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La quête d’Asia

Chapitre 16

Week-end initiatique - cinquième partie

Hétéro
— Debout là -dedans !
L’irruption soudaine de Monsieur me réveille en sursaut. Mon cœur bat la chamade et j’ai du mal à me situer dans cette pièce où je n’ai pas de repères. Je n’ai aucune notion de l’heure qu’il peut être. Avant que je n’aie eu le temps de reprendre mes esprits, il me sort du lit sans ménagement et me conduit vers le cheval d’arçon en me tirant par un bras.
Ce meuble de bonne facture est de construction artisanale. En bois massif, un revêtement en cuir légèrement rembourré recouvre la poutre horizontale, qui repose sur quatre solides montants formant par paire des V inversés. En partie basse de chacun, des cercles métalliques pourvus d’anneaux sont solidement fixés.
Monsieur me contraint à m’y allonger sur le ventre et vient accrocher mes bracelets aux anneaux au moyen de mousquetons. Mes jambes épousent la forme des montants arrière, qui me contraignent à les écarter largement. La pointe de mes pieds touche à peine le sol, mes bras sont tendus à l’extrême, ma tête pend dans le vide.
À l’aide d’une sangle serrée au maximum, Monsieur plaque mon ventre sur le cuir. Ma vessie ainsi comprimée se rappelle à mes bons souvenirs… Je suis complètement immobilisée et totalement à sa merci, offerte. Une sourde angoisse commence à m’envahir.
Il vient alors se positionner devant moi et me bande les yeux avec un ruban en velours noir, qu’il noue derrière ma nuque. Désormais aveugle, je suis à l’affût du moindre bruit qui pourrait me donner une indication sur le sort qu’il m’a réservé.
Je l’entends d’abord s’éloigner puis ouvrir les tiroirs de la monumentale commode. Après avoir fouillé un moment et probablement sélectionné les instruments de son châtiment, je le devine s’approcher et le sens se positionner derrière moi.
Avant que je n’aie eu le temps de réaliser, je sens un objet remonter le long de ma chatte, se positionner sur mon anus puis y pénétrer d’une seule poussée. Sur la base de mes expériences récentes, je dirais qu’il s’agit d’un plug de bonne taille. Il a pénétré sans difficulté et sans douleur particulière. Les assouplissements progressifs ont fait leur effet…
— Je n’ai même pas eu besoin de le lubrifier. Ce que j’ai récupéré au passage de ta petite chatte était largement suffisant.
Monsieur confirme ainsi l’impression que j’avais sans être capable de me l’expliquer : je mouille abondamment. Excitation ? Stress ?
En revanche, ce volumineux intrus vient s’appuyer sur ma vessie bien remplie et déjà contrainte par le sanglage. Je crains de ne pas pouvoir me retenir.
— Monsieur, je…— Si tu ajoutes un mot de plus, je te bâillonne, me coupe-t-il sèchement.
C’est incroyable comme on a du mal à penser à autre chose quand un besoin essentiel vous tenaille !
Je sens alors à nouveau une forme se présenter sur ma fente. Une légère poussée et l’objet est comme aspiré, me remplissant un peu plus. Je me sens très à l’étroit dans mon ventre. Et toujours cette maudite envie de…
L’engin qui occupe mon vagin semble de forme circulaire ou peut-être ovale. Il est prolongé par une sort de tige qui vient comprimer mon clitoris.
J’entends à nouveau le bruit d’un tiroir de la commode puis plus rien pendant quelques instants, jusqu’à que les sifflements d’un objet fendant l’air brise le silence. Monsieur doit être en train de s’échauffer en manipulant l’instrument de ma punition. Ce n’est pas le bruit du martinet ni celui de la cravache.
Le premier contact sur mes épaules me sort brusquement de mes interrogations. Même appliqué avec légèreté, cet impact est beaucoup plus cinglant que celui de la cravache. Il s’étend sur tout la largeur de mon dos. Il doit s’agir d’une longue baguette souple, une badine.
À cette pensée, un frisson me parcourt. J’imagine bien la souffrance que ce type d’instrument peut occasionner.
Ce premier impact est rapidement suivi d’autres tout aussi retenus, mais qui s’enchaînent sur un rythme soutenu en se déplaçant lentement le long de mon corps, jusqu’à atteindre mes mollets. Sans s’interrompre, Monsieur entreprend alors le chemin inverse en appuyant nettement ses coups. Chacun m’arrache maintenant un gémissement de douleur. Les mouvements réflexes de mon corps sont complétement bridés par mes entraves.
Au passage de mes cuisses, je sens une vibration se déclencher dans ma chatte et sur mon clitoris. Elle me procure une sensation agréable… mais a la mauvaise idée de stimuler une vessie bien remplie.
Après avoir achevé sa douloureuse remontée jusqu’aux épaules, la badine redescend et se focalise sur mes fesses. Les coups s’espacent mais deviennent de plus en plus appuyés. Le niveau des vibrations dans mon vagin et sur mon petit bouton augmente progressivement, en même temps que leur intensité. Le plug les transmet à mon anus.
