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La Rando

Chapitre 20

Gay
L’endroit est superbe, un lac presque en forme circulaire parfaite sur lequel se reflètent les montagnes qui l’encerclent. L’eau est transparente et incite à la baignade.A peine arrivés, nous sommes tous à poil. Ben fait de même, visiblement totalement à l’aise. Superbe corps poilu, toison taillée très courte, mais on devine la douceur de sa peau claire et de sa fourrure auburn. Belle queue épaisse et lourde qui pend entre des cuisses musclées. Il n’est pas directeur du centre sportif pour rien et doit profiter des installations pour se maintenir en forme. Enzo a l’air d’avoir des idées.
— je propose un jeu.
Nous nous regardons tous, amusés et curieux.
— concours de natation aller et retour entre ici et le rocher rond en face.
J’aime bien l’idée étant bon nageur.Marc veut en savoir plus.
— On gagne quoi ?— le droit de choisir.— et de choisir quoi ?— une des 5 possibilités.
Marc lui aussi veut comprendre les règles.
— mais encore ?— nous sommes cinq : il y a deux positions de baiseur, deux positions de baisé, et une position de voyeur. Le meilleur temps choisit en premier, le second, ensuite, et jusqu’au cinquième qui prend ce qui reste.
Je trouve l’idée amusante, mais je me demande comment Eric et Ben vont réagir...Eric n’est pas encore tout à fait expérimenté et Ben est en couple avec Alex. Cependant, ni l’un ni l’autre ne proteste.
— OK. Si tout le monde est d’accord, on commence. Marc, tu y vas en premier ?
— OK.
Le beau poilu blond se jette à l’eau et traverse le lac dans un crawl parfait. Puis vient mon tour, celui d’Eric, de Ben et enfin d’Enzo chronométré par Marc qui prend le relais. C’est justement Marc qui fait le meilleur temps.
— Bon, Marc, qu’est-ce que tu choisis ?— Baiseur.
Je me souviens de la façon dont il a pilonné Fabien cet après-midi. Ceci étant, sa posture de pompeur entre mes cuisses cet après-midi m’avait laissé entrevoir d’autres possibilités.C’est ensuite à Ben de choisir
— je prends le voyeur.
Je comprends qu’il n’ait pas envié, ou pas, la possibilité de se faire surprendre par Alex la queue dans le cul d’un autre.Enzo, troisième temps, prend une position de baisé et poursuit la distribution. C’est à mon tour de choisir. Si je choisis baiseur, Eric sera automatiquement baisé. Mais je ne sais pas s’il est prêt à offrir son anus vierge à un mec, ce soir, au bord de ce lac. Je prends donc la position de baisé.
— Cool, reste à faire les paires. Marc, tu baises qui ?— Paul.
Je bande en entendant sa réponse. Cela m’excite bien de recevoir sa belle queue habile dans ma rondelle que je sens frémir de plaisir.
— Donc, Eric me baise.
Et de deux, puisque mon ami s’est déjà vidé tout à l’heure dans l’intimité du beau brun.
— Ca vous va ?
Nous répondons tous que nous sommes d’accord. Mais Eric vient me parler à l’oreille :
— Tu as pris baisé pour que ce ne soit pas moi ?— Euh...oui.....je sais pas si tu es prêt...— C’est super gentil...mais fallait pas...— Non, mais ça me va très bien...
Puis, je commence à douter en me demandant s’il n’avait pas vraiment envie de se faire prendre.
— A moins que tu......tu voulais essayer ?— Euh... non, c’est super que tu aies choisi comme tu l’as fait. Mais je me dis que ça doit être à connaître...— Bien sûr...mais là.....— Bien sûr... ce que je veux dire..... c’est que ça m’a donné envie..... et que j’aimerais bien le faire avec toi.
Je le regarde dans les yeux. Il me sourit.
— Oui..... moi aussi j’ai envie..... on le fera..... je serai très doux...— Je sais..... merci...
Enzo s’impatiente :
— Bon, les gars, y a un problème ?— Non...tout va bien...— OK..... je pense que ça serait sympa que Paul et moi, on se mette en 69 pendant que vous nous prenez ? C’est cool non ?
Je ne pensais pas qu’il irait aussi loin dans l’organisation des choses, mais la scène que je visualise dans mon cerveau m’excite déjà.
— Ben, tu mâtes et tu surveilles les environs en même temps ?— OK, ça me va...il bande à fond et j’ai une vraie envie de sauter sur sa queue, mais ce n’est pas ce qui est prévu.
Marc sort des capotes et du gel d’un sac à dos et une paire de menottes. Décidément, la police ne sort jamais sans son matériel.
— Ben ?— Oui ?— Viens te faire attacher. Tu mâtes, mais pas question de te caresser.— OK.
Le beau roux sombre est bien excité. Il se laisse attacher les mains dans le dos. Il est bandant, à la fois puissant et vulnérable. Un moment, j’ai le sentiment d’être ailleurs. Ne plus penser qu’à baiser comme nous le faisons depuis ce matin nous pousse dans les derniers retranchements de notre animalité et étrangement de notre humanité. Enzo reprend la direction des opérations.
— Tu viens Paul ?
Nous nous allongeons tête-bêche, ma queue dure aussitôt avalée par la bouche du beau policier dont j’accueille le beau sexe mouillé sur ma langue et au fond de ma gorge. Nous sommes couchés sur un côté, et ce double plaisir de suceur/sucé me donne des idées plus qu’érotiques. Le pénis d’Enzo est parfait, bien épais; un beau prépuce qui coulisse bien, et un gland qui emplit la bouche parfaitement.
