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Quiproquo ?

Chapitre unique

Hétéro
MARC
 L’eau est chaude. La mousse agréable. Je suis allongé confortablement dans ma baignoire. Mon sexe fait comme un périscope qui sort de la surface mousseuse. Je fais couler sur lui, partant de la pointe de mon gland, du shampoing épais qui coule lentement. Je le fais pénétrer généreusement dans le sillon en tirant bien sur la peau puis le recouvre dans un mouvement vers le haut.Je suis bien. La tablette posée sur le bord, en principe à l’abri des projections d’eau, fait défiler une vidéo que j’ai sélectionnée sur un site de streaming. Une femme gobe un gros sexe, bite sombre d’un homme de couleur, parfais échantillon d’un fantasme bien ancré dans l’imaginaire. Mes écouteurs me transmettent les grognements de l’heureux élu ainsi que les clapotis qu’un micro indiscret capte à la source alors que la salive qui s’écoule du sexe me fait comme un rappel de mon shampoing.Je me branle doucement. Je n’entends pas mon propre clapotis que je connais car ce n’est malheureusement pas la première fois que je me masturbe ainsi, je ne l’entends pas, mais je me masturbe à la même vitesse que la femme suce le gros bâton noir. J’essaie de me retenir, serrant plus ou moins fort la peau sur mon gland. Il faut que je tienne. Je veux jouir… Voilà elle relève la tête… Elle regarde l’homme… De sa main délicate elle le branle… De plus en plus vite… On entend le rugissement annonciateur… Elle pose ses lèvres sur le gland… Quelques mouvements encore et il jouit. Sa queue respire. On devine la crème avancer, ouvrant son chemin pour jaillir… Jaillir… Oh, je viens. Moi, personne ne capte ma semence. Elle jaillit et retombe dans l’écume…Moi, je n’ai pas cette femme qui ouvre la bouche, montre à l’homme toute la blancheur de son foutre et l’avale avec tout le vice du monde dans son regard. Non je n’ai pas… Oh ! merde. Elle est là qui me regarde. Depuis combien de temps ? Elle ne devait rentrer que dans une heure… Isabelle, mon épouse est dans la salle de bain. Je n’ai rien entendu, je n’ai rien vu… —Isa ! Tu ne devais pas…—Alors, c’est ce que tu fais quand je ne suis pas là.—Écoute, laisse-moi t’expliquer.—Pas la peine. J’ai bien vu… Remarque, je ne t’en veux même pas. Elle quitte la pièce. Le temps de sortir du bain, de me rincer, de bien veiller à ce qu’aucune trace de mon foutre ne s’égare dans mes poils, d’enfiler mon peignoir et je la retrouve en cuisine. Comment expliquer ? Elle doit bien avoir une idée… —Tu ne devais pas aller faire une course avec Alice ?—Si, mais elle a annulé. Un silence. Et puis elle reprend : C’est un peu frustrant pour moi de te voir faire ça. Tu pourrais me demander…—Chérie, reconnais qu’actuellement nous ne sommes pas ce qu’on peut appeler un couple vivant pleinement sa sexualité.—C’est vrai, mais tout de même.—Tu sais depuis quand nous n’avons rien fait ?—Je ne sais pas moi, une semaine.—Je parle de ’Vraiment’, pas ces petits coups vite expédiés.—Ah !—Tu sais je me pose des questions. Je ne te plais plus ? Tu as un amant ?
—Mais tu es fou. Jamais, jamais de la vie.—Alors c’est quoi—Une sorte de baby blues.—Mais cela fait une année que tu as accouché.—Je sais, c’est long, mais le toubib dit que cela arrive. Tu sais je comprends bien ta déception. Tu crois que cela m’amuse. J’ai l’impression d’avoir cent ans, des envies disparues. Je suis désolée d’avoir brisé ton intimité tout à l’heure. Je comprends, mais tout seul, avec une vidéo, c’est difficile aussi pour moi. Tu vois je préférerais presque que tu ailles voir ailleurs.—Mais tu es folle. C’est toi que je veux.—Tu sais tu pourrais… Je comprends que tu aies des envies à satisfaire. Oh, pas avec une maîtresse, pas la même personne. Mais par un site de rencontre. De temps en temps. Le temps que cela revienne…J’ai bon espoir que le nouveau traitement…— Pas question.  
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Le nouveau traitement n’a pas l’air de marcher. Isabelle fait bien des efforts, mais si elle me branle un peu, pose ses lèvres sur mon gland, se laisse posséder, gémit lorsque je la bourre, tout est "calculé, programmé" et sa simulation est évidente. Je ne sais plus quoi faire. Mais quelqu’un me donne un peu d’espoir. Ce soir un couple d’amis dîne à la maison. Des amis un peu particuliers, car Franck a été pendant un moment la copine d’Isabelle. C’était avant de me rencontrer. Le passage s’est fait assez en douceur. Isabelle consciente que nous avions une attirance évidente a essayé de quitter Franck sans qu’il puisse se sentir trahis. Je pense qu’il n’a pas été dupe quand nous sommes apparus en couple, même si c’était un moment après. Mais au moins les apparences étaient sauves. Heureusement il a très vite rencontré Alice, Alice qui est maintenant la meilleure amie de ma femme.Isabelle s’est absentée un instant. Elle a entendu notre enfant appeler. —Alors comment ça va ? Me questionne Franck.—Bien. Gabin pousse bien.—Non je parlais de vous, de toi et d’Isabelle.—Bien, merci.—Pourtant j’ai compris que pour la bagatelle c’était le calme plat.—Franck, tu avais promis de ne pas en parler. Alice qui est manifestement fâchée. Excuse-le, Marc, il ne devait pas aborder le sujet.—Parce-que tu es au courant ?—Isa est mon amie et entre femmes… Excuse-moi je n’aurais pas dû en parler à Franck. Mais du fond de l’appartement. —Alice si tu veux voir Gabin… Elle se lève et part pour la rejoindre.Franck et moi restons seuls, seuls et silencieux. Et puis : —Excuse-moi, je n’aurais pas dû aborder le sujet.—Ce n’est pas grave.—C’est donc vrai.—Un peu.—Et cela fait longtemps ?—Depuis l’accouchement.—Mais ça fait un an.—Oui.—Oh, mon pauvre. Un silence. —Je connais quelqu’un qui pourrait, peut-être  t’aider.—Ce n’est pas moi qu’il faut aider, c’est Isa.—C’est ce que je voulais dire. C’est un kiné. Enfin il est plus qu’un kiné. Je crois qu’il est aussi chiropracteur et acupuncteur sans parler de pratiques du genre shaman, etc.—Ce n’est pas une question physique. C’est dans sa tête.—Tu préférerais qu’un toubib la gave d’antidépresseurs ou de trucs dans le genre. Qu’est-ce que cela coûte d’essayer. J’ai entendu dire qu’il était très efficace. Franck se penche vers moi et en confidence ajoute : J’ai une amie qui l’a consulté, elle en est revenue enchantée et moi aussi d’ailleurs. — Une amie ? Qui ? Isabelle peut lui parler ?—Chut pas si fort. Je ne la vois plus. Si tu veux je te donne l’adresse et tu le contactes de ma part. 
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—Bonjour. J’aimerais prendre un rendez-vous.—Oui, et c’est pour quelle pathologie ? Vous avez une ordonnance ?—Ce n’est pas pour moi. Pour mon épouse. Nous n’avons pas d’ordonnance. C’est un peu particulier.—Je vous écoute.—Eh bien voilà. Depuis son accouchement, il y a un an, mon épouse… C’est un peu délicat.—Il faut pourtant que vous m’en disiez plus.—Nous n’avons pratiquement plus de relation.—Je vois.—Vous pouvez quelque chose pour nous ? Mon ami Franck Del… qui m’a donné votre coordonnée m’a dit que oui.—Franck ? C’est lui qui vous envoie ? Alors c’est différent. Mais avant de commencer avec votre femme j’ai besoin de vous rencontrer. Vous pouvez venir quand ? 
