Le duo des gémissements entraîne rapidement chez le gardien une montée de jouissance bien compréhensible et sa semence vient bientôt tapisser la muqueuse vaginale de Radegonde. Le gardien se retire, visiblement satisfait. — Comment, beau gardien, et moi ? Réclame Cunégonde. Je n’aurais pas droit à ton beau vit. Le gardien, dont le sexe est rapidement devenu flasque, balbutie vaguement. — Mademoiselle, je suis désolé, vous m’aviez parlé d’une faveur pour ma récompense. Je ne pensais pas que...— Et si ! Je veux également avoir l’honneur de votre foutre, mais je le veux dans le cul pour ma part ! S’exclame Cunégonde.— C’est juste, ma sœur doit également vous récompenser de votre amabilité.— C’est que, continue le gardien, je ne suis plus vraiment en état...— Qu’à cela ne tienne, répondent les deux sœurs, nos mains et nos bouches vont bientôt raffermir votre petit ange. Et les deux sœurs de s’agenouiller devant le gardien et d’extraire du sayon du gardien le pénis flasque mais encore humide de plaisir. Les mains tripotent bientôt les couilles du bienheureux. Certains doigts viennent lui écarter les fesses, lui chatouiller l’anus. Et les bouches gourmandes s’affairent autour du rouleau de chair qui petit à petit reprend un peu de vigueur. — Voilà qui est mieux, dit Radegonde, vous devriez pouvoir enculer ma sœur maintenant !— Je l’espère, bredouille le gardien qui n’en revient pas de son heureuse situation.— Allez-y, je vous attends avec impatience, déclare Cunégonde. Ma rondelle s’élargit déjà dans l’attente de son invasion par votre membre.— C’est que je n’ai jamais osé pratiqué cela, Mademoiselle...— Bonne raison pour apprendre dès aujourd’hui ! Réplique Radegonde. Je vais vous aider à gagner encore en vigueur. Le gardien sent brusquement son anus être envahi par deux des doigts de la demoiselle. — Mon Dieu ! Que faites-vous ?
— Je vous fais ressentir ce que ma sœur va connaître ! N’est-ce pas agréable ? Ne voyez vous pas l’effet que cela induit sur votre pieu ?— Je... Oui...— Allez-y donc, que diable ! Enculez-là ! Elle ne demande que cela ! Le gardien tremblant s’approche du cul de Cunégonde qui écarte des deux mains ses belles fesses blanches pour mieux présenter son entrée secrète. Effectivement, l’anus semble s’ouvrir sporadiquement, comme s’il était affamé et impatient d’engloutir le sexe du gardien. Poussé par les deux doigts de Radegonde dans son cul, Le gardien vient présenter le gland de son sexe et commence à pousser sur la rondelle de Cunégonde. Son sexe rentre facilement dans les reins de la jeune fille, qui, il est vrai, a acquis tout récemment une certain expérience avec un chibre bien plus épais que celui du gardien. Le gardien commence alors ses allers et retours, en phase avec ce qu’il ressent lui même entre ses deux fesses. Le plaisir commence à monter, tellement les deux sensations combinées qui émanent de son sexe et de son cul se marient avec harmonie. Il agrippe ses deux mains aux hanches de Cunégonde pour affermir ses invasions. Les deux sœurs commencent à nouveau à haleter et gémir en chœur. Voilà qui est décidément bien étrange ! Enfin, le plaisir du gardien éclate au fond des reins de Cunégonde. Dieu ! Quel bonheur ! Le gardien retire son sexe du cul qui reste un moment béant avant de se refermer doucement. Son membre est redevenu flasque. — Et bien, beau gardien, nous espérons vous avoir apporté bien du plaisir.— Oh çà mes demoiselles ! Je ne saurais vous remercier.— Vous nous remercierez en restant discret sur cet épisode, répond Cunégonde— Et en nettoyant mes doigts de votre merde, ajoute Radegonde— Oui, Mademoiselle, je vais vous essuyer avec un pan de mon hayon— Que non pas ! Mes doigts ne méritent pas moins que votre bouche, N’est-ce pas chère sœur ?— Quoi ? Mais, bafouille le gardien— C’est évident, beau gardien, il faut nettoyer les doigts de ma sœur comme moi, je vais vous nettoyer le chibre. Avec ma langue et mes lèvres ! Cunégonde s’agenouille à nouveau pour rendre hommage et nettoyer le membre devenu flasque du gardien. Radegonde présente quant à elle ses deux doigts devant la bouche du gardien. — Allez, léchez donc ! Vous serez sans doute surpris du goût de votre merde. Après avoir longuement hésité, le gardien sort une langue timide pour venir toucher les doigts que Radegonde lui présente. Sa grimace fait peine à voir. — Nettoyez moi franchement, ordonne Radegonde, en lui mettant d’autorité ses deux doigts dans la bouche.