Nos deux camarades ne se font pas prier et je sens Marc qui s’allonge à son tour contre mon dos. Il me caresse le cul, m’embrasse dans le cul pendant que je suce son chef et commence à explorer ma rondelle avec un doigt qui me caresse avec douceur et détermination. Je suis au bord de l’extase. Enzo est un pro de la suce, sa verge me comble et les caresses du beau blond m’annoncent d’autres émotions encore.
Je vois en face de moi Eric s’allonger dans le dos d’Enzo et lui prodiguer les mêmes attentions. Je pense qu’il observe Marc et reproduit ses gestes en toute confiance. Marc passe une main entre mes cuisses pour soulever ma jambe droite et se frayer un passage vers mon anus qui n’en peut plus d’attendre. Caresses de son index qui rentre dans mon orifice intime...le doigt entier...c’est bon...tout s’annonce bien. J’ai envie qu’il me bouffe le cul, mais je le laisse faire et je reste concentré sur la queue du commandant.
Eric est toujours notre parfait symétrique. Il aura décidément appris très vite.
— Oh...les gars...et moi ?
C’est Ben qui bande comme un fou, debout près de nous, la queue laissant pendre un filet de precum brillant dans le soleil du soir.Enzo sort mon pénis d’entre ses lèvres expertes pour lui répondre :
— Toi, tu mâtes...enfin, tu mâtes et tu mouilles, mais c’est tout...t’as choisi.— Oui... Mais non..... faut me sucer !— Non... c’est plus être le voyeur ça.
Il ne se décourage pas, se met à genoux et vient mettre son gland à hauteur de la bouche de Marc juste derrière ma tête. Je sens la chaleur des cuisses velues de Ben contre mon front. Je suis sûr que Marc avalerait bien le sublime sexe qui réclame sa part, mais il a le sens de la hiérarchie.
— Marc !
Le ton d’Enzo est sans équivoque...
— Désolé Ben...je peux pas.....le chef veut pas...— Masturbe-moi au moins.....c’est trop insupportable...— NON.
Ben est totalement excitant, pris au piège de son choix de ne pas baiser avec nous.Enzo ne renonce pas :
— Tu vas jouir Ben ?— Non.....pas sans une bouche ou une main, mais ça me rend dingue...— Cool...c’est le but...
Puis je sens l’assaut. Une pression forte contre mon anus, la main de Marc qui me tient la jambe en l’air fermement et le sentiment de m’ouvrir sur le passage du sexe désiré sans pouvoir empêcher quoi que ce soit. Il s’enfonce, doucement, facilement au fond de moi, avec une étonnante dextérité. Il est au fond et je sens son pubis poilu contre mon cul bien envahi. Enzo a laissé échapper un grognement au passage d’Eric dans sa chatte de mec et nous sommes désormais joliment imbriqués les uns dans les autres.
Mais Ben n’a pas renoncé et il vient poser sa queue sur le visage de Marc dans une nouvelle provocation. Marc ne desserre pas les dents, mais ne peut pas empêcher le beau sportif de se masturber sur sa belle petite gueule virile.
Enzo est moins cruel et ne dit rien. L’assaut sauvage commence avec de grands coups de reins qui nous pilonnent l’anus. La queue d’Enzo s’enfonce contre le fond de ma gorge à chaque poussée énergique d’Eric dans son trou et mon gland s’écrase à l’identique, à chaque coup de reins de Marc qui m’envoie plus loin dans la gorge du chef de groupement d’élite.
— Je veux jouir.
Ben a besoin de s’exprimer. Marc veut en savoir plus puisque c’est son visage qui masturbe le beau garçon.
— Tu vas là ?— Non...j’en meurs d’envie...suce-moi, je t’en supplie...
Mais Marc suit les instructions de son supérieur hiérarchique. Moi, je sens que je ne vais plus tenir très longtemps. La queue d’Enzo dans ma bouche mouille de plus en plus et je ressens les contractions de celle de Marc dans mon cul à chaque fois que son sperme afflue dans la tige sublime. Je rêve d’une parfaite synchronisation des quatre queues qui rempliraient les deux bouches et les deux anus à la même seconde. C’est presque le cas...nous sommes juste un peu décalés...je jouis d’abord de toutes mes forces entre les lèvres d’Enzo qui avale mon jus, puis Eric lui remplit la rondelle, puis Marc crache au fond de moi avant qu’enfin, je sente dévaler dans ma gorge les longs jets du policier sexy. Soirée de dingue. Comment avons-nous pu en arriver là ?
Ben qui avait attrapé une crampe s’est relevé et regarde la scène, toujours torturé par le désir. Le contact de la barbe de trois jours de Marc sur sa queue lui a fait couler plusieurs beaux jets de precum, dont une partie brille sur sa cuisse poilue. Il a un regard étrange et presque absent.
Puis j’entends des pas...
— P.......,qu’est-ce que vous faites là ?
C’est Alex, torse nu et en short qui nous rejoint. Il voit son ami, entravé, la queue baveuse, tordue de désir...
— Mais qu’est-ce qu’ils t’ont fait, mon amour ?
Alex croit-il vraiment que Ben est la victime de nos petits jeux ou est-ce que cela l’amuse de le croire ?
— Euh...rien tu vois...ils voulaient pas que je jouisse... pour que je fasse l’amour avec toi...— Mais c’est bien ça...et là, tu veux me prendre ?— Ouiiiiii.
Alex ne se le fait pas dire deux fois et se débarrasse de son short, de plus en plus beau, dans le soleil couchant qui enflamme sa toison rousse de la gorge au pubis.
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