Tout mon corps semble être réduit à une zone restreinte. Je crie désormais sans retenue à chaque impact. De douleur, de plaisir, tout se mélange.
Les derniers coups sont proprement insupportables. Je pleure sous mon bandeau, bave abondamment. Je tente d’y échapper dans des tentatives de tortillement désespérées, sans succès évidemment.
Je ne peux plus me retenir et me mets à uriner abondamment, en longs jets sporadiques, interrompus par les contractions de mes muscles intimes occasionnées par chaque impact. Je suis résignée.
Alors que le déluge ne s’interrompt pas, toujours plus intense, que les vibrations qui stimulent mon vagin, mon clitoris et mon anus sont au maximum et que je suis sur le point de crier « ASSEZ !!! », j’ai l’impression étrange de sortir quelques secondes de mon corps, de progressivement ne plus rien ressentir… avant d’y revenir brutalement et de partir dans ce qui pourrait être un orgasme fulgurant de douleur à moins que ce ne soit le summum d’une douleur orgastique.
Quoiqu’il en soit, je pisse, je jouis, je souffre, je tremble de tout mon corps, je sanglote en bavant. Les coups s’arrêtent enfin. J’ai l’impression que mon fessier a éclaté.
Alors que je suis encore secouée de spasmes, deux mains me saisissent par les joues et le membre de Monsieur envahit ma bouche entrouverte. Incapable de la moindre réaction, je me laisse faire. Il se lance alors dans une irrumation sauvage, en me pénétrant le plus profondément possible à chaque poussée. Après seulement quelques va-et-vient, il s’immobilise au plus profond de ma gorge et y prend son plaisir. Je réussis à éviter de justesse de vomir en avalant sa semence en apnée totale.
Quand il se retire enfin, ses mains accompagnent tout doucement ma tête et ne la lâche que quand elle s’immobilise en pendant dans le vide.
Je suis dans un état de semi-inconscience, incapable de la moindre pensée organisée, n’ayant plus aucune notion du temps. Le plaisir est évacué. Il ne reste que la brûlure insupportable qui dévore mes fesses.
Monsieur retire délicatement les objets qui occupent ma chatte et mon cul. Puis il décroche la sangle qui immobilise ma taille avant de détacher mes poignets et mes chevilles. Il me saisit par les épaules et m’aide à me relever. Comme je ne réussis pas à tenir debout sur mes jambes, il me prend dans ses bras et me porte jusqu’au lit. Il m’y dépose délicatement et s’assoit à côté de moi. Il me caresse les cheveux avec des mots d’apaisement alors que je suis toujours agitée de tremblements.
— Chhh… Calme-toi. C’est fini. Tu as été très courageuse.— M… Mais… j’ai… pissé… partout.— C’était inévitable, me répond-il d’une voix douce en souriant.
Je m’apaise petit à petit et mes idées se remettent progressivement en place.
— Viens, me dit-il, on va aller te faire une toilette complète, ce ne sera pas du luxe…
Je me relève prudemment, soutenu par Monsieur. Je tiens maintenant debout mais le passage par la position assise a mis mes fesses un peu plus au supplice. Je réalise à cet instant qu’il est lui aussi complètement nu, le sexe encore luisant de ma salive.
La position prolongée « à cheval » m’a complètement ankylosée. Me dégourdir les jambes me fait du bien.
Une fois à destination, Monsieur pénètre avec moi dans la douche. Il m’arrose copieusement de la tête au pied. Le jet d’eau froide me fait sursauter mais finalement me fait du bien… surtout sur les fesses. Après s’être copieusement enduit les mains de savon, il me lave de la tête aux pieds, en insistant tout particulièrement sur mes parties intimes mais avec un luxe de précaution sur mon postérieur.
À ma surprise, quand il a fini, il s’asperge lui-même de cette eau froide et me demande de faire la même chose pour lui. J’enduis donc à mon tour mes mains de savon et me mets à le laver sans me presser. C’est la première fois que je peux le toucher et je savoure cet instant.
Après avoir longuement parcouru l’ensemble de son corps avec des gestes caressants mais en évitant soigneusement ses parties intimes, je me saisis de son pénis de la main droite. Je le savonne langoureusement d’un lent mouvement de va-et-vient. De la main gauche, je « nettoie » ses testicules en les massant de la paume pendant que je titille son anus de mon index… pour le laver bien sûr. Et tout ça sans le quitter des yeux, bouche entrouverte et en balayant lentement mes lèvres de ma langue.
Le résultat ne se fait pas attendre et Monsieur reprend de la vigueur dans ma main. J’entreprends alors une véritable masturbation, avec des mouvement de plus en plus rapides. Il se laisse faire. Son souffle s’accélère, sa bite est désormais à nouveau tendue au maximum.
C’est le moment que je choisis pour tout arrêter brutalement et le rincer avant qu’il n’ait eu le temps de régir.
