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La Queue du Diable (Our Demon Side CH1)

Chapitre 1

Hétéro
Concentrée, j’ajustai la netteté des jumelles.
— Te voilà, petit démon…
L’homme que je cherchais depuis maintenant cinq jours et quatre nuits se déplaçait dans la foule avec difficulté, plusieurs centaines de mètres en contre-bas. Je plissai les yeux comme si j’espérais que ça améliore le grandissement plus que médiocre de ces foutus jumelles publiques et hors de prix.
On me bouscula et je perdis le contact visuel avec ma proie en jurant.
— Faites un peu gaffe ! je grondai en faisant volte-face, probablement plus violemment que je ne l’aurai souhaité.
Prendre la Tour Eiffel comme point d’observation n’avais pas été la meilleure idée de ma vie, étant donné le millier de touristes qui y grouillaient, mais j’avais besoin du plus grand angle de vision possible.
L’homme, dans la quarantaine, bedonnant et au teint rougeau, qui venait de me rentrer dans l’arrière-train, s’excusa en anglais. Je retins le « fuck off » énervé qui me brûla les lèvres et lui fit signe de circuler d’un geste sec de la main. Il s’exécuta, non sans avoir profité sans la moindre gêne de la vue sur mes seins, qu’offrait mon débardeur rouge un poil trop serré.
Ce connard me faisait perdre un temps précieux. C’était le troisième qui me bousculait depuis que j’avais mis le pied dans le monument touristique –soit il y a vingt minutes- et au moins le quarantième que je surprenais à me jeter un regard lascif. Je savais l’effet que faisaient aux hommes mes longs cheveux cuivre et mon corps élancé, et la tenue dont je m’étais affublée –le débardeur, un minishort en jean et des bottes hautes de cuir brun à talons- ne m’aidait pas vraiment à passer inaperçue.
Je me replaçai devant les jumelles, et frappai rageusement l’appareil de la paume en découvrant qu’il fallait réinsérer des pièces pour y voir à nouveau. Quelle arnaque à touristes cette merde ! Je piochais fébrilement dans ma sacoche de cuir assortie à mes bottes, et utilisais mes derniers centimes pour faire fonctionner l’appareil en priant pour que ma proie ne se soit pas éclipsée depuis tout à l’heure. Je parcouru le sol des yeux et –Dieu merci- la retrouvai en à peine quelque secondes. Bon, je n’avais aucun mérite puisqu’il n’était pas dur à repérer : un halo de lumière rouge l’enveloppait tout entier, et il brillait si bien qu’un aveugle aurait pu le voir… Enfin, en fait, il fallait venir d’Infra pour observer le surnaturel dans le monde des hommes. Par un heureux hasard, j’y étais née.
Infra, était plus connue sous le nom d’ « Enfer », et c’était de là aussi qu’était issu l’homme que j’étais en train de chercher. Mais lui, contrairement à moi, était un incube, un démon de sexe. Le genre qui rend folle de désir n’importe qu’elle femme rien qu’en la regardant, et qui la fait s’offrir à lui en claquant des doigts. Malheureusement, les incubes avaient la fâcheuse tendance à tuer leur partenaire après les avoir culbutées, c’était leur façon de vivre. Pour se faire une idée de la nécessité pour eux d’agir ainsi : baiser, c’était manger un steak, tuer ensuite, c’était avaler tout le bœuf et se caler la panse. Mais tous les démons avaient leur point faible, et ceux-ci ne faisaient pas exception. Le seul moyen de tuer un incube, était de le priver de sexe suffisamment longtemps pour que sa queue –et son cœur, car ces deux sont liés- se rabougrissent, lui causant une souffrance si atroce qu’il en meure.
