Eric a l’air perturbé, il se savonne rapidement et plonge dans le lac comme pour cacher sa nudité. Moi je me régale du spectacle de son petit cul poilu. La toison mouillée qui colle à la peau de ses cuisses et de ses fesses dures me rend fou. J’ai envie de lui sauter et de lui bouffer l’anus, peu importe les conséquences. Mais les voix se rapprochent et je discerne un groupe de six mecs qui s’approchent. Ils sont bruyants et je comprends que quatre ont entre 20 et 25 ans et que les deux autres ont passé la trentaine. En arrivant au bord du lac, ils me voient en train de me sécher à poil au soleil et ils doivent deviner qu’Eric est avec moi bien que l’on ne voit que sa tête dépasser de l’eau. Les deux plus âgés semblent avoir autorité sur les quatre autres et ils décident de s’installer un peu plus loin pour ne pas vous déranger. Les parois de la montagne renvoient le son et j’entends ce qu’ils se disent comme s’ils étaient tout près. Il s’agit d’un groupe de jeunes en séjour d’aération encadrés par deux éducateurs. J’imagine que les quatre ne sont pas forcément des enfants de chur et qu’il s’agit de les changer d’horizon. L’air de la montagne a de grandes vertus. Bon, les gars, baignade et savonnage pour tout le monde. À poil ? Ben oui à poil, tu te laves habillé toi ? Moi je me mets pas à poil comme ça... Moi non plus... Deux des quatre ont l’air d’hésiter, les deux autres sont moins pudiques et sont déjà en train de faire tomber leurs caleçons et de nous montrer deux belles queues de taille normale, l’une plus épaisse et lourde, l’autre fine, mais appétissante aussi.Les deux plus rapides se jettent à l’eau, suivis par leurs deux copains plus pudiques. Je commence à rêver d’une petite soirée avec eux au cours de laquelle de sérieux dérapages ne se feraient pas attendre. Les deux éducateurs commencent eux aussi à se déshabiller, interpellés par les jeunes qui les invitent à les rejoindre, probablement pour chahuter dans l’eau.J’entends leur conversation : Bon, ça s’est pas trop mal passé pour un premier jour. Oui, tu as raison, je m’attendais à pire. Tu te baignes ? Oui, j’en peux plus, j’ai trop chaud. Et je comprends que je connais cette voix. C’est celle d’un mec que j’ai rencontré l’année précédente dans un refuge de haute montagne sur un circuit différent. Je me souviens que nous avions fait connaissance, et même beaucoup plus. Je bande à fond en pensant à cette soirée passée avec Bastien. Nous avions dû nous éloigner du refuge qui n’offrait aucune intimité et je l’avais baisé une bonne partie de la nuit, lui penché sur un rocher au bord d’une corniche de laquelle nous avons vu un coucher de soleil époustouflant.
Je suis excité à l’idée de le retrouver et un peu contrarié, il n’est pas seul et moi non plus. Je me décide à aller lui dire bonjour. J’attends qu’il soit à poil pour me lever et rejoindre les deux garçons. Salut. Bastien ? Je fais celui qui n’est pas sûr de l’avoir reconnu alors que je connais tous les détails de son corps et que ma queue l’a visité intensément pendant deux bonnes heures. Il me regarde, le soleil est derrière moi et l’aveugle. Paul ? Oui. C’est génial de se retrouver. Puis, passé ce commentaire anodin, la mémoire lui revient et il me regarde un peu étrangement. Je ne vais pas sauter sur sa queue devant tout le monde... Tu, vous accompagnez le groupe de jeunes là ? Oui, avec Antoine... Il me présente son collègue qui lui aussi est nu et j’admire son look de bel espagnol poilu et sombre. Antoine a une queue que l’on peut qualifier d’impressionnante, et je suis un peu troublé... C’est un séjour d’insertion, les gars sont un peu difficiles et ont des vécus un peu, chargés. Je vois. Et toi ? Cest un copain à toi dans l’eau ? Oui, c’est un collègue, problème avec sa nana alors je lui ai proposé de venir randonner pour lui changer les idées... Cool... Le prenez pas mal, je crois qu’il est pas très à l’aise à poil... Ah, pas de souci. Antoine sourit et se caresse machinalement la queue. Je ne sais même pas s’il n’est pas un peu en érection, un engin pareil juste au repos...Bastien manque de prendre dans la figure un ballon envoyé par les jeunes qui jouent dans le lac. On se calme les gars, on discute là... Il reprend Vous dînez au refuge ? Oui... On pourrait se mettre ensemble avec ton copain, on se fait une table de quatre ? OK. Tu te rebaignes ? Oui. Nous plongeons dans l’eau et nous dirigeons vers Eric. Nous nous arrêtons là où nous avons pied et je fais les présentations. Eric a l’air content de faire la connaissance des deux éducateurs.Eric en profite pour sortir de l’eau. Il va s’asseoir sur la berge et pose sa serviette sur son sexe.Je bavarde un peu avec Bastien. Antoine est allé s’occuper des jeunes qui le charrient. Eh Antoine ! Quoi ! C’est quoi ce truc que t’as entre les jambes ? Tu sais pas ? Euh si, j’ai une idée... Ab bon, c’est la première... Non, mais...ça te gêne pas ? Non c’est la connerie qui me gêne... Les quatre se charrient les uns les autres, mais je comprends que leurs virilités soient troublées par ce qu’Antoine leur a montré de sa très bandante personne...Bastien parle presque à voix basse... Tu te souviens ? Et comment ? C’est vrai ? Oui... Pour moi, c’était génial, tu m’as fait l’amour comme jamais. Je me souviens, c’était génial pour moi aussi... On s’est pas rappelé... C’est souvent comme ça l’été non ? Oui, mais j’ai pensé à toi... Moi aussi...à toi...à ton petit cul dément... Je m’amuse à l’exciter et je ne suis pas gêné de sentir ma queue se dresser en bas de mon ventre. Tu bandes. Un peu je crois non ? Eric c’est...? Non, c’est un collègue, mais je l’aime bien, et il me branche bien... Oui, il est bandant, bien foutu, poilu partout... Et toi, tu as essayé Antoine ? T’es fou ? T’as vu le morceau ? Il est gay ? Je sais pas, on se connaît pas depuis longtemps, on a été désigné pour la mission sans nous voir avant. Bonne surprise alors ? On peut dire ça... Il sourit. J’ai un peu froid, je sors. OK. Je rejoins Paul et lui explique comment j’ai rencontré Bastien la première fois, sans lui donner tous les détails. On remonte ? OK. Eric enfile son short toujours en étant aussi pudique que possible. Il m’excite vraiment de plus en plus. Le dîner va être sympa avec trois mecs dont je ferais bien mes amants de la nuit.
