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La Rando

Chapitre 11

Gay
Je rentre à l’hôtel et retrouve Eric dans notre chambre, allongé sur le lit en caleçon. Je repense à notre après-midi et une vague de tendresse m’envahit.
— Ca va ?— Oui.
Il me répond, la voix plus ferme, je sens que cette journée lui a fait du bien. Nous allons dîner et la soirée est très agréable en sa compagnie. Dans les lieux publics, il fait abstraction des sujets les plus intimes et c’est un convive des plus sympathiques. Je bande néanmoins une bonne partie du repas en repensant à sa queue juteuse dans ma bouche. Nous allons nous coucher. Un grand lit puisque les réservations n’ont pas pu être modifiées quand Eric a décidé de se joindre à moi. Je me déshabille, lui aussi et au moment où il n’a plus que son caleçon, il hésite et décide finalement de s’en débarrasser. Il va se laver les dents nu et je regarde sa queue épaisse se balancer doucement entre ses cuisses. Il me rejoint sous les draps. Nous sommes trop fatigués pour bavarder encore et je me tourne sur le côté après lui avoir souhaité une bonne nuit. Sa présence virile et chaude contre moi m’excite au plus haut point.
Je repense à la journée qui vient de s’écouler, là-haut dans la montagne puis avec Alex... que s’est-il vraiment passé avec lui ? Je bande comme si je n’avais pas joui depuis des jours, mais si ça se trouve, je me suis bel et bien répandu dans sa bouche divine... Je commence à m’endormir après avoir entendu Eric se retourner plusieurs fois dans le lit. Lui aussi a vécu une journée particulière... Puis je sens un contact dans ma raie... et je comprends qu’Eric a glissé son gland dans les poils de mon petit cul velu...
Dort-il ? Ou veut-il s’amuser ?
— Eric ?
Pas de réponse. J’écoute sa respiration. Régulière... il a l’air assoupi... Génial... son corps inconsciemment franchit toutes les barrières et il vient se lover contre moi comme si c’était la plus naturelle des choses pour lui... Je bouge de quelques centimètres pour que son gland vienne se coller à mon anus... c’est doux... j’adore... J’ai envie de m’endormir dans cette position avec sa queue à l’entrée de mon intimité, posture tendre et complice de deux hommes qui désormais partagent une intimité que beaucoup pourraient leur envier. J’imagine qu’au cours de la nuit, nos corps vont s’éloigner, se retrouver, s’enlacer peut-être. Il se réveillera... où posera-t-il sa main... Qu’y a-t-il de plus beau au monde que deux garçons qui s’endorment l’un contre l’autre ?
J’ai mis le réveil assez tôt, nous faisons une boucle sur la journée, puis nous reviendrons passer notre dernière nuit dans cet hôtel avant de repartir pour un circuit de 4 jours, dont 3 nuits en refuge. Je me réveille vers 6 heures, trop tôt quand même, mais je n’ai plus envie de dormir. Je me lève discrètement pour ne pas réveiller Eric et je descends au bord de la piscine extérieure pour prendre l’air. Je croise un mec qui me fait m’arrêter sur place. Un beau mec barbu, barbe taillée net, roux foncé, le regard intelligent et des petites rides au coin des yeux qui lui donnent un air joyeux. Il porte l’uniforme du centre sportif, j’admire ses cuisses très poilues couvertes de longs poils bruns, fins comme de la soie. Dans l’échancrure de son polo, même toison fine et brune, à tomber. Son short met en valeur un volume qui attire mon regard. Nos yeux se croisent. Les siens pétillent de gentillesse et d’intelligence.
— Bonjour !— Bonjour !— Je suis le directeur du centre sportif. Vous avez besoin de quelque chose ?— Non, je vous remercie... je venais juste prendre l’air...— OK... On peut vous ouvrir le centre si vous voulez... l’entretien est terminé...
