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Raphaëlle mélomane

Chapitre 1

Histoire médaillée
Erotique
Le Steinway and sons M-170 trônait au centre du séjour, ses presque 300 kilos posés sagement sur le parquet en chêne massif. Les doigts de François couraient sur ses touches avec l’aisance du pianiste professionnel. Les notes de « Rêverie » emplissaient la maison, berçant celle-ci de la douce mélodie de Debussy.
Raphaëlle était allongée sur le canapé, sa longue chevelure rousse et bouclée s’étalait sur l’accoudoir en cuir. Elle portait une combinaison en mousseline d’un vert irlandais (sa couleur préférée), au pantalon évasé, avec un long col en V et un dos plongeant. Elle lisait, confortablement installée, « La carte et le territoire » de Houellebecq. Cependant, elle ferma les yeux un instant pour se laisser envahir par les souvenirs.
Elle avait rencontré François il y a 10 ans déjà, lors d’une soirée organisée par son entreprise. L’événement de cette réception était le concert donné par un pianiste de renom. Il s’était assis au piano et, après quelques secondes d’un silence absolu, joua la première mesure de « Rêverie » qu’elle ne connaissait pas à l’époque.
Raphaëlle ressentit alors un long frisson parcourir son épiderme, sa peau se recouvrait de chair de poule malgré la chaleur de la salle et une vague de douceur la submergea. Elle ne devait plus quitter des yeux cet homme qui avait fait naître en elle cette émotion si forte que seule la musique classique est capable de produire.
François avait certes un physique assez « banal » comme le lui avait fait remarquer une amie et elle s’entendit dire qu’elle pouvait se permettre « mieux ». Il était en effet brun, de taille moyenne, un petit début de calvitie à tout juste 30 ans, les épaules étroites, un visage plutôt rond. Mais François avait des atouts rares qui avaient séduit définitivement Raphaëlle. C’était un musicien de talent bien sûr, mais il était aussi doté d’une grande culture et d’un tempérament réfléchi. Il était attentionné, généreux, et éperdument amoureux de sa femme. De plus, sa voix chaude et posée lui conférait une autorité naturelle et une certaine sensualité qui ne la laissaient pas insensible.
François tomba sous le charme de Raphaëlle à la seconde où il croisa son regard. Un vrai coup de foudre comme on dit. Raphaëlle est petite, 1,60m tout au plus, mais sa silhouette attirait tous les regards. Ses formes étaient voluptueuses et proportionnées, et sa taille fine. Sa silhouette semblait tout droit sortie de la culture PULP où les pin-up affichaient leurs formes dans les magazines des années 50. Sa peau était laiteuse et seul son visage était marqué par de multiples tâches de rousseur. Le soir de leur rencontre, sa chevelure rousse tenait en un gros chignon faussement négligé d’où s’échappaient quelques accroche-cœurs. Dans son visage rond, des pommettes hautes soulignaient de grands yeux noisette, en amande, qui eux-mêmes concurrençaient un large sourire. L’ensemble de son visage renvoyait aux origines hongroises de son père et rayonnait d’une gaité naturelle.
Les rares fois où elle ne souriait pas, Raphaëlle affichait un air mutin de femme-enfant qui faisait craquer son mari. Elle portait ce soir-là une robe plissée bleu roi qui s’arrêtait au-dessus du genou. Le haut était brodé de tulle pailleté et de satin. Elle était perchée sur des escarpins beiges très classiques, mais indémodables.
Elle était magnifique.
Elle avait su séduire facilement François et ils devaient se marier après deux ans de vie commune sans orage. Leur caractère conciliant, le respect que chacun éprouvait pour l’autre et leur amour profond et sincère en firent un couple solide. Toutefois, une hiérarchie tacite s’était instaurée dans ce couple où chacun s’enferma dans un rôle attitré par lui-même. François était l’incarnation du pater familias : rigoureux, prévoyant, organisé, il s’incarna dans une figure faite de tempérance. Il était la voix de la raison et posait tacitement les limites.Raphaëlle n’était que joie de vivre, espièglerie et charme. Une maîtresse de maison impeccable qui savait offrir à son austère mari, le grain de folie qui lui manquait. Si François gérait les affaires courantes, Raphaëlle prenait en main la logistique pour les vacances, les week-ends, les sorties en tout genre et la gestion de leur vie sociale.
Cet état de fait, François en faisait le constat à l’instant même alors qu’il était au piano. Jouer des partitions qu’il connaissait par cœur lui permettait de réfléchir, de faire le point. Raphaëlle était là, à quelques mètres de lui, désirable, en train de rêvasser, un livre posé sur le ventre. Il aurait aimé la prendre, la « baiser », là, maintenant, mais il savait que ce n’était pas lui. Il n’était pas comme ça... D’ailleurs, on peut dire que Raphaëlle gérait aussi leur vie sexuelle. C’est elle qui décidait quand ils faisaient l’amour ou de quelle façon. Elle avait tenté au début de connaître ses envies et ses fantasmes, mais il s’était bêtement enfermé dans un mutisme hautain, croyant que sa pudeur préservait son mystère et son autorité. Maintenant, elle ne lui posait plus la question et il ne savait pas comment livrer à sa femme les pulsions qui l’habitaient.
Car François avait développé ce qu’il appelait lui-même le « fantasme du curieux », avant de découvrir qu’il n’était pas le seul (loin s’en faut) à éprouver ce genre d’envie. C’est par hasard, lors d’une soirée à la Maison de la Radio, il y a 4 ans, qu’il avait dû se rendre à l’évidence. Raphaëlle portait une petite robe noire assez courte et trop décolletée au goût de son mari. Au point qu’il lui en avait fait la remarque : « Ce n’est pas une tenue pour ce genre d’événement », lui dit-il. Têtue, elle garda néanmoins la robe et sa superbe femme avait du coup fait l’objet de toutes les attentions de la part de quelques invités se comportant en mâle alpha.
