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Un dérape qui a des conséquences

Chapitre 1

Le dérapage

Inceste
Cette partie de ma vie commence alors que j’ai vingt-cinq ans. Je suis célibataire et je vis seul dans mon appartement un peu trop grand pour un homme seul. Je cherche désespérément une femme pour combler ma vie et rendre aussi mon appartement plus vivant, car le silence me pèse.
J’ai deux sœurs. L’une est plus âgée que moi. Elle a vingt-huit ans et est déjà mariée. Elle est également enceinte de son premier enfant. Mon autre sœur est plus jeune que moi. Elle a vingt-trois ans et tout comme moi, elle est célibataire.
Nous sommes au réveillon du nouvel an 2020. Il y a moi, mes sœurs et le mari de ma sœur aînée, ainsi que de nombreux amis. La fête bat son plein et lorsque les douze coups de minuit retentissent, je suis déjà à mon cinquième verre. Tradition oblige, ou peut-être le degré d’alcoolisation, nous sommes nombreux à nous embrasser. Parfois sur la joue, mais parfois sur la bouche. C’est ainsi que ma sœur aînée, étant sobre et n’ayant pas bu une seule goutte d’alcool en raison de sa grossesse, m’embrasse sur la joue. Mais que la première personne que j’embrasse sur la bouche ce soir-là est un mec. Mais l’alcool me fait vite oublier ce moment qui aurait pu être gênant si le mec que je viens d’embrasser (heureusement sans la langue) n’avait pas embrassé un autre mec juste après moi. Au final, je ne sais pas combien de personnes j’embrasse ce soir-là, mais ce qui est sûr, c’est que j’embrasse plusieurs filles sur la bouche et quelques mecs aussi.
Vient le tour de ma jeune sœur Laure. Elle aussi semble avoir bien consommé ce soir et elle est approximativement dans le même état que moi et que bon nombre d’autres personnes. Je ne sais plus qui s’approche de l’autre, mais ce qui est sûr, c’est que nous nous embrassons sur la bouche et que nous mettons également nos langues. Et, totalement ivres, nous en rigolons et recommençons une seconde fois avant de rire à nouveau et de nous séparer. Personne ne semble être surpris par cette scène. Mais après tout, peut-être aussi que personne n’y a prêté attention.
Le temps passe et les premières personnes quittent les lieux. Ma sœur aînée et son mari font partie des premiers à partir. Et progressivement, la salle se vide, mais moi, j’ai vidé encore un ou deux verres. Il ne reste plus qu’une dizaine de personnes, dont moi et Laure. Je m’approche d’elle et je viens mettre ma langue dans sa bouche, et ma main sur ses fesses. Elle se laisse faire et ne me repousse pas.
Nous décidons finalement de rentrer, mais vu notre état, il est plus judicieux de repartir à pied. De toute façon, vu mon état, je pense que je serais totalement incapable de mettre correctement la clé sur le contact.
Durant le trajet pour aller chez ma sœur (l’appartement le plus proche), nous en profitons pour nous embrasser encore et encore. Mes mains passent parfois sous sa robe et n’hésitent pas à caresser sans gêne le tissu de sa culotte. Quant à ma sœur, elle passe sa main dans mon pantalon et s’empare de mon dard.
Nous arrivons chez elle après avoir beaucoup titubé et après avoir failli tomber à plusieurs reprises. Fortement alcoolisés, nous ne pensons pas à être silencieux dans les parties communes. Et lorsque nous franchissons la porte de son appartement, nous continuons à nous embrasser et nous nous déshabillons mutuellement petit à petit. Je me retrouve ainsi nu sur le canapé, ma jeune sœur nue également et collée à moi.