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—Expliquez-moi tout. Le cabinet est dans une petite maison. Un homme est arrivé pendant que j’attendais. La porte s’ouvre. Une femme d’un certain âge en sort saluée par l’homme en blouse : —A jeudi, Madame Guilledin.—Au revoir.—Marc, c’est à vous. —Vous excuserez cette familiarité, mais pour votre cas, j’imagine que vous préférez un certain anonymat. Il me dit une fois la porte fermée. J’apprécie sa discrétion. Expliquez-moi tout. N’hésitez pas à me donner des détails, même si cela peut paraître très intime. Pour savoir si je peux envisager une thérapie avec des chances de succès, j’ai besoin de tout connaître. Je vous écoute. Très intime est encore au-dessous de la vérité. Il me questionne sur tout ce qui concerne notre sexualité, pas seulement maintenant, mais avant et même avant notre mariage. —Vous allez poser les mêmes questions à mon épouse ?—Oui, bien entendu.—Alors pourquoi me questionner sur elle, sur ses envies  ?—Dans un couple il peut exister des quiproquos, des non-dits, des idées fausses. En questionnant les deux, je peux voir si l’un ou l’autre n’est pas "déphasé".—Bien. Et maintenant vous pensez que vous pouvez faire quelque chose pour nous. —Je le pense. Mais il faut que votre épouse accepte les traitements que je lui proposerai.—Je pense que oui. Je voulais vous voir avant de lui parler, mais elle n’est pas très chaude pour accepter les traitements à base d’anti-dépresseurs qu’on lui propose.—Je vous comprends. Une chose est sûre avec moi, c’est que même si cela ne marche pas, elle ne sera pas empoisonnée par des médocs.—Comment vous penser qu’il faut faire ?—Déjà la rencontrer. Répondre à mes questions. Il sourit. Toutes mes questions. Et si cela lui convient commencer aussitôt par une courte séance afin de prendre contact.—Vous pensez à combien de séances ?—Deux par semaines pendant disons un mois et si tout évolue comme je le pense une séance hebdomadaire seulement le mois suivant. Mes séances durent au minimum une heure et demie, parfois deux.—Oh, si longues !—Oui. Il faut compter d’abord un long massage décontractant suivi de manipulations, pierres chaudes ou acupuncture. Ensuite, un repos pendant trente minutes, suivi d’un bilan du traitement, et un ajustement éventuel. Le tout se termine par une douche ou un bain selon ce que nous avons fait avant. Le produit que j’utilise pour le massage est bio mais a la malheureuse habitude de tacher le tissu. Une douche minimum est nécessaire. Le bain est moins fréquent, il dépend de chaque séance.—Ah oui.—Mes honoraires sont de 200€. Si vous avez une ordonnance la sécu vous remboursera la valeur d’un massage. Le reste est à votre charge. Mais si le traitement échoue je vous rembourse la moitié. —Je ne veux pas dire que l’argent importe peu, mais nous sommes prêts à faire les sacrifices qu’il faut. —Je considère que vous êtes d’accord ?—Oui.—Il nous reste deux formalités. La première est de signer ceci…Il sort un document de deux feuilles du tiroir de son bureau…. Il s’agit d’un résumé de ce que le traitement peut nécessiter. Par exemple que sauf avis contraire de sa part, votre épouse ne gardera pas ses sous-vêtements. Comme je le disais, le produit tache les textiles. Mais aussi pour les pierres chaudes, l’acupuncture, certaines manipulations. Vous comprenez que le mal dont souffre votre épouse demande un traitement particulier ?—Oui, je comprends. Juste une question. Vous allez faire signer ce document aussi à Isabelle ?—Oui, le même d’ailleurs. Elle saura ainsi que vous en êtes informé. Mais en plus je lui préciserai que bien entendu elle peut demander de cesser si cela est douloureux, physiquement ou psychologiquement. D’ailleurs dans le cas d’une interruption en cours de séance je ne fais pas payer. Je considère que ce n’est pas la bonne approche. Je vous invite à lire avant de signer.—Non, non ! Je signe. Vous parlez d’un autre papier ?—Oui… Il sort cette fois ci une simple feuille. Cela concerne le droit à l’image. Je filme toutes mes séances. J’ai donc besoin de votre accord. Vous avez le droit de refuser mais ce serait se priver d’une source d’information. Déjà pour moi, je peux visionner la séance précédente avant un nouveau rendez-vous. Cela me permet de suivre certaines réactions. Mais toutes les vidéos sont chiffrées et vous seront rendues à la fin, C’est pour tout le monde une source d’informations. 
ISABELLE.
 
—Alors, raconte. Comment s’est passé cette première séance. Marc m’a littéralement sauté dessus dès mon retour.—Comme tu me l’avais dit. Un long moment avec des questions. Tu m’avais parlé de détails intimes et bien, tu étais en dessous de la vérité. Je crois que j’ai rougi plus d’une fois. Au fait il te fait dire que nous sommes un couple "synchrone" et que donc il a bon espoir pour me guérir.—Voilà une bonne nouvelle. Et après ?—Le fameux papier que tu avais déjà signé. Je n’ai pas bien compris la nécessité, mais il a insisté. Pour celui des "droits à l’image" je n’étais pas chaude mais comme tu avais accepté, j’ai signé aussi.—Je pense qu’il a dû avoir un problème avec un mari. Peut-être que le gars n’avait pas apprécié que sa femme soit nue.—Ce n’est pas pire que chez un gynéco.—C’est vrai. Et Après ? Après, après, mon chéri. Rien que de bien banal. Je raconte les grandes lignes, mais sans m’attarder. D’ailleurs, à part d’être nue, de la longueur de la séance, rien de bien différent que chez un ostéopathe.Long massage avec cette fameuse huile. Huile qui sent bon, mais qui laisse de belles taches sur la blouse du kiné. Thomas. Il m’a demandé de nous appeler par nos prénoms. Repos, seule dans la pièce avec deux lampes qui chauffent mon corps.Manipulations ou plus exactement comme il dit "reconnaissance" de mes points de blocage.A nouveau repos, dix minutes, puis douche bien chaude.Je dois attendre encore une fois habillée avant de sortir, pour éviter le choc thermique et les crispations. —Tu vois, rien que de bien banal. ----------------------------------------------------- —Alors raconte. Il est impatient de savoir. C’est ma deuxième visite.—Comme l’autre fois, sauf qu’aujourd’hui il m’a mis des aiguilles.—Ah ! Et…—Il m’a bien précisé que les premières fois sont pour qu’il fasse connaissance avec mon corps et mes réactions. Oui, mon Chéri, rien que du bien banal. Enfin je ne vais pas te donner tous les détails.Long massage, mais cette fois ci il n’a pas évité mes fesses, ma poitrine et mon pubis. Il a longuement massé mes fesses et j’ai senti qu’il faisait couler de son huile dans le sillon. Ma poitrine aussi, cependant en évitant les tétons. Mon pubis a eu droit à toute son attention. Les cuisses ouvertes j’ai senti qu’il passait entre mes lèvres et mes cuisses, massant avec application et délicatesse. C’est extraordinaire comme ses mains, peuvent se monter puissantes ou douces. J’ai remarqué qu’elles sont soigneusement manucurées. C’est bien normal, c’est son outil de travail.Il recouvre mon corps d’aiguilles. Il me protège avec une couverture très légère et repos sous les radiateurs.A son retour, il me libère. —Je dois vérifier que vous réagissez bien au traitement. Ne soyez pas surprise. Décontractez-vous. Fermez les yeux. Respirez calmement. Laissez-vous aller. Parfait. Je commence. Il m’a parlé alors qu’il me surplombe. Ses mains partent de mes épaules. Elles glissent, affleurent mes seins. Je sens mes tétons touchés par un doigt. Puis deux, comme s’il en testait la dureté. Je soupire. Oh, pas de plaisir, ce serait trop beau, mais pour ne pas bouger. Il abandonne ma poitrine. Je sens qu’il bouge. Il est à mes pieds. Il prend mes chevilles pour les écarter. Je soulève les paupières. Il me voit. —Je vais vérifier la souplesse. Ne vous raidissez pas. Continuez de respirer lentement. Fermez les yeux. Une main sur ma jambe comme pour me rassurer. L’autre qui remonte. Elle se plaque sur mon sexe, doigts sur mon pubis, paume sur ma vulve. Il reste immobile quelques secondes et puis sa main descend. Ses doigts son maintenant sur ma vulve. J’en imagine leur position. De chaque côté un doigt encadre mes petites lèvres, l’autre… —Respirez. Si je vous fais mal dite le moi, sinon, ne bougez pas. L’autre avance. Il entre doucement. Je le sens qui explore. Mais il se retire. Alors la main continue et ;  —Respirez. Si je vous fais mal dites le moi. C’est mon petit trou. Mais il n’insiste pas. —Voilà, j’ai terminé. La prochaine fois je changerai d’approche. On est encore loin.