La jalousie qu’il ressentit s’apaisa vite ; dans un premier temps, parce qu’il savait que sa femme lui était d’une fidélité à toute épreuve, ensuite car cela faisait de lui un dominant. Ils avaient beau être riches, puissants, séduisants... Cette femme, que des directeurs, animateurs, hommes d’affaires en tout genre convoitaient tant et qui excitait leur libido, repartirait avec lui. Il était envié et cette situation flattait son orgueil.Il repensa souvent à cette soirée, aux hommes qui tentaient vainement de séduire son épouse, et il lui arrivait d’extrapoler, d’imaginer Raphaëlle aller plus loin avec certains d’entre eux. Il se rendit alors compte que ces situations fantasmées l’excitaient, et l’excitaient vraiment...
Il découvrit rapidement grâce au net qu’il était tenté par le candaulisme, en référence au roi Candaule qui aimait exhiber sa femme Nyssia, aux yeux de Gygès, le chef des gardes de son palais. Ce vice coûta cher à Candaule, mais de plus en plus, François était prêt à courir le risque ; puis il n’était pas roi. Il échangeait sur un forum réunissant des adeptes de ce genre de pratique quand son épouse entra dans le salon à l’improviste. Il referma brusquement son portable et lui bredouilla un « bonne nuit ».
Raphaëlle, intriguée par la réaction inhabituelle de son mari, ouvrit l’ordinateur dès qu’il eut quitté la pièce.François était couché dans le noir et tournait le dos à la porte quand Raphaëlle entra dans la chambre. Il ne dormait pas.Elle se déshabilla dans l’obscurité, enfila une courte nuisette en satin et se glissa dans le lit. François sentit son cœur battre, et espérait de tout cœur avoir suffisamment éveillé la curiosité de sa femme par son comportement. Avait-elle ouvert l’ordinateur ? Allait-elle lui en parler ?
Après de longues secondes, elle rompit brutalement le silence : « Je suis à la fois vexée et en colère mon cher mari ». Il ne dit rien, resta immobile. Elle l’appelait « mon cher mari » et ça voulait dire qu’elle était vraiment fâchée. Elle poursuivit : « Je nous croyais honnêtes l’un envers l’autre, je nous croyais complices, et je découvre qu’en guise de confiance, tu répands tes désirs les plus intimes sur internet, auprès de parfaits inconnus ». Elle marqua un temps. « En fait, je ne suis pas en colère, je suis blessée. Bonne nuit... ». François ne bougea pas, mais ne dormit pratiquement pas...
Il fallut attendre 3 jours pour qu’elle lui adresse à nouveau la parole et ses premiers mots furent pour lui demander si c’est ce qu’il voulait réellement. Voir sa femme prise par d’autres hommes.
— Disons que c’est un fantasme qui m’obsède depuis un moment...— Depuis combien de temps ? — Chérie, ce n’est pas le sujet.— Si ! Justement ! C’est en plein dedans !— 3 ans... 4...— 4 ans ? Mais pourquoi tu ne m’as rien dit ? Ça regarde notre couple, lui seul, et pas des pervers sur un forum ! Elle lui dit néanmoins cela d’un ton nettement plus adouci que le soir où elle avait ouvert l’ordinateur. Elle cherchait manifestement à comprendre.— Je suis désolé mon amour. Je ne savais pas comment aborder ce sujet avec toi sans...— Sans passer pour un gros vicieux ? Sans perdre de ta respectabilité ? dit-elle d’un ton narquois.
Il répondit un peu soulagé : « oui, voilà... ». Cette discussion eut lieu dans le confort du lit conjugal, l’endroit où ils signaient les trêves et où ils se livraient aux confidences... Leur siège de l’ONU, mais en plus efficace et nettement plus agréable. Raphaëlle était blottie dans les bras de son mari.
— D’accord... Si tu veux vraiment cela, je suis d’accord...— Comment cela Raf ?— Si tu veux que nous vivions ton fantasme, je suis d’accord, mais évite de me le faire répéter s’il te plaît.— Mais ? Tu en as envie ?— Tu ne me demandes pas de m’amputer d’un bras non plus. Je survivrais mon amour... Dit-elle mi-sarcastique, mi-amusée. Je te laisse gérer ton envie et tu me fais la surprise ? De toute façon si la tournure des choses ne me convient pas, je saurais te le dire. — Ca j’en suis certain ma chérie !
Ils rirent puis s’embrassèrent tendrement avant de faire l’amour...
François avait conscience d’avoir franchi une étape capitale dans leur vie sexuelle. Cependant, il devait maintenant faire face à ses responsabilités. Posons tout cela, se dit-il confortablement installé au piano. Le fantasme est frustrant, mais le gros avantage est qu’il n’a pas à être confronté à la réalité. Quand il devient un projet, le réel s’impose brutalement. D’abord qu’est-il prêt à accepter vraiment ? Ensuite, la question bassement terre à terre de la logistique : comment va-t-il organiser cela ?
Le fantasme devenait casse-tête. La réponse à la première question lui offrit la solution à la deuxième. Son fantasme et les errements qui en découlent l’amenèrent à s’intéresser au gloryhole ; idéal à ses yeux pour gérer une tierce personne dont il se méfiait malgré tout. Le partenaire, source d’une éventuelle jalousie incontrôlée qui pourrait provoquer ; soit un rejet agressif de sa part ; soit une acceptation soumise, imposée par sa posture de cocu volontaire qui avait insisté pour voir sa femme se faire sauter devant ses yeux.Il avait vu plusieurs vidéos sur le sujet et la paroi, aussi mince soit-elle, de ces cabines percées lui apportait la sécurité qu’il souhaitait.