Je me réveille ensuite quelques heures plus tard, ignorant totalement l’heure qu’il est. Mais le jour semble être levé. Je constate que je suis nu dans un lit qui n’est pas le mien.— Kévin ? dit une voix que je reconnais facilement comme étant celle de ma jeune sœur. C’est toi ?— Laure ? dis-je en me retournant.— Putain mais qu’est-ce que tu fous dans mon lit ?— Je ne sais pas.
Puis, la tête encore dans le brouillard, ma sœur soulève le drap.— Et pourquoi t’es à poil ?— Toi aussi, lui fis-je remarquer.
— Mais moi je suis chez moi, je fais ce que je veux. Pourquoi on est...
Puis le silence. Ma sœur semble essayer de se remémorer la soirée.— Putain, ne me dit pas qu’on a couché ensemble.— Beurk, répondis-je.— Sympa pour moi.— Non mais ce n’est pas ce que je voulais dire. C’est juste que tu es ma sœur et que je ne me vois pas coucher avec toi, même en étant bourré.— Pourtant, je ne sais pas si tu te rappelles, mais on s’est quand même roulé des pelles plusieurs fois pendant la soirée d’hier.— Ouais, ça je m’en rappelle. Mais entre se rouler des pelles et coucher ensemble, il y a un fossé énorme.— Et tu te souviens comment on est rentrés ? Je n’ai même pas le souvenir de notre départ de la soirée.— Il me semble qu’on est rentrés à pied, lui dis-je. Après, tout ce dont je me souviens, c’est qu’on a continué à se rouler des pelles en arrivant chez toi. Mais pour le reste, je suis comme toi. Je ne sais même pas si après avoir commencé de rentrer à pied, nous avons pris un taxi ou pas. C’est pour te dire dans quel état j’étais.— Et moi donc. Je ne me souviens même pas de la fin de la soirée, donc je me souviens encore moins de t’avoir fait rentré chez moi.
Je finis par sortir du lit de ma sœur et ne trouvant pas mes habits à côté du lit, je commence à les chercher ailleurs. Je sors de la chambre et je trouve mon boxer au pied du canapé, à côté du string de ma sœur. Je trouve rapidement le reste de mes vêtements, souvent mélangé avec un autre vêtement de ma sœur. Même si je n’y crois pas trop, je commence à me demander si nous n’avons pas franchi une barrière interdite.
Une fois habillé, je retourne dans la chambre de ma sœur en lui apportant ses habits.— Merci, me dit-elle.— De rien. Par contre, je ne sais pas ce qui s’est passé cette nuit, mais je tiens juste à te dire que nos vêtements étaient un peu éparpillés et mélangés ensemble.— Arrête, me demande-t-elle. Je ne veux pas avoir ce genre d’images dans la tête alors que nous n’avons probablement rien fait.— Désolé, tu as sûrement raison. Nous nous sommes simplement embrassés et nous étions beaucoup trop bourrés et fatigués pour faire quoi que ce soit d’autre.— Voilà, c’est exactement ce qu’il s’est passé. L’alcool et la fatigue nous ont empêcher d’aller trop loin.
Je finis par sortir de chez ma sœur, un peu honteux. Je retourne ensuite jusqu’à la salle où la fête s’est déroulée et je reprends ma voiture pour finalement rentrer chez moi.
Seul dans mon appartement, je réfléchis en essayant de me remémorer la soirée et de savoir pourquoi je me suis réveillé totalement nu dans le lit de ma sœur. Mais ce jour-là, rien n’y fait, je ne me souviens de rien.
Les jours passent et certains détails me reviennent petit à petit. Déjà, je me souviens que finalement, nous n’avons pas pris de taxi pour rentrer. Ensuite, je me souviens que j’ai eu les mains baladeuses sur ma sœur. Puis je me souviens qu’elle a glissé sa main dans mon pantalon. En revanche, il me faut encore quelques jours pour me rappeler que nous avons fini par nous retrouver nus sur son canapé après nous être mutuellement déshabillés.
Je ne dis rien à ma sœur, mais finalement, je commence à penser que la probabilité d’avoir couché ensemble augmente de plus en plus à mesure que les souvenirs reviennent.
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