— Tu es décidément une gamine sacrément vicieuse, me dit-il sur un ton mi-courroucé, mi-admiratif.
Le jet d’eau froide n’a pas eu d’effet négatif sur son érection, preuve que son excitation est à son comble.
En guise de réponse, j’entreprends un demi-tour jusqu’à lui tourner le dos en m’aspergeant à nouveau. Puis je raccroche le pommeau à son support, j’écarte les jambes et je prends appui sur le mur, bras tendus en me penchant vers l’avant, cambrée à mort. Dans l’état où se trouve Monsieur, j’espère qu’il ne saura pas résister.
Un déluge de claques appuyées s’abat alors sur mes fesses meurtries, ravivant une douleur que l’eau froide avait un peu anesthésiée. Je mords la lèvre inférieure pour ne pas crier et reste impassible.
J’ai l’impression que Monsieur hésite sur la conduite à tenir. Va-t-il se branler sur moi ? Me retourner pour abuser une nouvelle fois de ma bouche ? Ou enfin se décider à me prendre ?
La réponse arrive très vite. Les claques s’interrompent et les deux mains de Monsieur m’écartent douloureusement les fesses. Je sens son gland se positionner contre mon anus et il me pénètre d’une seule poussée, sans aucune difficulté.
Ce n’est pas vraiment ce que j’espérais mais je savoure la sensation de le sentir enfin en moi à l’occasion de ce qui est une défloration anale. Je pousse un grognement de satisfaction, de victoire même.
Tout en me besognant sans ménagement, son bras droit contourne ma hanche et deux doigts viennent masser vigoureusement mon clitoris. Sa main gauche pétrit alternativement mes seins et me plaque tout contre lui. Son bassin qui frotte contre mes fesses attise un peu plus le feu qui les consumait déjà.
Ayant déjà joui très récemment, il se montre très endurant et je sens très vite le plaisir monter en réponse à ces sensations nouvelles. Il ne me faut pas très longtemps pour partir dans un orgasme totalement inédit, intense, long, profond… et provoquer celui de Monsieur dont je sens les contractions sporadiques de la bite dans mon cul.
Quand je suis certaine qu’il a fini, je me dégage précipitamment, je m’agenouille face à lui en baissant les yeux et je m’excuse de manière très hypocrite :
— Pardon, Monsieur, ça a été plus fort que moi.— Tu es vraiment une sacrée petite garce, répond-il en retour, mâchoires serrées, apparemment excédé.
J’espère ne pas être aller trop loin dans la provocation, mais je me sens vraiment pousser des ailes… Pendant qu’il effectue un complément de toilette locale, j’attends patiemment le verdict sans bouger en regardant le sol.
— Lève la tête.
À peine me suis-je exécutée qu’un jet chaud arrose mon visage. Il me pisse dessus ! Alors que, sous l’effet de la surprise, un mouvement réflexe donne l’impression que je tente de me dérober, Monsieur me reprend vertement.
— Reste en position jusqu’à ce que j’aie fini et ouvre la bouche. Je vais te montrer comment on traite les sales vicieuses rebelles de ton espèce.
À mon grand étonnement, je n’ai pas à me forcer pour obéir. Ma bouche se remplit de liquide, qui a un peu l’odeur et le goût du café. Et finalement, je surmonte sans difficulté ce qui se voulait sans doute être une épreuve. Ce n’est pas si désagréable. Le liquide chaud qui ruisselle le long de mon corps me fait même du bien après la douche froide. C’était une grosse envie, me dis-je même en souriant intérieurement…
Et je prends presque du plaisir à ce qui m’aurait paru insupportable, inconcevable en dehors des fantasmes qui m’horrifiaient et me faisaient honte il y a encore trois semaines.
Sans prendre la peine ni de me rincer, ni de m’essuyer, Monsieur m’attrape par la main gauche et me traîne littéralement jusqu’à la croix de Saint-André.
— Je vais te laisser le temps de te calmer jusqu’au déjeuner… si je décide de te laisser manger, dit-il en accrochant mes quatre bracelets de cuir aux mousquetons.
Je me laisse faire en silence et me retrouve bien vite en position de X face au mur, avec aucune possibilité de mouvement.
— Il est à peine neuf heures. Tu as au moins trois heures devant toi pour réfléchir. Bonne matinée.
Il s’en va en me laissant en proie à une certaine inquiétude quant à la durée de cette nouvelle punition, dont je dois avouer que je l’ai quand même bien cherchée.
La manière dont j’ai pris du plaisir en me faisant fouetter puis enculer pour la première fois, mon audace, le sang-froid et le détachement dont j’ai fait preuve quand Monsieur m’a arrosée de pisse… je ne me reconnais plus. Et, cerise sur le gâteau, non seulement je n’en conçois aucune honte ou culpabilité, mais je peux dire qu’une certaine fierté m’habite.
L’Asia qui a éclos, affirmée et sûre d’elle, me plaît beaucoup.
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