Un samedi soir, François mit une demi-bouteille de Ruinart rosé au frais, sortit 2 flûtes et posa sur la table du salon un paquet rouge joliment emballé.Quand sa femme rentra du travail, il lui tendit un verre avec un petit sourire crispé. Elle comprit : « Toi, tu as avancé sur ton projet coquin !
— Tu es toujours d’accord ?— Oui, oui, pour le moment en tout cas, c’est plutôt sympa ! répondit-elle en levant son verre. Mais dois-je m’attendre à de la visite ?— Non, par contre tu peux mettre ceci, lui dit-il en tendant le paquet rouge »
Elle défit l’emballage pour en sortir une petite robe rouge à grand dos nu et au décolleté profond. L’étiquette précisait que cette robe, de la marque Picotin, était le modèle Cleo et qu’elle était de fabrication française.
— C’est un peu vulgaire non ? — Mon fantasme mon amour, n’est pas non plus de t’emmener au bal des débutantes.
Elle acquiesça.François demanda à Raphaëlle d’enfiler la robe, ce qu’elle fit de bonne grâce après avoir ôté son soutien-gorge. Ses courbes étaient parfaitement mises en valeur par cette robe qu’on aurait dite taillée pour elle. Elle marcha d’un pas félin vers son mari quand il lui demanda de mettre sa gabardine.
— Pourquoi ?— Parce qu’il pleut ma chérie.— Nous sortons ?
Pour toute réponse, il enfila son imper et prit les clefs de voiture.