—Vous pensez que...—Si, si. Nous allons y arriver, ne soyez pas inquiète. Ce ne sont que des préliminaires… ------------------------------------------------------- —Alors raconte. Il est impatient de savoir. C’est ma troisième visite.—Écoute, tu ne vas me demander à chaque fois. Nouvelle séance d’acupuncture et la semaine prochaine il a prévu les pierres chaudes. Cela te va comme réponse. Chéri, je ne vais tout de même pas te donner les détails, c’est le résultat qui compte. Aujourd’hui j’étais plus "souple" avec une pointe d’humidité. C’est fou comme on peut s’habituer à entendre parler de soi ainsi. Un peu humide… Il faut dire que les aiguilles avaient explorés d’autres emplacements. Un porc-épic sous la légère couverture. Je redoutais le poids du tissu sur les aiguilles qui formaient un cercle autour de chaque aréole ainsi que celle qui me traversait le téton. Il avait raison, juste une légère douleur sur le coup. Mon intimité était protégée par la montagne des cuisses. Les aiguilles avaient traversé la chair délicate avec plus de surprise que de douleur.Ses doigts avaient détecté une "souplesse et une humidité encourageantes". Prochaine fois pierre chaude… --------------------------------------------------------  —Non, ne dis rien. Je t’expliquerai tout à l’heure. Je stoppe la question que Marc allait me poser. Après chaque rendez-vous, il me questionne. Chéri je ne vais pas te donner les détails. Pourtant je viens de réaliser que tu dois bien te douter que le traitement est particulier. Je comprends ton entretien avec Thomas avant ma venue. Il a dû te détailler ce qu’il entendait par "traitement". Le papier signé par toi devait être comme un contrat entre lui et toi. Tu lui accordais une liberté particulière. Je comprends aussi combien il faut que tu m’aimes pour accepter cela… Je n’ai pas le droit de renoncer. Aujourd’hui j’ai vraiment compris et j’ai accepté.Avant de faire le massage il va chercher ses pierres. Il dit vouloir vérifier que c’est la bonne taille. Elles ne sont pas comme celles que l’on voit d’habitude. Pierres sombres et lisses, oui, mais celles qu’il me pose sur les seins sont en réalité des cônes avec un trou au milieu. Elles n’écrasent pas le sein, elles le surplombe. Mais je ne comprends vraiment qu’après le massage.Il pose une sorte de petit tube sur mon téton. Avec une poire il aspire. Mon téton est comme étiré. Il cherche à remplir l’espace. Le tube passe facilement dans le trou de pierre chaude. Une pince le maintien en le tirant vers le haut. L’autre sein subit le même traitement. Mes seins sont littéralement aspirés et enveloppés d’une douce chaleur. Je ne vois pas vraiment celle qu’il pose sur mon pubis. Ce que je sais, ce que je sens, c’est que cette pierre ne fait pas que "reposer" sur mon intimité. Une excroissance s’est glissée en moi. C’est lisse, doux, chaud. Un petit gode en pierre….Toujours ce repos. Mais un repos bien différent. Les couvertures chaudes, le chauffage rayonnant, gardent les pierres avec leur chaleur. C’est étrange. Je n’ai pas protesté alors qu’il glissait le gode minéral en moi. Jamais un homme… A part Marc bien sûr, avec nos jouets, notre gode vibrant. Marc, mes pensées vont vers lui. Sait-il ce que Thomas fait ? Justement il revient. Il me libère avec précaution. Il vérifie que…Mes seins, mes tétons qui sont restés un peu dressés alors que le tube est enlevé. Mon sexe, mon anus qui se laisse ouvrir. —Bien, très bien, On est sur la bonne voie. Je vérifie juste que : Je le vois se saisir d’un objet. C’est un sex-toy. Il le pose sur mon ventre alors qu’il fait basculer la table. Il accompagne mes jambes qui trouvent le vide sous elles. Il se ressaisit du gode. Je le regarde lui mettre de la crème. Il se met face à moi.  —Relaxez-vous. Vous m’avez dit utiliser ce genre de jouet avec Marc. J’ai dit tant de choses, tant de confidences, je me suis mise à nu devant lui, au figuré comme maintenant au réel. Marc aussi. Marc qui… Mais oui, il devait savoir… Thomas avait dû lui expliquer, plus qu’à moi, ce qu’il envisageait comme traitement. Et il avait accepté. Mon Dieu comme il doit m’aimer pour accepter qu’un homme, même un kiné, qu’un homme me… Thomas approche le jouet contre ma fente. J’en sens la fraîcheur, si éloignée de la pierre chaude. Il va… Mon Dieu que dois-je faire ? Je le sens avec une légère pression… Que dois-je faire ? Et si cela marchait ? En tout cas mon mari avait accepté pour que nous nous retrouvions enfin. Je ne peux pas le décevoir. Il a fait sa part du chemin. Je dois faire la mienne.Je respire calmement. Je suis sereine maintenant que ma décision est prise.Il entre en moi. Il glisse sans effort.  —Parfait. Oh, parfait. Vous avez parfaitement réagi. Il retire le jouet. Je me sens bizarre. Il repose le gode sur la table à côté. Il parait songeur. Il me regarde. Nos regards se croisent. Il me sourit.  —On pourrait passer tout de suite à l’étape suivante. Qu’en pensez-vous ? Que répondre ? L’étape suivante ? Ma réponse est juste un sourire. Je ne sais s’il prend mon sourire pour une réponse positive alors que c’était plutôt une interrogation, mais il assure : —Vous avez raison. Alors. Je le vois enlever sa blouse, blouse maculée de taches de crème. Il apparaît torse nu, torse poilu bien en accord avec sa stature. Alors il défait la ceinture de son pantalon. Il le baisse et en deux seconde il est en slip.Son slip moule une barre dont l’élastique laisse apparaître l’extrémité. C’est son sexe. Il bande et son gland cherche l’air.Il voit mon regard. Il comprend mon étonnement. Mais est ce qu’il répond à ma vraie question ? Alors que je pensais : Que va-t-il faire ? Il répond : —Vous êtes très belle. Marc a bien raison de vouloir vous retrouver. Votre mari cherche votre plaisir avant le sien. Mon Dieu, c’est bien ce que je pensais. Marc a fait ce sacrifice. Il n’est pas particulièrement jaloux mais quand même ! Alors je vois Thomas, repousser son slip, l’enlever et laisser jaillir au grand jour, un sexe bien vaillant.Alors il le recouvre d’une protection.Alors il avance vers moi.Alors il guide son mandrin vers… C’est plus chaud que le gode… C’est plus gros que le jouet… C’est une tige souple et rigide. Il entre en moi. Je ferme les yeux. Je ne veux pas voir. Non, je ne veux pas voir dans ce miroir sur le mur toute l’indécence de mon attitude. Je laisse un homme entrer en moi, glisser son sexe, sentir son ventre contre moi. J’ai l’accord de mon mari. Il sait que… Il sait tout… Je comprends ses questions… Cela ne doit pas être évident pour lui, et moi qui lui refuse de le renseigner… Mais si avant j’aurais pu, encore que, lui donner un peu de détails, maintenant, ce soir alors qu’il va m’attendre, je ne pourrai pas croiser son regard. Non, je ne pourrai pas… J’ai honte… Je sens une chaleur qui n’est pas que celle du mandrin…Il bouge. Il guette mes réactions. Alors que je devrais lui dire, qu’enfin j’ai une sensation oubliée qui revient, certes pas de celles que Marc me procurait, mais tout de même, des prémices, un début d’excitation. Déjà je sens que son sexe glisse facilement. Certes il a mis du lubrifiant mais je sens bien que je suis ouverte…Il bouge et s’il me regarde je vois qu’il perd petit à petit son attitude de professionnel. Ma honte cède un peu de place à la fierté. Cet homme me désire, c’est évident. Je vois bien à son attitude, à ses mouvements que je ne suis plus une patiente. D’ailleurs il se saisit de mes tétons pour les caresser. Ils sont encore tendus par le traitement. Là aussi je sens une chaleurJe gémis. Oui, je gémis, même si la sensation ne mérite pas cette ponctuation. Mais j’ai l’expérience avec Marc qui, même s’il sait que je simule pour lui donner ce dont il a besoins, accepte le subterfuge.Il va jouir. Je le sens. Je le devine. J’aurais voulu qu’il dure plus longtemps pour que finalement mon esprit cartésien cède la place au côté "animal" qui surgit dans ces moments-là.Il jouit. Il ne me demande pas si moi aussi.La douche.Avant de partir, deux mots, deux recommandations, deux conseils, deux ordres. —Ce soir je voudrais que vous fassiez un essai avec Marc. Vous me raconterez la prochaine fois. Mais aussi arrangez-vous pour revenir avec un résultat de test HIV. Nous serons amenés à recommencer, aussi je ne veux pas que le préservatif puisse être un frein à vos sensations. 
