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Radegonde et Cunégonde

Chapitre 4

Erotique
— Alors, beau soldat, nous laisseras-tu entrer ? Tu vois bien que nous saurons te récompenser, minaude Cunégonde.— Après tout, le prisonnier est enchaîné et vous ne risquez rien.
Le soldat, subjugué par la perspective du plaisir, ouvre donc la porte du cachot.
— Entrez, mes Demoiselles, mais faites vite.
Les deux sœurs pénètrent dans le cachot qui sombre dans l’obscurité lorsque la porte se ferme derrière elles.
— Bonjour, je reconnais bien là le grand cœur que vous avez héritez de feu votre mère.— Où êtes vous ? demande Cunégonde.— Il fait si noir ici, confirme Radegonde.— Effectivement, cela manque un peu de lumière. Ne vous effrayez pas de ma magie, mais je tiens à ce que nous puissions discuter face à face et je vais faire un peu de lumière.
Une lumière orangée éclaire progressivement la pièce insalubre où le sorcier est enfermé. Il est en guenilles, ses bras et ses pieds sont lourdement enchaînés.
— N’ayez crainte, je ne saurais faire de mal à mes filles !— Vos filles ? Mais nous sommes les filles du seigneur Agobard et de sa douce Désidériade ! S’écrie Radegonde.— Nous ne sommes pas vos filles ! Renchérit Radegonde.— Que si ! Et je vais vous le prouver ! Regarder l’intérieur de ma jambe droite. Qu’y voyez-vous, sinon la même tâche de pigmentation en forme de lune que vous avez, l’une et l’autre, au même endroit ?
Les deux jeune filles doivent se rendre à l’évidence. Ce sorcier qui va bientôt être brûlé est leur vrai père ! Que faire?
— Rien, vous ne pouvez rien faire, mes petites ! Même si provisoirement, j’ai arrêté le temps autour de nous pour nous laisser quelques minutes à passer ensembles. Je ne sortirai de ce cachot que pour être conduit au bûcher ! C’est le prix à payer pour avoir séduit votre mère.— Mais c’est horrible !
— Rassurez-vous, ils croiront me brûler mais ne retrouveront pas un seul de mes os dans les cendres. Je serais avec vous et veillerais sur vous, mais pour cela il faut que vous fassiez quelque chose pour moi.— Que pouvons nous faire pour vous aider ?— M’offrir vos pucelages ! Ainsi je serais en vous pour toujours.
Les deux sœurs se regardent interloquées. Leurs pensées communes défilent à toute vitesse. Perdre leurs virginités avec ce sorcier en guenilles, enchaînés dans une geôle et qui prétend être leur père, ce n’est a priori pas très excitant.
— Je vous ai donné le don d’unir vos esprits cette nuit. Pour aller jusqu’au bout il nous faut unir nos corps. Radegonde, Cunégonde, regardez ce magnifique braquemart, ne vous fait-il pas envie ?
Une partie des haillons se soulève pour laisser la place au vit du sorcier. Les deux sœurs s’agenouillent pour le contempler.
— C’est vrai...— qu’il est beau
La main de Radegonde prend le pénis et commence à coulisser le fourreau de chair pour décalotter le gland qui apparaît brillant, gonflé, rose sombre. Près du méat se retrouve une petite tâche en forme de lune, semblable à celle portée sur la jambe des trois personnages.
— Vous avez la même tâche à l’entrée de vos vagins. C’est le signe de notre lignée depuis des millénaires.
Les lèvres de Cunégonde viennent lécher la petite perle de liquide qui vient orner le méat et sa main vient rejoindre celle de sa sœur.
Le sexe en érection palpite entre les mains des deux jeunes filles qui désormais promènent en alternance leurs langues sur le gland du sexe de leur père.
Les doigts viennent manipuler les testicules du sorcier, elles sont lourdes et gonflées de semence.
Sachant, qu’elles vont communier ensemble sur le sexe de leur père et qu’elles vont ressentir ensemble par deux fois la même extase, les deux sœurs ne se disputent pas le droit à être la première à perdre sa virginité.
Cunégonde et Radegonde retirent rapidement leurs robes pour se présenter maintenant nues au regard de leur père.
— Que vous êtes belles, mes filles. Aussi belle que votre mère, la regrettée Désidériade.
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