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Raphaëlle mélomane

Chapitre 2

Erotique
François se découvre candauliste. Il explore donc son fantasme avec la complicité de son épouse Raphaëlle (Voir chapitre 1).
Raphaëlle et François firent le bilan de leur soirée et en conclurent que cela avait été une réussite. Cette tentative avait tout à fait correspondu à ce qu’avait imaginé François et Raphaëlle reconnut que l’expérience avait été très excitante.
Ils retournèrent donc quelques fois profiter du gloryhole sous diverses formes. La seule chose qui ne variait pas est que François « commandait ». Raphaëlle se prêtait volontiers à ce jeu de soumission et comprit que son mari aimait la voir « gourmande ».
Ainsi, il lui faisait parfois sucer une demi-douzaine d’inconnus et ils rentraient, tout excités, pour faire l’amour fiévreusement à la maison. D’autres fois, son époux voulait qu’elle cumule les orgasmes jusqu’à la limite de l’épuisement. Elle s’empalait donc avec vigueur sur toutes les queues dressées qui se présentaient à elle par le fameux trou.
François s’amusait aussi de constater que les tailles et les endurances différaient beaucoup. Raphaëlle posait à peine les lèvres sur certaines verges qu’une éjaculation la surprenait et la faisait tousser. D’autres semblaient être inépuisables. Ce qui était agréable un temps mais avait aussi un côté mécanique et agaçant. Pour cette raison, François les soupçonnait d’être des cocaïnomanes, ce qui lui déplaisait fortement.
C’est une des raisons (mais pas la seule) qui le poussa à s’interroger sur l’évolution à donner à son fantasme. Comme à son habitude, il s’assit au piano, entama le Prélude en E mineur de Chopin et réfléchit. L’usage d’un gloryhole permet de désolidariser le sexe de l’être. La séparation physique réduit l’individu au seul organe convoité, ce qui leur a permis de franchir le pas. Cela assure un anonymat rassurant mais a un aspect également déshumanisant. Et Raphaëlle, comme toutes les femmes, est également sensible aux caresses, aux baisers, et leur pratique la privait de cela. Elle ne s’en est jamais plainte mais François voulait qu’elle y trouve aussi son plaisir. C’est d’ailleurs un impératif qui est le moteur de son excitation à lui.
En repensant à l’origine de ses pulsions il s’aperçut qu’il négligeait un autre aspect, celui de la drague, de la séduction. Dans son souvenir le plus lointain, celui de la soirée à la Maison de la Radio, quand son inquiétude et sa jalousie firent place à une certaine satisfaction, c’est quand des hommes pourtant influents, avaient tenté de séduire son épouse. Et s’il laissait Raphaëlle badiner un peu ?
Ils dînaient dans la cuisine quand il se décida à faire part de ses conclusions à son épouse. Ils se partageaient une pizza maison accompagnée d’une bouteille de Tavel rosé. Le seul rosé qu’apprécie Raphaëlle.
— J’aimerais te voir séduire d’autres hommes ma chérie, ou que ces derniers te séduisent.
Raphaëlle, depuis peu, portait à la maison des tenues plus sexys pour faire plaisir à son époux (et aussi parce qu’elle trouvait cela agréable d’être désirable...). Elle affichait donc au-dessus de son assiette le décolleté plongeant de son combi-short imprimé de fleurs de magnolia sur fond noir.
— Tu voudrais que je drague ? Ou que je me laisse draguer ? Tu es sérieux ?— Bien sûr. J’ai envie que tu aies des échanges, on va dire « coquins, avec d’autres partenaires.— En gros que j’allume des types... Ca fait un peu garce non ?— Tu peux aller plus loin...
— Tu veux que je prenne un AMANT ? répondit Raphaëlle stupéfaite.— Dans un premier temps je préférerais qu’un jeu de séduction s’opère mais si ça devait aller jusque-là, nous en reparlerions.— François... Tu m’aimes toujours ? demanda-t-elle inquiète.— Plus que jamais mon amour, et je ne pourrais te demander cela non seulement si je ne t’aimais pas tant mais aussi si je n’étais pas certain de l’amour que tu me portes. Ca te fait peur ?— J’ai seulement peur que tu cherches à m’éloigner de toi.
