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La randonnée inattendue

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je vogue sur le net depuis quelques temps maintenant, j’écume un certain nombre de site, il est vrai pour la plupart de rencontre mais je ne cherche pas à rencontrer spécialement mes contacts. Souvent ça en froisse plus d’un, pour ne pas dire que ça les frustres, j’apprécie leur montrer des photos de moi, j’ai conscience d’avoir un physique agréable… Et autant se l’avouer j’aime susciter le plaisir chez les hommes toujours en sachant me « dérober », le net aidant fortement à se cacher derrière son écran.
Mais un jour, je t’ai croisé par hasard au détour d’un site bdsm, entre deux propositions banales de webcam, je suis tombée sur ton mail, assez long et pourtant assez mystérieux. Tu y marquais un certain intérêt pour moi. J’avoue être tombée assez vite sous le charme, je sentais une certaine envie, certains désirs me concernant ; mais bien dissimulés derrière une sympathie ambiante et délicate.
A près un certain temps Une complicité s’était installée, je parlais un peu de mes fantasmes, adorant être attachée, un peu contrôlée et à la merci d’un homme créatif et imaginatif, je me laissais un peu aller lors de mes aveux… et le fait de vider mon sac à un inconnus du net me plaisait particulièrement.
Quelques mois plus tard je reçu ton mail avec une proposition assez inattendue, là où j’avais l’habitude des propositions de restaurants ou de sorties en soirée chic, je découvre alors un mail me proposant une randonnée dans un coin reculé de France, sous entendus pendant quelques jours, mais il y a quand même assez peu de précision… et comment dire… à nouveau… j’aime ça.
Une proposition de randonnée... dans un endroit secret, spécial, pendant quelques jours en été à la montagne. En pleine folie, je décide de céder, il y a trop d’inconnue pour ne pas susciter mon intérêt, en plus de risquer un peu plus sur cette relation que nous avons installé.
De façon assez surprenante, nous ne sommes pas revenu sur la randonnée en elle-même pendant longtemps d’une part peut être sentais-tu ma gêne et sans doute aussi l’envie de ne pas épuiser le sujet et garder ainsi toute l’aura de surprise en moment de la rencontre.
Début de l’été, il fait chaud. Tu me dis dans un dernier mail de ne prendre qu’une seule tenue elle doit se composer d’une jupe courte mi-cuisse.
Je prends donc une jupe blanche, qui fait un peu "été" avec un t-shirt beige clair ainsi qu’un top blanc en dessous. Je porte aussi un string bleu clair et un soutien-gorge de même couleur. J’ai pris un train de nuit, m’amenant directement le matin à une autre gare afin de prendre une correspondance pour rejoindre notre point de rencontre.
Nous nous rejoignons donc enfin, dans une petite ville, le genre où tout le monde se connait. Déjà en descendant du train on me dévisage comme une étrangère un peu égarée.Je me rends sur la place du village et je t’aperçois enfin… Un homme d’une quarantaine d’année à l’allure un peu aventure… rien de déplaisant il faut bien l’avouer.
Tu m’attendais avec deux sacs, l’un assez gros, que tu portes, et un autre un peu plus léger pour moi. Après m’être approchée tu me salue d’un « bonjour Mam’zelle » qui me fait sourire. Tu as la sympathie de me demander comment s’est passé mon voyage, nous échangeons donc 5-6 minutes la-dessus, pour qu’enfin que tu m’interrompes avec un « bon alors on y va ? » accompagné d’un large sourire qui en disait long sur les idées que tu as derrière la tête.
Nous commençons notre randonnée par une petite promenade en forêt qui contourne le village pour s’enfoncer plus près de la montagne.
C’est évidement toi qui à la carte du trajet, tu mettais un point d’honneur à tout prévoir, et moi un certain plaisir à me laisser faire... Tu nous emmènes jusqu’au pied de la montagne où nous commençons l’ascension. Dès que nus nous somme un peu éloigné de la civilisation, tu me fais arrêter. Tu dépose ton sac, puis regarde un peu autour de nous sans rien dire. Tu me regardes soudain, l’air assez décidé.
Tu t’approches puis me fais me mettre a genoux, tu passes ensuite derrière moi et tu relèves ma jupe... Moi, dans un sens assez surprise, je me laisse faire.
Tu observes mon string... et je te sens ...pensif... Puis tout d’un coup, je sens une main se poser sur mes fesses exposée. Une de tes main me tiens l’épaule et m’indique de me cambrer.