Moi, je n’étais pas là pour le sexe. Ce que je voulais, c’était l’amulette que cet incube portait autour du cou. Mais ce démon-là était spécial, un fils direct de Satan, rien de moins ! C’est pour ça qui brillait comme une grosse diode rouge quand il approchait de la phase critique de son excitation. Les autres incubes, eux, ne brillaient pas, ou alors d’un blanc très pâle.
Quoi qu’il en soit, en tant que démone ashtarot, ces amulettes que je passais le plus clair de mon existence à collectionner, représentaient une source de revenus non négligeable. A Infra, elles valaient une petite fortune lorsqu’on les échangeait contre de l’argent humain. Et la fortune, c’est justement ce qui me manquait en ce moment.
Je soupirai. La vie aurait été tellement plus facile si j’étais restée avec ma famille à Infra… Mais je sais que je me serai lassée d’une existence trop paisible. J’avais découvert jeune qu’il me fallait de l’adrénaline pour être heureuse. Normal, en tant que démone guerrière.
Les jumelles se bouchaient à nouveau mais cette fois je ne protestai pas. C’était l’heure de passer à l’action et j’avais enfin trouvé l’incube. J’attachai mes cheveux en une queue de cheval bien serrée et pris une profonde inspiration. J’avais chassé d’autres démons au moins une centaine de fois et pourtant, j’étais toujours aussi nerveuse qu’il s’agisse de ma dernière mission. Je ne m’occupais pas seulement des incubes et certaines espèces de démons pouvaient se montrer particulièrement agressives.
J’empruntai l’ascenseur pour descendre de la tour et rejoindre la terre ferme, laissant à ma sortie de la cage un homme plié en deux, le souffle coupé. Le con avait profité du fait que l’ascenseur soit bondé pour me coller une main au cul. En réponse, il avait reçu mon coude dans l’abdomen. J’aurai bien visé plus bas, mais je voulais lui laisser une chance d’être un jour papa.
Une fois au pied de la tour Eiffel, je m’immobilisai. Fermant les yeux et déployant mes sens surnaturels, je ne tardais pas à percevoir l’aura maléfique de l’incube. Je ressentis bien sûr d’autres démons –les humains ne s’imaginaient pas à quel point ils étaient nombreux- mais décida de ne pas m’en préoccuper pour le moment. Une seule chose à la fois.
L’incube s’était éloigné, vite. Il cherchait certainement un endroit plus isolé pour sauter sa prochaine proie. Rouvrant les yeux, je m’élançai à sa poursuite d’un pas rapide. Le bougre se dirigeait vers la rue de Grenelle, de l’autre côté du Trocadéro. Slalomant entre les touristes et vélos qui abondaient en ce début de samedi après-midi, j’aperçu enfin après l’avoir suivie sur deux-cents mètres, l’auréole écarlate de ma cible. L’incube était grand, il dépassait d’une tête la plupart des passants qui nous séparaient.
Une chaleur sourde envahit soudainement mon ventre, et je fus assaillie d’une irrésistible envie de m’approcher encore de cet homme. Diable ! Il avait tellement besoin de se soulager qu’il n’hésitait pas à user de ses pouvoirs d’incube en pleine foule pour appâter les femelles. Ces dernières –de tous âges- se retournaient d’ailleurs sur son passage, les joues roses et les yeux brillants, éveillant l’incompréhension de leurs compagnons, pour celles qui en avaient.
Je me forçai à ralentir le pas pour m’éloigner du démon, même si je savais que j’allais devoir l’approcher pour lui prendre son amulette. Je ne me privai cependant pas de détailler ses cheveux dorés, ou sa nuque massive, ou même son large dos mis en valeur à la perfection par la veste en jean déchiré qu’il portait pourtant en juillet.
Je le suivi dans les rues moins fréquentées et m’arrêtai en même temps que lui devant un bar nommé « Au gros caillou », me dissimulant néanmoins derrière une grosse benne à ordure un peu plus bas dans la rue. Aussitôt qu’il fut entré, je sortis de ma cachette et observai les alentours. La rue était plutôt étroite, mais si je me souvenais bien, ce bar était équipé d’une petite arrière-cour sans vis-à-vis. Je décidai que c’était là-bas que nous nous battrons, à l’abri des regards humains curieux.