Quand ils arrivèrent sur une petite place derrière la gare, il faisait déjà nuit et le macadam, noir et luisant sous le crachin, reflétait les néons colorés des enseignes. Ils entrèrent par un sas vitré après avoir activé une sonnette.
Raphaëlle découvrit une petite boutique claire dont les murs servaient de présentoir à un tas de gadgets sexuels. Vibromasseurs colorés, anneaux péniens et autres ithyphalles aux dimensions très variées et parfois très impressionnantes ainsi qu’un tas d’objets dont elle n’avait pas trop idée de l’usage. Derrière le comptoir, un petit homme d’une quarantaine d’années ressemblait, aux yeux de Raphaëlle, à un informaticien. Il était petit, les cheveux en brosse, et portait des lunettes à montures épaisses et un tee-shirt Star Wars. Il sourit à François et après quelques mots, leur indiqua de franchir un rideau noir.
Raphaëlle serra la main de son mari, un peu inquiète. Elle le suivait dans un couloir sombre à l’éclairage coloré. Des gémissements caractéristiques des films pornographiques y résonnaient. Quelques hommes seuls les toisèrent du regard. Elle baissa les yeux et tenant le revers de gabardine.
François la fit entrer dans une cabine et referma derrière eux. Elle en fut soulagée. Dans la cabine aux cloisons noires pour tout décor, il y avait une chaise, un rouleau d’essuie-tout, un bol en verre rempli de préservatifs et un écran diffusant une scène en gros plan où une femme suçait avidement 2 verges épaisses. Raphaëlle quitta son manteau et se colla à son mari. Elle approcha ses lèvres de son oreille et lui massa l’entrejambe : « Et il se passe quoi maintenant ? C’est bien trop petit pour accueillir du monde mon chéri, et il est hors de question que tu me laisses seule... Dis donc, tu bandes déjà mon coquin ! C’est moi ou le film ? ».François caressa ses fesses sans répondre. Son regard néanmoins ne fixait pas l’écran, mais la paroi dans laquelle se découpait un trou. Sa femme se frottait à lui et l’embrassait dans le cou quand, on frappa 2 coups contre la cloison. Raphaëlle sursauta.
— Qu’est-ce que c’est ?
Elle remarqua le trou. François lui demanda de répondre aux coups, ce qu’elle fit... Alors un vit sortit lentement de la percée.François eut le sentiment qu’on pouvait entendre son cœur battre dans sa poitrine. Ils y étaient, cet instant où le fantasme allait se concrétiser. Sa femme regardait tour à tour le sexe étranger et son mari.
— Touche-le, lui dit-il.

Elle plongea son regard dans celui de François et posa sa main sur le membre. Elle le caressa consciencieusement. Le pénis pâle et mou devint rapidement une queue ferme et bien dressée.
Raphaëlle toujours debout regardait son mari avec sérieux. Elle branlait avec lenteur la queue inconnue. Après son cœur, c’est sa verge qui donnait à François le sentiment qu’elle allait exploser. Il n’avait jamais trouvé sa femme aussi excitante qu’à cet instant, dans cette robe vulgaire, à masturber une bite qui n’était pas la sienne.
— Suce-le amour, murmura-t-il.