Finalement, j’hésite...ça pourrait me faire du bien de m’échauffer un peu dans la piscine puis de profiter du hammam...
— Je veux pas vous déranger...— Non, mais il n’y pas de problème... nous sommes là pour ça...— OK... je vais chercher un maillot alors...— OK... je me présente : Ben.— Paul.— A tout de suite Paul.
Il m’a fait durcir à la première seconde où je l’ai vu. Je redescends après avoir trouvé un Aussiebum au fond d’un sac, finalement je suis prévoyant, et entre-temps Ben a fait ouvrir le centre sportif et aquatique. Je vais me déshabiller dans les vestiaires vides, je suis tout seul. J’en profite pour me doucher à poil. Ben entre dans la salle des douches.
— Oh pardon !— Non... c’est moi... je croyais être seul...— Pas de souci.....
Il me regarde quelques centièmes de secondes de trop et ses yeux doux sont comme une caresse sur mon pénis à moitié dressé. Sans trop me presser, je prends mon maillot accroché à une patère et l’enfile. Ben, qui semble avoir terminé son inspection du nettoyage des locaux s’éloigne. Je pars vers la piscine où je fais plusieurs longueurs dans une eau à la température parfaite.
De la piscine, je vois le bureau de l’équipe d’encadrement du centre sportif. Ben est bientôt rejoint par un autre mec et une nana. Le mec est une espère de géant brun, super baraqué et qui respire la testostérone à cinquante mètres. Le genre que l’on a envie de mettre dans son lit sans réfléchir. Plutôt sympa cet hôtel. Ils sont bientôt rejoints par un quatrième... je fais un effort pour vérifier, mais je reconnais Alex, le craquant petit kiné roux qui vient rendre visite à ses collègues. Je repense à la soirée d’hier et je sens ma queue serrée dans mon maillot ajusté. Ben et Alex disparaissent et je continue à profiter de la piscine. Je sors de l’eau et croise le géant sexy. Il jette un regard sur la bosse de ma queue qui soulève légèrement l’élastique de l’Aussiebum orange. Imperturbable ou pas d’ailleurs... un mâle a toujours des réflexes qu’il ne peut pas contrôler...
Je vais me rhabiller dans les vestiaires. J’entends du bruit derrière la cloison de la pièce où se trouve à mon avis le local technique qui abrite tous les équipements de régulation et de traitement de l’eau. Malgré le bruit des machines, j’entends la conversation et je reconnais les voix de Ben et Alex.
— Tu sais que tu m’excites toi.— Oui je sais.— Fous-toi à poil.— Non pas ici, on va être dérangés.— Non... vas-y, il n’y a personne... je veux que tu me donnes ton petit cul poilu.— Il est à toi.— Qu’à moi ? Tu t’es pas tapé un patient ?— Non... pas dans la chatte...— Tu t’en es tapé quand même ?— Hier... un client de l’hôtel... un beau poilu..... super corps et superbe queue... fais pas l’idiot il est dans ta piscine là.
Je bande aussi sec derrière la cloison...
— Ah d’accord... Paul..... je l’ai mâté tout à l’heure, mais j’étais pas sûr... tu l’as sucé ?— Joker !
Décidément, le mystère sur ma soirée d’hier dans le cabinet de kiné semble condamné à rester entier.
— J’en peux plus... je vais jouir si tu te déshabilles pas... donne-moi ta rondelle en feu mon Alex...
Je me colle à la cloison pour mieux entendre et je comprends qu’Alex est appuyé contre de l’autre côté... Mon cerveau prend son indépendance et commence à imaginer que le mur est doté d’un trou à travers lequel je glisse ma queue pour qu’Alex, le kiné roux poilu qui rend fou tous ceux qu’il croise, me suce à fond pendant qu’il reçoit la queue gourmande du très mignon et motivé petit Ben. Ca y est, mon imagination prend le dessus et je sens la bouche chaude et profonde penchée sur moi. Ben est assez vigoureux, sportif, corps sec couvert de cette toison de poils fins et longs qui me fait bouillir les sens. Je l’imagine, je le vois, enfoncé jusqu’à la garde dans la rondelle habillée d’une forêt irrésistible forêt orange. Alex sait recevoir un mec et visiblement les sensations ressenties par Ben sont à la hauteur de ses attentes.