Il se leva pour l’embrasser.
— J’ai juste envie de te voir libre et pleinement épanouie, sans limites. — Je suis épanouie mon amour. — Tu as compris ce que je voulais dire...— Et je fais ça comment moi ? Hors de question de draguer au travail et encore moins au supermarché ! »
François s’était effectivement posé la question et alla rapidement au plus simple. Il proposa à Raphaëlle de fréquenter des salons de discussions sur internet. C’était une drague virtuelle mais qui ouvrait sur de vraies rencontres avec le mérite de gagner du temps dans la phase d’approche.
Si l’idée du gloryhole avait été une réussite, force fut de constater que la fréquentation de salons de discussions était un échec. Raphaëlle n’y fit que perdre son temps. Elle avait vite compris qu’il n’y avait rien à tirer des « salu, sava » dont l’approche elle-même suffisait à démontrer la vacuité intellectuelle du correspondant.
Elle était également très mal à l’aise avec les invectives agressives et vulgaires censées exciter, si ce n’est sa libido, au moins sa curiosité. Elle comprit que ces salons étaient avant tout des défouloirs et que la grande majorité des hommes les fréquentant cherchaient seulement un substitut masturbatoire aux films pornos. Elle en fit part à François et ils tentèrent une alternative : les sites de rencontres payants. Ils estimaient que ce critère, aussi discutable soit-il, permettait une sélection basée sur la motivation des inscrits et de fait, imposait plus d’authenticité dans les profils.
Elle remplit donc en compagnie de son époux les champs obligatoires à son inscription, énuméra simplement ses envies : « Jeune femme cherchant à être séduite ; rencontre possible si affinités ». et en guise d’avatar, afficha une photo de ses jambes gainées de bas.
Son profil eut très vite beaucoup de succès.Le soir, dans le lit conjugal, elle prenait un certain plaisir à découvrir les messages et les profils des personnes qui lui avaient écrit. Elle répondait toujours, parfois en direct, même si c’était pour dire poliment que la proposition ne l’intéressait pas. Elle finit par échanger régulièrement avec deux hommes.
Vincent, trentenaire, beau gosse, officiait comme coach sportif et affichait un humour décapant. Il aimait la provoquer et la faire rire. Un peu chien fou, il n’était pas forcément le genre de personnalité qui attirait Raphaëlle dans la vraie vie mais dans ce monde virtuel, la distance imposée rendait sa faconde tolérable. Le plus coquin de ses deux interlocuteurs assurément. Elle aimait sa façon parfois directe mais toujours habile et légère d’orienter la discussion sur le sexe. Elle répondait volontiers à ses provocations et eut des échanges très libertins parfois même accompagnés de photos. C’est ainsi que François surprit, un après-midi ensoleillé, sa femme allongée sur le canapé, la jupe relevée sur les hanches, les cuisses grandes ouvertes et la main glissée dans le tanga. Elle eut un sourire canaille et poursuivit son plaisir solitaire sous le regard lubrique de son mari.
L’autre homme se prénommait Pierre. La quarantaine, il exerçait les fonctions de gestionnaire de patrimoine dans une banque d’investissement. C’était un homme élégant à la silhouette élancée. Ses manières aristocratiques et sa profonde culture littéraire avaient séduit Raphaëlle. Il leur est même arrivé parfois de discuter une bonne partie de la nuit sur l’art, leurs rêves et leurs passions respectives. François avait constaté que leurs conversations étaient plus sages mais leur complicité bien plus grande que la relation virtuelle qu’elle entretenait avec Vincent.
Aussi, quand Raphaëlle fit part à son mari du souhait des deux hommes de la rencontrer, François accepta pour Vincent mais refusa pour Pierre. Raphaëlle n’émit aucune objection et comprit la méfiance de son mari envers le banquier, même si dans son for intérieur elle aurait préféré rencontrer plutôt ce dernier.