Me forçant à chasser l’appréhension qui commençait à m’envahir, je traversai la chaussée et pénétrai dans le bar. Aussitôt que la porte se fût refermée sur moi, les nuisances sonores de la rue s’estompèrent, et une odeur de bière me parvint. Je me léchais instinctivement les lèvres, me souvenant soudain que je n’avais pas pris le temps de boire depuis au moins deux jours. Je commandai rapidement une blonde à la barmaid qui me dévisagea d’un air mauvais –jalousie quand tu nous tiens- tout en réactivant mes sens surnaturels.
L’incube n’était pas dans la salle, ou je l’aurai déjà vu. Il devait déjà être en train de culbuter une humaine dans une quelconque pièce quelconque à l’arrière, réservée au personnel, ou dans un placard à balais.
Je saisis la bière qu’on me tendit et en avalait une grosse gorgée tout en dirigeant mes sens à travers les murs. Après quelques secondes, je n’arrivai plus à avaler : ma gorge s’était nouée d’angoisse. L’incube n’était nulle part. Soit il était très rapide et avait déjà fait ce qu’il avait à faire avant de partir, soit il m’avait repérée et masquait son aura pour que je ne puisse plus le détecter. La deuxième solution semblait plus plausible.
— Merde !
Sans prendre le temps de poser ma blonde, je me précipitai dans le couloir du fond, ignorant les sommations de la barmaid. Je suivis au pas de course les tournants sinueux du corridor, beaucoup trop long et faiblement éclairé à mon goût. J’étais tellement inquiète à l’idée d’avoir à nouveau perdu de nouveau ma cible que je n’entendais même pas le claquement de mes talons sur le sol recouvert de parquet. Droit devant moi, le couloir se séparait en deux. Bordel, je n’avais vraiment aucune idée d’où j’allais, j’espérais juste trouver l’incube.
J’espérai certainement un peu trop fort, car à l’instant où je tournai à gauche, on arriva sur la droite et me percuta de plein fouet. L’impact fit voler la bière qui m’échappa des mains et nous éclaboussa tout deux : l’incube qui venait de me rentrer dedans avec la force d’un TGV et moi-même.
Le démon devait avoir cessé de masquer son aura, parce qu’il se remit à briller et que je fus prise d’une insupportable envie d’être… remplie. J’hoquetai en repoussant l’incube d’un coup dans le thorax, et reculai de quelques pas. Désorientée, je le regardai s’appuyer sur le mur de bois sombre pour se redresser.
Comme je m’y attendais, sa beauté me frappa. Ses cheveux dorés lui tombaient devant les yeux par mèches à l’air aussi légères que des plumes. Et quels yeux… d’un vert émeraude aussi profond qu’un abysse d’Infra, pailletés de rouge. Mes yeux glissèrent d’eux-mêmes sur son nez droit, sa mâchoire virile dont les muscles étaient crispés, et son cou massif qui disparaissait sous sa veste en jean et un t-shirt noir.
— Tu me suis, démone ashtarot ?
Sa voix grave et rendue rauque par l’excitation me traversa jusqu’aux entrailles, qui se tordirent plus qu’agréablement.
— Le filage, c’est pas vraiment ton fort, hein ?
Je déglutis avec peine.
— Ta gueule. Donne-moi ton amulette.
Hum... je n’avais pas vraiment prévu d’exposer mes plans de manière aussi directe. A ma décharge, les incubes avaient l’habileté de faire avouer aux femmes tout ce qu’ils voulaient lorsqu’elles étaient sous leurs charmes.