— «Ma pauvre, Nous allons passer un agréable voyage»
Je ne réponds rien, gênée par ma position, et assez choquée de finalement me laisser faire. Tu ajoutes :
— « Tu te rends bien compte que je ne compte pas être tendre avec toi… »— « Oui… »
Tu souris, laissant toujours une main caresser mes fesses, elle est délicate, mais décidée. Soudain tu m’ordonnes de mettre mes mains sur la tête. Tu me penches… me forçant à rester cambrée en même temps en précisant que mon visage doit toucher le sol. Tu me regarde pendant 2 - 3 minutes, savourant mon aveu de docilité. Par la suite, tu sors un appareil photo et prend un ou deux clichés.
    - "Super le paysage…"
Soudain tu m’envois un coup de pied aux fesses, je retombe au sol.
— "ne bouge pas".
Tu déposes le sac, t’éloigne, et reviens avec une poignée de marrons trouvé au pied d’un marronnier un peu plus loin. Tu me remets en position fesses en l’air, me met juste entre les fesses un premier marron. Tu ne me le rentre pas...et tu m’expliques que je vais devoir serrer les fesses pour le maintenir à cet endroit, pendant une certaine distance... et que si il tombe, je serai punie. Vu que tu me laisse mon string, je parais soulagée... mais...pour un temps seulement.
Tu m’indique un arbre que l’on aperçoit un peu plus loin.
— « Diriges toi comme ça vers l’arbre »
Il y a une centaine de mètres entre et l’arbre.
Je veux me relever, puis soudain tu me mets ton sac sur mon dos! Je me déséquilibre... mais garde le marron précieusement...je sens cependant qu’il a un peu bougé. Toi tu va directement à l’arbre.
Je m’avance... pas à pas... Ce n’est pas trop dur. Puis de loin, accoudé contre l’arbre tu me lances un gravier qui me touche à la cuisse. je suis surprise...et perd le marron...je manque aussi de tomber.
Tu m’appelles au loin :
— "ce n’est pas grave viens ici"Lorsque j’arrive à ta hauteur tu me prends le sac. — « retirer ton string »,
Je m’exécute. Tu sors alors du sac des menottes que tu m’attaches aux poignets placés dans mon dos.Puis, de façon très calme, tu sors aussi un appareil étrange.. Une sorte de vibro, relié a une boite par des fils électrique. Je suis au sol menottée, fesses en l’air et sans crier gare tu m’insères le "vibro" dans l’anus d’un coup sec! Je pousse un petit cri plaintif avant de me radir tout le corps.
Tu me demande d’attraper avec ma main dans le dos, un dé que tu me tends que je dois lancer au sol…Je le lance, tu me lis le résultat :
— "4… tu auras donc droit a un petit électro-choc de niveau 4 dans l’anus le temps que j’aille rechercher le marrons et revienne ici".
A mon regard je suis un peu paniquée...Tu me fous mon string en bouche de façon un peu brutale et ajoute
— "je ne veux rien entendre sinon tu souffrira encore plus"
Tu lances la batterie...et là je commence a me tordre...mes gémissements étant étouffés par mon string dans ma bouche. Tu pars chercher le marron.
Pendant ce temps, je suis soumise à la torture de mon anus. Je me cambre et gesticule au rythme de la douleur électrisante. Me voyant ainsi, tu prends tout ton temps... Allant même jusqu’à dire à un moment
— "attends je prends des photos, la vue est très belle ici aussi"
Quand tu reviens ... Apres avoir un peu trainée. tu me retrouve toute gesticulante. Tu interromps mon calvaire en arrêtant la batterie. Tu me vois... calmée... essoufflée. Tu sors mon string de la bouche et le met en poche, me retires le vibro, me pose délicatement un bisous sur la fesse, puis tu te rapproche de mon oreille en murmurant
— "je vais te faire souffrir cette semaine petite chienne".
Tu me libère je te remercie, d’un geste de tête puis tu me dis:
— "relance le dés..."
Je le lance... J’obtiens un 5. Là tu te rapproche de moi vient derrière moi....me dis machinalement:
— "penche toi".
j’obéis, me penche... Je me sens perturbée par mon attitude à la fois, je suis révoltée et honteuse de laisser tout se passer comme ça, mais en plus ton attitude m’impose à être docile, et force est de constater que je m’y soumets un peu.