MARC.
 
—Marc ? Je viens aux nouvelles. C’est Thomas qui m’appelle.—Oui, à propos de ?—Vous vous souvenez, je vous avais dit que je procéderais par étape. Nous venons d’en franchir une. J’ai demandé hier à Isabelle de faire une avancée le soir même. Vous pouvez me dire ce qu’il en ait.—Ah ! Je n’avais pas compris cela. C’est donc vous qui êtes à l’origine de…—Oui. C’est important d’avoir votre impression afin d’orienter le traitement.—Eh, bien pour tout vous dire je n’ai pas vu une grande différence avec avant.  
ISABELLE.

—Alors ? Que pouvez me dire sur la soirée ? Thomas me questionne dès mon arrivée.—Bien, assez bien.—Vous me racontez des cracks. L’autre jour vous avez simulé. Votre mari n’a senti aucune différence.—Vous lui avez parlé ?—Bien sûr, je dois le tenir informé de nos progrès. Il a été déçu. —Il sait que…—Je ne donne pas de détails, mais il sait. —Je m’excuse. Je voulais.—Ce n’est pas à moi que vous devez faire plaisir, mais à vous. Vous et Marc. Aujourd’hui, double traitement. Acupuncture puis pierres chaudes. Les pierres chaudes me semblent brûlantes après les aiguilles. Pourtant, au toucher, les objets ne sont pas plus chauds. Cela doit être moi. Il vérifie, mais seulement avec ses doigts. Je frémis alors qu’il les pousse en moi. J’ai comme une sensation retrouvée. Mais il n’utilise pas de gode et pas son sexe. Pourtant j’ai amené comme demandé une analyse de contrôle. Je pensais que… —C’est mieux. Même bien. Vous aussi vous avez l’impression ? Je n’ose parler. J’acquiesce en fermant les paupières. Par contre je veux que vous ne fassiez rien avec Marc. Pas avant votre prochaine visite. Si c’est vrai vous devriez sentir une envie. Mais interdiction aussi de vous satisfaire. Vous avez bien compris ?—Oui.—Maintenant bain. Bain le plus chaud possible. L’eau est brûlante. Je me retiens de me caresser. Pourtant je sens mes seins gonfler et les tétons pointer. Avec la mousse, personne ne verrait que…La porte s’ouvre. C’est Thomas. Qui cela pourrait être d’autre ?Il me regarde. Il enlève sa blouse, blouse propre, il s’est changé. Il repousse son pantalon, chasse le slip. Il bande. Son sexe est à l’horizontal. Il s’approche. Il est beau. J’ai envie qu’il me prenne, ne serait-ce que pour confirmer ce que je ressens. Cette chaleur. —Mets-toi à genoux dans l’eau. Je remarque le ton assez sec, mais aussi le tutoiement. Pourtant je m’exécute.Voilà, je suis à genoux, face à lui, le bord de la baignoire nous sépare.  —Tu me fais bander. Tu sais que ton mari m’a donné tout pouvoir pour te guérir ?—Oui. Il confirme ce que je pensais. Marc a fait ce sacrifice pour moi.—Tu ne simuleras plus, même si tu le fais très bien. C’est la première fois que je me suis fait avoir.—Non, promis.—Alors, suce-moi. Il avance son sexe vers moi. Je le regarde une seconde et puis j’entrouvre les lèvres…. 
MARC.
 
—Alors, comment c’était cette fois ci ? Me demande Thomas.—Divin. J’ai retrouvé mes sensations et surtout Isabelle a été grandiose. Mieux même qu’avant. Avec plus d’audace encore, plus de fougue et ce que je trouve super excitant c’est lorsqu’elle parle. Elle ne faisait pas cela avant. Vraiment bravo. Je ne sais pas comment vous avez fait. Si je suis enthousiaste c’est que, séance après séance, après le fiasco de la première fois, nos baises se sont améliorées. On approche la fin du deuxième mois. Non seulement Isabelle a retrouvé le goût du sexe, mais, en plus c’est comme si elle voulait rattraper le retard. Elle me surprend. Elle est insatiable et je dois me faire aider par notre jouet sans quoi elle se trouverait devant ma bite toute mole. —On arrive au but. Encore une séance. En général les maris veulent y assister. Vous viendrez ?—Je devrai être présent ?—Non, pas dans la même pièce, cela risquerait de supprimer la spontanéité des réactions de votre épouse, mais dans mon bureau, devant l’écran avec la caméra.—Pourquoi pas.—Parfait. Fixons un rendez-vous qui vous va aussi. Avec Isabelle nous avons réservé plusieurs dates pour coller avec les vôtres.—Elle sait donc que…—Non, c’est plus sympa pour tout le monde. Alors voyons… On arrive à se trouver un créneau commun. Je vais raccrocher, mais ; —Je vais vous envoyer les prises de vue pendant les séances. Je n’en ai plus besoin. Vous pourrez ainsi suivre les évolutions. Je vous envoie un lien pour que vous téléchargiez. Je vous préviens c’est assez volumineux donc compressé. Compressé et crypté. Je vais vous donner le nom du logiciel à utiliser. C’est Cryp…. Il est gratuit. Le mot de passe est, en petites lettres, sans séparation : franckisamarc. Vous avez bien noté ? Je vous laisse on m’attend. Il raccroche. J’allais lui demander pourquoi ce mot de passe. Que vient faire Franck dans cette histoire, A part me donner l’adresse et me recommander de lui… Douze fichiers. Au début plutôt rasoir. Il y a même le temps du repos. Heureusement que l’on a inventé l’accéléré. Je découvre les massages de plus en plus "envahissants", les manipulations ou le corps d’Isabelle se presse contre celui de Thomas, l’indécence de certains mouvements ou il plaque une main sur sa vulve pour "ressentir" alors qu’il lui ouvre les cuisses de l’autre. Petit à petit il progresse. Isabelle ne fait rien pour se refuser. Par moment il lui "rappelle" que je suis au courant et qu’il a toute liberté.Jamais, non jamais je ne lui ai accordé ce droit. Isabelle le croit pourtant comme si elle pensait que ce fut possible.Vidéo après vidéo je découvre que Thomas s’invite après ses massages et ses manipulations.Je le vois glisser un gode dans la fente ouverte avant de le remplacer par son sexe. Je l’entends demander des analyses prétextant que cela va devenir "habituel". Je vois la surprise d’Isabelle mais aussi son silence. Des échanges me renforcent dans l’idée que mon épouse croit bien que je suis au courant, pire à l’origine de ce que Thomas lui fait subir.Cette fellation dans la baignoire. La façon dont elle commence avec délicatesse, puis plus audacieuse, salivant sur le mandrin devenu gluant, laissant Thomas lui imposer son rythme alors que sa tête est prise en étau. Mais je vois aussi une lueur que je croyais perdue dans son regard alors que Thomas, la tutoyant, lui intime l’ordre d’avaler sa liqueur.Il l’abandonne lui répétant ce que j’ai déjà entendu :Pas de caresses ! Pas de relation avec Marc. Je veux voir la prochaine fois si ton désir revient bien.Il est revenu. Je n’en doute plus. D’ailleurs j’en ai été le bénéficiaire aussi. Je dis "Aussi" alors que je pensais "Unique". Mais les vidéos me montrent que si Isabelle retrouve bien ses envies, Thomas lui en révèle d’autres.Il la tutoie. Il la rudoie, la menace de punitions si son mari n’est pas satisfait, si elle ne m’apporte pas la preuve que son traitement est efficace. Je constate qu’il aurait pu l’arrêter bien avant. Toutes les dernières vidéos montrent mon épouse parfaitement redevenue comme avant, encore mieux. Mais ce mieux il lui fait distiller pour pouvoir la garder plus longtemps. Il peaufine, il