Celui-ci sourit, dévoilant une rangée de dents blanches parfaitement alignées. Avec lenteur, il glissa une main sous le sol de son t-shirt -sous mes yeux fascinés malgré eux- et en sortit une pièce de métal sculpté bleu en forme de S accrochée à son cou par un fin lien de cuir. D’un geste sec, il la détacha et me la tendis. Je résistai au dernier moment à l’envie de lui sauter dessus pour lui arracher l’amulette. Comme je ne bougeai pas, l’incube haussa un sourcil parfait et ricana :
— Alors, ashtarot ? On ne vient pas la prendre ?
Avec lenteur, certainement pour ne pas m’alarmer, il baissa la main qui tenait l’amulette pour la mettre au niveau de l’énorme bosse que formait sous son jean son sexe en érection.
— Tu as pourtant l’air d’en avoir très envie.
Je doutai un instant qu’il ne parle de l’amulette. Je me rendis soudain compte que j’étais en train de me caresser le ventre. Mes jambes, traitresses, ondulaient toutes seules. Je secouai la tête pour retrouver mes esprits.
— Salopard, je jurai en serrant les poings. Tu vas me le…
Sans me laisser le temps de finir ma phrase, il lança l’amulette dans les airs et profita de ma soudaine déconcentration pour me sauter dessus.
J’étouffai un cri de douleur lorsque mes omoplates heurtèrent brutalement le mur du couloir et que l’incube, dominant d’au moins d’une bonne trentaine de centimètres, écrasa son bas-ventre contre mon abdomen. Je plaquai mes mains sur son large torse, ne pouvant m’empêcher de saliver en sentant les muscles rouler sous le tissu.
— C’est ton jour de chance, murmura le démon en léchant la bière sur ma joue. Tu vas prendre un pied d’enfer.
Je grondai.
— Avant bien sûr de perdre la vie, ajouta-t-il en enfermant dans une seule de ses mains mes deux poignets.
Merde ! Je n’avais pas prévu que ça se passerait ainsi. C’était moi qui devais avoir l’effet de surprise, et je devais l’attaquer dans un endroit ouvert, pas un corridor atrocement étroit, où les puissantes ondes de phéromones ricochaient sur les murs pour s’en retrouver amplifiées. Je devais lutter à m’en griller le cerveau pour garder des pensées lucides.
Je hoquetai lorsque, en un éclair, l’incube glissa sa main libre sous mon short pour la poser sur mon sexe. Ses doigts effleurèrent mes lèvres intimes avec une étonnante dextérité, étant donné que je tentais de le repousser avec violence. Je serrai les dents en sentant un liquide chaud humidifier mon entre-jambe. Il venait pourtant juste de mettre sa main dans ma culotte… Putain de bordel de merde, ça n’allait vraiment pas.
— On dirait que quelqu’un n’a pas été touché depuis un bon bout de temps…
Il avait raison.
— Va au diable, je crachai en plantant mon regard noir directement dans le sien.
Je détestai le rictus malin qu’il arbora.
— C’est mon père.
D’un geste sec, il déchira mon débardeur et arracha mon soutien-gorge, avant de se mettre littéralement à haleter.
— J’en ai besoin…maintenant…, dit-il comme pour lui-même en plongeant sur mes seins.
— Dégage ! je hurlai en profitant du fait qu’il détache un instant son corps du mien pour me dégager en tirant sur mes bras.
Je me précipitai dans le couloir, absolument pas gênée d’être torse-nue, mais seulement obnubilée par l’idée qu’il fallait que je l’attire hors de cet endroit confiné, là où je pourrai avoir le dessus.
Un grondement sourd, animal, s’éleva dans mon dos, suivit d’un bruit de cavalcade. Une seconde plus tard, il m’avait rattrapée. Je sentis qu’il attrapa mes chevilles, juste avant de m’écraser sur le sol. Je choc m’assomma à moitié et il en profita pour me chevaucher et m’emprisonner les mains dans le dos.