— "ça nous fait donc 5 marrons"
Je suis surprise mais déjà le premier marron s’enfonce dans mon anus déjà brutalisé
— "hhummmaaaAAAHHHH" — "allé allé ne te plains pas! apres tu devras me dire "merci" à voix haute et en ayant l’air sincère".
un deuxième s’introduit en moi
- « huummmff » — "tais toi j’ai dit!"
Puis un troisième... un quatrième... Là je me cambre un peu, serrant mes poings...et enfin le 5’...
    - "ça va"?    - "hum.."
Je n’ose pas répondre... et là tu me colle un grosse fessée... me faisant mal...    - "mais bien sur que ça va, debout!"
je me lève un peu engourdie. Et la c’est toi qui prends le dés et le lance au sol.
— "6… Hé bien voilà ma cocotte, nous allons courir pendant 6 minutes comme ceci... avec ton sac sur le dos... ton anus rempli.
Je te regarde un peu apeurée, puis tu ajoutes
— "je savais bien que ça te plairait ce voyage.".
Tu sors un chronomètre et cries
— "allé c’est parti cours!!!"
En courant à ma hauteur tu vois bien que en plus du sac que je porte, j’ai sur le visage une expression de malaise... Tu souris, satisfait. Les minutes s’écoulent doucement pour moi, C’est assez désagréable... Mais je me soumets à ce sévice.
Les 6 minutes s’étant écoulées, tu m’arrêtes, me permets d’enlever le sac, et de me reprendre durant quelque seconde. Apres quelques instants, tu me demande de me mettre sur le ventre. Je m’exécute, et entends que tu cherches quelque chose dans mon sac. Tu en sors un gant et un flacon... tu t’approche de moi, te mettant sur mes cuisses arrière, moi allongée et tu soulèves ma jupe, puis caresse mes fesses doucement.
Soudain je sens un liquide froid venir sur mes fesses, ta main gantée, au lieu de l’étaler la rassemble justement sur mon anus... Ce qui me soulage dans un premier temps... Puis je sens que tes doigts se font de plus en plus aventureux et me pénètre doucement.
— "Aahh j’en tiens un je crois"
Tu pousse tout d’un coup ta main entre mes fesses. Je pousse un cris. Tu retires fièrement un marron. Après l’avoir retiré, tu me caresses à nouveau les fesses doucement.
— "je préfère te laisser le temps de te refermer un peu, je veux que tu ne perde rien de ce que je retire de ton cul!"
Apres 2 ou trois minutes à me caresser, tu rentres de nouveau tes doigts violement en moi, me retirant le second marron. Tu réitère l’opération jusqu’a me les retirer tous. Constatant mon état de fatigue après ces diverses épreuves tu me laisseras 15minutes de répits, m’imposant pourtant de garder la position allongée au sol avec tes mains se baladant toujours sur mes fesses.
Après cette pause, tu me fais me relever, me met mon sacs sur le dos puis remonte ma jupe de façon à ce qu’elle ne descende plus. En prime, tu sors de ton sac un système étrange de bâillon... tu t’approche de moi, et en me le mettant je me rends compte qu’il s’agit d’un écarteur de mâchoire. Tu souris...en me l’installant. Je ressens à nouveau cette sensation de malaise chez moi, découvrant que je me laisse faire, ne sachant pas vraiment pourquoi… et me surprenant sans vraiment me l’avouer à éprouver du plaisir.
— "Il te va très bien"
Nous continuons notre randonnée pendant quelques heures me laissant dans cette accoutrement... et me lançant quelque remarque déplaisante sur mon allure et sur le faites que ma bave coule sur moi. Ce ne sont même pas des remarques vulgaires juste de petit commentaire éprouvant un peu ma fierté.
Par moment tu te rapproches, ramassant du bout d’un doigt un filet de bave puis l’étalant au hasard… sur mon chemisier, dans mes cheveux, sur mon visage. Je n’ose plus trop te regarder, je rougis juste à certains moment, trahissant ainsi mon ressenti non loin du plaisir.
Nous arrivons en soirée près d’un grand chalet, une espèce d’hôtel très à l’écart. En nous approchant on distingue une porte dans un mur fait en pierre du pays, qui soutiens surement le rez-de-chaussée, puis le reste de la construction se révèle être en bois sur 2 étages. Nous nous approchons encore un peu, et l’ont distingue des voix venant des étages et de l’intérieur. Sur la gauche, une clôture forme un petit enclos où l’ont entends aboyer et hennir. Tu m’annonces:
-"voilà l’endroit où nous allons passer la nuit. Tu n’es pas au bout de tes surprises."
Méfiante je fais un petit pas en arrière...
(Auteur Felina)
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