précise…Ne te retiens pas. Tous les hommes aiment entendre leur partenaire gémir, crier, demander plus, se faire cochonne.Il lui dit, il lui répète alors qu’il la baise. Les massages sont devenus des préliminaires. Il l’a fait jouir avec sa bouche et sa langue. Elle crie que c’est bon. Ensuite, alors qu’il la bourre, le plus souvent en levrette, souvent à genoux, la tête plaquée au sol, la croupe cambrée dans une attitude de chienne, il la provoque, lui claque les fesses, lui dit et redit qu’elle fait tout cela pour son mari mais alors qu’il lui demande si elle veut arrêter, si elle est prête, elle crie ; —Pas encore, Prenez-moi, je veux pouvoir être parfaite pour lui… Il s’est joué de moi. S’il m’avait expliqué en quoi consistait son traitement, jamais je n’aurais accepté. Mais il n’a rien dit et pire, a fait croire à Isabelle que je suis informé et même à l’origine de tout ce qu’il lui fait.Il s’est joué de moi, mais comment ma femme a-t-elle pu imaginer que je savais ? Pourtant elle l’a cru et… Le salaud… Le mal est fait… D’accord il a rempli sa mission, mais par des moyens malhonnêtes. Il a profité de notre détresse. Isabelle m’a trompé… Non, je ne peux pas dire ça. Elle était de bonne foi, même si j’ai vu au fil des séances une épouse qui se prenait au jeu.Thomas est un salaud. En plus il se moque de moi en me donnant les vidéos et donc constater qu’il a baisé ma femme. Je vais lui péter la gueule, le massacrer, mettre le feu à son cabinet, bordel, je devrais dire car il ne doit pas en être à son premier essai. Quand je pense que Franck me l’a conseillé ! Il faudra que je lui dise. Non, mais non, si je parle de cela je vais passer pour un con, pour un cocu qui s’est fait rouler… 
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L’enfoiré, il est tout sourire. Oh, il peut faire le malin, ce qui est fait est fait. En plus avec ce satané documents et l’annexe pour les vidéos nous sommes pieds et poing liés. J’aurais dû mieux le lire plutôt que d’écouter ses explications. Un seul point est positif, il s’engage à ne pas faire de copies des vidéos, ni de les utiliser pour un usage privé ou public. Pour le reste, sans le savoir je lui ai vraiment donné tous pouvoirs. Il doit avoir une sacrée expérience de ce vice pour se protéger ainsi. En plus je ne peux pas avouer mon erreur à mon épouse, cela la détruirait. —Vous êtes une sacrée ordure. Si je ne me retenais pas, je vous casserais la gueule. Profiter ainsi d’un couple dans la détresse. Votre déontologie est un caniveau. Vous…—Stop, attendez. De quoi vous parlez ?— Il faut vous faire un dessin ? Vous avec profité de ma confiance pour coucher avec ma femme. C’est une honte. La pauvre, si elle savait !—Marc. Essayons d’y voir clair.—Mais c’est très clair. Et vous avez le culot de m’inviter pour la dernière séance, comme pour me rabaisser un peu plus.—Je ne comprends pas. C’est bien vous qui êtes venu me consulter ?—Mais je n’avais aucune idée de vos saloperies.—Votre femme avait bien un dérèglement de sa sexualité ?—Oui, vous savez bien.—Vous veniez bien de la part de Franck.—Oui et alors ?—Mais c’est évident. Si Franck vous a envoyé ici c’était bien pour me confier votre épouse comme il l’a fait pour d’autres.—Je me fous des autres je parle d’Isabelle.—Écoutez ! Écoutez ! J’ai une petite réputation pour…—Pour profiter de la faiblesse des autres.—Laissez-moi vous expliquer. Après vous jugerez.—De toute façon j’attends Isabelle et nous repartons pour ne plus jamais vous revoir. Quand je pense, qu’en plus nous vous avons payé pour cela. —Je connais Franck car nous fréquentons le même club. Un club libertin.—Quoi ?—Je vous jure que je ne mens pas. Laissez-moi continuer. Il sait que je me suis fait une spécialité, qui n’est pas officielle, mais qui circule dans ce milieu. On y rencontre parfois des hommes seuls qui rêvent d’y emmener leur épouse. Mais ils n’osent pas ou bien ils ont abordé le sujet et se sont fait claquer la porte au nez. Certains jugent leur femme trop "coincée ou pudibonde" pour réussir à les entraîner, mais d’autres pensent que c’est plutôt une attitude qu’il faut contourner. Du fait de mon métier, j’ai la possibilité de "tester" ces épouses. Si je pense arriver à la convaincre, je passe un accord avec le mari. A charge pour lui de gérer cela après.—Vous vous glorifiez de séduire une épouse et de l’amener là ou mari veut l’entraîner. Quel joli métier ! —Je ne force rien. Je fournis une ambiance. —Et l’activité physique qui va avec.—Seulement si ma cliente en a envie. Avez-vous vu Isabelle devoir refuser quoique ce soit. N’ai-je pas été prévenant, jamais brutal ni employer la force.—Je n’en suis pas si sûr. Les dernières fois, vous avez été un peu "dirigiste" avec Isa.—Pour son bien et le vôtre. Écoutez, mettez-vous à ma place. Vous venez me voir de la part de Franck, donc pour moi, dans le but de créer les conditions afin que vous puissiez l’entraîner dans un club. En plus vous me fournissez le moyen de la convaincre avec cette perte de libido. Vous auriez fait quoi à ma place ?—Je…—J’ai été honnête avec vous. Si j’avais voulu vous tromper, je ne vous aurais pas fourni les vidéos. Je pensais les donner à un mari Candauliste ou libertin qui rêvait de voir sa femme avec un autre homme. C’est aussi pour cette raison que je vous ai invité à notre dernière séance. L’apparition du mari, en fin de séance permet au couple de s’expliquer et souvent de repartir d’ici dans de très bonnes dispositions.—Je comprends mieux maintenant. Mais je vous jure que Franck qui est pourtant un ami ne m’a pas parlé de votre "spécialité".—Peut-être qu’il pensait vous rendre service ?—Je ne sais pas. Je verrai.—Écoutez, je suis vraiment désolé de ce quiproquo. Mais il faut prendre le bon côté des choses. Isabelle a retrouvé ses sensations et j’espère de nouvelles. Vous allez faire quoi ? Le lui dire ?—Vous imaginez sa réaction si je lui dis ?—Oui, surtout qu’elle pense que je "travaillais" sous votre contrôle. —Oui, j’ai entendu. Je suis dans le pétrin.—Vous savez, ce n’est pas si grave. Votre femme vous aime. Plus d’une fois je l’ai entendue prononcer votre prénom. Pour elle vous devez être un mari très aimant pour accepter cette liberté avec moi.—Mais je n’ai jamais…—Peut-être, mais elle le pense.  Un silence. —Votre femme est très belle. Pour vous satisfaire elle a accepté tout ce que je lui proposais.—Et même plus, si j’ai bien vu…—Et vous lui en voulez ?—Non, mais…—Vous êtes jaloux ?—De vous ? Bien sûr.—Je ne compte pas. Vous allez la retrouver comme avant.—Pas tout à fait comme avant.—Et cela vous déplaît ?—Oui, enfin non. Je ne sais plus. —Je vais vous donner mon avis., même si cela vous importe peu. J’ai l’expérience que vous n’avez pas. Votre femme est belle, sensuelle, délicieuse de fraîcheur, de spontanéité. Sans que vous le désiriez je lui ai fait découvrir autre chose. La priver de cela serait égoïste et contre-productif. Pourquoi votre couple ne serait-il pas plus libre ?