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La Rando

Chapitre 16

Gay
Le lendemain nous faisons une rando en boucle avec retour au refuge le soir avant de poursuivre notre circuit. Nous retrouvons Thomas au petit-déjeuner, très occupé avec les pique-nique des clients du refuge. A un moment je le vois en train de discuter à nouveau avec l’officier du GIPN que nous avons croisé hier soir avec son collègue. Je croise le regard du beau brun et il me semble qu’il s’attarde une seconde de trop, je bande aussi sec dans mon short.Thomas vient nous dire bonjour.
— Bonjour Paul, bonjour Eric.— Salut Thomas.— Bien dormi ?— Oui. Eric s’est endormi dans mes bras...
Il baisse la voix.
— P, comme j’aimerais ça, moi j’ai quasiment pas dormi, j’avais le cul en feu, vous m’avez baisé comme des dieux, vous êtes géniaux...— N’exagérons rien.— Si si, quand Alex va savoir ça...— Tu vas tout lui raconter ?— Bien sur, on se dit tout...— Ça doit être marrant d’avoir un jumeau, enfin, un comme ça...— Oui, je l’adore, je serais perdu sans lui...
Je lui souris parce que ses mots sont d’une évidente sincérité.
— Vous avez vu Ben en bas à l’hôtel ?— Oui...— C’est le copain d’Alex...— Je, je sais...— Ah oui...à la piscine...
— C’est peut-être pas facile pour toi ?— Quoi, qu’Alex ait un copain ? Si, je suis content pour lui, et Ben est formidable. Il l’aime vraiment et ils s’amusent bien ensemble.
Un instant j’imagine les trois garçons ensemble et Ben perdu entre son amant et son double. Thomas et Alex ont l’air assez libérés pour avoir un jour peut-être partagé le beau directeur du centre sportif. Ou je me fais des idées
— Aujourd’hui ça va être bien la haut.— Tu veux dire la météo ?— Oui, journée superbe, bon pique-nique, faites moi confiance je vous ai gâtés, il faut que vous récupériez après hier soir, mais pas que ?— Ah ?— Vous verrez. A ce soir ? On discutera un peu ?— Oui, bonne journée.— Bonne rando !
Le circuit du jour est assez rude mais comme nous n’avons pas à porter nos sacs à dos avec toutes nos affaires mais seulement notre repas et de l’eau, l’effort est supportable. Vers midi Eric regarde la carte et me demande si nous faisons la variante. C’est un peu plus long mais la promesse d’un point de vue superbe mérite d’y réfléchir. Nous décidons de la faire. Nous marchons encore une heure, seuls au monde. Puis nous arrivons à un sommet en forme de plateau d’où la vue est effectivement à couper le souffle. Nous déjeunons mais sans faire la sieste parce que nous nous sommes rallongés le parcours et ne pouvons pas prendre de retard. Nous suivons un chemin qui descend assez abruptement. Malgré le bruit des cailloux qui glissent sous nos grosses chaussures il me semble entendre des voix. Nous suivons un chemin de crête, le son monte d’un petit valon en contre-bas. Eric qui marche devant moi, regarde vers la pente et se retourne. Il a l’air étonné et excité à la fois.
Il me fait signe d’approcher en mettant un doigt sur ses lèvres pour me dire de ne pas parler.Et je manque de glisser dans le vide. Sur un éperon rocheux assez large, nous tombons sur le peloton du GIPN. Je vois d’abord quatre mecs tous à poils en rangers, qui forment un cercle. Je me dis que c’est un forme de briefing pour leur mission et me demande pourquoi ils sont nus. Mais il fait chaud et, adorant moi même ne rien avoir entre l’air et ma peau je comprends leur envie de se mettre à l’aise.
Un est de dos, musclé et taillé en V, deux de profil et le chef du groupe, le beau brun poilu de face mais personne ne peut nous voir puisque nous sommes plusieurs mètres au-dessus du groupe.Je regarde Eric qui ne détache plus les yeux du spectacle. Je vois sa queue se tendre dans son short. Puis deux des cinq mecs commencent à se masturber, il n’y a aucun doute sur ce qui les occupe. Je bande à fond moi aussi. Le groupe est compact et pour ne pas se gêner ils s’écartent un peu les uns des autres et là je manque de jouir. Ma queue laisse couler quelques gouttes de precum. Il y a un sixième allongé sur le sol, à poil aussi. Ils l’entourent et s’apprêtent probablement à l’arroser chacun de leur semence. J’en ai vu des dizaines dans des pornos mais là, en vrai...ça me déstabilise complètement. J’ai chaud.
Les mecs commencent à s’exprimer...
