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La Rando

Chapitre 10

Gay
C’est un message d’Alex, le craquant petit kiné roux...
— Salut Paul. Voici l’adresse du cabinet où je fais mon remplacement :.. Tu veux venir ce soir à 19H30 ? Confirme si tu peux au 06...
Je bande rien qu’à lire le message. Je retrouve Eric dans notre chambre. Il est en train de prendre une douche pour se laver de la poussière du chemin. J’entre dans la salle de bain, maintenant que nous sommes sensiblement plus intimes. Je l’admire, l’eau colle ses poils à son corps parfaitement proportionné. Sa queue émerge d’un nuage de mousse.
— Eric ?— Oui ?— Je vais me faire masser à 19H30, ça ne te pose pas de problème ?— Non... on dînera plus tard... on a le temps... Tu vas au centre sportif ici ?— Non... chez le Kiné que j’ai vu le soir de notre arrivée.— Je vois.
Il me regarde en souriant et je lui rends son sourire. Je trouve un plan de la ville et me repère pour arriver au cabinet à l’heure. Je sonne et Alex vient m’ouvrir. Erection immédiate. Je retrouve mes émotions de l’autre soir.
— Salut Paul ! entre.— Salut Alex.— On est tranquilles, les autres patients sont partis. Pour te déshabiller, c’est par là.
Je suis la direction qu’il m’indique et me mets rapidement à poil. Je ne prends pas le peignoir accroché au mur et je rejoins Alexandre dans la salle de massage. Je m’arrête sur le seuil. Alex est en short de sport rouge, torse nu, et je suis ébloui par ses pectoraux fermes et son ventre couverts d’une toison orange qui met en valeur sa musculature et sa peau blanche que je trouve irrésistiblement sexy.Il me sourit à nouveau et je suis son regard qui se pose sur ma queue qui bande déjà plus qu’à moitié.
— Installe-toi.
Je m’allonge sur le banc de massage, sur le ventre comme d’habitude. Rien que de le sentir près de moi me fait bander dur. Il prend de l’huile et j’entends le bruit excitant de ses mains lubrifiées.