Raphaëlle écarquilla un instant les yeux, mais ne dit rien. Posément, elle s’abaissa jusqu’à se retrouver accroupie devant la queue de l’inconnu. Elle regardait toujours son mari quand elle décalotta pleinement le gland avant de poser ses lèvres dessus, puis elle ferma les paupières et enfourna le sexe dans sa bouche. François résistait déjà à l’envie de se branler. Il savait qu’il ne tiendrait pas 10 secondes et voulait maintenir son excitation à son comble.
— Tu aimes chérie ?
Elle ne répondit pas.
— Ca te plaît ? insista-t-il.

Elle sortit le membre de sa bouche tout en gardant les yeux fermés. Elle prononça un petit « oui » sec avant de le sucer à nouveau. François s’approcha d’elle, se baissa et glissa sa main sous sa robe. Il sentit son string blanc en dentelle tout humide.Il écarta le tissu pour introduire son doigt qui entra sans peine. Raphaëlle se mit à remuer son bassin, mais, plus important pour son mari, elle se mit à pomper la bite isolée avec gourmandise. Sa bouche se fit plus baveuse. Elle gémissait de manière obscène en aspirant les couilles puis fit remonter sa langue tout le long de la hampe ferme et chaude. Elle se lâchait vraiment et François n’en pouvait plus. Il était agenouillé à côté de son épouse, à quelques centimètres de la queue qu’elle dévorait.
— Tu veux que cette belle bite te baise ? Tu la veux en toi ?
Elle ne répondit pas.
Tout à son excitation, il insista. Elle répondit un « oui » timide entre deux aspirations.
— Alors, fais-le, empale-toi dessus amour.
Après un instant, elle se redressa puis prit un préservatif dans le bol. Sans un regard à son mari, elle déroula la capote sur la colonne de chair chaude, releva sa robe sur ses hanches et ôta son string.Puis elle leva enfin les yeux sur son homme et saisit la queue gainée de plastique pour la diriger vers sa croupe, à l’entrée de sa chatte lisse. Elle s’enfila dessus et commença à haleter, la bouche entrouverte, les yeux mi-clos.
Penchée en avant, le cul collé à la paroi, elle s’agrippa à la taille de François. L’homme derrière la cloison la pilonnait énergiquement. Fébrile, elle déboutonna le pantalon de son mari et goba sa queue avec avidité. Il éjacula presque aussitôt, elle avala la première grosse giclée de sperme et étala le reste du foutre sur sa bouche et son menton en essayant de maîtriser tant que faire se peut les coups de boutoir qu’elle recevait. L’inconnu la pilonnait avec vigueur et la paroi tremblait, il était endurant et elle l’imaginait brutal. Elle ne cessa de frotter le sexe de son mari sur ses lèvres que quand elle atteint l’orgasme. Elle était tellement excitée par cette queue inconnue qui la baisait fort en présence de son mari qu’elle jouit vite et intensément. Elle se mit à trembler, ses jambes flageolèrent et dans un cri de jouissance, ses mains se crispèrent sur son époux.
Elle se dégagea de la saillie, retira le préservatif, et la robe toujours relevée, elle se remit à branler le vit inconnu encore vaillant.
François craignait que l’excitation passée, son envie de partage se dissiperait au profit d’un sentiment de jalousie bien légitime. Ce n’était pas le cas et il regardait toujours avec envie et amour son épouse qui, impudique, secouait ce sexe rouge et turgescent.
Quand l’inconnu jouit à son tour, Raphaëlle le relâcha avec douceur. La semence macula sa main et tombait en grosses gouttes sur le sol.

Elle s’approcha de son mari et ils s’enlacèrent. Sans un mot, ils sortirent sous la pluie fine.

Dans la voiture, Raphaëlle alluma l’autoradio. La musique de « Rêverie » s’en échappa mélodieusement.
A suivre...
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