— Il est cho le petit nouveau...— Oui, il a l’air d’aimer ça...— Belle queue.— Oui, on est content de l’avoir dans le groupe le bleu.— Alors commandant, vous le trouvez comment le petit Fabien ?— Bien bandant...
Les cinq sont maintenant en action au-dessus du dernier membre à avoir rejoint le groupe et qui vit son rite d’intégration. Lui aussi s’exprime, il a l’air content d’être là
— Allez les mecs, arrosez moi, donnez moi votre bon jus...
L’un a une autre idée :
— Commandant, Fabien pourrait peut-être vous sucer pendant qu’on l’arrose ?— Oui...— Il faut lui apprendre la hiérarchie.— Oui, il suce le commandant et après le capitaine lui visite la rondelle ? OK ?— Oui...ça me parait bien...
Les autres et l’intéressé acquiescent. Le commandant se met à genoux, Fabien dont j’entrevois le corps ferme entre les jambes de ses camarades se redresse pour prendre en bouche la queue de son chef.
— C’est bon commandant, il suce bien le bleu ?— Oui, il a une bonne bouche qui aime la queue.— Cool, allez Fabien on s’applique, il faut que le commandant soit content si tu veux être bien noté...
Une autre voix commente :
— C’est vrai qu’il a l’air d’aimer ça...
Eric a sorti sa queue de son short et se masturbe au même rythme que les commandos en contre bas. Je fais pareil, je mouille à fond et ma main glisse avec délice le long de mon sexe en feu.En bas les choses avancent...
— P, il va me faire jouir...— Vous voulez cracher commandant ?— Je vais pas pouvoir me retenir longtemps.— Alors Fabien, tu veux le bon jus du chef ?
J’entends un grognement d’approbation...
— OHHHHH, j’y vais...
Je vois les traits du beau brun se crisper à chaque jet qu’il projette dans la gorge de son suceur doué.
— OuIiiii vous l’avez bien nourri là commandant...
Le chef du groupe se relève et regarde le groupe en train de se masturber avec de plus en plus d’énergie.
— Marc ?— Oui...— Tu le prends ?— Oui. Un des deux que je vois de profil s’écarte, se penche sur son sac à dos posé un peu plus loin pour y prendre une capote et du gel. Il s’équipe. Marc se met d’abord à genoux entre les jambes de Fabien qu’il écarte assez fermement, puis il les soulève pour poser ses pieds sur ses épaules. On voit le mec habitué à l’efficacité. Il s’appuie sur ses deux avant-bras, placés de chaque coté du torse de Fabien et, sur de lui, vise du premier coup la rondelle du jeune commando. Il s’enfonce sans difficulté...— P, il a l’habitude ma parole...— T’es une petit salope Fab ?
Le baisé ne répond rien mais les bruits qu’il laisse échapper ne trompent pas sur le plaisir que lui procure le pilonage de sa rondelle par le capitaine. Marc est un beau mec, blond foncé, musclé sec et poilu sur le torse et l’abdomen. Je suis fasciné par ses cuisses puissantes habillées d’un duvet blond dont les muscles saillent entre les jambes de Fabien.Le commandant s’intéresse à son collègue officier.
— C’est bon Marc ?— Trop bon...— Baise le bien...
Les trois autres approchent de la délivrance. Le commandant se masturbe aussi et redevient dur malgré sa jouissance toute récente. Marc approfondit ses coups de boutoir dans l’anus du bizuté, les trois autres se concentrent sur leurs queues et ne parlent plus...
— Oui, je viens...
C’est celui qui est de dos qui crache le premier, sans les voir je devine que les jets sont puissants, puis celui de gauche, je comprends qu’il oriente son pénis pour que le sperme arrive sur le visage de Fabien...Le commandant donne ses instructions :
— Bien, oui, comme ça jouis bien sur sa petite gueule. Allez Marc, finis le...— AHHHHHHHHHH Marc tremble de tout son corps, ses bras sont tendus à l’extrême, les pieds de Fabien posés sur ses épaules sont agités de vibrations intenses et nous comprenons que les couilles du capitaine viennent de se vider dans le ventre du petit bleu.
Je sursaute
— Alors les gars, on mâte ?
Je me retourne brusquement en même temps qu’Eric et nous nous trouvons face à face avec un mec superbe, à poil dans les mêmes rangers que les cinq en contrebas. Je me souviens qu’ils étaient six au refuge, et je ne m’étais pas posé la question de savoir où était le sixième, trop excité par la découverte du groupe en train de s’amuser. Le sixième faisait donc le guet pour permettre à ses camarades d’être tranquilles...
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