— Ca va ? Ca s’est bien passé ces deux premiers jours de marche ? Tu as mal quelque part ?— C’était superbe. Pas de blessures, mais j’ai les jambes un peu raides évidemment.— On va s’en occuper.
Je bascule dans le plaisir. Il me masse divinement les cuisses, les jambes, les chevilles, la plante des pieds et j’ai l’impression d’oublier tout ce que nous avons monté et descendu depuis deux jours. Il prend son temps, je comprends qu’il veut me faire plaisir.
— Ca te fait du bien ?— Au-delà de ça...
Il attaque maintenant mes épaules, mon dos, le creux de mes reins. Il est super doué. Un pro de la médecine sportive doublé d’un expert du massage bien-être. Ses mains se posent sur mes fesses qu’il masse avec la même agilité. Puis il les écarte et tout en maintenant ma raie ouverte, glisse un doigt tout le long, y compris sur ma rondelle qui n’attend que ça. J’ai l’impression que ma raie devient un boulevard pour ses mains qui semblent chez elles dans mon intimité.Il caresse maintenant mon anus en tournant doucement tout autour de mon trou. C’est à hurler de plaisir... et tout semble si naturel...
— Ca va toujours ?— MMMMM..... je n’ai même plus la force d’articuler.
Ses gestes sont à la frontière exquise et ambiguë du sexuel et du professionnel. Il détend mon corps en travaillant ma rondelle comme si c’était un point de concentration des énergies musculaires. A moins que ce soit qu’une zone érogène, mais je suis incapable de faire la part des choses et je me régale de cet entre-deux.
Il tourne autour de la table et vient se poster face à moi. Je lève la tête pour croiser son regard et j’y lis un délicieux mélange d’innocence et de désir. Il me provoque. C’est plus fort que moi, je ne peux pas résister. Je descends son short rouge et sa queue dure bondit vers mes lèvres dès que je la libère de son entrave. Les poils roux flamboyants de son pubis sont taillés à un centimètre et j’ai une furieuse envie de lécher cette toison appétissante. Il n’a besoin que de s’avancer de quelques centimètres pour que son gland entre dans ma bouche, mais il ne le fait pas. Dur, tendu vers moi, il se concentre sur le massage de mes épaules et du haut de mon dos. Je sens une onde de plaisir me détendre tout le haut du corps. La vue des mouvements de sa queue à quelques centimètres de moi va me faire m’évanouir s’il continue.
Est-ce que je me méprends sur ses intentions ? Il est à poil et en érection devant moi, et pour autant, il se comporte en parfait professionnel. Je ne sais plus quoi penser, mais je sais que j’ai le sang en ébullition.
Il bouge à nouveau et je le sens derrière moi. Il m’écarte les jambes et je comprends qu’il monte sur la table de massage. Je sens ses genoux contre mes cuisses. Il pose ses mains huilées sur mes fesses et je manque de hurler de plaisir quand il les écarte à nouveau et que je sais que je lui offre une vue imprenable sur ma rondelle poilue. J’ai envie qu’il continue à me masser ou qu’il me baise tout de suite. Je ne sais plus.
Je sens un filet d’huile qui mouille la fourrure de ma raie. Il l’étale soigneusement avant de commencer à me masser le cul. Les muscles de mes fesses, mais aussi des passages sur mon trou qui me maintiennent dans un état second entre le patient entre les mains d’un kiné expert et le mec chaud qui a envie de faire l’amour avec son praticien bandant.
— Paul ?— Oui ?— Tu vois là, je me masse en récupération de la marche... c’est le point de jonction entre les jambes et le dos...
Je me dis que la jonction va plutôt se faire entre nos queues et nos petits anus gourmands...Le massage dure de longues minutes. Je voudrais qu’il ne s’arrête jamais.
— Tu peux te retourner ?
J’obéis à mon masseur qui me rend fou. Il me semble qu’une lueur de lubricité s’est ajoutée dans son regard. Je le trouve moins innocent que tout à l’heure...Il remet de l’huile sur ses mains et attaque mes jambes, mes cuisses, mes épaules... c’est sublime et j’ai le sentiment que toute la fatigue de ces deux derniers jours disparaît comme par magie. Il bande comme si la chose était la plus naturelle entre un kiné et son patient. Et moi, je bande aussi, tout aussi naturellement. Il concentre maintenant ses interventions sur mon ventre et mon pubis. Je découvre que le pubis est un centre de sensations étonnantes. Probablement un autre centre de propagation des énergies... mais ce n’est pas le moment de se lancer dans l’étude approfondie de la médecine chinoise.
Il me caresse légèrement les couilles, m’écarte les jambes et passe un doigt huilé de ma rondelle à mon périnée... il s’arrête à la base de ma queue... comme si c’était une frontière interdite...Je sais que s’il me touche la queue, nous basculerons dans autre chose. Préférons-nous le jeu de l’ambiguïté ou le basculement. Je regarde son corps, cette peau blanche que je trouve si sexy, parsemée de taches de rousseur. Ses yeux verts intelligents, sa musculature sèche qui donne l’impression qu’il est taillé dans la pierre... une pierre couverte d’une délicieuse fourrure couleur de feu.
Nous nous attardons, moi un peu redressé pour admirer sa queue tendue, lui les yeux plongés dans les miens. Qui va décider de quoi ?
— Paul...— Oui...— Je...
Je ne sais pas ce qu’il veut dire... ou plutôt je le sais trop bien... Nouveau regard.Et là, je bascule dans un état de semi-conscience. Je ne sais pas si j’ai des souvenirs de ce qu’il s’est vraiment passé ou si j’imagine ce dont j’avais le plus envie à ce moment-là. Ses massages avaient remis de l’ordre dans mes muscles, mais peut-être aussi dans mon cerveau. Ai-je rêvé la scène qui va suivre ou l’ai je vraiment vécue...
Il se penche et vient poser ses lèvres sur mon gland, puis il fait glisser mon prépuce avec sa bouche... qui descend le long de ma tige jusqu’à ce que les poils roux de sa barbe de trois jours viennent se mêler à ceux de ma toison pubienne. Je sursaute. Cet unique mouvement sur mon pénis vaut déjà cinquante fellations. Mon gland bute contre le fond de sa gorge, il ne renonce pas et en gorge profonde m’accueille au fond de lui. C’est comme un sexe d’une autre nature qui s’ouvrirait à mesure que je m’enfonce en lui, ou plutôt qu’il s’enfonce sur moi. Puis une rythmique étrange s’installe. Soit celle des pulsations de ma conscience endormie alors que vaincu par ses caresses, j’aurais sombré dans un sommeil étrange... soit celle des aller et retour de sa bouche sur ma queue, puis lorsque sa langue remonte tout le long de mon sexe, sur la face inférieure, si sensible... qui se termine par le frein de mon prépuce... là où la langue des hommes choisit entre l’extase et la torture...
La force est encore au fond de moi, mais je sens mes muscles se contracter, mes jambes s’agiter comme pour aider le flux de mon jus à monter vers la libération ultime. Je suis totalement détendu par ses caresses et totalement crispé par le plaisir qui monte inexorablement. Je jouirai... en rêve ou dans le monde réel selon qu’il aura choisi de franchir les barrières des conventions ou pas. Je sens mon corps tout entier vriller autour de son axe, de ma colonne vertébrale, je me tords de plaisir. Je n’arrêterai rien, sa bouche et ses mains ont pris le contrôle sur moi. Une éternité ou une seconde, je ne sais ce qu’aura duré cet épisode inoubliable de ma vie vécue ou imaginée. Je le vois, ses poils brillants dans la lumière du soleil couchant qui traverse les fenêtres du cabinet... enflammé par le soleil et le désir...
Et j’explose... je vois mon sperme cavaler dans les profondeurs de sa gorge... il se nourrit de moi... je jouis de tout mon être... je me liquéfie en lui... il m’a bu tout entier...
Je finirai par émerger... lui toujours debout, nu, dans le soleil du soir, le regard allumé et tendre, la queue dure... Moi épuisé, la queue posée sur la cuisse, comme désormais libéré du désir... mais que s’est-il passé... cette osmose folle entre nous... ou une exaltation incontrôlée de mon imagination ?
— Ca va Paul ?— Oui...
Je ne sais pas... je ne sais plus...
— tu te sens reposé ? Les massages ont fait de l’effet ?— Oui... je me sens étrangement bien...étrangement...— C’est normal... après un gros effort, ce programme de récupération profonde laisse toujours dans un état un peu intermédiaire... tu flottes un peu au-dessus de la réalité ?— Oui c’est ça...— Tu vas émerger d’ici quelques minutes...
Je le regarde dans les yeux. J’ai envie de lui... Au bord de ses lèvres, je crois voir sur les poils roux une trace blanche... mon sperme ? Ou un effet d’optique dû aux reflets du soleil...Comme annonce je reprends mes esprits et je vais me rhabiller. Je le retrouve dans le hall du cabinet qu’il s’apprête à fermer. Nos yeux se mêlent, et je crois se plaisent...
— Bonne soirée Paul.— Bonne soirée à toi. Merci Alex...— Pour ?— Le massage et...— Et ?
Ses yeux me disent deux vérités. A moi de choisir...
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