— Tu vas venir avec moi au rendez-vous François ? Vincent sait que je suis mariée et ça me rassurerait. Et si ça tombe c’est un tueur en série ce type !— Je ne préfère pas Raf, et ce n’est pas un tueur en série.— Mais si ça prend une tournure coquine, tu n’as pas envie de voir comme au gloryhole ? — Je ne sais pas si je serais aussi à l’aise, franchement je préfère que tu y ailles seule. Par contre amour, si ça doit prendre une tournure coquine comme tu dis, je veux que tu me racontes tout en détail, tu as compris ?— Oui bien sûr mon chéri mais tu es sûr de toi ? — Oui, et toi tu comprends bien que tu dois tout me dire n’est-ce pas ? — Tu m’as déjà vu te cacher quelque chose mon cher époux ? dit-elle d’un ton chargé de sous-entendus.
Raphaëlle annonça le soir même à Vincent son intention d’accepter son invitation. Quand il comprit qu’elle était sérieuse, il perdit un peu de son assurance et pour la première fois ils eurent une conversation sérieuse sur le lieu de rencontre, les tenues à porter et sur la tournure que pourrait prendre la soirée car, Raphaëlle avait été très claire : Il pouvait se passer quelque chose mais si elle disait non à un moment ou un autre, la soirée s’arrêtait là.
Le soir venu, François aida son épouse à se préparer. Ils choisirent ensemble ses sous-vêtements : un ensemble vert foncé composé d’un string en dentelle et d’un soutien-gorge sans armature. Ce dernierrendait sa poitrine lourde et appétissante. Elle enfila également des bas autofixant couleur chair. Ils optèrent également pour une robe moulante simple en polyester et élasthanne vert olive à bretelle, ni trop courte, ni trop décolletée. Pour compléter le tout, elle opta pour un maquillage léger, un chignon un peu lâche et un pendentif articulé serti de trois rubis en forme de gouttes d’eau et des boucles d’oreille assorties. Elle était à la fois sophistiquée et sobre dans sa tenue. François avait très envie d’elle.
— J’y vais mon chérie, dit-elle en enfilant ses escarpins, tu es sûr de ne pas vouloir venir ? On pourrait s’amuser tous les trois ?
Il déclina l’offre une dernière fois, l’embrassa et lui dit d’être prudente sur la route.François regarda la voiture s’éloigner dans l’allée. Il était en proie à des émotions très contradictoires et pour la première fois de sa vie, il fut incapable de se mettre au piano tant son esprit était embrumé.
Il se contenta de faire les cent pas dans la maison et de ranger ce qui était déjà en place. Il était à la fois dévoré par l’éréthisme et par l’angoisse de perdre sa femme. Bien plus que la jalousie, il se demanda s’il ne l’avait pas tout bonnement jetée dans les bras d’un autre. Se disant cela, il les imaginait en train de baiser et l’excitation de la situation reprit le dessus.
C’est torturé par ces errements qu’il finit par se coucher sans avoir dîné et ne s’endormit que très tard.La fatigue ne l’empêcha pas cependant de se réveiller en sursaut quand il entendit les pneus de l’Audi écraser les graviers de l’allée. Le jour se levait à peine.Ses sens étaient en alerte. Il pouvait deviner chaque geste de sa femme. Enfin, elle entra silencieusement dans la chambre obscure.
— Tu dors amour ?— Pas le moins du monde ma chérie, c’était bien ?
Elle ne répondit pas mais ôta sa robe et vint s’allonger près de son mari. François devina qu’elle n’avait plus son chignon mais toujours son ensemble.
— Alors ? C’était bien ?— Mon amour, je vais tout te raconter dans les moindres détails, mais tu dois me promettre de ne pas m’interrompre. Si tu as des questions, tu les gardes pour après mon récit. Entendu ?— Entendu... Il se redressa.
Elle resta allongée sur le ventre mais se plaça à hauteur du bassin de son mari. Raphaëlle baissa alors le boxer de son époux et massa lentement son sexe.« Voici comment s’est déroulé ma soirée mon cher époux... Je suis arrivée au Château de Clarais où Vincent avait eu la gentillesse de nous réserver une table. Il m’attendait gentiment devant l’établissement en vrai gentleman. Nous nous sommes fait la bise comme de vieux amis et j’ai pu compter sur sa bonne humeur habituelle pour briser la glace. Il n’a pas été avare en compliments également mais comme il voulait me mettre dans son lit il est difficile de savoir s’il était sincère ou non...
