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Un dérape qui a des conséquences

Chapitre 7

Mise au point

Inceste
Je reste environ deux semaines et demi à partager le quotidien de ma divine sœur. Après cinq jours à effectuer des aller-retour chez moi pour prendre d’autres habits, j’ai finalement décidé d’en prendre pour plusieurs jours et de les laver chez Laure. Et effectivement, durant ces deux semaines et demi, nous vivons comme n’importe quel couple, sauf que nous n’échangeons pas de mot d’amour, même lors de nos ébats.
Ce matin, c’est toujours avec un plaisir immense que je me réveille avec ma sœur dans mes bras, nus tous les deux. Après nous être embrassés, d’autres envies plus charnelles se font ressentir. Je me délecte du meilleur des fruits pendant quelques minutes avant que nous ne soyons interrompus par notre fille. Bien que déçue de ne pas avoir pu atteindre le septième ciel avant d’avoir été interrompus, ma sœur se lève et va s’occuper de notre progéniture. Bien sûr, Laure me fait pleinement confiance et j’aurais pu m’occuper de notre fille, mais en tant que mère, elle a aussi besoin de s’en occuper.
De mon côté, je me lève sans m’habiller et je vais nous préparer le petit-déjeuner. À force de passer tout mon temps libre avec les deux femmes de ma vie, je me sens ici comme chez moi. D’ailleurs Laure ne fait rien pour me rappeler que c’est avant tout chez elle. Elle me laisse la liberté de faire ce que je veux.
Lorsque ma sœur arrive avec notre fille dans ses bras, nous nous embrassons avant de passer à table.— Au fait, ce soir tu n’es pas obligé de venir, me dit Laure. — Pourquoi, tu reçois du monde ? — Non. Mais normalement, je devrais avoir mes règles aujourd’hui ou demain.— Et alors ? — On ne pourra rien faire. — Je m’en fous de ça. Ce que j’aime, c’est passer du temps avec toi et notre fille. — Moi je ne m’en fous pas. Je veux simplement passer du bon temps avec toi. Si ce n’est pas possible, autant ne pas se voir. — Écoute Laure, passer simplement du bon temps avec toi, ça ne me convient pas. — Dans ce cas on a qu’à arrêter. — Je ne veux pas tout arrêter non plus. À chaque fois que je te prends dans mes bras,à chaque fois que je t’embrasse, à chaque fois que nous faisons l’amour, je me retiens de te dire que je suis tombé amoureux de toi.— T’es sérieux ?— Oui. — Mais on est frère et sœur. — Oui, mais on a une fille ensemble. Sans oublier que nous faisons l’amour très régulièrement. Ça ne devrait pas arriver entre frère et sœur, mais ça nous est arrivé. Et ose me dire que tu ne ressens rien entre nous.— Bien sûr que si, sinon j’aurais déjà tout arrêté avant. Mais on ne peut pas vivre ensemble. Imagine le désastre que ça provoquerait dans la famille si quelqu’un le savait. — On peut chercher un appartement loin d’ici et partir vivre ensemble. — À t’écouter, ça a l’air si simple. Mais même si j’acceptais, il faudrait trouver un travail et tu sais à quel point ce n’est pas simple d’en trouver de nos jours. — Pour commencer, un seul de nous peut travailler. L’autre resterait à l’appartement et s’occuperait de la petite.
— Et s’il n’y avait pas qu’elle ? — Qu’est-ce que tu veux dire ? — Si je tombais encore enceinte avant de déménager, qu’est-ce que tu ferais ? — Je chercherais un autre emploi nuit et jour. — Laisse-moi réfléchir à tout ça. Prenons de la distance quelques jours pour réfléchir à tout ça. Je n’aurais jamais les idées claires si je passe toujours mes nuits avec toi. — Je suppose que je n’ai pas vraiment le choix.— Désolée.
Nous nous embrassons et je quitte son appartement sans savoir quand je vais y revenir, ni même si j’y reviendrai un jour.