—Je voudrais vous y voir. En disant cela je me rends compte aussitôt que ma remarque est saugrenue. Il sourit.—Justement. Vous savez votre épouse a fait beaucoup d’efforts. Ce n’est pas le genre à se donner si facilement. Elle vous est fidèle et c’est seulement lorsqu’elle a compris que ce n’était pas de l’infidélité mais…—J’ai compris.—Alors elle mérite d’être récompensée.—Et la récompense c’est vous ?—Non, moi je ne suis que l’instrument. Je vous propose quelque chose. Mais avant vous allez répondre franchement. Lorsque vous avez vu les vidéos, j’imagine que vous étiez en colère ?—Oui, évidemment.—Mais après, Avez-vous regardé toutes les vidéos ?—Bien sûr.—Et les avez-vous regardés une seconde fois ?—Oui. —Toujours avec colère ?—Oui…—Ne m’entez pas. Ne mentez pas à vous-même.—Non.—Je suis sûr que vous l’avez trouvé belle. Elle va bientôt arriver. Je vous propose la chose suivante. Vous allez rester dans mon bureau et regarder à côté par la caméra. Si jamais vous voulez tout arrêter, il vous suffit d’appuyer sur ce bouton. Il met en marche une lampe rouge des deux côtés de la porte. Je saurais et j’arrête tout. Ça vous va ? Je vais dire non, que je veux qu’il la renvoie à la maison. Je verrai ensuite comment faire. Une chose est certaine je ne pourrai pas lui dire la vérité. Mais il y a les réponses à ses questions, réponses que je n’ai pas vraiment faites, me cachant dans l’attitude du mari trompé. Oui, j’ai été en colère. En colère contre lui, en colère contre Isabelle. Mais oui j’ai revisionné, encore et encore certaines vidéos. Le sacrifice d’Isa au début était évident. Mais vers la fin, l’évidence était qu’elle se livrait sans retenue. Elle était belle, désirable et je bandais de les regarder. J’avais, Mon Dieu, utilisé ces vidéos pour me masturber, reproduisant dans mon bain comme lorsqu’elle m’avait surprise.Alors je dis : —D’accord mais si je mets la lampe, vous arrêtez aussitôt.—Oui.—Et jamais vous ne lui direz pour le quiproquo.—Jamais.—Aussi, pas un mot à Franck. Il sait qu’Isa est venue ?—Non. Je sais être discret. ------------------------------------------------------------- —C’est la dernière fois aujourd’hui, tu le sais ?—Oui.—Tu le regrettes ? On voit qu’elle hésite. —Un peu, mais j’ai honte de dire cela. Ce serait tromper Marc. Jusqu’à maintenant je respectais son sacrifice pour me guérir. Continuer serait le tromper. Il ne le mérite pas. C’est le meilleur des maris. Déjà que les dernières séances ne me semblaient plus nécessaires. Je sais que vous avez prolongé…—C’est vrai, je l’avoue. Je voulais non seulement te guérir mais te montrer autre chose. Tu le regrettes ?—Non, mais j’ai honte en le disant.—Fais confiance à ton mari. Pourquoi ne pas lui en parler ?—Il me jugerait mal et il aurait raison.—Pas du tout. Vous vous aimez et vous pouvez affronter toutes les situations. Au contraire il serait fier de toi. De toute façon, sans lui donner de détails, je l’ai informé de nos séances et il a pu vérifier que tout allait bien.—Vous croyez qu’il se doute que…—J’ai été très clair la première fois qu’il est venu. Il savait que ce serait plus que des massages et de l’acupuncture. Le menteur, le menteur, dans sa tête oui, mais pas pour moi.—Et il n’a rien dit ?—Si, qu’il t’aimait plus que tout et que s’il fallait en passer par là, il acceptait. Ah, il se rattrape ! Un silence. —Montres-moi si tu as bien respecté mes consignes. Dis Thomas tout en jetant un œil vers la caméra.—A la lettre. Elle sourit. Elle commence à détacher sa robe. Manifestement elle s’est faite belle. En effet, la robe enlevée elle est avec sa lingerie coquine. Soutien-gorge à balconnet, gaine porte jarretelle et petite culotte que j’appelle "timbre-poste" bien qu’il est rare que les timbres soient en triangle. —Marche un peu pour voir. Putain qu’elle est belle. La maternité et cette panne m’avait fait oublier combien Isa était belle. Les hauts talons lui donnent une marche chaloupée.  —Ton mari a bien de la chance. Beaucoup d’hommes doivent te dire combien tu es belle. Tu n’as jamais répondu à leurs avances ?—Jamais. Je suis mariée et donc fidèle. Je trouve cela malhonnête de tromper son conjoint.—Mais ici ?—Ce n’est pas la même chose. Il savait.—Donc tu accepterais de coucher avec un autre homme si Marc te le demandait.—Non, ici c’était différent.—Oui, pourtant tu as eu du plaisir.—Oui, mais…—Tu as conscience que tu es guérie et qu’aujourd’hui ce n’est plus vraiment nécessaire.—Je reconnais. Mais c’est comme un livre à refermer.—Et…—Quand je rentrerai je redeviendrai une épouse fidèle.—Mais tu reconnais que…—Oui, mais je me dis que j’ai été un bon petit soldat et que je mérite bien une récompense.—Je répète ma question : Imagine que Marc veuille changer vos habitudes et étendre votre champ d’action.—Champ d’action ?—Oui, en allant dans un club libertin, inviter un partenaire ou une partenaire avec vous, etc.—Il ne fera jamais cela.—Répond, imagine qu’il te le demande.—Si c’est son choix.—Mais pas le tien ? —Je…—Réponds.—Oui, mais seulement avec lui. Le regard que me jette Thomas est comme une victoire. Il vient de me faire comprendre qu’Isabelle a changé. Changé ? Qu’est-ce que j’en sais ? Jamais je n’ai posé ce genre de questions. Mais ce traitement a bouleversé notre vie. —Comme tu l’as dit tu as été un bon petit soldat. Alors aujourd’hui, pas de massage, pas de manipulation. C’est toi qui décides. —Moi ?—Je ferai tout ce que tu veux… Dans la limite du raisonnable… Un long silence. Ils se font face.Elle avance. Je crois une seconde qu’elle va l’embrasser, mais non, juste une bise amicale. Un vrai baiser m’aurait choqué ! C’est idiot, mais je suis moins choqué alors qu’elle détache les boutons de la blouse. —Il ne faut pas tacher. Elle dit, mutine, rappelant que la première raison invoquée pour enlever ses sous-vêtements était cette excuse. Elle libère le torse puissant. La toison est dense. Elle y pose ses mains. Elle caresse le duvet, se penche, cherche les tétons de l’homme, les embrasse, l’un après l’autre, comme un homme le fait à une femme. Mais aussi une main s’est plaquée contre le ventre que l’on devine musclé. Une main qui descend, passe l’élastique du survêtement et va se saisir de ce que j’imagine.Elle sourit. Elle fait descendre le pantalon. Il ne porte pas de slip. Son sexe est en majesté. Il bande. Elle lui parle à l’oreille. Il hoche la tête. Il bande juste de la voir en lingerie et par une simple caresse. Il bande pour ma femme, si facilement, alors que si j’ai bien compris, les aventures ne doivent pas lui manquer. C’est avec sa langue qui part d’un téton, passe le nombril, flirte avec le pubis et atteint son but. Elle s’est agenouillée dans le même mouvement.Elle pose ses mains sur les fesses de Thomas. Elle le prend en bouche. Elle le gobe. Se glisse sous la bite, avale les couilles. Bref tout l’abécédaire de la parfaite gourmande.Je regarde. J’ai l’impression de vivre ce que tant d’hommes ont décrit et que texte après texte, je trouvais répétitif. Toujours avec le ""Mais c’est ma femme qui "" alors que l’auteur, le mari donc, ne fait que décrire une scène de cul entre un homme et une femme. Et le "" C’est mon épouse qui,"" n’apporte rien au lecteur. Comme eux je peux écrire une scène de cul, mais si pour mes lecteurs elle est banale, pour moi elle est… Elle est quoi ? Troublante ? Dérangeante ? Excitante ? Source de colère ? D’admiration ? Tant pis je l’écris, pour moi-même, peut-être pour plus tard, pour me rappeler, peut être lui rappeler si nous sommes encore ensemble, comment elle était pour sa première fois, sa première fois alors que je regarde, même si elle ne le sait pas. C’est ma femme qui après avoir copieusement bouffé la bite de Thomas le fait allonger sur la table de massage et vient sur lui en 69. Le couple s’active. Les langues enveloppent, lèchent, vrillent. La bouche gobe ou aspire.Il jouit. En quelques minutes elle l’a fait cracher. Je vois les petits coups de rein de l’homme qui jouit et qui veut que son sperme devienne un cadeau pour la vicieuse qui a su le pomper avec tant d’efficacité.Quelques secondes ou ils restent immobiles, elle toujours le sexe en bouche, enveloppant au mieux le bâton afin qu’aucune goutte de foutre ne soit pas perdue. Et elle se relève. Je rejoins à nouveau le camp des maris cocus ou Candauliste qui décrivent que leur femme à la bouche remplie du foutre d’un autre. Que nous voyons des traînées suinter de la commissure de ses lèvres. Que tous, nous sommes assez prêts pour voir la glotte bouger, imaginant la liqueur que notre pensée fait épaisse et abondante, l’accompagnant en déglutissant pas mimétisme et sentir presque le liquide qui descend, preuve de notre cocufiage ou de la perversité de nos femmes, l’un n’excluant pas l’autre. Elle est sur lui. Elle écrase sa fente sur la bouche de Thomas qui lui écarte les fesses de ses grosses mains pour s’aventurer toujours un peu plus loin.Elle crie. Elle hurle comme jamais elle le fait avec moi. Je suis jaloux. Tous les hommes sont jaloux qu’un autre fasse jouir leur épouse comme ça. C’est… C’est…Un défi, oui un défi. On se dit que la prochaine fois qu’on va la baiser, on va mettre le paquet et la lécher, lui aspirer le clitoris, lui glisser un doigt, deux doigts, dans son petit trou aussi…pour que sa jouissance soit au même niveau.Mais pour l’instant je suis spectateur. Je ne peux plus intervenir. Ce serait prendre le risque de tout foutre en l’air, c’est déjà assez compliqué comme ça. Je suis arrivé en colère et je me retrouve en train de mater Isabelle qui… Qui ne perd pas de temps. Qui constate que Thomas, bande encore. Il n’y a pas de justice… Qui, en équilibre instable se tourne sur la table et se dirige pour chevaucher et… s’empaler sur l’engin.C’est le lot des maris Candaulistes, regarder leur épouse se faire… Non, pas se faire, dans son cas c’est elle qui…et c’est le plus troublant. Troublant et excitant. J’imagine déjà ce que nous ferons… Mais la coquine se possède comme une furie. Thomas se laisse faire, il faut dire que la place n’est pas mauvaise. Il récolte ce qu’il a semé et ma foi il faut lui reconnaître ce don, tirer le meilleur de ma femme.J’ai parlé trop vite. Il se lève, empoigne Isabelle avec une force surhumaine, descend de la table de massage, fait tourner Isabelle afin qu’elle se retrouve face à la table et lui tourne le dos.Il l’enfile en douceur. Quelques va-et-vient et il se penche vers elle, lui parle à l’oreille. Lorsqu’il se redresse Isabelle est quasi couchée sur la table et je vois ses mains se plaquer sur ses fesses pour les écarter. C’est comme si Thomas hésitait. Alors je l’entends dire clairement : —Oui, prenez-moi par mon petit trou.—Ce n’est pas assez. Souviens-toi de ce que je t’ai dit. L’acte c’est bien mais cela ne suffit pas. Je sais que tu aimes te faire enculer. Marc doit le savoir aussi. Alors ne soit pas pudique. Dis-le. Dis-lui. Dans des instants comme maintenant les mots les plus crus sont de piments qui excitent. Je ne suis pas comme la plupart de ces maris cocus ou Candaulistes qui découvrent que leur femme offre leur petit trou à l’autre alors qu’avec eux c’est rare, voir jamais. Nous, cela fait partie de notre quotidien. J’aime ça et Isa aussi. Mais il y a la manière.Avec moi elle ne s’offre pas en s’ouvrant avec les mains.Avec moi elle ne dit pas : J’ai trop envie, encule-moi.Avec moi, elle ne se tortille pas alors que mon mandrin est tout au fond.Avec moi elle ne dit pas : Oui, je sens tes couilles qui me battent.Avec moi elle ne crie pas si fort. Ses gémissements sont plus faibles.Mais il faut dire que je ne suis pas comme Thomas. Lui la bourre avec une force incroyable. Elle s’accroche à la table qui bouge aussi avec elle. Oui il y a manière et manière. Nous les maris cocus ou Candaulistes nous sommes trop loin, mais au moins moi je peux imaginer que lorsque Thomas se retire l’anus baille encore et laisse suinter de son sperme.Il la laisse. Il lui dit : —Reste encore un peu. J’ai peut-être une surprise pour toi. —Une surprise ?—Tu verras, en tout cas je l’espère. Il la laisse. Deux portes et il arrive dans son bureau. —Alors, cela t’a plu ? Il me tutoie. Cela ne m’étonne même pas. Nous sommes complices, pour moi sans vraiment le vouloir, mais le fait est établi. Comme un amant et un mari Candauliste… —Je ne sais pas. Tu n’y es pas allé de main morte.—Je voulais te montrer. Même si tu ne le voulais pas, j’ai plus que guéri Isabelle. Maintenant c’est à toi de prendre ta décision. Soit, tu quittes ce bureau, tu attends qu’Isabelle rentre chez toi et tu fais comme si rien ne s’était passé. Je ne dirai rien à personne. Ce sera notre secret.Soit, tu vas la rejoindre. Oui, tout de suite pour lui montrer que tu sais tout, que tu avais donné ton accord et vous repartez ensemble sur une base solide. A vous de décider si vous restez dans le même schéma qu’avant de venir me voir. Personnellement je t’invite à vous ouvrir à d’autres… Elle le mérite, et toi aussi. ------------------------------------------- Elle a les yeux fermés. La couverture avec laquelle Thomas l’a recouverte se soulève doucement au rythme de sa respiration. Elle est belle. Oh, pas de cette beauté lisse, car ses cheveux sont collés par la sueur, son visage montre des traces évidentes de ce qui vient de se passer.Je pose mes lèvres sur son front. Elle ouvre les yeux, me découvre, sursaute et se redresse pour s’asseoir sur la table. Dans le mouvement elle se cache avec la couverture. —Marc… Mais… Qu’est-ce que tu fais là… Tu es venu me chercher ? Je la vois réfléchir à toute vitesse. Il y a un monde, et je la comprends, entre imaginer que son mari laisse à un homme toute liberté pour la guérir et se faire surprendre ainsi. Instinctivement elle serre les cuisses. —Oui. Je voulais être là pour t’attendre après cette dernière séance. Je voulais aussi remercier Thomas. Tu reconnaîtras avec moi, qu’il a été très efficace.