur.
J’ai un doute… et je me surprends à souhaiter que ce ne soit pas vrai.
— Avant de décider quoique ce soit, je voudrais au moins jauger tes progrès depuis samedi dernier.
Sans l’ombre d’une hésitation, elle s’agenouille entre mes jambes, dégrafe mon pantalon sans se presser et sort mon traître de membre, en totale érection depuis déjà un bon moment, alors que j’aurais voulu faire preuve de beaucoup plus de détachement.
De sa main droite elle le positionne bien à la verticale, ouvre grand la bouche et tire la langue en plantant ses yeux noirs dans les miens quelques petites secondes. Puis elle se penche vers l’avant pour engloutir très lentement le félon presque jusqu’à la base, avant de s’immobiliser, en apnée, en croisant les mains dans le dos. La pression et les mouvements de sa langue alliés aux légers réflexes de sa gorge qui me massent le gland me procurent une sensation délicieuse.
Après quelques secondes, elle se retire tout aussi lentement en reprenant sa respiration par le nez avant de recommencer. Petit à petit, elle accélère le mouvement, avec de plus en plus maîtrise. Pour une première, le résultat est spectaculaire. Quel changement ! Elle a dû s’entraîner vraiment beaucoup.
Afin de l’inciter à aller encore plus loin et de gagner le petit centimètre qui lui manque, je lui appuie maintenant sur la tête à chaque descente. À chaque fois un peu plus fort. Elle ne résiste pas, au contraire, malgré quelques haut-le-cœur qu’elle arrive à contrôler. En revanche, elle salive abondamment et un filet de bave s’écoule continûment de sa bouche et vient tâcher mon pantalon.
Elle parvient finalement à m’engloutir totalement. Je suis au bord de l’éjaculation. Je m’extrais alors de sa bouche, me lève vivement du canapé et lui demande :
— Ouvre grand la bouche et ferme les yeux.
Elle s’exécute à nouveau sans l’ombre d’un mouvement de protestation. J’approche ma bite de son visage en me branlant vigoureusement alors qu’elle reste impassible. Je dépose la première giclée sur son front, puis les autres dans sa bouche. Aucune réaction, aucune grimace de dégoût, en dehors d’une légère moue et d’un discret froncement de sourcils quand elle avale pour la première fois du sperme.
Alors que je me rajuste en silence, elle garde la position en attendant mon verdict. Je le lui donne en prenant soin de maintenir la pression.
— C’est encore très perfectible, mais je dois reconnaître que tu as fait quelques progrès.— Merci, Monsieur. Soyez-sûr que je compte bien m’améliorer encore.— Si je t’en laisse l’occasion, je n’arrive toujours pas à me décider, tu es bien trop rebelle.
Je la vois sursauter, surprise, mais en maintenant toujours sa position à genoux, mains croisées dans le dos, dans l’expectative.
Je fais mine de réfléchir encore un long moment avant de déclarer.
— Voilà ce qu’on va faire. Je vais t’emmener pour le reste du week-end dans ma maison de campagne, du côté de Rambouillet. De ton comportement là-bas dépendra la suite. — Merci, Monsieur, répond-elle en se détendant, visiblement soulagée.— On peut y aller immédiatement les mains vides, il y a tout ce qu’il faut là-bas. Retire le gode puis mets ton imperméable et on est parti.
En se relevant, elle me regarde et je la vois ouvrir la bouche, sur le point de formuler une remarque ou de poser une question. Il faut dire que je ne lui ai pas proposé de se rhabiller avant de mettre son imperméable. Délibérément, évidemment… et un filet de sperme coule de son front sur son nez.
Mais elle se ravise aussitôt. Elle s’accroupit devant moi, passe sa main entre ses jambes et, dans une position d’une impudeur et d’un érotisme fous, extrait précautionneusement le membre factice. Elle le pose avec un grand détachement sur la table basse puis se dirige vers le porte-manteau, en silence, lentement, d’une démarche chaloupée et grâcieuse. Elle revêt stoïquement son pardessus. Je lui tends négligemment et sans un regard un mouchoir en papier qu’elle prend en me remerciant.
Je me saisis des clefs de la voiture, de celles de la maison, de ma trousse de médecin, j’enfile un blouson et nous voilà partis.
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