Au travail, je n’arrête pas de repenser à notre conversation matinale. En me demandant de lui laisser du temps pour réfléchir, je viens peut-être d’accepter qu’elle mette un terme à notre relation. Et habitué au chemin, lorsque je quitte mon travail, je prends naturellement la route pour me rendre chez elle. Mais à quelques centaines de mètres avant d’arriver, je réalise que je dois retourner chez moi. Je bifurque et je prends la route pour mon appartement vide et sans âme.
Même si je dois retourner au travail le lendemain matin, je n’arrive pas à dormir. Minuit, une heure, deux heures du matin, mais je ne trouve toujours pas le sommeil. Laure et notre fille me manquent. Pourtant, je dois m’habituer à leur absence.
Aux environs de deux heures et demi du matin, mon téléphone sonne et c’est le nom de Laure qui est affiché. Pensant à un problème avec notre fille, je décroche aussitôt, un peu paniqué.— Est-ce que tout va bien ? demandé-je. — Non. — Notre fille a un problème ? — Non, c’est moi. Je n’arrive pas à dormir sans toi.— Tu veux qu’on reste au téléphone et qu’on discute ? — Non, je veux que tu viennes… et que tu restes.— D’accord, j’arrive. — Prends autant d’affaires que tu peux, m’annonce-t-elle. — C’est vraiment ce que tu veux ? Tu as bien réfléchi ? — Oui. Je t’aime aussi et j’accepte qu’on aille vivre ensemble loin des autres. — Je fais au plus vite mon amour.
Même si elle m’a demandé de prendre un maximum d’affaires, je vais la rejoindre en ne prenant que ce que j’arrive à prendre avec mes bras. Je veux perdre le moins de temps possible pour la retrouver et je reviendrai vider mon appartement prochainement.
De nuit, la circulation est quasi inexistante, ce qui me permet d’arriver chez elle en une dizaine de minutes. Je toque à sa porte pour ne pas réveiller notre fille. Elle m’ouvre en étant entièrement nue. Il faut dire qu’à cette heure et après lui avoir fait part de mon départ de chez moi, elle n’avait que très peu de risques de tomber sur quelqu’un d’autre que moi. — Et tes affaires ? me demande-t-elle. — Dans la voiture, réponds-je en l’embrassant. Elle m’emmène rapidement dans la chambre où elle me déshabille intégralement. — Je croyais qu’on ne pouvait rien faire, lui dis-je.— Je n’ai toujours pas mes règles. Donc soit j’ai simplement du retard, soit tu vas être papa pour la deuxième fois. — Tu as souvent oublié ta pilule ? — Je ne l’ai jamais prise avec toi.
Je suis assis sur le lit que j’ai partagé avec Laure depuis plusieurs jours et je passe mes doigts sur son fruit délicieux. Je sens assez facilement qu’il est très humide, ce qui confirme l’excitation dont ma sœur me fait part. Elle passe ses jambes autour de mes hanches et se laisse retomber en m’embrassant pour atténuer ses gémissements. Je donne des coups de reins au même rythme qu’elle ondule son bassin sur moi. Et plus rapidement qu’à notre habitude, nous atteignons tous les deux l’orgasme. Même si je sais maintenant qu’elle ne prend pas la pilule depuis que nous avons commencé à refaire l’amour quelques semaines plus tôt, je ne cherche pas à me retirer et j’honore son vagin en le remplissant au maximum.
Après s’être reposée sur moi quelques minutes, ma sœur décide de remettre sa culotte. — Tu préfères que je m’habille aussi ? demandé-je. — C’est hors de question. Maintenant que tu es officiellement mon mec, je t’interdis de porter quoi que ce soit dans notre lit. — D’accord mon amour, ça me va. — Tu peux me le redire ? — Ça me va. — Pas ça idiot, l’autre truc. — D’accord ? — Arrête de le faire exprès. — Je t’aime mon amour. Et je n’arrêterai jamais de te le répéter. — Je t’aime aussi bébé. — D’ailleurs, en parlant de bébé, je t’interdis formellement de reprendre la pilule tant que nous ne serons pas parents une seconde fois. — C’est vrai ? Tu en as vraiment envie ? — Bien sûr. Pas toi ? — Si. Et c’est avec plaisir que j’accepte ton interdiction.
De nouveau ensemble et officiellement de façon sérieuse, nous nous endormons rapidement.
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