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Radegonde et Cunégonde

Chapitre 7

Erotique
Après quelques minutes, Cunégonde se relève et laisse échapper le chibre paternel de sa rondelle. Elle se précipite alors pour nettoyer de sa bouche le précieux instrument de toute souillure tout en offrant son arrière train à la langue gourmande de sa sœur.
Une fois son travail terminé, Cunégonde relève sa tête vers son père qui lui sourit tendrement.
— Merci, Père bien-aimé, de nous avoir si bien contentées.— Je crois qu’il me reste encore un peu de semence. Voulez-vous la goûtez ?— Que oui, Père, affirme Radegonde. Ce serait un cadeau inoubliable !— Alors que l’une de vous me prenne en bouche que je lui donne la première rasade, puis elle laissera la place à sa sœur qui recevra la rasade suivante et ainsi de suite jusqu’à ce que mon flot se tarisse.
Cunégonde la première englobe le gland du bel engin et sa langue ne peut résister au plaisir de venir titiller la muqueuse sensible autour du méat. Mais elle n’a pas le temps de s’y attarder car une giclée de sperme vient frapper le plafond de son palais. Prenant bien soin de ne pas perdre une seule goutte du précieux élixir, elle laisse sa place à sa sœur.
Le goût âcre du sperme paternel ne les rebute nullement et c’est avec plaisir qu’elles se relaient autour de la source. Mais bientôt les giclées sont moins violentes, moins importantes et comme le sorcier l’avait annoncé, le flot est désormais tari.
— Mes filles, reprend le sorcier, je vous remercie d’avoir partagé avec moi ces instants d’amour. Nous avons passé l’équivalent d’une demi-journée à nous offrir mutuellement nos chairs, mais à l’extérieur de cette cellule, le monde n’aura vécu que le temps d’un soupir. Rhabillez-vous prestement et cognez à la porte afin que le gardien vous libère.— Père, nous avons...— … une dernière requête avant de vous quitter définitivement.— Définitivement n’est pas le mot, mes filles. Je vais être conduit un bûcher, soit ! Le bûcher sera allumé, soit ! Mais je n’y resterai pas bêtement. Pas un des mes os ne sera retrouvé parmi les cendres, je vous le dit. Et si vous ne me revoyez pas, sachez que je serai toujours à vos côtés. Mais quelle est donc votre requête ?— Nous avons promis au gardien...— ...de nous offrir à lui pour qu’il nous ouvre la porte. Pourrez-vous...— ...arrêter le temps pour nous permettre de respecter notre promesse.
Le Père réfléchit un peu, amusé du prix que ses filles ont proposé au gardien.
— C’est dit, mes filles, ce gardien mérite votre récompense. Je vais arrêter le temps autour de lui également. Mais faites vite ! Il ne devra pas se rendre compte que la journée dure un peu plus longtemps qu’à la normale. Quand vous aurez fini avec lui, vous crierez « À bientôt ! ». Le temps reprendra alors normalement son cours.
Cunégonde et Radegonde se rhabille rapidement tout en pensant qu’elles devront bientôt à nouveau se dénuder. Puis, Cunégonde frappe à la porte.
— Gardien, nous en avons fini. Pouvez-vous nous faire sortir ?
La gardien, alléché par les fantasmes qu’ont fait naître en lui les deux demoiselles du château, ouvre prestement la lourde porte.
En faisant un dernier signe d’adieu à leur père, Cunégonde et Radegonde sortent, rassurées sur le fait que le sorcier échappera finalement à la mort. Il a tellement fait de choses extraordinaires jusqu’ici. Il n’est point invraisemblable qu’il puisse de fait sortir sauf du bûcher.
La porte du cachot à peine refermée, les deux sœurs dévoilent leurs charmes aux yeux du gardien qui reste pétrifié ! Ce doit être un rêve, pense-t-il, je vais malheureusement me réveiller.
Mais déjà les deux demoiselles viennent l’embrasser, le caresser, lui présenter leurs seins, leurs fesses. Quelle diablesses !
Cunégonde vient se placer devant sa sœur pour la soutenir. Radegonde se penche alors en avant en écartant ses cuisses afin d’offrir sa croupe avantageuse au bienheureux gardien.
Elle aguiche tant le gardien en gigotant des fesses que ce dernier sort rapidement son dard pour venir enfiler la jeune fille. C’est assez facile, car le con de la belle est humide et suintant. Et elle n’était pas pucelle ! Mais qu’importe ! Il lui faut faire vite pour finir avant l’arrivée de la relève.
Il essaye donc d’arriver rapidement à son plaisir sans penser à en donner en retour. Toutefois Cunégonde et par conséquent sa sœur, ressentent tout de même le plaisir monter en elles.
Les deux jeunes filles commencent à gémir ensemble, au grand étonnement du gardien. Comment la deuxième demoiselle pourrait-elle ressentir la même saillie que sa sœur ? Voilà qui dépasse l’entendement.
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