— Tsssss... — Pas un mot chéri... Le cadre, le service comme la cuisine, tout était impeccable ! J’ai pris un menu poisson mais je pense que tu t’en fiches donc je te ferai le détail du menu plus tard. Vincent a été adorable et prévenant. Nous avons beaucoup ri et l’alcool aidant, je lui ai laissé entendre au dessert qu’il pouvait espérer plus qu’un simple dîner. Il est devenu plus coquin tu t’en doutes et avait du mal à cacher son impatience. Du coup je prenais plaisir à traîner à table pour le faire languir.
Il avait eu l’audace ou la prudence je ne sais pas encore, de réserver avant mon arrivée une chambre au château. Ainsi, après le café, il m’a solennellement proposé d’aller dans sa chambre pour un dernier verre. Je lui ai alors pris la main et l’ai invité à me montrer le chemin.
Aussitôt dans l’ascenseur, il se colla à moi pour me voler un baiser. Je le laissai faire et sentis le désir envahir mon ventre. J’avais envie de lui. Il posa ses mains sur mes fesses et moi mon bassin sur le sien. Il ne fit rien pour dissimuler son érection et je me frottais déjà doucement sur sa bosse... Hummm je vois que ça t’excite mon cochon... Tu bandes mon amour » dit-elle en massant toujours la queue de François.
« Nous sommes donc arrivés, tout en nous tripotant comme des lycéens, dans sa chambre. Nous nous sommes embrassés à pleine bouche. Mes mains sur son torse devinaient un corps ferme et musclé, un vrai physique de coach sportif me suis-je dit. Il brûlait de désir et me le faisait bien sentir en me serrant contre lui. J’avoue que ça m’excitait follement. Ses mains couraient sur mon corps et me mettaient en ébullition. J’ai alors fait un pas en arrière puis, le fixant du regard, je me suis débarrassée de ma robe. Comme au gloryhole que tu affectionnes tant amour, je me suis accroupie devant lui et ma main a caressé sa braguette toute déformée. J’ai enlevé son bouton de pantalon, baissé sa fermeture et j’ai plongé la main pour dégager l’objet de ma convoitise. Il bandait très fermement, comme toi en ce moment mon chéri, et j’ai commencé à le masturber en observant attentivement sa verge.
Pardonne-moi chéri mais je n’ai pas pu m’empêcher de comparer. Sa queue n’était ni trop petite ni trop grosse. Elle était cependant plus épaisse que la tienne. J’en salivais de plaisir à l’imaginer dans ma petite chatte... Non, non, ne jouis pas trop vite, regarde, je ralentis » dit-elle en massant les couilles de François qui était au bord de l’extase.
« Je l’ai donc branlé puis j’ai décalotté son gland pour le lui lécher. Il gémissait déjà et je priais pour qu’il ne soit pas éjaculateur précoce. Je me suis mise à le pomper comme une vraie gourmande mon chéri. Je sais que tu aimes quand je fais cela et j’aurais aimé que tu me vois en train de saliver abondamment sur sa queue. J’aurais aimé aussi que tu sentes à quel point j’étais trempée. Je dégoulinais littéralement mon amour. La moquette de la chambre en a d’ailleurs recueilli quelques gouttes, sans parler de la bave qui me coulait du menton... Il m’a ensuite invitée à me relever et m’a poussée délicatement sur le lit où je me suis laissée tomber. Il s’est déshabillé devant moi. Un corps superbe, musclé, athlétique, une vraie statue grecque avec une plus grosse queue, heureusement. Après son petit numéro de chippendale, il est venu au bord du lit pour embrasser mes cuisses et caresser mes seins puis m’a retournée sur le ventre et a baissé mon string.
Je lui ai tendu ma croupe en feu et il a dévoré mon minou dégoulinant. Sa langue débordait parfois sur mon petit trou et me donnait des frissons. Je gémissais sans retenue. Lorsque j’ai été à deux doigts de l’orgasme, il s’est redressé et a enfilé un préservatif avant d’en faire autant avec moi.