— Ton odeur…toi…femelle…je…
Il était encore moins maître de ces esprits que je ne l’étais, mais peu importait : il s’apprêtait à me prendre.
Je poussai un hurlement de rage en me tortillant mais il tira sur mes bras et la douleur me traversa le haut du corps comme un électrochoc. Sa force, décuplée par le fait qu’il soit sur le point de satisfaire son besoin, lui permit de déchirer mon short en jean comme s’il s’agissait de papier.
Le bruit de fermeture éclair qui me parvint -mêlé au fait que je sois physiquement incapable de le battre- résonna dans mes oreilles comme un « tu as perdu » douloureux. Amère, je me dévissai le cou pour regarder l’incube qui tenait son énorme verge turgescente dans la main, et la dirigeait avec empressement vers mon sexe.
Mes yeux s’embuèrent de rage. C’était la première fois que je perdais contre un démon incube. Je n’avais pas prévu de l’éliminer au départ, seulement de le voler, mais maintenant la situation était tout autre. Une fois qu’il aurait fini, je le tuerai, avant qu’il n’en fasse autant.
Je le vis trembler sur moi, et sentis son gland tâtonner à l’entrée de mes lèvres, entre mes fesses. Il gémit lorsqu’il trouva l’entrée de mon vagin, et je me crispai en serrant les dents, m’empêchant de le supplier de ne pas le faire, c’aurait été inutile et mon ego en aurait pris un coup encore plus grand.
D’un coup, il banda les muscles, ses doigts broyant mes poignets emprisonnés, et donna un coup de rein. Sa queue força l’entrée de mon vagin et elle y pénétra de quelques centimètres. Il poussa un grondement féroce et je me sentis tout à coup submergée de désir. Il utilisait ses pouvoirs pour rendre mon corps consentant, et ça fonctionnait : je me détendis et me laissai retomber sur le sol. L’incube se cambra avec force et sa verge tout entière glissa à l’intérieur de moi, tandis qu’il poussait un long râle.
De mon côté, incapable de résister plus longtemps au torrent de sensations qu’il venait de susciter en moi, je laissai mon corps s’abandonner à lui. Sentant que je ne me débattrai plus, l’incube lâcha mes poignets et serra plutôt les doigts sur mes hanches, se calant plus confortablement sur ses genoux. Il se retira ensuite à demi, et mon cerveau se vrilla sous l’intensité de ce que cela provoqua en moi. Je ne pus retenir un gémissement, les parois internes de mon vagin se mettant à palpiter comme si j’étais en proie à un orgasme. Je savais pourtant que j’en étais encore loin, et je m’en rendis compte lorsque l’incube commença à aller et venir en moi.
Incapable de maîtriser ses pulsions, les coups de butoir qu’il m’infligea en grondant suscitèrent en moi à la fois de la douleur et un plaisir inimaginable. D’une main dure, il saisit ma longue queue de cheval et me tira la tête en arrière, ce qui me fit gémir plus fort. Je sentis le tissu de son t-shirt me caresser les reins lorsqu’il se pencha pour souffler à mon oreille d’une voix éraillée :
— Je t’avais dit que tu allais prendre un pied d’enfer, Wara.
Malgré mon esprit embrumé, je me rendis compte que quelque chose clochait dans ce que l’incube venait de me dire. Lorsque je me rendis compte de quoi il s’agissait, je parvins à murmurer entre deux halètements :
— Mon... mon nom…comment…
— Wara, répéta-t-il.
Sa voix était soudain claire, comme s’il avait retrouvé ses esprits, ce qui était certainement en partie vrai étant donné ce que nous étions en train de faire.
— Je sais qui tu es, poursuivit-il.
Il m’assena un coup de butoir encore plus violent que les autres, me propulsant malgré moi au septième ciel. Je ne sais pas comment, dans l’état ou j’étais, je réussis à comprendre ses paroles :
— Enchanté, ma belle, moi c’est Tempter.
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