—Mais je n’ai pas entendu la sonnerie à sa porte. Tu es entré comment. ? Son sens pratique m’a toujours étonné. Mais là, vraiment ! Tu étais déjà là… Oh, tu attendais… Tu nous as… Depuis son bureau, c’est ça, avec la caméra... Oh mon Dieu…—Calme toi Chérie. C’est vrai, je suis arrivé avant. Thomas voulait me montrer qu’il avait réussi.—Oui, mais pas… Ce n’était pas comme d’habitude. Normalement je ne… Tu lui avais bien dit qu’il pouvait… —Oui, oui. Je sais que ce n’est pas comme d’habitude. Il m’a envoyé toutes les vidéos. —Quoi, toutes les séances ?—Oui. Tu es rassurée ?—Tu n’as pas été…—Si, heureux que tu guérisses. Je sais qu’elle ne voulait pas dire cela. Et même avec un peu de bonus. Je souris. Comme tout à l’heure… Au moins qu’elle ne se sente pas responsable de ma bêtise et continue de croire que je savais tout. Cette petite plaisanterie sur le bonus a fait son effet. Mes paroles la rassurent. Elle laisse tomber la couverture, descend de la table, m’enlace. —Oh, mon Chéri. Comme je suis heureuse que tu sois avec moi. Nous avons réussi, n’est-ce pas ? —Oui, mais c’est toi qui as fait le principal. Moi je n’ai été que le témoin, témoin et complice. Tu as été si… Si belle… Si sensuelle… Si coquine. Oui, si coquine que je… Tout en la gardant tout contre moi, je la fais tourner vers la table. Je n’ai pas besoin de trop insister pour qu’elle se penche. Elle tourne le visage vers moi alors que je défais mon zip pour en extraire mon sexe en pleine forme. Je me penche sur elle, je la couvre de mon corps et lui dit : —J’ai particulièrement aimé la fin, lorsque Thomas te conseillait.  Elle comprend. Elle comprend si bien qu’elle place ses mains sur ses fesses. La réalité rejoint mon imaginaire. Son anus est encore gras du foutre de son amant, pardon de son thérapeute. J’y glisse mon gland. J’y pousse ma hampe. Déjà mon ventre est contre ses fesses. —C’est bon. Le foutre de Tomas est un lubrifiant parfait.—Oh, Chéri je…—J’ai l’impression de reprendre la conversation ou il a l’a cessé. Tu lui disais quoi ?—Oh, Marc, c’est —Vicieux, oui je sais, mais c’est si bon. Le reste est une ode à l’amour, à la sexualité, à la transgression, aux fantasmes, tout ce qui fait que c’est bon. Oui, c’est bon d’enculer son épouse. De l’entendre vous encourager, de la voir se tortiller, de lui claquer les fesses en la traitant de cochonne, de la bourrer avec la même puissance que Thomas, brassant son foutre avant de répandre le mien. 
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Il est là. Il me fait signe. Il m’attend. Son sourire est large, il rayonne de suffisance, il se sent supérieur. —Marc. Je commençais à désespérer. Cela fait combien de temps ? Quatre mois ? Je t’en prie assieds-toi. J’ai commandé des coupes, il faut bien fêter cela. Raconte-moi.—Tu savais. Bien entendu que tu savais. Tu savais que Thomas était bien plus qu’un kiné et qu’il exerçait un art particulier.—Bien sûr. L’occasion était trop belle. Cette histoire de panne conjugale a été du pain béni, exactement ce qu’il me fallait pour te prendre à mon piège. Tu ne peux pas savoir combien j’appréciais, chaque jour, chaque heure que je savais Isabelle avec lui et qu’ils…Même si Thomas n’a jamais voulu me dire si Isabelle était bien de ses patientes, je le devinais. Ma seule angoisse était que tu ne l’apprennes pas, qu’Isa garde le secret, que Thomas se fasse discret. Il est super, Thomas. Il n’y a pas meilleur que lui pour apprivoiser une épouse un peu trop prude ou réticente aux jeux que le mari voudrait introduire. Il s’est fait une solide réputation au club auprès de certains époux qui voudraient bien y entraîner leur femme mais qui ont peurs qu’elle se referme à cette tentation. Comment peuvent-elles leur refuser après quelques séances avec Thomas ? —Tu jubiles, hein ?—Oh que oui. Je suis certain qu’il a su réveiller Isabelle. Avec moi elle était étincelante de sensualité, pleine d’initiatives, coquine, parfois cochonne. Non seulement tu m’as fait cocu, mais tu l’as littéralement éteinte. Tout ce que tu sais lui faire c’est un enfant. Et comment ? Dans le noir, à la missionnaire ? —Je ne vais pas chercher à te convaincre du contraire. Cela ne sert à rien. Tu te fais un cinéma parce qu’elle m’a préféré à toi. —Vous m’avez fait cocu. Et ne va pas me dire que vous y avez mis les formes. Tout le monde savait sauf moi. J’ai été la risée de mes amis. Mais maintenant j’ai ma vengeance et crois-moi, maintenant qu’elle y a goûté tu ne pourras plus te la garder juste pour toi.—C’est faux. Personne n’était au courant et Isabelle a même été d’une fidélité exemplaire pour se refuser avant qu’elle t’annonce votre séparation. Mais sur l’autre point tu as raison et je t’en remercie. Isabelle aussi. —Tu mens.—Je ne cherche pas à te convaincre. Mais grâce à toi et ton complice, non seulement elle est guérie, nous avons découvert que nous pouvions nous réaliser Aussi avec d’autres. Le Candaulisme, tu connais ?—Mensonge.—Je vais te quitter. Merci pour le verre. Laisse-moi te l’offrir. Tiens je vais demander une bouteille, je te dois bien cela.—Salaud.—Moins que toi. Tu vois, moi je ne vais pas aller cafeter auprès d’Alice que tu la trompes et que tu fréquentes un club libertin.—De toute façon elle ne te croirait pas.—Va savoir ? Je commence à m’éloigner, mais je reviens sur mes pas. —Tu parlais de quatre mois. Tu avais raison. Isabelle a consulté Thomas pendant deux mois. Une bonne quinzaine pour que je réalise et comprenne vraiment ton piège. Un mois et quinze jours restent donc pour… Elle ne t’a rien dit ?—Rien dit, qui ?—Mais Alice.—Alice, pourquoi ?—Je ne suis pas un cafteur comme je te l’ai dit, mais je sais faire profiter mes amies d’une bonne affaire.—Mais de quoi tu parles ?—Tu sais qu’elles sont amies. Tu le sais, car c’est grâce à cette amitié que tu as appris notre problème. Mais cela marche dans les deux sens. Quand Alice a remarqué qu’Isabelle rayonnait, elle l’a questionnée. Sans donner de détails, Isa lui a parlé de Thomas. Tu ne dois pas être un si bon amant car elle a paru envieuse de son amie. Je lui ai conseillé d’aller le voir. Tu me connais, je suis toujours prêt à rendre service. J’ai appelé Thomas en disant que la femme qui allait se présenter de notre part voulait faire une surprise à son mari. Tu connais son professionnalisme.—Quoi ?—Elle a confirmé à Isabelle, que Thomas était vraiment un kiné extraordinaire, mais qu’elle se sentait un peu coupable. Une culpabilité de façade, je pense car pour notre première sortie au club, tu savais qu’ils faisaient des matinées, les deux femmes ont été les vedettes du jour. —Je ne te crois pas.—Oh c’est facile à vérifier. Questionne Thomas. Au club aussi. Bon, cette fois-ci je te laisse, je vais les rejoindre à la maison. Tu sais bien sûr que nos deux épouses ont prévu de faire les boutiques ensemble ?—Quoi ? Euh ! Oui.—Je crois que ce sont des boutiques de lingerie. J’ai conseillé plutôt en sex-shop étant donné leur projet. Je vais voir si elles ont trouvé. Un petit défilé rien que pour moi. Elles doivent être bien chaudes. Je vais avoir du travail…
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