J’arrête de te branler amour car tu vas jouir trop vite je le sens » dit-elle en se contentant maintenant d’effleurer du bout des doigts la queue gonflée de son époux. « Il a rentré sa queue d’un coup sec et profond, il savait que j’étais tellement trempée que ça passerait sans risque. J’ai joui très vite mon chéri, après à peine trois ou quatre allers-retours bien sentis. Sans mentir amour, je pense que j’ai éjaculé moi aussi comme savent le faire les femmes fontaines à ce moment-là. Je tremblais de plaisir. Il m’a laissé un peu de temps pour m’en remettre puis m’a mise sur le dos. Il a saisi chacune de mes chevilles et les a maintenues fermement écartées. Il faisait glisser sa queue massive sur ma fente poisseuse de mouille puis il m’a prise à nouveau. Ce fut plus long mais tellement bon ! Il faisait varier les rythmes et accompagnait sa baise de mots crus qui m’excitaient comme jamais ! J’étais sa salope, sa pute soumise, il me demandait de lui dire que j’aimais sa queue et j’ai dû lui dire au moins une dizaine de fois tant c’était vrai qu’elle était bonne.
Hummm, je vois que ça t’excite bien ce que je te raconte mon cher mari, ta bite perle alors que je la touche à peine. J’espère que tu vas tenir jusqu’à la fin de mon récit...Bref, j’ai joui à nouveau et il a retiré sa capote pour venir se vider sur mon ventre. Je suis restée un moment à étaler son foutre chaud et épais sur ma peau et mon minou tout en le regardant profiter du spectacle. Il a vraiment dû me prendre pour une chienne en chaleur.
Il est ensuite parti à la salle de bain et j’en ai profité pour me mettre à l’aise en retirant mon soutien-gorge et mes bas. Je me suis ensuite allongée sur le lit pour lire une revue trouvée dans la chambre qui vantait le tourisme local. Vincent est resté un moment sous la douche puis m’a rejoint. Nous avons bavardé de tout de rien et j’appréciais ses douces caresses sur mon dos et mes fesses.
Sans doute ses caresses ne le laissaient pas insensibles non plus car il a commencé à glisser l’extrémité de ses doigts entre mes fesses. J’écartais les cuisses pour lui faciliter l’accès et bientôt il s’est retrouvé à nouveau au pied du lit pour me doigter et me lécher mon petit trou... Tu sais que je n’aime pas trop la sodomie mon amour, mais il était si doux que je l’ai laissé faire. Après m’avoir longuement préparée, il s’est redressé et, protégé, il a collé son gland ferme entre mes fesses dociles. Il est entré lentement, centimètre par centimètre. J’ai glissé une main entre mes cuisses pour stimuler mon clitoris et pour masser ses couilles pressées contre ma chatte.
Hummm oui, vas-y mon amour, c’est bientôt fini, tu peux éjaculer... Voilà... Très bien mon chéri... Oooh, il y en a beaucoup ! J’en ai plein la main. »Raphaëlle poursuivit son récit en jouant avec le sexe désormais mou de François.« Donc, il m’a enculé sans brusquerie et j’ai eu mon troisième orgasme... Pour ne pas le laisser comme cela, je lui ai offert de venir se branler entre mes seins. Sa semence chaude s’est alors répandue dans mon cou.
Nous nous sommes enlacés tendrement, nous avons échangé quelques baisers puis nous nous sommes endormis. Je me suis réveillée 3 heures plus tard, pris une douche et, après lui avoir laissé un petit mot de remerciement, je suis venue te rejoindre pour tout te raconter. »Raphaëlle se redressa et vint se blottir près de François.
— Ma soirée t’a plu chéri ? dit-elle un peu inquiète.— Oui Mon amour, énormément !— Dis-moi François, tu ne veux pas te débarrasser de moi ? Je veux dire, tout cela n’est pas pour m’éloigner, tu m’aimes toujours ?
François embrassa sa femme tendrement. Ce récit et la masturbation que lui avait prodiguée son épouse allaient au-delà de ce qu’il avait espéré en termes de sensations.
— Je t’aime à un point que tu ne peux imaginer... — Moi aussi je t’aime... Et je n’ai pas été trop salope ? Je me suis comportée comme tu l’imaginais ?— Pour moi tu ne seras jamais assez salope ma chérie.— Vilain cochon ! Attention j’ai encore de la ressource ! — Ha ha ! Je serais curieux de voir cela.
A suivre...
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