— Oh P...... je te baise bien hein Alex... t’aimes ma queue ?— Ouiiii... viens bien profond que je te sente... oui comme ça... laboure moi bien la rondelle.— Je vais te baiser...
Les coups contre la cloison ne laissent aucune ambiguïté sur ce que les deux amis sont en train de faire.
— Euh... moins de bruit quand même... il va nous entendre.— Paul... le client qui se baigne ?— Oui...— Arrête... si ça se trouve, il est dans les vestiaires là...— Juste derrière ?— Oui... en plus c’est sonore... T’aurais envie de la sucer pendant que je te prends là ?— Oui... sur... j’adore sa queue.— Plus que la mienne ?— Non, la tienne, surtout en ce moment, c’est tout ce que je veux.— Bien... je vais te faire jouir du cul...— Ouiiiiii.
Les assauts virils reprennent de plus belle, je frotte ma queue contre la cloison lisse et humide de la moiteur de la piscine chauffée. Je sais que cinq centimètres maximum séparent mon gland de la bouche pulpeuse d’Alex.
— Oh..... P..... je sens que ça vient là...
Les coups de boutoir s’accélèrent encore...
— Tu vas jouir mon Alex ?— Oui... Fais-moi cracher...— Compte sur moi... tu sens ma queue qui te baise ? — OUIIIIIIII.— OH..... P....... Je viens..... AHHHHHHHHHH !!!!!!!!!
Encore quelques assauts contre la cloison et je comprends que Ben a éjaculé dans le ventre d’Alex comme une bête sauvage. C’en est trop, moi aussi je me vide et mon jus épais s’étale sur la cloison.
— OHHHHHH..... ouiiiii.
Alex a joui aussi et j’imagine les traces symétriques de sa semence de l’autre côté de la paroi...Je retourne dans ma cabine pour me rhabiller... je ne sais pas quoi faire... vont-ils comprendre que j’étais dans les vestiaires...J’entends leur conversation... à voix plus basse
— MMMMM... c’était divin mon Alex... j’ai adoré.— Moi aussi... tu m’as fait l’amour comme un dieu.— Je suis ton dieu ?— Peut-être bien...
Les voix s’éteignent, mais j’entends qu’ils s’embrassent avec passion.Je sors du centre aquatique sans croiser personne et je vais prendre le petit-déjeuner avec Eric. Nous réglons notre note à l’accueil en partant. Ben sort du centre sportif et passe à notre hauteur. Il me reconnaît.
— Vous nous quittez Paul ?— Oui.— Votre séjour s’est bien passé ?— Oui... très bien... et merci pour la piscine tout à l’heure.— De rien.
Il me dévisage avec une lueur de lubricité dans le regard qu’Eric ne peut pas manquer de remarquer. Eric part mettre un sac de voyage dans le coffre de la voiture pour marcher plus léger pendant nos 4 jours d’escapade dans les sommets.Alors Ben se penche à mon oreille :
— J’ai bien léché la cloison...
Je manque de m’évanouir. Je rougis et je ne sais plus où me mettre. Mais j’aime son audace et la façon amusée dont il me dit ça.Il continue :
— Alex et moi on t’attend...
Je suis trop surpris pour répondre, mais j’essaye de lui dire dans le sourire que je lui rends, mon désir et plaisir que me donne cette complicité.
— Bonne rando et bande bien...
Il s’éloigne et je prends mon sac à dos de 18 kilos. La journée s’annonce physique... elle a bien commencé dans ce sens d’ailleurs...
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